( Chapitres antérieur )
Chapitre 15, Chaman
Je ne sais pas comment j’au pue parvenir à la retrouver,
seul chose que je sais, c’est que j’y suis. Une odeur Âcre me remplit le nez tandis
que je recommence à y voir plus clair. Mes poumons brûlent comme si j’aurais
couru un marathon. Mes empruntes noir de je ne sais trop quel matière montrent
que j’ai erré dans les alentours comme un animal en recherche de sa proie.
Possiblement que cette encens m’ai réveillé de cette transe possiblement
dangereuse.
La porte d’un blanc immaculé semble être celle où je dois
aller. J’entrebâillais la porte pour y entendre les pleurs d’une dame d’âge mûr.
Elle tenais d’une main une photo et de l’autre, un revolver qu’elle tendais vers
moi. Tu as tué mon fils, s’écria-elle hargneusement avant de décharger son arme
sur moi. Je fermai les yeux en espérant que cette douleur m’emporte avec le mal
qui me déchire, mais il en était rien. Quelque instant à peine et j’étais de
nouveau moi-même, sans marque de d’impact sinon que le sang et les trous sur
mes vêtement déjà en lambeaux. Je ne sais pas s’il s’agissait de ma propre
pensée ou celle de la bête, j’ai du mal à compatir. Seul l’amertume de m’être
fait tirer dessus me venais. Je me suis approcher d’elle et m’agenouilla devants
elle :
« Fait sortir ce monstre de moi. Je ne sais pas comment
le retenir, je ne sais pas l’arrêter s’il est en moi. »
La pauvre étais terroriser, je ne savais pas quoi lui dire de plus et elle semblait paralyser de peur. Je suis donc resté ainsi quelque longue minutes avant de me demander si j’étais maintenant plus serein? À ma propre surprise, je devais avouer que oui, c’était comme si ces lieux ou cette magie me permet de retenir ce monstre.
La pauvre étais terroriser, je ne savais pas quoi lui dire de plus et elle semblait paralyser de peur. Je suis donc resté ainsi quelque longue minutes avant de me demander si j’étais maintenant plus serein? À ma propre surprise, je devais avouer que oui, c’était comme si ces lieux ou cette magie me permet de retenir ce monstre.
« C’est bien ce que je croyais, dit-elle. Il y a bien deux
esprits dans ce corps si ce n’est plus et seul toi peux être emprise par la sérénité
que mon incantation inflige. Autrement, tu souhaiterais que fuir ces lieux. »
Elle se leva et pris une corde de chanvre :
« Je sais quoi faire, repris-elle. Mais ce ne saura pas de
tout repos. Si nous voulons tuer ce mal, nous devrons l’extraire et pour ce
faire, tu devras mourir une première fois, comprends-tu ce que j’insinue? »
C’est quelque peu ironique de me dire de telle chose considérant
que je viens de survivre à mon propre meurtre sans aucune égratignure. D’un
autre côté, je n’ose imaginer ce qui m’attend. Je consentis à ces demandes bien
que je crains cette souffrance à venir.
« Il n’y a pas de temps à perdre, dit la chamane. Ce sort de
paix ne durera pas éternellement. Je dois t’attacher sur cette table pour commencer
l’extraction. »
Je m’y allongeai donc, elle m’attachât par les chevilles,
les poignets et la gorge. Je n’avais de cesse de me demander comment ai-je pu
tuer son fils, je n’ai eu aucun souvenir ressent de ce lui. Oui, serte la
dernière fois que je suis venus la voir, mais jamais je ne l’ai vue depuis et je
dois dire être tracasser par ce pans d’histoire qui me manque. Sans que ces
mots sorte de ma bouche elle commença à me parler tandis qu’elle préparait le
rituel :
« Tu sais, depuis que ta sortie de l’hôpital a fait surface
dans les nouvelles, un homme du Vatican est venus nous rendre visite dans ces
première heures. Il était venu maudire l’implication de barons Samedis et de
nous tenir à l’écart de sons travail. Il voulait aussi des informations sur ta
personne, mais nous en étions moins connaisseurs qu’aujourd’hui sur ce qui t’habite.
»
Ça fait près d’une semaine que je suis en cavale? J’ai l’impression
que seulement quelques heures c’est dérouler. Merde, je déteste perdre le fils
du temps.
Elle me mit dans les mains des roses avant de les refermer
avec des chiffons.
« Tu as causé un sacré carnage à tenter de nous retrouver. Plus
de la moitié des officiers du sud de la ville y ont goûté et c’est maintenant l’état
de siège sur la rive sud. L’armée est passée ici et ils vont surement revenir d’ici
peu. La plupart des gens ce sont cloîtrer en espérant ne pas finir comme mon
fils… Il faisait partis des volontaires qui ont décidé de te mettre la main
dessus. Des pourfendeurs plus que des tireurs. »
Houai, je ne suis pas sortie de l’auberge. Il me faudrait
presque changer de pays pour m’en sortir. Son regard interrogé se porta sur mon
visage :
« Étrange, dit la dame. Pour un instant, j’ai cru que ton visage avait changé pour celui d’un autre. »
« Étrange, dit la dame. Pour un instant, j’ai cru que ton visage avait changé pour celui d’un autre. »
Quoi? Je ne sais même pas comment je fais ! Il va vraiment
falloir que j’apprivoise ce don. Enfin, si ça vient de moi…
« Ça va être salé dit-elle en mettant une pogné de sel
en bouche. Je tiens à te le dire, vue ton talent pour te régénérer, ça va faire
très mal. »
Elle entama une incantation et planta un poignard dans mon
estomac. Pour une fois, à douleur me sembla plus que réel, une vraie sensation,
une vrai mort. Lorsque ma vue vint au noir, j’aperçu le baron dans le dernier
soubresaut de vie qui me restait. Me voilà replongé dans l’intangible noirceur,
privé de mes sens. Seul avec ma conscience et mes pensées.
Une éternité dans la noirceur. Je croyais que lorsque l’on
mourait, l’on voyait défiler sa vie ou encore que ce serait un chemin vers l’au-delà
ou encore une nouvelle vie, mais pas le néant. J’ai déjà compté à plus de cinq
milles Mississippi et j’ai dû m’y reprendre par trois fois parce que je perdais
le compte. C’est chiant à la fin! Flotter comme ça dans le vide, c’est n’est vraiment pas une vie… enfin, une mort.
J’entends un battement de cœur, ça y est, je reviens.
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