Enfin, terminer! J’entame le chapitre 8 dés demain en espérant le finir pour lundi au plus tard. Bonne lecture!!!
Chapitre 7, La jeune femme et le colt
L'hiver
s'installe et les gens se côtoie dans l’indifférence et
l'aveuglement de leur quotidien. Comme tout le monde, Lucas regardait
le temps des fêtes qui s'installait peut à peut dans les boutiques
et restaurent de Londres. Encore une fois, ce temps de réjouissance
lui laisse lui laissait tout autans de fébrilité que le malaise de
le passer encore une fois seul avec son père et probablement quelque
collègue de travail. Une situation des plus insoutenables pour
quelqu'un qui n'aimait pas festoyer comme le pourrait faire les
autres. Il se sentais désormais loin de ces beuveries de l'été
passé.
Déjà
le dix Décembre et aucune nouvelle de cette jeune femme ou encore de
ces jeune amis. Comme s'ils avaient disparue, ce qui n'étais pas
tout à fait faux. L'une des plus grandes crainte de Lucas étais de
ce voir dans l'aventure à la veille du jours de noël, mais l'une
des choses les plus improbables devait se produire ce jour-ci.
Après
une rude journée de travail à classer des document au archive, en
remplacement de l'un de ces collègue; Il fut surpris de découvrir
une jeune demoiselle qui attendait dans son appartement. Celle-ci
devais avoir pas plus de quatorze ans et de tout évidence elle avait
crocheter la serrure pour y entrer. La fille étais allongé sur le
parquet, immobile avec l'énorme livre des forains ouvert au dessus
de la tête. Notre écrivain voulu appeler les autorités quand la
demoiselle l'appela par son nom. Une voie si faible. Lucas retira le
livre qui couvrait le visage de la jeune fille pour y découvrir ce
qui lui étais qu'un rude souvenir. Une connaissance, peut-être
simplement une rencontre au hasard des rues.
« Tu ne me reconnaît pas, affirmais la jeune fille déçu. C'est moi, Abigail. »
« Tu ne me reconnaît pas, affirmais la jeune fille déçu. C'est moi, Abigail. »
Bien
ces mots, notre gentlemen n'arrivait toujours pas à cerner son
identité. Serte le nom lui étais familier, mais sans plus. Il la
regarda dans ces yeux d'un bleu brillant comme le ciel et ces taches
de rousseur rappelait soudainement son d'enfance. Quel ressemblance
remarquable pensait-il. Elle étais à l'image de sa grande sœur.
Elle les laissaient sans nouvelle d'elle depuis qu'elle partis de la
maison familial pour étudier en Italie, sinon que les rare messages
qu'elle laissait Sur sa page web.
« Pourquoi est tu venus ici, demanda-il froidement. Est-ce que Marie sait que tu est ici? »
« Pourquoi est tu venus ici, demanda-il froidement. Est-ce que Marie sait que tu est ici? »
Un
sourire se forma sur le visage de la petite et elle le pris dans ces
bras, les larmes aux yeux. De tout évidence, elle avait vécus un
enfer. Il ne savait quoi faire, sinon que de caresser sa chevelure
bouclé. La soirée s’annonçait longue et pour une raison qu'il
n'arrivait à s'expliquer, il ne tenta pas de rejoindre sa sœur, ni
son père, bien qu'il se disait que ce saurait la chose à faire.
D'un autre côté, il voyait bien qu'elle était épuisé. Pour ce
soir, elle serait son invité.
C'est
sous un aire de jazz doucement infuser au décor qu'il prépara le
soupé pour deux. Et il lui vin une idée pour
«
Dit moi Ade, me permettrai tu que je t'appelle Abe? »
Elle
hocha de la tête et il continua :
«
Jouons à ni oui, ni non. L'on se pose des questions à tours de
rôles, compris? »
Sans
réfléchir, elle répondit oui avant de se reprendre en disent
qu'elle avait compris. Lucas commença :
« Tu
aime les tomates? »
«
Beaucoup, répondit-elle. Tu fait des macaronis à la viande? »
«
Macaronis gratiné au tomates et basilique pour être exactes... Je
n'ai pas l'habitude de cuisiner, alors j'improvise. Ma sœur à
parler en bien parler de moi j’espère? »
« En
quelque sorte. Est-ce vrai que tu portais son maquillage? »
Lucas la regarde découragé :
« C'est elle qui me maquillait avec ces amis. Je vois qu'elle na pas manquer de me faire passer pour un phénomène de foire...»
« En
fait, j'ai un peut changer ce qu'elle m'avais dit. Est-ce que c'est
vrai qu'elle t'avait briser le pouce par accident avec la porte? »
«Hé,
c'est a mon tours de poser une question! C'est arriver, en effets,
c’était avec la portière de la voiture de ton grand papa.
Alors... A tu pris le tunnel sous la manche pour venir à Londres? »
Elle baissa les yeux avant de répondre :
«J'ai pris le ferry...»
Lucas
fronça les sourcil et lui demanda si sa mère étais au courent.
Elle lui répondit avec empressement que sa mère la crois encore en
sortie avec ces amis, quel devait-être de retour dans une semaines.
Encore une fois, Il lui demanda comment elle étais parvenus à
Londre et avec tout l’innocence que l'on pourrais prêter à une
fille de son âge, elle dit qu'une vieil dame la prise en auto-stop.
« Ne
te rend tu pas compte, lança Lucas d'un air furieux. Elle aurais pue
te kidnapper ou pire encore! »
Elle
le regardait avec le même air moqueur que sa maire avait à
l'époque :
« Quel me viole? Franchement... C'est plus elle qui aurais dure crainte de moi. »
« Quel me viole? Franchement... C'est plus elle qui aurais dure crainte de moi. »
Sur
ces mots, Lucas ne pue s'empêcher de la comparer à sa mère
tellement elle se ressemblait en tout point et elle étais l’oins
d'apprécier.
« Ne
me compare pas à elle! Je veut que l'on arrête de me parler d'elle!
»
Sur
ces mots, l'on sonnai à la porte. La vieil dame qu'Abe parlait vin
s'assurer que notre héroïne était entre de bonne mains. Celle-ci
se courbais sous le pois des années et de tout évidence, elle
n'étais pas très mobile. Suite à une courte conversation, elle
repris la route avec pour demande que l'on lui donne des nouvelles
sur ce qui suivrait, promettant de repasser. Une fois attablé, Abe
demanda :
«
Alors, est-ce qu'on mange? »
Lucas
répondit promptement oui et il n'en fallut pas plus pour décrocher
un sourie à la demoiselle.
«Tu
as perdu!»
Tout
deux éclata de rire et commença le festin. Pour une des rare fois,
Notre écrivain passa la soirée devant la télévision, question de
se changer les idées. Ce soir là, elle bivouaqua sur le canapé.
Entre temps, Lucas tentas d'appeler sa sœur en vain. Il finit par se
dire qu'il étais tard et qu'il devra l'appeler le lendemain.
Une
fois coucher, il entendit ces mots dans ces rêves :
«
Trouble sont les songes pour celui qui voit sa vie changer. »
Le
décor se mettais en place. Un western, un revolver et une dame tout
de blanc vêtus. Puis, un bruits le sortis des bras de Morphée. La
petite faisait des cauchemars et grouillait continuellement. Ce fut
ainsi la nuit durent.
Au
petite heures du matin, tout deux étais réveiller, l'un par souci
du travail, l'autre par le bruits.
«
Mon oncle, Fait moins de bruits... j'ai mal à la tête. »
Le
sons des céréales frappait le fond du bol ce qui semblait être
aussi bruyant qu'un orchestre pour la jeune fille.
« Ne te replonge pas dans tes mauvais rêve, dit Lucas. Aujourd’hui, tu viens voir ton grand-père au travail! »
« Ne te replonge pas dans tes mauvais rêve, dit Lucas. Aujourd’hui, tu viens voir ton grand-père au travail! »
Sur
ces mots, elle se leva et vin s'asseoir sur l'un des tabourets. Les
yeux brouillé, elle commença à peine à distinguer les chose
qu'elle commençait à manger son déjeuné mollement. Tout deux
prirent amplement de temps de commencer la journée, quitte à
arriver en retard au travail, car; comme Lucas n'en doutait, ce fut
une surprise plus qu'agréable pour son père d'enfin connaître sa
petite fille. Tendis qu'elle étais avec William, notre jeune homme
tenta d'appeler, sa sœur, Marie et encore une fois, il se heurta à
une boite vocale. Cette fois-ci, il laissa un message dénonçant la
fugue de sa fille et ou elle était. Le bureau de l'archiviste, que
Lucas remplaçait; était un drôle de mélange entre deux monde.
D'un côté, il y avait des classeurs avec des centaines des pages de
journaux classer par date adosser à un bureau en ordre avec une
dactylo, faisant office de décoration, de l'autre, l'on pouvait y
voir un ordinateur beige avec un serveur web et une table de
photographie pour numériser les vieil reliures.
Au
grand bonheur de Lucas, les lieux étaient insonoriser et à l’abri
des regards.
« Je
vais piquer un sommes, je n'en peut plus...»
Affalé
sur le bureau, il pue reprendre son rêve de l'ouest américain...
Malheureusement, les rêves ne sont que traîtrise pour ceux qui
cherche les images car ces dernier ne se nourrisse que du
subconscient et non de la pensée active. Cette fois, le visage de la
femme en blanc lui parus clairement. Elle étais en pleur et ces
lèvres avait beaux s'ouvrir et se fermer, rien n'en sortais ni
paroles, ni bruits. Soudainement, elle se retourna effrayé et Lucas
Sorti de sa torpeur. Avants ou pendent son sommeil il avait noter
quelque chose au creux de sa main. Trois mots. Ils me chassent. La
porte du bureau s'ouvrit soudainement.Sa nièce entra accompagner de
son William, concluent la fin d'une visite de l'établissement.
«Bon! mon cher, dit le patron; Je te laisse avec la petite. Prend congé pour la journée pendent que je règle cette histoire en quelque sorte. On se reparle ce soir! »
«Bon! mon cher, dit le patron; Je te laisse avec la petite. Prend congé pour la journée pendent que je règle cette histoire en quelque sorte. On se reparle ce soir! »
Le
regard de Lucas bifurquas rapidement vers l’horloge avant de
répondre :
«
Bien... allons dîner. »
Tout
deux convenus à l'idée d'aller dîner à l'appartement et l'oncle
et la jeune fille en prirent le chemin
de
l'appartement. Le repas comme l'après midi fut d'une simplicité.
Craquelin et chocolat chaud les accompagnait tendis que du jazz se
faisait entendre tendis que tout deux étais plongé dans leur
lecture. Lui dans un Roman, elle sur son téléphones. Le Salon étais
leur sanctuaire que seul la musique pouvait briser le silence. Vue le
calme, il finirent pas s’assoupir, elle au bras de son oncle, lui
un doigt entre les pages de son roman en guise de signet.
Le
songe revins encore une fois et cette fois-ci, La jeune Abe
l'accompagnait. Le décor étais légèrement différent cette
fois-ci. Ils se trouvèrent dans un salons tout en boiserie, assis
sur une causeuse capitonné. La sales étais peupler de quelques
personnes dont la fameuse dame en blanc. Voyant que Lucas
l'observait, Abigail lui demanda qui pouvait bien être cette dame.
«
Elle est celle pour qui nous somme ici répondit-il. Je dois
apprendre à la connaître, connaître son histoire. »
Sur
ces mots, notre jeune fille crue entendre un plaidoyer d'amour. Elle
s'en sentais bouleversé et c'est avec des étoiles plis les yeux
qu'elle lui répondit :
« Alors, n'hésite pas! Elle n'attend que toi. »
« Alors, n'hésite pas! Elle n'attend que toi. »
Ces
mots laissait perplexe notre écrivain, mais il ne put placé un mots
qu'elle le mena à sa rencontre. La dame engagea la conversation
directement en lui demandent qui il était. Seul son nom sortis des
lèvres du jeune homme qui était abasourdis par cette voie volupté.
« Hé
bien, mon chère Luke, Répondit-elle. Sache que je ne suis pas une
femme à qui l'on peut faire la coure si facilement. »
« Ho
mais mon intention n'est pas de vous séduire, lui répondit Lucas
après avoir repris ces esprits. Ce que je veut connaître de vous,
c'est votre histoire. »
La
dame semblait surprise de son accent et de sa voie délicate. Pour ne
pas laisser transparaître ces émotions, elle lui tourna le dos et
répondit :
« Il vous faudra bien plus que des mots pour me séduire étranger. »
« Il vous faudra bien plus que des mots pour me séduire étranger. »
Suite
à ce, elle pris son chapeau et alla vers la sortie. Lucas, ne savant
pas trop quoi faire, se retourna vers sa nièce qui les regardait.
Celle-ci, avait les yeux rond face au manque d'initiative de son
oncle.
«
Mais qu'est-ce que tu attend? Suis la! »
Quand
Lucas se décida à suivre la dame il la voyait chevaucher au loin
tendis qu'un cheval attelé lui étais tendus en guise d'invitation.
Bien qu'il n'avait jamais chevaucher, il tenta tout de même sa
chance sur l'animal. Cette balade dura jusqu'au couché du soleil.
Ils avaient passer de loin la plantations et s'était aventurer sur
la voie du chemin de fer, en route vers une cité en bord de mer.
Tendis qu'elle attachait son cheval avant d'entrer dans le saloon
adjacent, elle lui demanda pourquoi il la suivait et il répondit
avec un souffle écourté :
« hé bien, je crois que mes propos ont été claire, non? Mais vous, de qui fuyez-vous? »
« hé bien, je crois que mes propos ont été claire, non? Mais vous, de qui fuyez-vous? »
« De
mon marie, dit elle sans hésiter. S'il vous prenait à me suivre, il
aurais tôt fait de vous pendre. »
Lucas,
avec un sourire en coins lui demanda :
« Il
est donc si mauvais votre marie? »
Sur
cette question, elle avança vers lui et le saisi par le visage pour
l'embrasser tendrement qui enflamma le cœur de notre homme d'un
amour grandiose. Passé cette flamme, il compris en ce moment que le
piétinement derrière lui ne pouvait-être que la monture de son
soit disent marie.
« Je
suis désolé, dit la Abe tout penaud. Je ne pouvait pas savoir... »
Lors
qu’il se retourna, il vit sa nièce prise au piège par le
corpulent personnage qui la tenais en joue de son révolter. Sa main
étranglait presque la jeune fille qui gémissait a chaque fois qu'il
la secouait.
«
Pousse-toi Darling, dit l’odieux personnage. C'est entre moi et ce
connard! »
La
dame en blanc se déplaça sur la gauche, s'écartant ainsi des
foudres de son marie. Notre écrivain étais subjuguer.
«Vous
n'allez qu'en même pas tirer sur un homme désarmé, s'exclama
Lucas. »
Cette
ordure eut un rire malsain avant de pointer son arme en sa
directions, puis; un coup de feux retendis. La scène semblait être
cristallisé dans le temps pour un moment puis l'homme corpulent
baissa son arme. La dame avait en main un revolver fument. Elle
venait d'abattre son marie d'une balle sous l'aisselle, le laissant
mollasse sur sa monture. Abigail n'eut qu'à le pousser au sol pour
s'en défaire; soulagé, mais aussi traumatisé par les faits.
«
Qu'allons nous faire maintenant, demanda Abe. Je veut rentrer. »
La
dame resserrait son arme tendis qu'elle disait :
«Une
chose est sure, nous ne pouvons plus rester dans la régions. »
Tendis
que la jeune fille tentais de descendre de la monture, la dame vin
l'aider et lui remis une broche en argent lui disent de rester forte,
quoi qu'il arrive. Cette petite broche avait en son centre, une
pierre bleu et une inscription à l'arrière. Lucas, de son côté;
avait arrêter son regard sur une affiche fraîchement poser. Le
cirque était en route.
Bien
qu'il aurais voulu que ce rêve continue, La sonnerie de la porte
retentis, sortant tout deux de leur torpeur. Il étais maintenant
passer quatre heures du soir et le soleil se couchait. La sonnerie
retentis une seconde fois et Lucas alla ouvrir la porte pour y
découvrir la vieil dame qui avait amener sa nièce jusqu'à Londres.
«
Bonjour jeune homme, Je viens voir si tout va bien avec noter petite
aventurière avant de repartir de Londres. »
Par
courtoisie, Lucas l'invita à entrer pour prendre le thé, ce qu'elle
accepta volontiers. Lucas prêtas l'oreille à ce que se disait les
dames tendis qu'il préparait les boissons chaudes.
«
Jeune fille, je sais que vous êtes plaine de courage, mais je
souhaite vous faire parts d'un petit présent. »
La vieil dame plongea ces main dans sa sacoche, cherchant quelque chose.
« Je sais que ce qu'il s'en viens pour vous risque d'être très difficile, alors, j'aimerais vous offrir une amulette que ma grand-mère m'offrit quand je vécus des moments difficile à mon tours. C'est peut de chose, mais elle donna le courage nécessaire au dames de notre famille depuis des générations. »
Lorsque la vieil dame sorti les mains de la sacoche, Abigail vit la broche d'argent qui de tout évidence avait vécus de meilleur jours.
La vieil dame plongea ces main dans sa sacoche, cherchant quelque chose.
« Je sais que ce qu'il s'en viens pour vous risque d'être très difficile, alors, j'aimerais vous offrir une amulette que ma grand-mère m'offrit quand je vécus des moments difficile à mon tours. C'est peut de chose, mais elle donna le courage nécessaire au dames de notre famille depuis des générations. »
Lorsque la vieil dame sorti les mains de la sacoche, Abigail vit la broche d'argent qui de tout évidence avait vécus de meilleur jours.
«
J'ai rêver à cette Amulette dit Abe. Une Cowgirl me la donna! »
Intriguer la femme d'âge mure demanda de connaître le récit de la jeune fille et sur cette demande, elle déroula le récit de son rêve avec précision, de son point de vue.
«
Mais je connais cette histoire, s'exclama la vieil dame. C'est un
récits qui est dans ma famille depuis des générations l'histoire
de Lady Margaret. Elle voyageait avec accompagné de son oncle,
Docteur Luke Johnson. Ils ont traverser l'Amérique ensemble. Suivent
le grand cirque. Le sort voulu que le docteur et la brigande se
fiancèrent Tendis que Margaret retourna en Angleterre. »
Lucas
vin au salon avec la coutellerie, demandant qu'étais-il
arriver par la suite avec le couple. La dame lui répondit :
«
Bien, l'on dit que le docteur devin soigneur. Après quelques années,
il mourus de la fièvre et sa femme disparue dans la nature. Si je ne
m'abuse, elle s’appelait Johannes. »
Ce
moment fut magique pour Abe qui, dés ce soir, chérissait cette
broche avec le plus grand soins. Le lendemain, elle choisi d'appeler
sa mère pour s'expliquer. Elle ne pouvait supporter que sa mère
remplace son père avec le premier venus. Les mots firent place à la
colère puis aux pleurs. Lucas voulu se faire réconfortant, lui
disent de se rappeler que que lui avait dit Johannes, de rester forte
quoi qu'il arrive.
«
Comment tu sait ça, demanda Abe. Je n'ai pas parler de ces mots
qu'elle m'avait dit. »
Lucas
la regarda avec un sourire et l'impression d'être démasque.
«
Bien, Disons simplement que j'y étais moi aussi... et ne m'appelle
pas Luke s'il te plais. »
Ces
mots conclus le début de la nouvelle Abigail. Elle voyait
maintenant la magie qui l'entourait. Elle croyait maintenant en elle
et croyait finalement qu'elle pourrait passer au travers du divorce
de ces parents. Ainsi, a la veille de noël, notre petite héroïne
pris la décision de retourner et pardonner sa mère. Lucas, lui;
pris comme engagement au près d'elle et de sa sœur que si Abe le
désirait, il pourra l’héberger si elle ne se sentais toujours pas
bien avec sa famille.
Le
calme étais maintenant revenus chez lui et la douce qu'il avait tans
aimer dans cette aventure est retourner à l'état de songe, mais
jamais il ne pourrais l'oublier. Une trace indélébile étais faite
sur son cœur et il cherchait sans cesse cette voie, se visage... Son
temps des fête en fut que morne sans elle et ses journée au travail
en étais constamment affecté. Distraits, lunatique, ennuyé. La fin
du mois arrivait et son dernier jours de travail de l'année se
terminait. Les rue était couverte d'un tapis blanc et les commerces
affichait leur dernière offres. Sur le chemin du retour, il s'arrêta
au café pour y séjourner dans ces rêveries. Après quelque
instant, Il l’aperçu qui rentra dans l'établissement, vêtus d'un
chandail de laine blanc et touffus. Elle commanda un chocolat chaud
puis alla s’asseoir seul à une petite table en retrait. Sans
attendre, notre jeune homme alla s’asseoir avec elle.
« Pardon, est-ce que l'on se connais,
demanda-elle. »
A lui de répondre avec sourie :
« Non, mais je le souhaite. »
C'est
ainsi qu'une conversation passionné commença...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
N'oubliez pas de signer Anon!