vendredi 18 novembre 2016

Storyteller part10

...aaah.... Il as été long à pondre celui là. j’espère que vous l’apprécierez, il as été un vrai casse tête à mettre en place. mon cerveau veut imploser... possible que se soit parce qu'il est rendu 5h du matin et j'ai passer la nuit la dessus... meh...



Chapitre 10 les contes d’outremer


Notre écrivain en herbe ne savait trop où commencer pour ce récit au titre bien particulier, voilà déjà deux semaines qu’il menait des recherches sans qu’il n’y trouve rien d’utile hors mis que le papier de ces pages semblait fait d’un papier bien plus épais que les autres pages. L’ancre des autres pages s’étant principalement logé sur la tout première de ces pages, elle en était complètement indéchiffrable. Les plies et déchirure causé par l’humidité et le mauvais traitement finissait les rebords de ces quelques pages jaunis par le temps et noirci d’encre. Chose apparente, le titre semblerais fait d’un plaqué or Avec un grand ‘‘C’’ qui sous ces défauts semblait plutôt bien travailler.  

Suite à de nombreuse tentative de déchiffrer les quelques lettres qui étaient encore visible, le manuscrit finit par rester ouvert sur son bureau de travailler à vaporiser son odeur de bière séché. La plupart des autres journalistes et travailleur du journal n’en portais pas réellement attention, mais la réceptionniste elle en débâtait à chaque fois qu’elle voyait cette ‘‘Ordure’’ comme elle l’appelait.

« Il est évident que tu n’en tirera rien, Vint-elle à lui dire. Ce torchon est tellement crépus et salle que même les mouche n’en veulent pas. »

En générale, Lucas ne bronche pas devant le dédain qu’apporte cette œuvre dépravé, mais ces remarques constantes ont finis par lui monter au nez et il quitta prématurément le bureau se jours-là. Bien sûre, son père et patron l’appela pour demander ce qui se passait et suite à leur conversation, il était déjà au pied de sa porte, un peu plus d’une heure avant l’heure du repas. Il en profita donc pour texté à sa copine et  mettre à leur horaires un soupé en tête à tête qu’il prit soin de confectionner.

Cette soirée était particulière. Non pas qu’il avait choisi de mettre le couvert pour deux, ni l’ambiance tamisé avec ce Jazz dit Bigband des années des grande guerres qu’il affectionnait. Certes, cela était une valeur ajouté, mais en ce soir, il voulait rattraper une journée particulière qu’il na pue fêté avec celle qu’il aime. Celle-ci fit son entrée dans l’appartement embaumé de fleur séché et d’une odeur de sauce velouté. Tout étonné de cette tendresse dans l’air, elle lui demanda quel en était l’honneur et notre gentleman lui répondit en l’invitant à s’asseoir :
« Je sais que tu ne voulais pas que l’on fête la Saint Valentin, tu trouvais que c’était surfait et trop dispendieux, mais en ce quatorze mars, je souhaite te souhaiter notre petite Saint-Valentin à nous seul. »

Emma était aux anges bien qu’elle le trouvait ridicule dans cette chemise rouge couvert d’un tablier à carreaux. Tandis qu’elle sirotait la coupe de rosé fruité, il vint à servir deux portions de gratin de poulet nappé d’une sauce tomates épicé étalé en filament et en bain pour les viandes. Il n’échappa à personne que cette sauce était en fait une sauce à tacos, mais le résultat était tout de même satisfaisant.

« Dit moi, demanda-elle. Bien tous ces efforts, je te sens distant, qu’est-ce qui tracasse mon chou? »

En premier lieux, il vint à dire qu’il eut une mauvaise journée au bureau, mais après quelques gorgées sa langue finit par se dénouer et dans moment de grasse, il avoua qu’il avait du mal à ce distancé de ces recherches.

« Ce soir, dit Mackay. Je veux oublier tout ça, je veux être avec toi. Fait moi oublier ce livre stupide. »

Bien cette entorse, son souhait fut exaucé. Ils passèrent une soirée agréable devant un filme interminable devant lequel tous deux finirent par s’endormir.
Son réveille fut d’une surprise de se rendre compte qu’il était désormais dans son lit et en pyjamas, ce qu’il n’a pas porté depuis des lustres. Un bruis à la cuisine interpella et décida de ce levé. La vision était idyllique. Sa douce prenait son déjeuner sur un tabouret, n’ayant qu’une camisole et ces sous-vêtements, bercé les rayons du soleil. D’une main elle écrivait et de l’autre, elle plongeait une cuillère dans un bol de céréale. S’il avait pu, il aurait resté ainsi à la contempler indéfiniment, accoté sur le cadre de porte avec ce délicieux thé. Mais plusieurs choses n’allaient pas dans cette image. D’où elle sortait ces céréales et encore, d’où sortais-t-il ce thé puisqu’il sortait du lit et l’avais déjà en main. Ces questionnements fini par venir à l’attention de sa bien aimé et elle décida de se levé et lui répondre :

« Tu rêves encore grand nigaud. Alice m’a parlé de ces rêves collectifs que le livre leur faisait faire. Difficile à digérer quand l’on ne la encore jamais vécus, mais je dois dire être excité par la suite. »

Lucas lui sourit et lui demanda comment elle pouvait en être aussi sur. Elle vin à en rire et lui dire que la seule manière d’en être sur serais de ce réveiller et elle ne le voulait pas.

« Eh bien, que l’aventure commence, lança Lucas. »

En un tour de main, ils s’habillèrent et sortirent. Une fois la porte franchie, ils se trouvaient seul sur un grand navire de bois, dans un orage plus que violant. Une mer noire déferlait sur le pont, arrachant le mat central, qui se perdit dans l’obscurité. Tous deux se sont réveillés en sureau à l’aurore pour constater que cette fois ci, ils n’auront pas cette histoire si facilement. La matinée pris un coures plus normal après un déjeuner en règles et quelque conversation anodine, mais nul n’osèrent parler de ces songes. Tandis qu’Emma plongeait dans un magazine, notre jeune homme pris la direction de la douche, perdus dans ces pensées, ne sachant pas s’il s’agissait d’un simple rêve ou belle et bien d’une de ces magies qui auraient pu tourner au plus mal. Il finit son nettoyage matinal, irrésolue de ces faits de la nuit passé.

Sa douces l’attendais à la sortie de à salle de bain, le scrutant avec un sourire en coins.
 « Il Reste de l’eau chaude, j’espère, demanda-t-elle amusé. Je dois aller au travail dans un peu moins d’une heure et je n’aurai pas le temps de faire l’allée retour chez moi. ...Ho, et je t’emprunte une chemise, un décolleté n’est pas très recommandé dans une pharmacie. »

Lucas, enrubanné dans sa serviette n’eut aucune objection à ces demandes et une fois préparer, il vin lui porter une chemise qu’il accrocha sur la poignée intérieur en passant simplement la main. Avant de refermer la porte, elle lui dit merci et lança :
« Tu sais, pendant Ta douche j’ai regardé dans le livre pour voir ce si je pouvais déchiffrer quelque chose et j’ai trouvé un petit quelque chose d’intéressent. »

Surpris, lui demanda ce qu’elle put trouver et lui dit d’attendre un peu. Quand il entra dans le salon, il ne put que remarquer le bouquin qui étais désormais ouvert sur la table du salon avec des feuilles gribouillis tout autours. Des dessins plus qu’autre choses selon lui, mais il remarqua qu’une des feuilles en particulier avais délibérément été hachuré dans son entièreté. L’on pouvait voir les strie et plis de la page sur la quel elle avait été mise, mais aussi quelques lettres et mots qui avait été vraisemblablement écrits de main ferme sur le papier. Des mots telle que navire et maison sortais du lot en bas de pages.

Mademoiselle Jones finit par sortir de la salle de bain prête pour sa journée et vin coller sa tignasse encore détrempé sur celle de Mackay qui feuilletait ces esquisses.
« C’est un bon point de départs dit notre jeune homme. Je peux déchiffrer quelques lignes en bas de pages et il semblerait que ce soir écris comme un journal de bord. »

Dans les faits, il ne savait trop quoi en faire, jamais il n’avait tenté décortiquer les textes de la sorte. Du moins, il en a pas encore eut la réelle utilité pour le moment. La magie de la foraine ayant toujours prévalue sur ces écrits. Emma afficha un sourire et pris un ton espiègle :
« Attend, tu n’as encore rien vue! »

D’un geste raffiné, elle prit une feuille blanche et la plaça sur la dernière page du chapitre et y effleura un crayon, laissant paraître tous les plis et défaut du papier, mais aussi les reste d’un Sceau qui aurais été embossé. Un écusson avec un V renversé, bordé de ce qui semble être deux oiseaux et une couronne au-dessus.

Lucas avait une petite idée d’où ils pourraient trouver cette écusson et ils s’avaient fixé un rendez-vous pour une rencontre en soirée avec un personnage plus que fascinant aux yeux de notre chercheur. Le temps venus, ils partirent de leur côté, entamer leur journée de travail. Journée plutôt banale pour notre couple. Encore une fois, Mackay avait mis en désordre les archive du journal pour les numériser et notre demoiselle offrit un  service à la hauteur de l’entreprise. Bien sûre, notre jeune homme ne manqua pas rechercher sur la toile ou encore dans les livres pour cet écusson, mais il ne trouva que peu de choses.

L’heure du repas arrivé, ils entreprirent de se retrouver au café ou ils se sont rencontrer pour discuter, mais aussi pour y retrouver leur camarades. Emma les retrouva attablée dans un coin ou se trouvait notre écrivain avec nul autre qu’Ash et Alice en plein remue-méninge avec ces dessins approximatif de cet armoiries. Ils avaient vites établie que l’écusson avait non seulement un chevron, mais aussi que ce chevron devait aussi avoir trois symboles situé à parts égale et trois autres placé en contraste de parts et d’autre de ce V renversé.

« J’ai peut-être une idée, lança Alice après un moment. Je sais qu’il y a un musée militaire au cœur de la ville, peut-être qu’ils auraient des archives sur les blasons utiliser par les chevaliers du royaume.»

Ils se regardaient les uns après les autres sans rien dire de cette proposition moindrement probable. Le silence autours de la table fut interrompu par les dires d’un homme :
« Faudrait-il encore que l’on identifie la provenance de se dit blason. »

Un vieil homme à la posture chevaleresque avait sous la main de nombreux ouvrage enrubanné sous du cuire. Mathusalem avait forte impression sur ces dames par sa fougue et se charisme qui irradiait de sa personne. Le vieux libraire posa ces ouvrages sur la table et commanda sur le champ un café parfumé à la noisette. Il tendit la main vers mademoiselle Jones et Alice, se présenta brièvement de son surnom avant de mettre la main sur le croquis.

Lucas expliqua brièvement qu’il était en quelque sorte un historien doublé d’un aventurier et possiblement un vestige vivant des grandes guerres de ce monde. Les dames autours de la table le dévisagèrent, le trouvent complaisent, voir effronté, absurde même. Avant même qu’il puisse se reprendre de sa mal adresse, Ash rétorqua à mi- tons:
« Alice, il a connus la construction de la tour Eiffel de son vivent. C’est son histoire que la sorcière nous as fait connaitre en premier. »

Emma étais subjuguer devant ce qui pour la moyenne des gens serait un non-sens, mais elle savait trop bien qu’avec ces zigotos tout étais possible. Notre chercheur qui s’était attardé au décalque de l’écusson embossé n’avait pas fait fi de la conversation et s’exclama :

« De tout évidence, ce blason est français. Cette forme arrondis à la base et ce dessus carré et plats est typique français, par contre, ça peut être n’importe quoi du baron a une ville... Au faite, ou avez-vous déniché ce relief? »  

Emma dit tout bonnement qu’il vient d’une des dernières pages du livre des forains. Mathusalem resta sans mots devants l’évidence de cette réponse. Par la suite, il se mit à jouer dans sa barbe parfaitement taillé, tentants de se remémorer ou pouvait-il avoir vue cette étendards chez les forains.

« Par dieux, mais c’est évident, repris notre vieil homme. J’ai belle et bien vue cette armorie peinte à l’intérieur des malles du directeur de notre cirque. Ce sont celle de l’un de ces prédécesseurs, un monsieur De-Serres. Ha, j’ai bien peur de ne pas en savoir beaucoup, sinon, qu’il fut l’un des fondateurs de notre cirque. Je sais par contre qu’il était dresseur de fauve aussi. Le reste m’échappe.» 

Il prit une pose pour gouter sa boisson chaude et repris paroles, prenant par surprise la tablé qui croyait qu’il n’avait rien de plus à dire.

« Si je me souviens bien, il se nommerais Jule de Serres. Avant d’être dans le cirque, il était un aventurier qui parcourait le monde pour un collectionneur de curiosités. Son patron ne l’aurais plus supporté suite as une histoire de vol dont il était le premier suspect et aurais fuie par-delà les mers avants de rencontrer celui qui fera de lui un homme de cirque. En bout de ligne, j’en savait plus que je l’aurais crue »

Ash qui avait gardé le nez rivé sur son cellulaire repris la suite :
« Selon ce que je peux lire sur les internet, il serait  descendant d’un des premiers agronomes au sens scientifique. Français de Villeneuve-de-berg… …mais bon, je me perds dans les détails. Par contre, j’ai trouvé une gravure similaire et d’autre en couleur! »

L’image était maintenant claire. Un denier d’argent sertis de trèfles et d’étoiles dans un chevron bleu. Tans de recherche pour une si simple image, mais pour aussi peu d’histoire. Né-en-moins, la soirée fut captivante. Parsemé de rire et des récits de parts et d’autres. Les heures passèrent et notre couple retourna à l’appartement de Mackay, entrelacé, amoureux, endormis.

Les songes s’annoncent sombre et sévissent sans prévenir. Tous deux reprirent conscience de leurs états, affalés sur le sol détrempé du clipper, dans cette tempête déchaîné. Ces furies n’on durer qu’un moment qui pourtant semblait une éternité pour nos survivants. Emma avait remarqué que ce n’était que le début. En effets, ils étaient dans un interstice et ce qui s’annonçait, semblais de loin plus mouvement. Un autre détail qui n’échappa à nos aventurier, c’est l’absence d’équipage et plus étrange encore, le fait que des récifs tenais la structure en place, les vagues fouettent la coque avec violence, rendent l’échappatoire plus que difficile. Un déferlant vin les pousser au abord du pont et apercevaient qu’un cordage menais jusqu’à des pierres sur une plage parsemé de débris. Ces débris provenaient du navire ou ils se trouvaient.

Sans hésitation, mademoiselle Jones entrepris de descendes dans cette échelle de cordes suspendue au-dessus de ces flots, laissant sans mots Lucas qui aurait préférer tenter sa chance dans les quartiers du navire. La descente fut difficile et épuisantes, les menant sur ces rivages fouettés par ces eaux salées.
Ils atteignirent la crête de sable à bout de souffle pour n’y découvrir qu’encore plus de sables et des tentes de toiles blanche, déserté et passablement déchirer. Nos amoureux n’en pouvaient plus, ils devaient se reposer, et cet endroit semble tout indiqué pour se faire. Lucas ferma les yeux et dans  l’espace de ce qui lui semblait un instant, le matin était arrivé. Le vent chargé de sables fouettait la toile en cette journée grise quand des pas se firent entendre suivit d’un soupire de découragement. Lucas sortis la tête de leur abris de fortune pour surprendre un homme qui fouillait dans les débris au côté d’eux.

L’homme semblait lui aussi avoir vécus sa parts de péripétie. Il portait à sa taille une vieil lame et ces vêtements amples étaient déchirer aux genoux et son par-dessus était bien usé. Hors mis ces détails, sa barbe était faite, arborant qu’une moustache naturelle s’accordant avec ces cheveux en batailles.    

« Qui diable êtes-vous, demanda-il en se mettant en garde. Que faite vous dans mon abris? »

Au fond de la tante, notre inconnu aperçut le visage d’Emma qui semblaient terrifier par sa lame qu’il pointait vers Lucas. Voyant qu’ils n’étaient pas une menaces, il baissa sa garde et offrit des excuse à notre couple et demanda ensuite ce qu’ils faisaient dans ces lieux. Lucas dit évasivement que le hasard les as conduits ici. Notre inconnu regarda Mackay, le visage sans expression avant de rengainer son arme et dire :
« Cette explication me semble douteuse, mais qui suis-je pour vous demander de vous justifier… Si vous êtes ainsi pris à dormir dans ce taudis c’est que nous en sommes au même point. Prenez ce que vous pouvez, nous remonterons la plage vers le nord, Il n’y as rien au sud sur une bonne journée de marche sinon que des récifs. »

« Et dans les terres demanda Emma qui sortis à son tours de l’abris. Il n’y aurait pas… »
Elle rasta sans mots, réalisent qu’ils étaient face à des montagnes désertique. De l’autre côté, l’embarcation avait laissé place à un amas de planche brisé entre les récifs.

Après une préparation sommaire, ils partirent. Emma pris les devants avec cette aventurier pour lui poser quelques questions. Il se définissait comme un aventurier et le navire sur lequel ils se trouvaient fut aborder par des pirates et une bonne partie de l’équipage décimé. Le reste, ont disparue lors d’un orage qui les mena sur ces récifs. Lui, il survécut en se terrant dans la cabine du capitaine. 

Lucas qui écoutai en retrais finit par les rejoindre en lui demandant s’il n’était pas le chasseur de trésor nommer Jules De Serres sachant trop bien qui il était et presque aussitôt, il dénia ces faits.

« Allons donc, reprit notre protagoniste. Je suis sure que vous êtes de sa trempe, de plus, je sais reconnaitre les grand hommes de ce monde quand j’en vois un, même s’ils ne le veulent pas. »

Encore une fois, il dénia ces dires bien qu’il ne pouvait cacher une certaine fierté. Leur conversation prit fin en ce moment car un cavalier les approcha par la crête devant eux. Ce dernier les somma de le suivre. Le trajet fut plutôt étrange, dans un silence pesant, mais aussi un certain soulagement quant à savoir qu’ils trouveraient enfin la civilisation.

Notre trio fut amené aux portes d’une grande propriété au cœur d’une cité portuaire. Cette porte menait dans la cour intérieure d’une maison fortifier. Ce Riad étais verdoyant, contrastent avec les côtes de ce pays. En bout de ce jardin se trouve un salon décoré de plusieurs tapis dans lequel se trouvaient un homme bien fortuné et quelques hôtes plutôt curieux de notre arrivée. Notre aventurier remercia ce jeune fortuné pour son hospitalité et celui-ci nous offrit de s’asseoir à sa table. C’est avec réserve qu’Emma pris place en premier, assisté du serviteur qui l’attabla.
Un repas fut servis dès que nous étions assis et le jeune fortuné nous demanda notre histoire disent que nul étaient ordinaire les naufragés ou perdus dans le désert. Après un silence Lucas se décrivit comme ce qu’il est, soit un écrivain qui parcoure le monde à la recherche d’histoire et de péripétie avec sa compagne. Il expliqua qu’il perdit son matériel pour écrire, dans le naufrage.

« Et sans armes, demanda le berbère. Comment faites-vous pour vous défendes contre ceux qui vous veulent du mal? »

Sans hésiter, Emma repris :
« Il ni as pas plus grande valeur pour les gens que d’être connus dans le mondes par des récits. Cette gloire intemporel n’est pas à discuter pour plusieurs. Pour les autres, les ruses et les bons mots sont de mise. » 

Sans le savoir, elle avait causé un émoi chez ces résidents pour avoir osé la parole, mais notre hôte n’en fit pas de cas et s’exclamât par un rire, comprenant une tactique de maître dans ces mots. Il avait conclus  à cette éloquence qu’une conversation plus poussé serait comme chercher des fleurs dans in jardins. Ainsi donc, il se retourna vers l’aventurier attendent qu’ils disent enfin quelque chose. Sans prétentions, il s’en tenait à ce qu’il avait dit à notre couple d’un air penaud. Suite à ce récit, Lucas le relança :
« Allons donc, je sais que vous êtes plus qu’un pauvre marin. Ces déboires ne sont qu’un mauvais moment de votre aventure. Je le sais, je le sens. »

Notre écrivain marqua une pose pour le regarder dans les yeux et reprendre:
« Ou peut-être que vous êtes au début de l’une de vos plus grande aventure. Jules…»

Embarrassé, l’aventurier quitta la table sans dire un mot, ce qui eut pour effets de déplaire notre hôte et ordonna au dresseur de l’interpeler devants la porte. Ce dernier fit avancer une lionne qui le fixait en attente d’ordre. Lucas fondait dans son malaise, croyant qu’il avait tout ruiné, mais mademoiselle Jones, elle, restait confiante.

« N’oublie pas qui il est, dit-elle. Il ne peut que s’en sortir, sinon nous ne serions pas ici. »

Sur ces mots, Jules avança vers le fauve et caressa ces bajoues comme s’il ne s’agissait que d’un gros chat et pris la laisse de la main du dresseur surprit avant de retourner vers la table avec la bête nonchalante, terrifiant les autres invités. Le jeune berbère qui était stoïque vin à lui dire :
« Le jeune homme à eut raison sur une chose. J’ai une grande aventure pour vous… »

Une discussion s’en suivit la nuit durent, aboutissant à l’accord qui mena à la création du cirque. Nos deux amoureux voulurent s’éclipser pour la nuit quand Jules leur demanda d’un ton quelque peu alcoolisé:
« Vous ne restez pas? J’aurais espéré vous trouver dans notre équipe. Vos écrits ne se perdront pas avec nous! »

Lucas refusa l’offre et dit qu’il devra retourner chez lui pour écrire. Après quelques échanges de paroles en toutes bonne foi, il vint à lui dire qu’il garderait une enveloppe de son histoire pour lui dans qui luis donneras une quand ils se rencontreront de nouveau en Angleterre.

 « Je la mettrez dans une enveloppe à l’épreuve de l’eau, dit l’aventurier. Ainsi, ni les vagues ni les naufrages ne l’effacera. » 

Sur ces mots, ils se souhaitaient la bonne nuit et reprirent leur chemin respectif vers une pénombre douce et chaude. Ainsi nos deux tourtereaux se réveillèrent dans une matinée tout aussi douce.

« Bon matin mon amour, dit Emma. Tu as fait un beau rêve toi aussi? »

Lucas sourit et la caressa sur la joue en lui disent:
« Oui, J’ai rêvé de toi et moi. D’une belle aventure avec Jules De Serres… »

« Et Mathusalem, reprit Emma. Je l’ai reconnu dans les invités de la sale. »

Notre amoureux ne l’avait pas noté de prime à bord, mais son souvenir de lui était tout aussi limpide que celui de sa douce.

« Les cheveux blanc en moins répondit-il. Peut-être même moins de barbes… …l’enveloppe! »

Sur ces mots, ils se levèrent et accourût vers le bouquin, espèrent trouver une enveloppe caché, mais en vain. Aussi inimaginable que cela puisse paraître, les gitans lui ont envoyé l’enveloppe de jules par la poste et il la resservit ce matin même, suivit d’une courte notice d’Amanda disent qu’elle comprit que tard que cette lettre lui revenait.

Cette enveloppe de papier ciré contenait une lettre de jules qui lui parlait comme un vieil ami. Ces mots étaient tendres et empreint de sérénité. C’était les mots d’un vieil homme qui savourait son retirement avec celle qu’il a toujours aimé. Une histoire qui n’était pas de ce livre, mais surtout un grand merci. Merci pour avoir changé sa vie pour le mieux.

Les jours se suivirent et la Foraine appela enfin, ce fut un soulagement pour tous deux d’entendre et dire ce récits. Amanda le félicitait de ces péripéties et de cette reconstruction des récits avant de dire qu’il reste encore un texte :

« Certain d’entre nous ont fait d’horrible chose as ce livre. De ce fait, un des récits a été arraché de notre grand livre. Soit par jalousie ou haine, mais ces conditions ne sont pas claire. Seul chose que je sais, c’est le titre. Légende du ciel. Je t’offre jusqu’à notre retour au pays pour l’écrire. Sur ce, je te souhaite bonne continuité. »

jeudi 27 octobre 2016

Lune noir, part17

Octobre avance et j'ai l'impression de ne pas avoir fait la moitié de ce que j'aurais souhaiter faire. Comme si le fait de ne plus travailler me ralentissait... étrange non? c'est peut-être juste une mauvaise impression aussi. Il est peut-être moins bien construits que les autres, mais j'avais besoins de placé des information avant de continuer.

Bonne lecture qu'en même

( Chapitres antérieur )


Chapitre 17 chemins de croix


Nous parcourons les rues dénudées de lumières à la recherche de ce meurtrier tout en évitant les patrouilles et les barrages routiers, sachant trop bien que les autorités nous suivent à distance, sans que je ne sache trop pourquoi. Bon, OK, c’est sure que ce serait plutôt flippant interpeller un cadavre ambulant qui se dépassent de toits en toits et un mec ensanglanté suivit d’un esprit qui ne fait que réapparaître brièvement d’un endroit à un autre le temps de converser. En fait, ils ont déjà due en voir de toutes les couleurs avec ces ombres et ces occultistes de toutes sortes.

En parlent de ces ombres, il semblerait que quelques-unes d’entre elles nous suivent à bonne distance. Je ne peux que me questionner sur leurs existences et demander au baron ce qu’il en sait.

« Ha? tu ne te souviens donc vraiment de rien me dit-il amusé. Tu es l’un d’entre eux. Ce ne sont pas des esprits malins, loin de là. Ils sont de ceux que l’on a apporté de l’autre côté, mais les portes entres les mondes sont maintenant grande ouverte et les anciens pensionnaires de ce mondes peuvent maintenant revenir… …en quelque sorte. »

Je me suis arrêté un moment, stupéfait de sa réponse quand il vin à moi et ne dit :
« Ne va pas croire que tu es l’âme d’un défunt. Tu es dans aucun livre ni récits que les plus haut m’on laisser. Les ombres, ces êtres de l’autre côté t’on créer de leur magie ou je ne sais quoi.et c’est sans doute pour cela qu’ils te surveillent. Si je savais ce qu’ils attendent de toi, je te le ferais savoir. Ne reste pas là, navré. Marche mon amis, marche! »

Je suis resté muet quelques moments, les mains dans les poches, à me demander d’où je tire ces brides de souvenirs incertain et sans lumières. Serait-ce les  ceux de l’âme qui habitait ce corps avant mon… …notre arrivé. Je ne sens pas sa présence et encore moins ces tourments, comme si cette vie étaient que l’empreinte d’un chant dans celle d’un ours. Ou peut-être qu’il a finit consumer par le malin quand il as pris place dans son corps. Je n’en sais rien.

Notre revenant qui parcourait les toits me sortit de ma réflexion, pour me demander expressément de venir sur le toit d’un édifice en ruine. Mon entrée en ces murs n’ont pas été de tout facilité. Une fois la porte barricadé enfoncé, je pouvais voir que celui qui étaient ici avant as mis un temps fou à fortifier les lieux et suspendre des vieux charmes en papier partout. Je montais l’escalier de cette ruine en prenant bien la précaution de ne pas me laisser piégé dans par qui que ce soit dans ces murs. Les croix peinte en noir sur les murs me semble plus terrifiante qu’une décentes en enfer. J’ai l’impression que n’importe qui ou n’importe quoi pourrais surgirent de la poussière et me découper en morceau.

Cette peur qui m’ai irrationnel c’estompa quand je suis enfin arrivé à la porte qui mena sur le toit de cette édifice. Une odeur pestilentiel s’émanait des lieux tandis que j’avançais au travers des échafauds laisser en abandons. J’y ai retrouvé notre macchabé et une vieille connaissance, crucifiée sur place. Cette homme vêtu de noir avec et de son long manteau gris m’avait bien déçu.

« Je l’aurais crue plus puissant, dit baron Samedi. Pathétique pour un paladin. »

Je vin à scruter ces mains teinté de peinture noir quand il releva la tête en rugissant, crachant du sang. Son regard vide se projetait sur nous agressivement. Bien son apparence physique, ce qui l’habitait n’étais plus humain. Il n’en fallu pas plus pour notre passeur pour plonger la main dans sa tête et mettre fin à ce délire.

« Nous voilà face à un nouveau problème, s’écria le baron. Il appelle les siens à prendre ces corps en les vident  de leur esprits. Nous sommes encore chanceux que ce ne soit qu’un esprit primal qui ait pris place en ce corps. Rien que je ne peux révoquer. »

« Il est frustrant d’avancer sur un échiquier vide, reprit le corps sans vie du paladin. Vous ne pourrez nous arrêter, d’autre vont venir. »

Ce dernier éclata de rire. Tandis que notre revenant se retenait de lui arracher la tête, le baron lui demanda qui parla. Le paladin lui répondit de son rang dans les abysses. Soudainement je compris que le tout était orchestré depuis bien longtemps. Avant même que l’on puisse poser d’autre question, notre défunt le réduisit en charpie. Mettant fin à son existence et à l’interrogatoire. Sur le coup, je trouvais que ce n’était une réaction stupide, mais en bout de ligne, j’ai eu beau penser et je ne voie pas comment ils auraient pu nous aider. Ce n’est pas comme s’il aurait dévoilé leurs plans ou bien nous dire par ou trouer ce démon… et de toute manière, les palmes d’un hélicoptère commencent à se faire entendre. il me serait sage de fuir ce merdier avant que l’on se face voir sur place.

Le temps d’y pensé et j’étais déjà seul sur le toit. Je n’avais d’autre choix que de retourner dans ces ruines en espérant passer inaperçu. L’engin me semblait s’éterniser au-dessus de l’édifice, me laissant piéger à l’intérieur de ce complexe affreusement affecté par ce qui l’habite. Je vin à me terrer dans l’une des pièces du second étages en espérant ne pas me faire surprendre par ces soldat qui s’engouffrait dans le rez-de-chaussée. Pour je ne sais quel raison, ils ont tiré quelques coup avant de fuir, paniqué par quelque chose qui semble être en ces murs, ce qui ne me plaisent pas du tout. Après quelque instant, je me suis décidé d’avancer à pats feutré dans ce silence presque parfait. J’effleurais les murs de mes doigts quand j’entendis la seule chose que je ne suis pas prêt à affronter. Ces soubresauts me glaceraient le sang.

Les pleure d’une enfant.        

vendredi 21 octobre 2016

Lune noir, part16

Bon, le principale avantage de ne plus avoir d'emploie, c'est que je peut me lever en plaine nuit et écrire mes trucs. Par contre, je me retrouve à somnoler tout la journée et manquer la plupart des truc que je me disait de faire... Au moins, je ne manque pas d'imagination pour la suite des choses.
Bonne lecture!

( Chapitres antérieur )


Chapitre 16, Dans le sang


Mon retour est plus que douloureux. Mes os me font mal et ma vue est plus que floue. Je ne peux que crier, tant par joie que par douleur sans qu’aucun sons ne s’échappe de ma gorge.

« Ha… Il revient enfin à lui.»

Ce tons de voie m’ai familière, mais ce grain lugubre et désincarner lui enlève tout trace d’humanité. Je distingue les gestes de deux personnes mais je ne peux voir que leurs silhouettes.


« Peut-il nous entendre, demande l’ombre à ma droites. Pourquoi prend-il autant de temps? »

La seconde personne lui répondit avec un ton enjouer :
« Ne soit pas si presser, il doit encore revenir à lui. »

Cette voie m’est plus que familière. Seul le souvenir d’un homme noir et de l’amertume me revient. Après considération, je me souviens. Ce faucheur d’âmes est encore au-dessus ma carcasse. Mais qui donc est avec lui?

Quelques minutes encore et je voie plus que des ombres et lumières et je peux murmurer quelques mots. Baron est les premiers mots que je viens qu’à dire pour ensuite lui demander ce qui m’ai arrivé.

« Hé bien, dit baron Samedi. Elle a Réussi et non. Tu n’as plus cette chausse en toi, mais elle se balade dans les rues de la ville avec ce qu’elle a pris de toi. Soit une bonne partie de ta chaire et tes entrailles. Encore heureux que tu ne sois pas humain. »

Étonné de ce verdict, je tentai de me relever pour découvrir que ma peau est ouverte de partout et que mes entrailles sont partout sur la table, laissant mon cœur battre à découvert et mes poignets décharnés de mes mains. L’effroi m’emplie, mais pour une raison que j’ignore, aucune expression ne sortais de moi. Je suis mort et revenus à la vie pour découvrir que je vais bientôt mourir? Ça ne fait pas de sens.

« Je suis quoi, lui demandai-je. Un zombie? Qu’est-ce qui m’arrive? »

La seconde personne qui pour le moment était resté à l’écart vin répondre à mes questions :
« Ne te détrompe pas, tu es bien vivent, et plus que je peux l’être. Détourner le corps que le malin à conçu pour venir sur cette terre et l’enfouir au plus profond de ta personne ressort d’un acte divin, en quelque sorte. »

 « J’ai tu l'air de jésus, lui dis-je sans regarder.  Je veux bien croire que je reviens de l'autre bord mais je ne suis pas un saint, compris! Me traiter d’antéchrist, non mais…»

Je me suis retourné vers ce planétaire pour constater à qui je faisais affaire. Ces rastas terreux, cette peau curieuse tendue sur ce corps sans vie et ces orbites creuse sinon qu’un brin de lumière maléfique qui en sortait me glaça le sang. Il est supposé être mort de ma main, mais le voilà de retour. Il se leva d’un geste brusque et avança, me disent d’un air hargneux :
« Ecoute moi bien, je suis ici qu’un seul et unique raison. Me venger et venger ma mère de celui qui la réduit au silence. »

Le décor était fixé. Tout autours, les objets étaient fracasser, projeter au sol avec un mélange de sang des long cheveux de la tignasse de cette chamane qui de tout évidence reposait un peu partout dans cette salles. J’ai délivré un mal qui ne devrait exister en ce monde et de toute évidence, il est venu nous anéantir. Un silence pesant fut ma réplique, une voie muette qui de sons sens demanda un pardon inavoué.

Une question me vin soudainement à l’esprit :
« Comment êtes-vous venus à croire que je suis l’antéchrist? Ou plutôt, comment se fait-il que baron Samedi ne m’ai encore rien dit? Hé puis, ça ne fait pas de sens, comment un faucheur peut retenir le diable en personne? »

« Il en est rien, me répondit froidement le baron. Ce corps n’est pas le tien et les démons ne sont qu’une espèce bannis de ce monde. Ils ne sont pas tousse l’ange déchue que tu dépeins. De plus, ne m’appelle pas faucheur, je ne suis pas l’Ankou. S’il y a quelqu’un que tu ne veux pas croiser sur ton chemin, c’est bien ce passeur vide de tout compassion et avide de cette énergie qui habite les vivent. Il est si longtemps sur terre qu’il en a perdu son humanité et traques ceux qui sont en fin de vie comme un animal le ferait. Près à déchiqueter le corps de ces victimes pour en aspirer toute parcelle de vie. »

Le revenant lui demanda si nous allions le rencontrer sur notre quête contre ce démon et le Baron lui répondit froidement que les démons sont encore plus avide de cette énergie que peut l’être un passeur.

« Si je comprends bien, lui dis-je. Tu me suis seulement parce que je suis ton garde mangé. »

Le baron vin à me reprendre :

« Nous ne la consommons pas. Je dirais que nous la subissons. Un-peut comme vous sentez cette énergie, ce frisson dans les manèges d’un parc d’attraction. Peux-tu te relever maintenant? »

Sans m’en rendre vraiment conte, mon corps c’est régénérer dans la presque entièreté. Je pouvais désormais me relevé et tituber le temps que reprenne forme mes os, mes muscles et tendons. Nous sommes enfin sortis de ce carnage, paré pour suivre la route ensanglanté que nous laissa ce démon.   

mardi 18 octobre 2016

lune noir, part 15

Une belle journée sombre et pluvieuse, parfaite pour écrire! En fait, c'est bien la première fois que j'écris en après midi. Bon, j'ai pris 4 heures écrire ce que j'aurais fait en une ou  2 heures, mais ce n'est pas grave. l'inspiration étais au rendez-vous.

( Chapitres antérieur )


Chapitre 15, Chaman


Je ne sais pas comment j’au pue parvenir à la retrouver, seul chose que je sais, c’est que j’y suis. Une odeur Âcre me remplit le nez tandis que je recommence à y voir plus clair. Mes poumons brûlent comme si j’aurais couru un marathon. Mes empruntes noir de je ne sais trop quel matière montrent que j’ai erré dans les alentours comme un animal en recherche de sa proie. Possiblement que cette encens m’ai réveillé de cette transe possiblement dangereuse.

La porte d’un blanc immaculé semble être celle où je dois aller. J’entrebâillais la porte pour y entendre les pleurs d’une dame d’âge mûr. Elle tenais d’une main une photo et de l’autre, un revolver qu’elle tendais vers moi. Tu as tué mon fils, s’écria-elle hargneusement avant de décharger son arme sur moi. Je fermai les yeux en espérant que cette douleur m’emporte avec le mal qui me déchire, mais il en était rien. Quelque instant à peine et j’étais de nouveau moi-même, sans marque de d’impact sinon que le sang et les trous sur mes vêtement déjà en lambeaux. Je ne sais pas s’il s’agissait de ma propre pensée ou celle de la bête, j’ai du mal à compatir. Seul l’amertume de m’être fait tirer dessus me venais. Je me suis approcher d’elle et m’agenouilla devants elle :
« Fait sortir ce monstre de moi. Je ne sais pas comment le retenir, je ne sais pas l’arrêter s’il est en moi. »

La pauvre étais terroriser, je ne savais pas quoi lui dire de plus et elle semblait paralyser de peur. Je suis donc resté ainsi quelque longue minutes avant de me demander si j’étais maintenant plus serein? À ma propre surprise, je devais avouer que oui, c’était comme si ces lieux ou cette magie me permet de retenir ce monstre.

« C’est bien ce que je croyais, dit-elle. Il y a bien deux esprits dans ce corps si ce n’est plus et seul toi peux être emprise par la sérénité que mon incantation inflige. Autrement, tu souhaiterais que fuir ces lieux. »

Elle se leva et pris une corde de chanvre :
« Je sais quoi faire, repris-elle. Mais ce ne saura pas de tout repos. Si nous voulons tuer ce mal, nous devrons l’extraire et pour ce faire, tu devras mourir une première fois, comprends-tu ce que j’insinue? »  

C’est quelque peu ironique de me dire de telle chose considérant que je viens de survivre à mon propre meurtre sans aucune égratignure. D’un autre côté, je n’ose imaginer ce qui m’attend. Je consentis à ces demandes bien que je crains cette souffrance à venir.
« Il n’y a pas de temps à perdre, dit la chamane. Ce sort de paix ne durera pas éternellement. Je dois t’attacher sur cette table pour commencer l’extraction. »

Je m’y allongeai donc, elle m’attachât par les chevilles, les poignets et la gorge. Je n’avais de cesse de me demander comment ai-je pu tuer son fils, je n’ai eu aucun souvenir ressent de ce lui. Oui, serte la dernière fois que je suis venus la voir, mais jamais je ne l’ai vue depuis et je dois dire être tracasser par ce pans d’histoire qui me manque. Sans que ces mots sorte de ma bouche elle commença à me parler tandis qu’elle préparait le rituel :
« Tu sais, depuis que ta sortie de l’hôpital a fait surface dans les nouvelles, un homme du Vatican est venus nous rendre visite dans ces première heures. Il était venu maudire l’implication de barons Samedis et de nous tenir à l’écart de sons travail. Il voulait aussi des informations sur ta personne, mais nous en étions moins connaisseurs qu’aujourd’hui sur ce qui t’habite. »

Ça fait près d’une semaine que je suis en cavale? J’ai l’impression que seulement quelques heures c’est dérouler. Merde, je déteste perdre le fils du temps.
Elle me mit dans les mains des roses avant de les refermer avec des chiffons.
« Tu as causé un sacré carnage à tenter de nous retrouver. Plus de la moitié des officiers du sud de la ville y ont goûté et c’est maintenant l’état de siège sur la rive sud. L’armée est passée ici et ils vont surement revenir d’ici peu. La plupart des gens ce sont cloîtrer en espérant ne pas finir comme mon fils… Il faisait partis des volontaires qui ont décidé de te mettre la main dessus. Des pourfendeurs plus que des tireurs. »

Houai, je ne suis pas sortie de l’auberge. Il me faudrait presque changer de pays pour m’en sortir. Son regard interrogé se porta sur mon visage :
« Étrange, dit la dame. Pour un instant, j’ai cru que ton visage avait changé pour celui d’un autre.  »

Quoi? Je ne sais même pas comment je fais ! Il va vraiment falloir que j’apprivoise ce don. Enfin, si ça vient de moi…

« Ça va être salé dit-elle en mettant une pogné de sel en bouche. Je tiens à te le dire, vue ton talent pour te régénérer, ça va faire très mal. »

Elle entama une incantation et planta un poignard dans mon estomac. Pour une fois, à douleur me sembla plus que réel, une vraie sensation, une vrai mort. Lorsque ma vue vint au noir, j’aperçu le baron dans le dernier soubresaut de vie qui me restait. Me voilà replongé dans l’intangible noirceur, privé de mes sens. Seul avec ma conscience et mes pensées.

Une éternité dans la noirceur. Je croyais que lorsque l’on mourait, l’on voyait défiler sa vie ou encore que ce serait un chemin vers l’au-delà ou encore une nouvelle vie, mais pas le néant. J’ai déjà compté à plus de cinq milles Mississippi et j’ai dû m’y reprendre par trois fois parce que je perdais le compte. C’est chiant à la fin! Flotter comme ça dans le vide, c’est n’est  vraiment pas une vie… enfin, une mort.


J’entends un battement de cœur, ça y est, je reviens. 

mercredi 12 octobre 2016

Lune noir part14

Bon, comme je vous l'avais dit plus un texte plus tôt, je vais vous donner de mes nouvelles! Bonne nouvelle, les temps sombre et les nuits qui rallonge m'ouvre les portes de l'imaginations, donc plus de texte et d'image par le même fait. J'ai maintenant un profile Instagram dans lequel je mets les images que je fait pour le Inktober 2016. Grosso modo, c'est une pratique spécifique pour le dessin. et de tout évidence, j'en ai grandement besoins...

la moins bonne nouvelle est que je n'ai plus d'emploie et dois trouver un autre moyen de subsistance. Le commence pour lequel je travaillait, as fermé ces porte au débuts du mois et vue que j'étais sur un programme gouvernementale, je ne toucherez pas de chômage. je retombe donc au plus bas des salaire soit l'aide sociale. Bref, merde...

Au moins, j'ai plus de temps pour écrire, quand je ne marche pas d'un employeur à un autre (et c'est ce qu'on appellerais une nouvelle comme-ci comme ça )  

Pour revenir sur une nouvelle plus positive, j'ai décider de créer un Patreon pour subventionner la correction et la mise en marché de mes manuscrits et ce, dés que j'aurez toucher au dernier chapitre de Storyteller. Ce n'est pas pour tous de suite alors, Je vous tiendrez eu courent de mes démarches. Finalement, j'espère que vous appréciez le fait que j'ai effectuer une correction rapide sur ce dernier textes. ce n'est serte pas parfait, mais je fait de mon mieux.

bonne lecture!



Chapitre 14, puissance


L’un des passent qui étaient venue à mon secours commença à me prodiguer les premier soins. Une entaille logée en mon abdomen perdait beaucoup de sang. Je me souviens l’avoir vue paniquer avant de perdre connaissance. Et maintenant, me voilà étendue dans un lit peut confortable  à contempler un plafond suspendue étrangement familier. Je ne pourrais dire s’il s’agissait de chance ou de manigance, mais je me suis retrouver  dans le même lit d’hôpital que la dernière fois.

Une femme à l’entrée me sorti de mes songes en me rétorquant :
« Encore vous ? Je n’espérais pas vous voir si tôt…»

Madame Michaud! Je ne sais pas si c’est une bonne nouvelle de retomber sur les même têtes, mais je dois dire que je suis contente de la revoir. Je dois me relever…

« Ne forcez pas trop, dit-elle. Cette coupure fut nette, mais vous avez perdu beaucoup de sang. En fait, j’ai bien peur que vous ne puissiez retourner chez vous ce soir, la police veut vous garder à vue cette fois-ci.»

Elle vin à mes coté pour examiner la plaie. Défaisant le bandage, eut un choc de voir que la plaie commençait déjà à se ressouder. Elle alla jusqu’à tirer sur les points de suture pour confirmer que ce n’étais pas une illusion. Quelle douleur…

« Je devrais arrêter de m’étonner, dit-elle. Le monde ne fait que devenir de plus en plus bizarre… Le fait que tu ne sois pas l’une de ces personne qui entre ici en convulsion et que tu as tout ta tête, c’est déjà bon… …surtout que depuis votre arrivée, les ombres se font rare.»

Si elle savait à quel point tout à changer. Je n’ai peut-être pas la réponse à ces temps sordide, mais une chose est sure, je reprends le contrôle sur ma vie, Il est bon de se sentir en puissance.

«Madame, s’exclama une voie venant de l’embrasure de la porte. Madame, éloignez-vous de cette homme immédiatement.»

Deux officier ce tenais à l’entrer quand l’infirmière pris du recul. Elle était confuse et mois donc, entendre l’un d’eux me réciter mes droits et l’autre j’approcher de moi, menottes à la main. Je pouvais percevoir le Baron se tenir dans le cois de la pièce. Ces rires retentissaient dans ma tête quand l’officier me saisit par le poignet. Jamais je ne m’étais jamais senti autans effrayé de pour mon avenir, même si personnellement, je n’aurais jamais cru en avoir un. Baron Samedi qui semblait invisible aux yeux des autres s’approcha de moi et se pencha au-dessus de mon lit.

L’officier me passa la menotte au poignet et me dit : « vous venez avec moi.»
Je n’eus le temps de pensé que le baron insuffla à ma voie les mots suivent.
«Je ne crois pas, non.»

Sur ces mots, le second officier mis la main sur son arme, mais il était déjà trop tard pour son acolyte. Sans même m’en rendre compte, je l’avais repoussé à l’autre bout de la pièce, comme une poupée de chiffon. Le tout me sembla irréel, tout était aux ralentis, je me suis lever du lit et en moins de temps qu’il n’en faut, je poussais le second officier dans le corridor et il s’encastra violemment dans le mur derrière lui, perdant conscience. Je saisi mes choses dans la penderie à l’entrée sous les yeux effrayé de madame Michaud. Les échos de mes délits retentir jusqu’à la sécurité de l’hôpital, attirent le regard. Je suis donc entré dans le clair-obscur d’une salle ou seul un respirateur se faisait entendre pour me changer. Ma plaie n’est plu, j’ai déjà deux de mes points de suture gisent au sol comme si mon corps avait dissout ce fils ferreux. Mes vêtements sont tachés de mon sang, difficile de ne pas attirer l’attention, surtout avec mon trench-coat noir. Je peux me considérer chanceux d’avoir échappé à la surveillance de la sécurité avant que les renforts policiers arrivent.

Les rues cette nuis sont d’un silence et d’une froideur morbide. Je n’ai croisé aucunes âmes qui vivent et encore moins de ces ombres. Seul ce vautour de Baron Samedi me suit en ricanant, c’est plus qu’énervant.

«Qu’attends-tu de moi, dit-je hargneusement. Pourquoi me suis-tu encore?»

Sa voie spectrale susurra ces mots, faisant trembler les os de mon crane :
« Tu es idiot. »

Il fit pleinement apparition devants mois avant de reprendre d’un ton théâtral :  
« Tu crois le métriser quand il t’offre ces pouvoirs, mais tu deviens comme lui et il te dévore ainsi… Ne vois-tu pas la hargne et le mépris t’envahir, reprit-il en me fixant droits dans les yeux. Sonde ton esprit. »

Dès lors, je n’ai eu de pensé pour ces mots et repassa ces dernier moments en boucle dans ma tête. La scène semblait mensongère. J’ai mis les deux policier K.O. et fuit. Ensuite… … non. J’ai tué ces deux policiers devant l’infirmière et ce de ma volonté. Cette idées me trouble d’autant que je la sens vrai et n’ai eu aucun remord avant ce moment. Maintenant, je comprends mieux ce silence. Ces ombres savent quel monstre je deviens. J’ai donc embrasser la vie de ce diable qui me consume et set idiot ne trouve rien d’autre à faire que de rire de moi. Ho, je le haï autant que je peux m’en vouloir en ce moment. Pourquoi ne fait-il rien pour m’aider? Pourquoi a-t’ il provoquer leur mort en infusent ces mots dans ma bouche? Pourquoi se moque-t-il de moi ainsi?

Mes mains perle de sang frais et ne sais pas pourquoi. Ce n’est pas le mien et je n’ai souvenir de personne sur mon chemin. En fait… …c’est totalement faux ce mal qui m’habite me cache la réalité. Autant je peux percevoir le monde qui m’entoure, autant je ne peux croire en mes Yeux.
Je dois trouver de l’aide, peut-être que la chamane saura m’aider.