...aaah.... Il as été long à pondre celui là. j’espère que vous l’apprécierez, il as été un vrai casse tête à mettre en place. mon cerveau veut imploser... possible que se soit parce qu'il est rendu 5h du matin et j'ai passer la nuit la dessus... meh...
Chapitre 10 les contes d’outremer
Notre écrivain en herbe ne savait trop où commencer
pour ce récit au titre bien particulier, voilà déjà deux semaines qu’il menait
des recherches sans qu’il n’y trouve rien d’utile hors mis que le papier de ces
pages semblait fait d’un papier bien plus épais que les autres pages. L’ancre
des autres pages s’étant principalement logé sur la tout première de ces pages,
elle en était complètement indéchiffrable. Les plies et déchirure causé par
l’humidité et le mauvais traitement finissait les rebords de ces quelques pages
jaunis par le temps et noirci d’encre. Chose apparente, le titre semblerais
fait d’un plaqué or Avec un grand ‘‘C’’ qui sous ces défauts semblait plutôt
bien travailler.
Suite à de nombreuse tentative de déchiffrer
les quelques lettres qui étaient encore visible, le manuscrit finit par rester
ouvert sur son bureau de travailler à vaporiser son odeur de bière séché. La
plupart des autres journalistes et travailleur du journal n’en portais pas
réellement attention, mais la réceptionniste elle en débâtait à chaque fois
qu’elle voyait cette ‘‘Ordure’’ comme elle l’appelait.
« Il est évident que tu n’en tirera rien,
Vint-elle à lui dire. Ce torchon est tellement crépus et salle que même les
mouche n’en veulent pas. »
En générale, Lucas ne bronche pas devant le
dédain qu’apporte cette œuvre dépravé, mais ces remarques constantes ont finis
par lui monter au nez et il quitta prématurément le bureau se jours-là. Bien
sûre, son père et patron l’appela pour demander ce qui se passait et suite à
leur conversation, il était déjà au pied de sa porte, un peu plus d’une heure
avant l’heure du repas. Il en profita donc pour texté à sa copine et mettre à leur horaires un soupé en tête à
tête qu’il prit soin de confectionner.
Cette soirée était particulière. Non pas
qu’il avait choisi de mettre le couvert pour deux, ni l’ambiance tamisé avec ce
Jazz dit Bigband des années des grande guerres qu’il affectionnait. Certes,
cela était une valeur ajouté, mais en ce soir, il voulait rattraper une journée
particulière qu’il na pue fêté avec celle qu’il aime. Celle-ci fit son entrée
dans l’appartement embaumé de fleur séché et d’une odeur de sauce velouté. Tout
étonné de cette tendresse dans l’air, elle lui demanda quel en était l’honneur
et notre gentleman lui répondit en l’invitant à s’asseoir :
« Je sais que tu ne voulais pas que
l’on fête la Saint Valentin, tu trouvais que c’était surfait et trop
dispendieux, mais en ce quatorze mars, je souhaite te souhaiter notre petite
Saint-Valentin à nous seul. »
Emma était aux anges bien qu’elle le
trouvait ridicule dans cette chemise rouge couvert d’un tablier à carreaux.
Tandis qu’elle sirotait la coupe de rosé fruité, il vint à servir deux portions
de gratin de poulet nappé d’une sauce tomates épicé étalé en filament et en
bain pour les viandes. Il n’échappa à personne que cette sauce était en fait
une sauce à tacos, mais le résultat était tout de même satisfaisant.
« Dit moi, demanda-elle. Bien tous ces
efforts, je te sens distant, qu’est-ce qui tracasse mon chou? »
En premier lieux, il vint à dire qu’il eut une
mauvaise journée au bureau, mais après quelques gorgées sa langue finit par se
dénouer et dans moment de grasse, il avoua qu’il avait du mal à ce distancé de
ces recherches.
« Ce soir, dit Mackay. Je veux oublier tout ça, je veux être avec toi. Fait moi oublier ce livre stupide. »
« Ce soir, dit Mackay. Je veux oublier tout ça, je veux être avec toi. Fait moi oublier ce livre stupide. »
Bien cette entorse, son souhait fut exaucé.
Ils passèrent une soirée agréable devant un filme interminable devant lequel
tous deux finirent par s’endormir.
Son réveille fut d’une surprise de se rendre
compte qu’il était désormais dans son lit et en pyjamas, ce qu’il n’a pas porté
depuis des lustres. Un bruis à la cuisine interpella et décida de ce levé. La
vision était idyllique. Sa douce prenait son déjeuner sur un tabouret, n’ayant
qu’une camisole et ces sous-vêtements, bercé les rayons du soleil. D’une main
elle écrivait et de l’autre, elle plongeait une cuillère dans un bol de
céréale. S’il avait pu, il aurait resté ainsi à la contempler indéfiniment,
accoté sur le cadre de porte avec ce délicieux thé. Mais plusieurs choses
n’allaient pas dans cette image. D’où elle sortait ces céréales et encore, d’où
sortais-t-il ce thé puisqu’il sortait du lit et l’avais déjà en main. Ces
questionnements fini par venir à l’attention de sa bien aimé et elle décida de
se levé et lui répondre :
« Tu rêves encore grand nigaud. Alice m’a parlé de ces rêves collectifs que le livre leur faisait faire. Difficile à digérer quand l’on ne la encore jamais vécus, mais je dois dire être excité par la suite. »
Lucas lui sourit et lui demanda comment elle
pouvait en être aussi sur. Elle vin à en rire et lui dire que la seule manière
d’en être sur serais de ce réveiller et elle ne le voulait pas.
« Eh bien, que l’aventure commence, lança
Lucas. »
En un tour de main, ils s’habillèrent et
sortirent. Une fois la porte franchie, ils se trouvaient seul sur un grand
navire de bois, dans un orage plus que violant. Une mer noire déferlait sur le
pont, arrachant le mat central, qui se perdit dans l’obscurité. Tous deux se
sont réveillés en sureau à l’aurore pour constater que cette fois ci, ils
n’auront pas cette histoire si facilement. La matinée pris un coures plus
normal après un déjeuner en règles et quelque conversation anodine, mais nul
n’osèrent parler de ces songes. Tandis qu’Emma plongeait dans un magazine,
notre jeune homme pris la direction de la douche, perdus dans ces pensées, ne
sachant pas s’il s’agissait d’un simple rêve ou belle et bien d’une de ces
magies qui auraient pu tourner au plus mal. Il finit son nettoyage matinal,
irrésolue de ces faits de la nuit passé.
Sa douces l’attendais à la sortie de à salle
de bain, le scrutant avec un sourire en coins.
« Il Reste de l’eau chaude, j’espère, demanda-t-elle amusé. Je dois aller au travail dans un peu moins d’une heure et je n’aurai pas le temps de faire l’allée retour chez moi. ...Ho, et je t’emprunte une chemise, un décolleté n’est pas très recommandé dans une pharmacie. »
« Il Reste de l’eau chaude, j’espère, demanda-t-elle amusé. Je dois aller au travail dans un peu moins d’une heure et je n’aurai pas le temps de faire l’allée retour chez moi. ...Ho, et je t’emprunte une chemise, un décolleté n’est pas très recommandé dans une pharmacie. »
Lucas, enrubanné dans sa serviette n’eut
aucune objection à ces demandes et une fois préparer, il vin lui porter une chemise
qu’il accrocha sur la poignée intérieur en passant simplement la main. Avant de
refermer la porte, elle lui dit merci et lança :
« Tu sais, pendant Ta douche j’ai regardé
dans le livre pour voir ce si je pouvais déchiffrer quelque chose et j’ai trouvé
un petit quelque chose d’intéressent. »
Surpris, lui demanda ce qu’elle put trouver
et lui dit d’attendre un peu. Quand il entra dans le salon, il ne put que
remarquer le bouquin qui étais désormais ouvert sur la table du salon avec des
feuilles gribouillis tout autours. Des dessins plus qu’autre choses selon lui,
mais il remarqua qu’une des feuilles en particulier avais délibérément été
hachuré dans son entièreté. L’on pouvait voir les strie et plis de la page sur
la quel elle avait été mise, mais aussi quelques lettres et mots qui avait été
vraisemblablement écrits de main ferme sur le papier. Des mots telle que navire
et maison sortais du lot en bas de pages.
Mademoiselle Jones finit par sortir de la
salle de bain prête pour sa journée et vin coller sa tignasse encore détrempé
sur celle de Mackay qui feuilletait ces esquisses.
« C’est un bon point de départs dit notre
jeune homme. Je peux déchiffrer quelques lignes en bas de pages et il
semblerait que ce soir écris comme un journal de bord. »
Dans les faits, il ne savait trop quoi en
faire, jamais il n’avait tenté décortiquer les textes de la sorte. Du moins, il
en a pas encore eut la réelle utilité pour le moment. La magie de la foraine
ayant toujours prévalue sur ces écrits. Emma afficha un sourire et pris un ton
espiègle :
« Attend, tu n’as encore rien vue! »
« Attend, tu n’as encore rien vue! »
D’un geste raffiné, elle prit une feuille
blanche et la plaça sur la dernière page du chapitre et y effleura un crayon,
laissant paraître tous les plis et défaut du papier, mais aussi les reste d’un
Sceau qui aurais été embossé. Un écusson avec un V renversé, bordé de ce qui
semble être deux oiseaux et une couronne au-dessus.
Lucas avait une petite idée d’où ils
pourraient trouver cette écusson et ils s’avaient fixé un rendez-vous pour une
rencontre en soirée avec un personnage plus que fascinant aux yeux de notre
chercheur. Le temps venus, ils partirent de leur côté, entamer leur journée de
travail. Journée plutôt banale pour notre couple. Encore une fois, Mackay avait
mis en désordre les archive du journal pour les numériser et notre demoiselle
offrit un service à la hauteur de
l’entreprise. Bien sûre, notre jeune homme ne manqua pas rechercher sur la
toile ou encore dans les livres pour cet écusson, mais il ne trouva que peu de
choses.
L’heure du repas arrivé, ils entreprirent de
se retrouver au café ou ils se sont rencontrer pour discuter, mais aussi pour y
retrouver leur camarades. Emma les retrouva attablée dans un coin ou se
trouvait notre écrivain avec nul autre qu’Ash et Alice en plein remue-méninge
avec ces dessins approximatif de cet armoiries. Ils avaient vites établie que
l’écusson avait non seulement un chevron, mais aussi que ce chevron devait
aussi avoir trois symboles situé à parts égale et trois autres placé en
contraste de parts et d’autre de ce V renversé.
« J’ai peut-être une idée, lança Alice après
un moment. Je sais qu’il y a un musée militaire au cœur de la ville, peut-être
qu’ils auraient des archives sur les blasons utiliser par les chevaliers du
royaume.»
Ils se regardaient les uns après les autres
sans rien dire de cette proposition moindrement probable. Le silence autours de
la table fut interrompu par les dires d’un homme :
« Faudrait-il encore que l’on identifie la
provenance de se dit blason. »
Un vieil homme à la posture chevaleresque avait sous la main de nombreux ouvrage enrubanné sous du cuire. Mathusalem avait forte impression sur ces dames par sa fougue et se charisme qui irradiait de sa personne. Le vieux libraire posa ces ouvrages sur la table et commanda sur le champ un café parfumé à la noisette. Il tendit la main vers mademoiselle Jones et Alice, se présenta brièvement de son surnom avant de mettre la main sur le croquis.
Un vieil homme à la posture chevaleresque avait sous la main de nombreux ouvrage enrubanné sous du cuire. Mathusalem avait forte impression sur ces dames par sa fougue et se charisme qui irradiait de sa personne. Le vieux libraire posa ces ouvrages sur la table et commanda sur le champ un café parfumé à la noisette. Il tendit la main vers mademoiselle Jones et Alice, se présenta brièvement de son surnom avant de mettre la main sur le croquis.
Lucas expliqua brièvement qu’il était en
quelque sorte un historien doublé d’un aventurier et possiblement un vestige
vivant des grandes guerres de ce monde. Les dames autours de la table le
dévisagèrent, le trouvent complaisent, voir effronté, absurde même. Avant même
qu’il puisse se reprendre de sa mal adresse, Ash rétorqua à mi- tons:
« Alice, il a connus la construction de la
tour Eiffel de son vivent. C’est son histoire que la sorcière nous as fait
connaitre en premier. »
Emma étais subjuguer devant ce qui pour la
moyenne des gens serait un non-sens, mais elle savait trop bien qu’avec ces
zigotos tout étais possible. Notre chercheur qui s’était attardé au décalque de
l’écusson embossé n’avait pas fait fi de la conversation et s’exclama :
« De tout évidence, ce blason est français. Cette forme arrondis à la base et ce dessus carré et plats est typique français, par contre, ça peut être n’importe quoi du baron a une ville... Au faite, ou avez-vous déniché ce relief? »
« De tout évidence, ce blason est français. Cette forme arrondis à la base et ce dessus carré et plats est typique français, par contre, ça peut être n’importe quoi du baron a une ville... Au faite, ou avez-vous déniché ce relief? »
Emma dit tout bonnement qu’il vient d’une
des dernières pages du livre des forains. Mathusalem resta sans mots devants
l’évidence de cette réponse. Par la suite, il se mit à jouer dans sa barbe
parfaitement taillé, tentants de se remémorer ou pouvait-il avoir vue cette
étendards chez les forains.
« Par dieux, mais c’est évident, repris
notre vieil homme. J’ai belle et bien vue cette armorie peinte à l’intérieur
des malles du directeur de notre cirque. Ce sont celle de l’un de ces
prédécesseurs, un monsieur De-Serres. Ha, j’ai bien peur de ne pas en savoir
beaucoup, sinon, qu’il fut l’un des fondateurs de notre cirque. Je sais par
contre qu’il était dresseur de fauve aussi. Le reste m’échappe.»
Il prit une pose pour gouter sa boisson
chaude et repris paroles, prenant par surprise la tablé qui croyait qu’il
n’avait rien de plus à dire.
« Si je me souviens bien, il se nommerais
Jule de Serres. Avant d’être dans le cirque, il était un aventurier qui
parcourait le monde pour un collectionneur de curiosités. Son patron ne
l’aurais plus supporté suite as une histoire de vol dont il était le premier
suspect et aurais fuie par-delà les mers avants de rencontrer celui qui fera de
lui un homme de cirque. En bout de ligne, j’en savait plus que je l’aurais crue
»
Ash qui avait gardé le nez rivé sur son
cellulaire repris la suite :
« Selon ce que je peux lire sur les internet,
il serait descendant d’un des premiers
agronomes au sens scientifique. Français de Villeneuve-de-berg… …mais bon, je
me perds dans les détails. Par contre, j’ai trouvé une gravure similaire et
d’autre en couleur! »
L’image était maintenant claire. Un denier
d’argent sertis de trèfles et d’étoiles dans un chevron bleu. Tans de recherche
pour une si simple image, mais pour aussi peu d’histoire. Né-en-moins, la
soirée fut captivante. Parsemé de rire et des récits de parts et d’autres. Les
heures passèrent et notre couple retourna à l’appartement de Mackay, entrelacé,
amoureux, endormis.
Les songes s’annoncent sombre et sévissent
sans prévenir. Tous deux reprirent conscience de leurs états, affalés sur le
sol détrempé du clipper, dans cette tempête déchaîné. Ces furies n’on durer
qu’un moment qui pourtant semblait une éternité pour nos survivants. Emma avait
remarqué que ce n’était que le début. En effets, ils étaient dans un interstice
et ce qui s’annonçait, semblais de loin plus mouvement. Un autre détail qui
n’échappa à nos aventurier, c’est l’absence d’équipage et plus étrange encore,
le fait que des récifs tenais la structure en place, les vagues fouettent la
coque avec violence, rendent l’échappatoire plus que difficile. Un déferlant
vin les pousser au abord du pont et apercevaient qu’un cordage menais jusqu’à
des pierres sur une plage parsemé de débris. Ces débris provenaient du navire
ou ils se trouvaient.
Sans hésitation, mademoiselle Jones
entrepris de descendes dans cette échelle de cordes suspendue au-dessus de ces
flots, laissant sans mots Lucas qui aurait préférer tenter sa chance dans les
quartiers du navire. La descente fut difficile et épuisantes, les menant sur
ces rivages fouettés par ces eaux salées.
Ils atteignirent la crête de sable à bout de
souffle pour n’y découvrir qu’encore plus de sables et des tentes de toiles
blanche, déserté et passablement déchirer. Nos amoureux n’en pouvaient plus,
ils devaient se reposer, et cet endroit semble tout indiqué pour se faire.
Lucas ferma les yeux et dans l’espace de
ce qui lui semblait un instant, le matin était arrivé. Le vent chargé de sables
fouettait la toile en cette journée grise quand des pas se firent entendre
suivit d’un soupire de découragement. Lucas sortis la tête de leur abris de
fortune pour surprendre un homme qui fouillait dans les débris au côté d’eux.
L’homme semblait lui aussi avoir vécus sa
parts de péripétie. Il portait à sa taille une vieil lame et ces vêtements
amples étaient déchirer aux genoux et son par-dessus était bien usé. Hors mis
ces détails, sa barbe était faite, arborant qu’une moustache naturelle
s’accordant avec ces cheveux en batailles.
« Qui diable êtes-vous, demanda-il en se
mettant en garde. Que faite vous dans mon abris? »
Au fond de la tante, notre inconnu aperçut
le visage d’Emma qui semblaient terrifier par sa lame qu’il pointait vers Lucas.
Voyant qu’ils n’étaient pas une menaces, il baissa sa garde et offrit des
excuse à notre couple et demanda ensuite ce qu’ils faisaient dans ces lieux.
Lucas dit évasivement que le hasard les as conduits ici. Notre inconnu regarda
Mackay, le visage sans expression avant de rengainer son arme et dire :
« Cette explication me semble douteuse, mais
qui suis-je pour vous demander de vous justifier… Si vous êtes ainsi pris à
dormir dans ce taudis c’est que nous en sommes au même point. Prenez ce que
vous pouvez, nous remonterons la plage vers le nord, Il n’y as rien au sud sur
une bonne journée de marche sinon que des récifs. »
« Et dans les terres demanda Emma qui sortis
à son tours de l’abris. Il n’y aurait pas… »
Elle rasta sans mots, réalisent qu’ils
étaient face à des montagnes désertique. De l’autre côté, l’embarcation avait
laissé place à un amas de planche brisé entre les récifs.
Après une préparation sommaire, ils
partirent. Emma pris les devants avec cette aventurier pour lui poser quelques
questions. Il se définissait comme un aventurier et le navire sur lequel ils se
trouvaient fut aborder par des pirates et une bonne partie de l’équipage
décimé. Le reste, ont disparue lors d’un orage qui les mena sur ces récifs.
Lui, il survécut en se terrant dans la cabine du capitaine.
Lucas qui écoutai en retrais finit par les
rejoindre en lui demandant s’il n’était pas le chasseur de trésor nommer Jules
De Serres sachant trop bien qui il était et presque aussitôt, il dénia ces
faits.
« Allons donc, reprit notre protagoniste. Je suis sure que vous êtes de sa trempe, de plus, je sais reconnaitre les grand hommes de ce monde quand j’en vois un, même s’ils ne le veulent pas. »
« Allons donc, reprit notre protagoniste. Je suis sure que vous êtes de sa trempe, de plus, je sais reconnaitre les grand hommes de ce monde quand j’en vois un, même s’ils ne le veulent pas. »
Encore une fois, il dénia ces dires bien
qu’il ne pouvait cacher une certaine fierté. Leur conversation prit fin en ce
moment car un cavalier les approcha par la crête devant eux. Ce dernier les
somma de le suivre. Le trajet fut plutôt étrange, dans un silence pesant, mais
aussi un certain soulagement quant à savoir qu’ils trouveraient enfin la
civilisation.
Notre trio fut amené aux portes d’une grande
propriété au cœur d’une cité portuaire. Cette porte menait dans la cour
intérieure d’une maison fortifier. Ce Riad étais verdoyant, contrastent avec
les côtes de ce pays. En bout de ce jardin se trouve un salon décoré de
plusieurs tapis dans lequel se trouvaient un homme bien fortuné et quelques
hôtes plutôt curieux de notre arrivée. Notre aventurier remercia ce jeune
fortuné pour son hospitalité et celui-ci nous offrit de s’asseoir à sa table.
C’est avec réserve qu’Emma pris place en premier, assisté du serviteur qui
l’attabla.
Un repas fut servis dès que nous étions
assis et le jeune fortuné nous demanda notre histoire disent que nul étaient
ordinaire les naufragés ou perdus dans le désert. Après un silence Lucas se
décrivit comme ce qu’il est, soit un écrivain qui parcoure le monde à la
recherche d’histoire et de péripétie avec sa compagne. Il expliqua qu’il perdit
son matériel pour écrire, dans le naufrage.
« Et sans armes, demanda le berbère. Comment
faites-vous pour vous défendes contre ceux qui vous veulent du mal? »
Sans hésiter, Emma repris :
« Il ni as pas plus grande valeur pour les gens
que d’être connus dans le mondes par des récits. Cette gloire intemporel n’est
pas à discuter pour plusieurs. Pour les autres, les ruses et les bons mots sont
de mise. »
Sans le savoir, elle avait causé un émoi
chez ces résidents pour avoir osé la parole, mais notre hôte n’en fit pas de
cas et s’exclamât par un rire, comprenant une tactique de maître dans ces mots.
Il avait conclus à cette éloquence qu’une
conversation plus poussé serait comme chercher des fleurs dans in jardins.
Ainsi donc, il se retourna vers l’aventurier attendent qu’ils disent enfin
quelque chose. Sans prétentions, il s’en tenait à ce qu’il avait dit à notre
couple d’un air penaud. Suite à ce récit, Lucas le relança :
« Allons donc, je sais que vous êtes plus
qu’un pauvre marin. Ces déboires ne sont qu’un mauvais moment de votre
aventure. Je le sais, je le sens. »
Notre écrivain marqua une pose pour le
regarder dans les yeux et reprendre:
« Ou peut-être que vous êtes au début de l’une de vos plus grande aventure. Jules…»
« Ou peut-être que vous êtes au début de l’une de vos plus grande aventure. Jules…»
Embarrassé, l’aventurier quitta la table
sans dire un mot, ce qui eut pour effets de déplaire notre hôte et ordonna au
dresseur de l’interpeler devants la porte. Ce dernier fit avancer une lionne
qui le fixait en attente d’ordre. Lucas fondait dans son malaise, croyant qu’il
avait tout ruiné, mais mademoiselle Jones, elle, restait confiante.
« N’oublie pas qui il est, dit-elle. Il ne
peut que s’en sortir, sinon nous ne serions pas ici. »
Sur ces mots, Jules avança vers le fauve et
caressa ces bajoues comme s’il ne s’agissait que d’un gros chat et pris la
laisse de la main du dresseur surprit avant de retourner vers la table avec la
bête nonchalante, terrifiant les autres invités. Le jeune berbère qui était
stoïque vin à lui dire :
« Le jeune homme à eut raison sur une chose.
J’ai une grande aventure pour vous… »
Une discussion s’en suivit la nuit durent,
aboutissant à l’accord qui mena à la création du cirque. Nos deux amoureux
voulurent s’éclipser pour la nuit quand Jules leur demanda d’un ton quelque peu
alcoolisé:
« Vous ne restez pas? J’aurais espéré vous trouver dans notre équipe. Vos écrits ne se perdront pas avec nous! »
« Vous ne restez pas? J’aurais espéré vous trouver dans notre équipe. Vos écrits ne se perdront pas avec nous! »
Lucas refusa l’offre et dit qu’il devra
retourner chez lui pour écrire. Après quelques échanges de paroles en toutes
bonne foi, il vint à lui dire qu’il garderait une enveloppe de son histoire
pour lui dans qui luis donneras une quand ils se rencontreront de nouveau en
Angleterre.
« Je
la mettrez dans une enveloppe à l’épreuve de l’eau, dit l’aventurier. Ainsi, ni
les vagues ni les naufrages ne l’effacera. »
Sur ces mots, ils se souhaitaient la bonne
nuit et reprirent leur chemin respectif vers une pénombre douce et chaude.
Ainsi nos deux tourtereaux se réveillèrent dans une matinée tout aussi douce.
« Bon matin mon amour, dit Emma. Tu as fait
un beau rêve toi aussi? »
Lucas sourit et la caressa sur la joue en
lui disent:
« Oui, J’ai rêvé de toi et moi. D’une belle
aventure avec Jules De Serres… »
« Et Mathusalem, reprit Emma. Je l’ai
reconnu dans les invités de la sale. »
Notre amoureux ne l’avait pas noté de prime
à bord, mais son souvenir de lui était tout aussi limpide que celui de sa
douce.
« Les cheveux blanc en moins répondit-il.
Peut-être même moins de barbes… …l’enveloppe! »
Sur ces mots, ils se levèrent et accourût vers
le bouquin, espèrent trouver une enveloppe caché, mais en vain. Aussi
inimaginable que cela puisse paraître, les gitans lui ont envoyé l’enveloppe de
jules par la poste et il la resservit ce matin même, suivit d’une courte notice
d’Amanda disent qu’elle comprit que tard que cette lettre lui revenait.
Cette enveloppe de papier ciré contenait une
lettre de jules qui lui parlait comme un vieil ami. Ces mots étaient tendres et
empreint de sérénité. C’était les mots d’un vieil homme qui savourait son retirement
avec celle qu’il a toujours aimé. Une histoire qui n’était pas de ce livre,
mais surtout un grand merci. Merci pour avoir changé sa vie pour le mieux.
Les jours se suivirent et la Foraine appela
enfin, ce fut un soulagement pour tous deux d’entendre et dire ce récits. Amanda
le félicitait de ces péripéties et de cette reconstruction des récits avant de
dire qu’il reste encore un texte :
« Certain d’entre nous ont fait d’horrible
chose as ce livre. De ce fait, un des récits a été arraché de notre grand
livre. Soit par jalousie ou haine, mais ces conditions ne sont pas claire. Seul
chose que je sais, c’est le titre. Légende du ciel. Je t’offre jusqu’à notre
retour au pays pour l’écrire. Sur ce, je te souhaite bonne continuité. »
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