Encore une fois, je me trouve à poster un dimanche soir à environ 3 hrs am. parce que j'ai décider suite à un rêve de changer le cours de mon histoire et ce à 80% si je peut dire. j'espère que vous apprécierez!
Chapitre 4, Le couloir des vapeurs.
Lucas, avait passer les trois dernier
jours à vagabonder entre son appartement et la café à la recherche
de réponse, comment avait-il fait ce voyage, comment se fait-il que
ce qui s'apparentait à un rêve soit si soudainement chose du réel.
Non, pas qu'il étais effrayer, il en étais émerveiller. Ce
paradoxe, cette folie, cette magie lui avait mis en tête qu'il
pourrait peut-être se passer du travail au journal. Ces textes aussi
soudain qu'incroyable luis paraissait sublime et d'un fort
potentielle pour une première publication. D'un côté, il se
demandait qu'en penserait la nomade? Abuser d'une promesse pour
s’enrichir. De l'autre, Alice buvait ces mots comme si ces
manuscrits était la plus belle œuvre du monde. Peut-être
devrait-il en parler à son père? Peut-être que non... Il ne
s’était pas pointer au travail ces derniers jours à la recherche
du sens que le titre cachait. Lucas Mackay anticipait une réponse
furieuse de son aïeul s'il en glissait un mots. De l'autre côté,
pourrait-il comprendre en temps qu'homme de lettre que le travail à
l'impression n'est pas sa place mais devant un clavier, que ce soit
comme journaliste ou écrivain.
-Hé puis pourquoi pas! Pensa t-il à
voix haute.
Lucas avait la ferme intention de faire
valoir ces écris face à son père. En peut de temps il était à la
porte des bureaux, figé à savoir ce qu'il allait dire. Comment
apporter la chose? D'un autre côté, il ne put s'empêcher de
remarquer la vapeur qui s'échappait de la ruelle. Son instinct lui
dictait d'aller vers celle-ci, comme si elle l'appelait, d'un autre
côté, il avait le devoir de se reporter à son père, son patron.
L'air de rien, Lucas étais rester fixe
devant la porte depuis au moins 5 minutes, la main tendus vers la
poignée de la porte vitré, du coup, quelqu'un vin à lui ouvrir la
porte, ce qui sorti notre écrivain de sa pensé. L'horreur voulu que
ce soit son paternel.
« Ho! Tu sortait, demanda Lucas
ébahie. Je peut repasser si je ne suis pas au bon moment. »
William le regardait avec un air
désabuser :
« La réceptionniste ma appeler pour
m’avertir que mon lunatique de fils étais devant la porte.
J'imagine que c'est pour me voir? »
Malheur, se disait Notre jeune homme.
La peur le tenaillait, le laissent sans mots tendis que sa curiosité
le poussait à partir vers cette brume. Il n'eut que le réflexe
d'ouvrir la bouche sans un mots,le doigt levé avant de remettre la
pile manuscrit entre les mains de son père, ne gardant qu'un cahier
et un crayon pour ensuite courir vers la brume et s'y enfoncer.
C'était tout une surprise pour
monsieur Mackay de voir son fils dans de telle émois. Une fois que
Luca traversa le coins du bâtiment, Mr William en fit tout autant
pour voir qu'il n'y avait que cette blanche vapeur et une clôture de
planche après quelques pas. C'était à son tours de démontrer de
l'étonnement. Il ne comprenait pas comment il avait pue disparaître
de la sorte. C'est à ce moment qu'il décida de baisser les yeux sur
les feuille qu’il tenais à deux main pour y découvrir le titre de
sa première nouvelle.
Pendent ce temps, Notre aventurier
s'était grandement avancer dans un couloir enfumer non seulement par
la vapeur, mais aussi par une étrange odeur florale et le sons échos
d'un instrument à corde au loin. Aux abord d'une sale l'on pouvait
voir une personne assis sur le sol avec un guitare fait à la main
avec une boite de cigare entamer. Le reste de la pièces était
parsemer de livres, d'herbe suspendue et tout ce qu'il faut pour
concocter le plus étranges des mélange. Au travers des concoctions
et de la fumée se trouvait une femme d'un vingtaine d'année avec un
regard qui semblait familier à Lucas. Ces grand Yeux bleu et gris le
regardait stupéfait et plein de questions.
« Je crois bien avoir fait une bêtise
encore! »
De tout évidence, ils n'étais pas à
leur place dans ce décor d’apothicaire. Elle avait les cheveux
d'un noir lustrer contrastant avec sa peau blanche et son rouge à
lèvres clinquant. Tout deux arborait un manteau de cuire noir et
semblait être des rockabillys. Je dois dire qu'il faisait piètre
figure avec son chemisier bordeaux et et ces cheveux en batailles.
Ils ne leur pris que quelques secondes
pour prendre fuite avec en mains ce qu'il pouvait prendre. Du coup
Lucas compris qu'il se trouvait en présence de voleur et
qu'involontairement, ils étais complice et ce fut son tours de fuir.
Rendu à l'extérieur il les vie embarquer dans une voiture comme on
n'en voit que dans les salon de l'auto. Un Chevrolet Impala 1959
rouge tout d'époque avec des pneus à fanges blanche, devancer par
une corvette noir de la même époque légèrement accidenté sur
l'aile arrière droite.
Notre Aventurier se trouvait désormais
seul Dans la nuit, aux côté d'une vieil maison blanche à un
croisement sans nom aux milieux des champs, perdu. Son bref instant
de désespoir fut interrompue par le sons rutilant d'une voiture qui
semblais revenir de là ou ils étaient parti. C’était la voiture
noir, elle étais de retour et venait, les phare braqué droit vers
lui. Lucas était figé de peur face à la voiture qui s’arrêta
devant lui d'un dérapage qui fit lever la terre poussiéreuse. In
homme baraqué vêtu d'un jeans et d'un T-shirt noir sortis de la
rutilante Corvette :
« Hey cowboy, t'est certainement pas
le fils de la sorcière qu'en même? »
« Absolument pas, dit Lucas étonné
avant de reprendre avec fierté. Je suis Britannique! »
L'homme silencieux ne fit qu'un sourie
avant de retourner à l'intérieur de son véhicule et d’ouvrir la
portière du passager en guise d'invitation. Une fois à l'intérieur
Lucas remarqua cette forte odeur de cigarettes et d'huile roussie. Il
avait un coffre à outil entre les jambes et des outils semblait
s'entrechoquer sous le siège à chaque fissure de la route. La
musique faisait écho tendis que le conducteur les amenaient à vive
allure aux points de ralliement que s'étaient fixer le groupe. Ce
qui aurais due prendre un bon quarante minutes en fait pris moins de
quinze minutes, ce qui ne manqua pas de faire blanchir de peur
Mackay. Le conducteur relâcha l'accélérateur un instant avant
d'arriver à un Resto Routier.
« C'est ici qu'on descend, dit le
chauffeur. Et rentre ta chemise, ta l'ai débile. »
Lucas eut un air amuser pendent un
instant avant de se faire interrompe brusquement, interroger par
cette aire niais. Il répondit en haussant les épaules:
« Tu parle comme mon père...»
« J'espère qu'il est cool au moins?
Demanda le chauffeur tendis qu'il stationnait la voiture. »
« Dans son genre, Em quelque sorte...
»
À peine sorti de la voiture, le mec à
la guitare marchait vers eux, fumant de colère :
« Pourquoi tu nous as freiner devant
comme ça! Tu aurais pue nous tuer! Ces paroles résonnait encore
dans le parking quand il reprit en pointant du doigt Lucas. Pourquoi
tu est retourner le chercher, connard! »
D'un calme implacable notre chauffeur
tout en muscle, la crête noir et lustrer; lui dit :
« Du calme vieux, tu sais bien que je
suis le meilleur chauffeur! Si j'ai fait demis tours comme çà,
c'est que je me suis dit que c'était impossible que la folle aient
un mec chez elle et que s'il se faisait pincer, il nous balancerait
sûrement. »
Ces mots voulait tout dire. Le
chauffeur qui se présenta au nom de Blake avait d'un coup désamorcé
la fureur de l'un et fait de Lucas un complice. En quelque instant,
la clique fini par se présenter. Bien-sure, Blake, le chef de bande,
suivi de Jacob à la guitare, Wayne le second chauffeur et
finalement, Amanda.
Les quatre étais assis à une table du
restaurent à écouter les histoires de Lucas qui se dépeignait
comme un journaliste qui s’était fait prendre par la magie d'une
foraine vieil foraine. Il expliqua que c’était probablement de
cette sorcellerie qu'il fut transporter dans cette vieil maison en
Amérique par les fumées incantatrice.
« Ha! Je vous le disait bien que sa
magie fonctionnait, s'exclama Amanda. Je sais que je peut en faire
autant que la vieil sorcière! »
Blake qui étais pénard au fond de la
banquette lança en avertissement :
« Hé bien n'en parlons pas alors,
c'est un plans pour qu'une langue sale lui balance nos nom et qu'on
se fasse jeter un mauvais sort... Mais au fait, pourquoi elle
t'enverrait d'une place à l'autre comme ça? »
Lucas, en pointant son cahier
répondit :
« Pour chercher les histoires des
forains. Du moins, c'est ce que j'ai pue comprendre. »
Wayne répondit presque aussi tôt
qu'aussi loin qu'il se souvient, la sorcière na jamais quitter la
ville, que selon ce qui en sait, elle habite la maison des ces parent
qui auraient, semblerait-il; été enterrer en bordure du champ à
quelque pas de la maison. Amanda offusqué par ces propos lui dit de
se taire, mais Jacob réfuta ses propos en ajoutant qu'il n'étais
pas chrétien et que le pasteur avait refuser de les enterrer dans le
cimetière. Cette histoire sinistre lança un silence autours de la
table. Seul la serveuse qui étais venus prendre les verres plaça un
mots :
« Vous allez qu'en même pas croire à ces histoires de magie j'espère? Vous jeune homme, je vous interdis de leur mettre des idées de la sorte dans la tête. »
« Vous allez qu'en même pas croire à ces histoires de magie j'espère? Vous jeune homme, je vous interdis de leur mettre des idées de la sorte dans la tête. »
Lucas, avec sa politesse tout
britannique fit ces pardons à la serveuse qui semblait être une
grande croyante à la vue du chapelet qu'elle portait. Dans le même
instant, in policier tout droit sortis d'un livre d'histoire fit son
apparition dans le restaurent. C'est à se moment que Notre
aventurier compris que non seulement il se déplaçait d'un lieux à
l'autre, mais aussi à travers le temps. Le policier s'avança ver la
table des jeunes, la main sur la matraque.
« On as eut l'appelle d'une vieil dame
qui dit que des voyous serais entrer chez elle pendants son absence
et aurais foutu la pagaille cette nuit. »
Le policier n'eut le temps de porter
les première accusation que la serveuse lança que ce ne pouvait
être eux, qu'il étais ici depuis le coucher du soleil.
« Vous me ferez pas croire que ce sont
les jeunes de la bande de Jimmy qui ont fait le coup. Il sont en
garde à vue. »
Sur ces mots, Wayne Eut un rire en
pointant l'extérieur. Une Cadilac 1955 peinte de flamme venait de se
poster derrière la voiture de police et fit crisper ces pneus sur le
bitume. Wayne lança au policier :
« Garde à vue, mon œil! »
Le policier en colère couru vers la
porte en répliquant au jeunes :
« Mes flagorneur, vous n'avez pas
intérêts à être ici à mon retour, sinon c'est vrai que je vous
embarque. »
Une fois l'agent partis, les jeunes se
regardait ne sachant pas quoi faire quand Amanda eut une idée :
« Il y as une fête foraine à Carson,
on pourrais y aller. Du coup, Lucas trouverait peut-être son Forain?
»
En un peut moins d'une heures la clic
finit par se rendre à vive allure. Ces adeptes de la vitesse n'avait
pas finis de surprendre Lucas en coursant les un contre les autres de
manières dangereuse sur les routes sinueuse.
Une fois arriver sur les lieux, les
garçons partirent de leur côte s'amuser tendis qu'Amanda, Accrocher
au bras de Lucas partirent voir le chef de la foire qui lui les
référa à la diseuse de bonne aventure. Sur place, la vieil dame
demanda à voir uniquement Lucas, Lui Disent ces mots :
« Mon cher enfants, ce que tu cherche n'est pas parmi nous. Pas encore... Celle qui te suis si tendrement n'est pas anodine et tu le sait. Je ne peut t'en dire plus car l'avenir t’appartiens déjà. Sache voir en ces yeux ce que tu cherche. »
« Mon cher enfants, ce que tu cherche n'est pas parmi nous. Pas encore... Celle qui te suis si tendrement n'est pas anodine et tu le sait. Je ne peut t'en dire plus car l'avenir t’appartiens déjà. Sache voir en ces yeux ce que tu cherche. »
Une fois ressortis, ce fut le tours
d'Amanda qui avait plus de question sur la magie qu'elle ne avait
pour son avenir. Tout deux passèrent la soirée bras dessus dessous
à parler et faire quelque attraction dont les billets étaient
offert par la voyante. Au cours de la soirée, Ils avait parler de
leur vie. Arriver à une table , Lucas sorti sa plume et dit à
Amanda :
« Je crois que ton histoire, ta vie, cette nuit mérite d'être écrite dans ce livre. »
« Je crois que ton histoire, ta vie, cette nuit mérite d'être écrite dans ce livre. »
Elle saisi aussitôt le crayon de notre
écrivain et Fit un cœur sur la page en y inscrivent A+L pour
ensuite l’enlacer et lui dire que le livre pourrait attendre
encore. Malgré tout, Mackay resta de marbre face à ces avances.
Elle demanda ce qui n'allait pas. Lucas soupiras et dit :
« L'amour est comme une division d'un nombre réel par zéro. Très peut comprennent ce que c'est et les autres savent que c'est un complexe infini. »
« L'amour est comme une division d'un nombre réel par zéro. Très peut comprennent ce que c'est et les autres savent que c'est un complexe infini. »
« Einstein, parle pour que je
comprenne, dit-elle. »
Lucas remis les mains de la jeune fille
sur la table et dit :
« Je ne ressent rien pour toi et je ne prend pas plaisir à briser des cœurs, alors excuse moi de refuser tes avances... ...Pourquoi ne t'intéresse tu pas à Blake? Tu ne disait pas justement qu'il t’hébergeait dans son garage? Ce ne serais pas le temps de passer à une vitesse supérieur avec lui? »
« Je ne ressent rien pour toi et je ne prend pas plaisir à briser des cœurs, alors excuse moi de refuser tes avances... ...Pourquoi ne t'intéresse tu pas à Blake? Tu ne disait pas justement qu'il t’hébergeait dans son garage? Ce ne serais pas le temps de passer à une vitesse supérieur avec lui? »
Amanda pris un air amuser et répondit :
« Arrête, il est un frère pour moi!
Je ne pourrais jamais l'embrasser. Hé puis, ces parents voudrais
rien savoir d'une fille de mauvaise famille, encore moins d'une fille
sans familles. Et ne me parle pas des autres, Il me tombe sur les
nerfs assez souvent, je ne serais pas avec eux si ce n'étais pas que
ce sont les amis de Blake...»
Tout deux se regarda dans les yeux pour
un moment avant d'avoir un fou rire.
« Allons rejoindre les autres, dit
Lucas. »
Après une courte recherche, il
tombèrent sur le reste de l'équipe. Notre guitariste en herbe avait
le nez cassé tendis que Blake étais dans un états de panique.
Amanda s'approcha de lui et demanda ce qui s'était passer. Blake qui
faisait les cents pas finit par s'arrêter et répliqua énervé :
« On as les Street Kings sur le dos... Il as fallut que je mette ma bagnole en gageure dans une course pour qu'il l'épargne. »
« On as les Street Kings sur le dos... Il as fallut que je mette ma bagnole en gageure dans une course pour qu'il l'épargne. »
Amanda voulut se faire rassurante,
disent de lui qu'il était imbattable, mais rien n'y faisait. Avant
de repartir, Blake regarda Lucas et lui dit :
« Tu sais, mon vieux est cool lui
aussi. Il ne ma jamais engueuler pour mes bêtise, même quand j'ai
amocher ma corvette en idiot, parce que je suis rentrer dans le cadre
de la porte de garage en sortant trop rapidement. Il ma tendus un
marteau et des clous disent '' Tu sait quoi faire''... …Il disait
aussi qu'un jours je vais sentir la mort quand elle se pointerait le
nez, parce que c'est de famille... ...Je n'aime pas ce qui s'en
viens.»
Au lendemain quand le soleil était au
zénith, la course prenait place à la sortie de la ville. En dépits
de sons instinct, Blake pris parts à la course. Lucas comme
plusieurs autres étaient jucher sur une colline de gravas à
mi-parcours. Ils étaient nombreux sur la colline. Amanda, Jacob et
ces Yeux au beur noir, quelque forain dont la voyante était sur
place. Au loin, l'on pouvait voir la corvette noir prendre une avance
fulgurante sur les autres, mais quelque chose n'allait pas. Une lueur
improbable semblait apparaître par les trappes de ventilations plus
la voiture avançait, plus une épaisse fumée faisait son
apparition. Un feux s'était enclencher sous le capots. La corvette
enfumer passa devant l'audience en décelèrent avant de sortir de
piste et s'arrêter brusquement sur un rocher sous les yeux stupéfait
de l'audience.
Lucas fut le premier à se lancer à la
décente de la colline de grava, criant le nom de Blake tendis que
les éboulement suivait ces pas. Il fonçait vers la fumée toujours
en crient son nom quand il perdis son souffle et perdis pieds sur le
bitume, répandent ces écrits. Levant les yeux, il se rendit compte
qu'il était de retour à Londres, dans cette ruelle enfumer. Mackay
encore sous le choc, n'arrivait pas à se relever, murmurent encore
le nom de Blake.
Le temps avait évidemment passer et la
soiré tenais à passer. C'est avec ces souvenirs en tête qu'il alla
au café remplir le reste du récits. Par coïncidence, son père qui
passa pour se rendre chez son fils le vit à ces écrits dans le café
et fit son entrée. Lucas, Fidèle à lui même, ne s’aperçut
qu'après un moment que son paternel attendait à ces coté.
« L'on dirait que tu as eut un
accident, reprocha William avant de changer de sujets. Encore dans
tes récits? »
Lucas n'en dit rien et continuas son
ouvrage après un bref regard.
« J'ai lue tes récits. Tu souhaite
toujours devenir journaliste ou veut-tu que l'on t'appelle écrivain?
»
Notre jeune homme se senti offusqué
par ces propos. Il plaqua son stylo sur la table et répliqua en le
regardant dans les yeux :
« Pense-en ce que tu veut, ces gens
existent. Je reporte leur vie, ce qu'il sont et que tu en dise ce que
tu veut, le monde aime mes textes. Alice, Dit-il en pointant la
serveuse, Elle en redemande. Ne viens pas de dire que je travail pour
rien. »
« Jeune homme répliqua son père, je
t'interdis de lui mettre des idées de la sorte dans la tête. Ces
histoire de magie là son mauvais pour ta réputation. »
Lucas eut un court fou rire et répond
à son père de lire la citation au deuxième paragraphes de la page
cinq. Ce que William fit. Se retrouvant nez à nez avec sa propre
citation dans les pages de son fils, il lui dit :
« Toujours le mots juste. En faite, je
venais te rendre tes textes et je voulais te demander si tu n'avait
pas besoin de quelques choses. Depuis que tu vie seul, tu ne donne
pas de nouvelle... Une chose est sure, c'est qu'il te faut un
portable pour mettre tout ça au propre. Je vais fouiller au bureau
pour te trouver un portable de seconde main. »
Un merci timide se fit entendre de la
parts du jeune écrivain. Monsieur Mackay lui mis la main sur
l'épaule avant de repartir. Rassurer en quelque sorte.
Avant la fermeture, Cas oui, encore une
foi, Lucas resta jusqu'à la dernière minutes; Alice vin le voire
avec l'espoir d'avoir une bride de ce
qui s’était passer.
« J'ai bien entendue? Demanda t-elle.
Ton père confirme tes histoire? »
La plume à la main, Il répondit :
« C'est plus compliqué que cela. Mon
père n’admettrais jamais de telle chose, il as trop à perdre s'il
dit croire en la magie ou tout ce qui ressort de l'inexpliqué; ce
serait faire couler son journal. D'un autre côté, il croie en moi
et sa pèse très lourd dans la balance. »
Alice demanda s'il pouvait lire les
pages qu'il venait de composer et il accepta volontiers ce qui lui
permis de terminer les dernière ligne de son œuvre.
« Mais pourquoi ça s'appelle Couloir
des vapeurs? »
Luca repris la première page et
hachura le titre.
« C'est plus un indice qu'un titre,
une idée pour le nommer peut-être? »
Alice fut flatter de l'offre et elle y
pensa un moment.
« La magie d'Amanda. »
Ainsi le titre fut nommer. La fin du
mois arriva et l'appelle de la foraine se fit attendre. Encore une
fois, la vieil dame étais de peut de mots :
« Et ce texte, demanda-elle. Il
avance? »
« Il me manque la fin dit le jeune
homme avant de reprendre avec un trémolo dans le voie. Amanda, je...
je suis désolé. »
« Ne soit pas triste dit-elle, Je suis
en paix avec mon passé... ...Pour la suite tu écrira que les
forains voyant que j'étais à la dérive m’ont pris sous leur
gouverne et je suis devenus avec le temps la doyenne de cette grande
familles. Est-ce bien noté? »
« Oui madame!»
« Pour le prochain titre ne soit pas
effrayer, dit-elle. Octobre est le mois des morts et il se peut que
sa magie dépasse la mienne de beaucoup.»
« Un temps de fou pour une rose... le
titre est encore lisible dans le livre. »
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