Oui, j'ai du retard cette foi-ci... Je voulu mettre de l'avents les deux adolescents et j'ai galérer à bien incorporer ces deux là. Je voulu les incorporer car je veut leur faire leur propre histoire, probablement au chapitre huit.
Chapitre 6,
Paris par les vieil rues.
Cette année, l'hiver s’annonce
plutôt froid avec ces doux flocons qui tombe dés la première
semaine de novembre. L'écharpe autours du coups, notre jeune plume
avait commencer ces recherches sans trop savoir quel histoire
chercher. Il aurais bien voulu partir pour paris, mais ces derniers
mois il avait dilapider ce qu'il avait pour se payer des meubles et
enfin se sentir à son aise. Cuisine et salon étais maintenant
habitable, voir confortable avec ces meubles hétéroclite. Un simple
îlot sépare la cuisine du salon, adosser à une table et des
chaises bistro en fer forgé et le salon lui est munis d'une causeuse
et d'un fauteuil du style renaissance que l'on aurais retaper avec un
vernis cajou et du feutre rouge foncé en parfaite harmonie avec les
le parquet en latte de bois et les autres meuble en bois franc. Un
décor loin de la pension qu'il côtoyait, se disait-il...
Il tardais à Lucas de retourner dans
son nids le travail terminer pour y écouter de la musique et
continuer ces recherches sur ces histoires. Il y avait tans de chose
qu'il ne connaissait sur ce pays voisin. À l'exception des grandes
guerre, il n'avait pas connus grand choses de la France, encore moins
de Paris. Il dévorait l'histoire de Paris comme si son histoire
étais un roman au milles soubresaut. Notre chercheur en herbe
prenais un malin à y lire l'actualité par décennie de la plus
récente en régressent dans le temps. En très peut de temps, il
avait déjà lue sur le siège de de Paris par les Prusse et se
tardais de continuer avec la décennie dix-huit-cents soixante. Les
ouvrages qu'il avait dégoter étais fort bien détailler avec les
découpes originales de l’époque et l’ajout de photos et
gravures. Très divertissant, mais rien qui ne pourrait lui mettre
sur la piste d'une personne ou d'un événement qui pourrais
déclencher la fameuse magie de la foraine.
À peine une heure après son arrivée
chez soit que l'on cognait à sa porte. Lucas attendais la visite
d'un collègue de travail qui devait apporter de vieux articles de
journaux sur son sujets, mais à sa grande surprise, son paternel
étais venus à sa place. Il avait eut vents de ces recherche et
voulait voir ce qu'il en était.
« Bonsoir fiston! Entama
maladroitement William. Wow, ça as bien changer depuis ma dernière
visite! »
Lucas constata l'épais document entre
les mains de son paternel et en vin à demande ce que s’était.
Tout de fierté, monsieur Mackay fit son entrer dans l'appartement,
présentant le résultat de la recherche que son amis devait lui
apporter, laissant derrière lui deux personnes qui était sans doute
surprise de n'avoir pue sortir de l'ombre de la stature du paternel.
Se fut une surprise qui fit bondir Lucas car il ne les avait à peine
remarque face à cette prestance. C'était de notre jeune corbeau,
Ash qui étais accompagner d'une demoiselle que nous connaissons
bien, mademoiselle Alice qui avait quitter l'Angleterre quelques
jours le mois dernier avec le plus grand des courage qu'une
adolescente pouvait avoir.
«Entrer, je vous pris, lança Lucas
avant de reprendre de ces questions. Mais c'est quoi cette histoire?
Pourquoi vous débarquez tous ici ce soir? »
« Un peut de retenus jeune homme, dit
William. Pour ma parts, je ne souhaite pas m'éterniser, sauf si l'on
m'invite bien-sûr. »
Les Mackay se retournèrent tous deux
vers les jeunes et Alice se lança sur une explication :
« En faite, je suis revenus depuis
deux jours et je voulais te revoir. Vue que tu ne venais plus au café
hé bien... »
« Nous avons suivi ton père, repris
Ash. Et comme le hasard fait bien les choses, nous voilà! »
Lucas les regardait d'un air suspicieux
tendis que son aïeul lui semblait confus. Sans doute, Alice n'étais
pas alèse de ce fait, mais Ash lui n'en faisait pas de cas, au
contraire, il s'en amusait. Par preuve de bonne soit, le Gothique
ouvrit son sac à dos et en sortis un cadeau d'hôtesse :
« Je ne savait pas si tu appréciait
le vin alors, j'ai pris un vin que tous le monde aime. Un rosé bien
fruité. »
Lucas le remercia, mais il étais bien
navré de ne pas pouvoir les recevoir correctement, Il n'avait ni
coupes ni repas à leur servir car il ne gardait que peut de
provision vu qu'il avait pour habitude d'acheter au fur et à mesure
ce que son appétit lui dictais.
« Ce n'est pas grave, répondit
William. Je vais commander! Je serais bien curieux de connaître ceux
qui m’ont suivit.»
Ainsi, commençait une soirée
légèrement arroser, accompagné d'une simple pizza. William resta
un peut moins d'une heure avant de repartir, laissant les quelques
conversations futile et la magnifique histoire d’Alice en Irlande
derrière lui avec une promesses de leur faire découvrir, un jours;
les locos du journal. N'étais t-il pas magnifique pour la jeune
femme de tomber ainsi dans un univers qui le charmait autant. Sa
passion pour l'écriture n'en faisait que grandir. Ash avait lui
laisser roder ces yeux sur les quelques livres ici et là :
« Dit moi, Lucas, ne serais tu pas sur
une nouvelle histoire en ce moment? »
Lucas répondit avec un sourire en
coin :
« Vous aussi, l'on dirait bien. Vous
êtes en couple? »
« Mais pas du tout! Repris Alice. Nous
nous sommes rencontrer dans le club de littérature à la fin des
cours et il est venus me voir quand j'ai parler de toi et de ton
travail. Je t'assure, il n'y as rien entre nous. »
Les deux hommes restaient muet un
moment après cette réponse puis Lucas pouffa de rire :
« Désolé... Pour répondre à ta
question, je cherche pour trouver ma prochaine histoire justement. »
Après quelques explications, le trio
se mire à la recherche d'une histoire qui pourrais être relaté à
celle d'un homme ou une femme qui serais relater aux forains.
Malheureusement, ils ont vites fait le tours de ce que l'équipe
possédait comme information et personne ne trouvait ne serait-ce
qu'un article sur ces voyageurs ni même une publicité. Comme si ce
cirque n'aurais jamais mis les pieds dans Paris. L'aube semblait
vouloir se lever quand Alice demanda que devait-être le titre de ce
nouveau texte car elle découvrit entre deux page que les premier
mots de chaque ligne étais justement le titre chercher. Et ce non
seulement sur un article, mais sur plusieurs articles étaler à
travers le temps. Mathieux Alem, Max d’Harlem, Mathis De-Salem.
Serai-ce une manipulation ou est-il possible que ce soit une seul et
même personne? Lucas en étais stupéfait.
« Ça ne fait pas de sens, lança Ash.
Il dois y avoir un article par décennie si ce n'est pas moins. Il
serait aussi vieux que Mathusalem...»
Suite à ces propre mots, Le jeune
homme eut une révélation troublante et repris :
« qui que ce soit, il dois travailler
au archive ou ce rats de bibliothèque as l’esprit tordus. »
Bien qu'ils avaient passer une nuit
blanche à plancher sur ces pages, le sommeil ne s'en faisait pas
sentir et donc ils décidèrent d'aller déjeuner à un restaurent
pour l'occasion. Notre trio finir par déambuler dans les rue d'une
ville qui ne ressemblait en rien à celle de Londres mais qui leur
semblais familière. Sur le coins d'un bâtiment fenestrer se
trouvait un jeune camelot qui offrait des journaux pour presque rien.
L'établissement lui offrait une variété de pâtisserie et des
boissons chaude. Enfin assis à l'intérieur, le trio dégustait ces
viennoiseries.
Tout semblait trop beau pour Ash, il ne
savait pas ce qu'il n'allait pas, mais il le ressentait. Ces yeux
finir par se poser sur la couverture du journal en question, notant
le titre. Un ouvrier Défie la mort au chantier de la tours Eiffel.
L'image qui accompagnait le titre lui semblait surréaliste, voyant
que la base de la construction à peine entamer. Dés lors, il
aperçut la date de l'entête, 12 novembre dix-huit-cent quatre-vingt
sept. Sur cette incohérence, il sortis de son songe.
De tout évidence l'équipe avait
succomber à Morphée. notre gothique ne fit pas de cas de ce rêve étrange et
décida qu'il étais temps pour tous de se réveiller. Sans demander,
il commença à faire le déjeuner pour tous. Le sons et l'odeur de
la machine à café sortis les autres de leur sommeils, tous deux
semblait confus. Alice se remis à chercher dés son réveil tendis
que Lucas pris quelque notes, plus près du gribouillis qu'autre
chose, mais il comprenait ses marques.
« J'ai fait un drôle de rêve, dit
Ash. Nous étions... »
Lucas l’interrompue :
« Dans un restaurent à paris au début de la construction de la tours Eiffel. »
« Dans un restaurent à paris au début de la construction de la tours Eiffel. »
Tout étonner, le jeune Stone demanda s'il parlait durent son sommeil. A ce point, Alice confirma qu'elle fit le
même rêve et qu'elle se réveillât quand elle se rendit conte qu'
Ash avait disparue. Mackay confirma avec un air moqueur :
« Bienvenus dans mon monde... Par
contre, je me fait du souci par ce que j'ai vue. L'une des personne
dans ce restaurent qui étais à la table au côté de la notre
m'étais familière, mais je ne pouvait pas mettre le doigt dessus.
Maintenant que je suis pleinement conscient, je sait qui étai-ce et
j’espère ne pas avoir à la recroiser. »
Sous le questionnement des deux jeune,
il finit dévoiler l'identité de la femme en question.
« Elle s'appelle Rose, une sorcière
suffisamment puissante pour envoyer son amant dans une autre époque
par erreur. Qui sait combien de fois c'est arriver. Et s'il y as
quelque chose que je ne veut pas c'est de vous voir disparaître de
la sorte. »
Sous cette avertissement, Ash leva le
nez en prétextant ne pas en avoir peur et que si cela devais
arriver, ce saurait une vie d'aventure. Sur ces mots, La demoiselle
le dévisagea et rétorqua :
« Après trois jours, tu va pleurer pour ravoir internet. »
« Après trois jours, tu va pleurer pour ravoir internet. »
Cette complicité étais prometteuse
aux yeux de Lucas. Il savait par ces regards amuser ces deux personne
vivront de grande complicité ensemble, du moins; si cela perdure.
Cette matinée fut courte. Seul constats, les articles de la veille
n'était rien de plus que l'incarnation de leur songe. Un message
peut-être? Sans doute devait-il chercher un homme âgé. Mathusalem
était reconnut pour avoir vécus près d'un millénaire. Sur ces
fait, Alice concluait que la fête foraine à cette époque devais
plutôt être un cirque de variété avec des personnages très
distinctifs, comme ce que l'on appelait à l'époque un Freak-show.
Ces supposition ne faisait pas l'unanimité, Lucas étant indécis
sur ces faits et notre gothique réfutant cette hypothèse par
d'autre idée. Du coup, notre écrivain devait trouver l'origine de
ces forains et peut-être finirait-il par trouver cette personne
d'exception.
Suite à ce déjeuné plus que moyen.
disons simplement que notre gothique est loin d'être un cuisinier;
L'appartement se vida. L'un au travail, les autres au études. Lucas
avait rapporter la somme colossale d'articles que l'on lui avait
confier, déçu de ne pas être sur la bonne voie. Durent la
conversation avec un de ces collègue de travail il entendis parler
d'un archiviste à la bibliothèque municipale qui lui avait une
admiration pour Paris. Sans doute pourrait-il lui venir en aide. La
conversation resta sur ces mots et le soir venus, il alla faire son
tour. L'entrée étais tout de verre et un bureau s'y dressait avec
une jeune secrétaire.
« Excusez moi, je cherche...»
Lucas venait de se rendre compte qu'il
n'avait ni le nom, ni le titre de celui qu'il cherchait
« Heu, je cherche une personne qui
connais bien Paris et l'as dit que l'un de vos employé en est un
grand connaisseur. »
Sans lui répondre, elle se leva et
l'invita à le suivre dans les bureaux. Arriver sur place, elle
interrompu un homme à la chevelure poivre et sel qui arborait une
barbe bien fournis. Celui-ci semblait récité le contenus d'un livre
à un magnétophone. Il va s'en dire qu'il avait une voie chaleureuse
et très plaisant à entendre.
« Papi! Tu as de la visite.»
Les mots de la jeune fille fit échos
dans la pièce, surprenant l'homme. Il pris un moment pour éteindre
le magnétophone et placé un signet dans son livre. Avant de
commencer sa requête, Lucas lui demanda pourquoi il faisait ce genre
de chose et le vieil homme lui répondit avec enthousiasme :
« Les mots ne sont-il que prétention
sans la musique des paroles? …En fait, j'enregistre des romans pour
les personnes avec des difficultés à lire. Hé bon, que puis-je
faire pour vous? »
Tendis que la jeune secrétaire
retourna à son poste, Lucas énuméra ce qu'il cherchait, ne
manquant pas de donner l'époque et dans la quel il recherchait ces
informations.
« Deux dans la même journée? Quel
coïncidence! Un Adolescent ma demander de l'aider à retrouver un
article du Figaro de Paris de novembre ou décembre mille-huit-cents
quatre-vingt sept. »
Ash... Ash l'avait devancer de peut.
Notre écrivain resta sans mots tendis qu'il regardait l’homme
chercher sur son vieil ordinateur quand il reconnus cette silhouette
bien particulière, cette posture pencher de l’avant avec une jambe
légèrement étirer vers l'arrière.
« Mais c'est vous qui étiez avec Rose
à Paris en dix-hui-cents quate-vingt sept! Mathusalem? »
Le regard de l'homme changea
soudainement et son air enjouer s'estompa en même temps qu'il
glissait la main sous son bureau.
« Qui vous as parler de moi, demanda
l'homme. Qui êtes vous? »
Lucas se leva de sa chaise et recula
les main levé :
« Woah! Du calme! Je m'appelle Lucas
Mackay, Je suis ici parce que je dois réécrire le grand livre des
forains. C'est Amanda qui m'envoie! Rose et Amanda travaillait
ensemble. Le titre est Paris par les vieil rues, vous me croyez? »
« C'est moi qui ai écris cette
article, répondit l'homme stupéfait. Comment vont-elle? »
« Hé bien, Rose n'est plus de ce
monde il y as un bon bout de temps et Amanda est maintenant la
doyenne de la famille. Mais puis-je vous poser une question? Quel âge
avez vous? »
« Ho biensure... dit le vieil homme.
J'en perd le file avec le temps. »
Il eut un soulagement sur les volontés
du jeune homme et répondis tout bonnement qu'il n'en savait rien et
que ses souvenirs était comme des rêves qui s'égarait avec le
temps. Par contre, il avait toujours en mémoire ces temps précieux :
« Prend bine note Jeune homme car voici mon histoire, aussi incroyable que cela puisse paraître.»
« Prend bine note Jeune homme car voici mon histoire, aussi incroyable que cela puisse paraître.»
Papier et crayon en main, Lucas prêta
une oreille attentive à celui que se surnommait Mathusalem.
« Bien que je semblais avoir que vingt
ans, j'étais déjà très âgé au débuts de la création de la
tour Eiffel. J'étais sans peur et aventurier à un point ou mes
exploits commençait à faire la hune des journaux. Je m'attira bien
des foudres autans aux près des commerçant que des autorités. Un
jours, l'un des petit fils d'un commencent se rendit conte de ma
longévité en explorant les livres de dettes que ces parents et
grand-parents tenaient. Je leur devais plus d'une centaine de franc
depuis plus de cents ans et je vivait toujours de ma jeunesse. Le
fourbe voulut me saigner pour connaître mon secrets et tenta même
de mettre ma tête à prix pour me retrouver en vain. J'étais
fougueux et jouait les mousquetaires d'une canne de bois en guise de
rapière. »
Au retour d'une page, notre écrivain
changea de posture pour continuer, excité par le récits que
arrivait.
«Un jours, je déambulait dans les rue
étroite de la cité quand une horde de voyous tentas de me prendre
en souricière. Dix d'un côté et six de l'autre, en plus de
quelques gendarmes matraque à la main, près à me soumettre leur
bourreau. Je donna quelque coup de poing à un gringalet près à me
fracasser d'un long bâton que je lui subtilisa et m'en servit pour
me frayer un chemin au travers de ces bagarreurs. Pour se faire, je
me donna d'une course vers les dix homme qui barrait mon chemin pour
sauter à la perche au dessus d'eux et atterrit sur le toit d'une
carriole qui passait à l'intersections. Je Me croyais sortis
d'affaire, les distançant de la sorte, mais les gendarmes n’ont
pas mis de temps accoster les chevaux et je due reprendre ma course.
Contrairement à ce que l'on peut penser, le trafique à cette époque
étais déjà très dangereux, sans sécurité pour les piétons, les
grandes rue faisait beaucoup de blessé.»
Le vieil homme se pencha vers notre
écrivain et reprit :
« C'est au travers des roues et des chevaux que je poursuivit mon combat, terrassant pour la première fois un gendarme en lui collant une droite bien ferme dans le ventre, l'estomaquant. Dés lors, je fit ficher comme un trouble fait et voyant la populace joindre les voyous et les gendarme, je décida de fuir aussi rapidement que mes jambes pouvait me porter et je fini par me retrouver sur le chantier de la fameuse tours. N'ayant peur de rien, je décida de les perdre en escaladent l'échafaudage et m'aventurent sur les poutres et ils se sont jeter dans le piège! La plupart ont pris vertige et les autres n'arrivaient pas à se déplacé suffisamment rapidement pour me suivre, j'ai jouer un jeux de chat et souris un moment pour ensuite m'éclipser de la structure. »
« C'est au travers des roues et des chevaux que je poursuivit mon combat, terrassant pour la première fois un gendarme en lui collant une droite bien ferme dans le ventre, l'estomaquant. Dés lors, je fit ficher comme un trouble fait et voyant la populace joindre les voyous et les gendarme, je décida de fuir aussi rapidement que mes jambes pouvait me porter et je fini par me retrouver sur le chantier de la fameuse tours. N'ayant peur de rien, je décida de les perdre en escaladent l'échafaudage et m'aventurent sur les poutres et ils se sont jeter dans le piège! La plupart ont pris vertige et les autres n'arrivaient pas à se déplacé suffisamment rapidement pour me suivre, j'ai jouer un jeux de chat et souris un moment pour ensuite m'éclipser de la structure. »
Il reprit appuis sur son dossier, le
bras derrière; avents de reprendre son récit :
« C'est le lendemain que j'ai croiser
Rose. Elle M'invita à prendre un café car elle disait qu'elle avait
de grand projets pour moi. Ça avait le mérite de m'intriguer, du
coup je l'écouta. Elle me fit connaître le Grand cirque de Boraine
qui allait bientôt de perdre leur chef et elle estimait que j’avais
la carrure pour prétendre un rôle de leader. Je décida de joindre
la troupe comme homme de main en espérant le retrouver, mais elle
n'étais pas là. J'aurais du mieux écouter la vieil quand elle me
parlait de temps qui coule dans tout les sens. Car j'aurai vite
compris ce qu'elle voulait dire. Le bougre est mort que quinze ans
après mon arrivé et c'est que près de quoi... ...trente années je
crois qu'elle joignit le cirque. À l'époque, elle étais encore
toute jeune! »
Lucas peinait à suivre le récits et
demanda une pose le temps de finir. Le vieil homme n'en fit rien et
dit :
«hé bien, c'est pas mal tout en fait
j'ai due quitter le cirque un peut après la deuxième grande guerre.
Mon nom refaisait surface un peut partout et je n'aimais pas ça. Je
ne voulais pas avoir à m'éclipser encore une fois. De plus, il ont
commencer a délester la formule du cirque pour devenir une foire
foraine et je n'étais pas à l'aise avec tout ces manèges. »
Notre Impérissable personnage fronça
les sourcil et demanda à Lucas s'il étais pour joindre les
forains. Celui-ci lui répondit tout bonnement :
« Non, je ne fait que m’acquitter d'une dette. Par contre, je prend plaisir à le faire. »
« Non, je ne fait que m’acquitter d'une dette. Par contre, je prend plaisir à le faire. »
Ces mots termina son entrevue et il
alla directement au café Morgane ou Alice travaillait pour justement
espérer y trouver le duo, et comme de fait; Il était attendue sur
place.
« J'ai trouver l'article, dit Ash avec
fierté. Et je crois qu'on est sur une bonne piste! »
Lucas eut un sourire en coin avant de
répliquer :
« Je sais, tu ma devancé sur ce coup. Par contre, j'ai trouver notre Mathusalem! »
« Je sais, tu ma devancé sur ce coup. Par contre, j'ai trouver notre Mathusalem! »
Alice haussa les sourcils sous la
surpris tendis que notre Gothique resta incrédule, persuadé qu'on
le faisait marché. Suite au récits de notre homme de lettre, notre poète au cheveux noir ne
put que s'incliner face à cette découverte. l'évidence étais sous son nez
et il ne la pas reconnus. Notre jeune fille voulait se faire
rassurante sur l'exploit de Ash qui lui pataugeait désormais dans la
déception.
« Ne t'en fait pas pour cela,
dit-elle. Ces récits luis sont destiner tout de même. L'on peut
toujours trouver les nôtres si l'on veut.»
Cette idée charma par sa simplicité
et dés lors, autours d'un café bien chaud, les Storyteller's
naissait. Une question taraudais Ash, à savoir s'il finirait par
goûter à cette magie de nouveau.Il eut un moment de silence autours
de la table que Lucas finit par combler :
«Vous savez, je crois que cette magie est partout autour de nous, il suffit de savoir la trouver. Ne vous sentez vous pas bercé par elle? Cette nuit ou les flocons parfume l'air de leur fraîcheur ne pouvait pas être mieux accompagner que par cette air que l'on entend présentement? »
«Vous savez, je crois que cette magie est partout autour de nous, il suffit de savoir la trouver. Ne vous sentez vous pas bercé par elle? Cette nuit ou les flocons parfume l'air de leur fraîcheur ne pouvait pas être mieux accompagner que par cette air que l'on entend présentement? »
tout deux se mire à écouter et
explorer du regard. Comment ce moment pouvait-il être si parfait?
Cette nuit de noir et de blanc se laissait bercer dans la lumière
dorer du café et les aires de Andy Kirk. I know, je sais... cette
air parlait d'amour et de cœur brisé qui semblait aussi être aussi
celui du vieil homme que avait choisi. Une histoire naissait dans la
tête de nos protagoniste. Mélancolie, amour et nostalgie étais les
trois mots qui décrivait ce récit tout inventer sur le moment. Ce
premier jets ne fut que le premier d'une série qui s'écoulerait
tout le reste du mois durent.
Comme promis, cette aventure fut
rapporter à la foraine en fin de mois et elle consentie à ce que
Lucas publie ces récits et seulement s'il étais mention d'une
fiction car elle ne voulait pas nuire à ces frères.
« J'ai bien peur que tu ne puisse
trouver les prochaines personnes dans les journaux, Il va te falloir
chercher dans tes songes, ton cœur et le titre. La jeune femme et le
colt est ton titre, sache la trouver, cette femme t'attend. »
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