Ce chapitre mélodrame est peut-être un peut lourd contrairement à tous le reste de l'oeuvre, mais je voulais explorer la mélancolie ou plutôt le deuil. non pas que j'en suis as cette période de ma vie, mais je trouvait intéressent d'explorer tout les gammes d'émotions. si ça peut vous aider, j'ai composer ce texte en écoutant principalement la guitare d'Estas Tonne et du flamenco.
Un chapitre, une aventure! j'ai déjà hâte de plonger dans l'écriture du prochain chapitre!
Chapitre 5. Un temps de fou pour une rose.
Face au mots de la foraine, Lucas
c'était préparer à tout, saut à ce qu'il l'attendait. Dés le
premier du mois, un homme dans la rue l'interpellait lui demandant
s'il avait une chansons pour lui. De tout évidence cette homme
n'étais pas dans la fortune, en d'autre terme, nous pourrions le
qualifier de vagabond. Serte Lucas n'avais pas de quoi lui offrir,
mais l'homme se faisait insistant, lui demandant à genoux même s'il
pouvait lui offrir un texte et des notes à mettre sur sa guitares.
« Je suis désolé monsieur, répondit
Mackay. Je n'ai pas de chansons à vous offrir ni l'inspiration pour
ce genre de chose. »
Sans doute qu'il me voyait écrire au
café, se disait Lucas. Le vagabond tendis alors sa guitare au jeune
hommes :
« Alors, prend la et inspire toi. »
L’objet en soit étais magnifique
pour son originalité et son aspect unique. Ces cordes en fil de sois
dentaire remplaçait les cordes de nylon. Le manche étais entailler
d'une profonde entaille à l'endos et commençait à noircir par
l'utilisation. Sur le caisson, l'on pouvait voir quelque autocollant
défraîchie sur le bas et des mots simple écris au feutre un peut
au dessus de l’endroit ou l'on placerais la main. Amour, lumière
et passion sont partiellement effacé et et plusieurs autre ne sont
que des marque rendu illisibles par l'usure. Lucas la pris et fut
étonner de découvrir à l'endos un dessin de fleur magnifique
contrastant à peine avec la couleur foncé du dos de la guitare.
Lucas voulu refuser l'offre et rendre
la guitare, mais le vagabond en question avait déjà fait sont
chemin et avait disparue dans la foule soudaine.
« Quel dommage se disait notre
écrivain, j'aurais voulu lui remettre, je ne sais même pas quoi en
faire. »
Ce premier jours d'octobre étais un
jours de travail, il fut obligé d’apporter l'instrument au
travail, ce qui ne manqua pas de faire tourner les regards. Au fils
des conversations avec ces collègues de travail il finit pas
comprendre que le vagabond serais semblablement un des poètes de
Betterton qui aurait sombrer dans la mélancolie. Une histoire à
dormir debout par certain, une histoire plausible pour d'autre.
Les évidences pointant dans tout les
directions, il décida en fin de son quart de travail d'aller jeter
un coup d’œil. Sur les lieux, il trouva un café don la façade
bleue et blanche portait le nom évocateur de Poetry Cafe. Le petit
établissement étroits ne possédait que quelques tables éclairer
par des lanterne de tissue jaunis couverte de quelques mots à
l'ancre. Seulement trois personnes s'y trouvait en ce moment,
incluant l'hôtesse. Arrivant au comptoir, il présenta la guitare et
demanda s'il savait à qui appartenait cette guitare, qu'il devait
lui rendre. Sans dire un mots, elle pointa un babillard sur un mur
auquel l'on pouvait voir des articles. L'un d'eux présentait un avis
de recherche. Le pauvre homme avait laisser sa vie de côté pour
vivre de son instrument et l'on ne l'aurais jamais revue depuis.
Lucas resta un moment, dans le silence. A observer la feuilles avant
de rebrousser chemin. Quand il mit la main sur la porte la tenancière
lui lança ces quelque mots :
« Si vous le retrouver, dite lui que
ces amis l'attende... non, dite luis que sa famille l'attende. »
ces mots lui brisa le cœur, il ne put
que lui promettre qu'il allait le faire, mais qu'il ne savait pas
s'il allait vraiment le revoir.
La soirée étais avancé et il n'avait
toujours pas trouver les mots pour la chanson et encore moins pour
commencer son manuscrit pour dame Amanda. De plus, son environnement
avait quelque chose de changer, il ne pouvait pas déceler quoi, mais
quelque chose étais différent. Une semaines passèrent sans que
mots s'écrivent, sans que ce vagabond au nom d'Arthur se pointa. Une
semaines à se sentir épier d'un regard lourd. Il ne pouvait cerner
le pourquoi, ni le comment, mes cette impression se fait toujours de
plus en plus lourd.
Lucas décida de repartir à la
recherche de ce vagabond et de se débarrasser une bonne fois pour
toute de ce fardeau qui le pesait. Pour se faire, il décida de
partir à sa recherche avec la guitare en main. Celle ci avait
parfumer son appartement d'une arôme floral car un pot pourri de
rose se dans un contenant coller et perforer qui étais disposer au
fond de la guitare. Notre journaliste avait chercher le centre ville
dans son entièreté ou presque sans succès. L'espace d'un instant,
lorsqu'il passa sous les haut parleur d'un établissement
d'électronique, l'on pouvait entendre le commentateur journalistique
dire ces mots :
« Rester à l'écoute! Après la pose
nous parlerons d'un jeune homme contraint à écrire une chanson pour
un vagabond mais qui ne mets pas l'effort de s'y attaquer...
...Mackay. »
Notre jeune homme n'y avait pas porter
attention au départs, mais dés qu'il entendue son nom, ces propos
résonnait dan on esprits comme un avertissement d'un devoir non
fait. En se retournant il vit le journaliste une fraction de seconde
avant la pose, qui peut importe la disposition dans l'écran dans
lequel il était , ce dernier le fixait du regard. Cette
avertissement lui glaçait le sang. Sans doute que la magie de la
sorcière y était derrière, mais pourquoi? Nul moyen de savoir.
Lucas arriva au café des poètes
décidé à mettre sur papier quelque ligne, des idées qui lui vin
sur le moment. À moins d'une demi heure de la fermeture, il demanda
un thé et de quoi écrire pour se mettre à l'ouvrage. La dame lui
sortie un crayon et des feuilles destiner au recyclage, ce qui
faisait amplement l'affaire de Mackay. Il se mis à l'ouvrage tendis
que la serveuse alla chercher son thé. Mackay se mis a l'ouvrage dé
qu'il pue mais ce qui lui semblait de routine étais pour les autres
une vision d'horreur. La guitare disposer sur la chaise devant lui
s'était mise à léviter tendis que les lumières se balançait en
changeant de luminosité constamment. Au yeux de notre écrivain, il
se voyait écrire d'un bon rythme, mais dans les fait, il avait la
tête pencher et les paume ouverte vers le ciel avec la plume qui
bougeait d'elle même dans sa main. Certain fuyaient d'autre ne
pouvait qu'assister au troublant spectacle qui durait le temps de
remplir cinq page.
Se retournant pour demander si la
boisson étais finalement prête, Il vue la tenancière subjuguer qui
par son ébahissement avait laisser couler sur le sol le thé.
« Madame, demanda t-il. Vous allez
bien? »
Le regard de la dame changea pour de la
colère et elle se mis à lui crier des noms et lui sommait de sortir
de son établissement, ce qu'il fit promptement. Il ne le savait pas
encore, mais un jeune homme le suivait depuis quelque moment. Ce
dernier l'interpella de loin par son nom de famille. Intriguer, Lucas
alla à sa rencontre. Un jeune homme au look un peut gothique avec
ces vêtement noir mat et ces long cheveux plat. Notre protagoniste
se rappelait l'avoir vue dans le café plus tôt et lui demanda :
« Comment sait tu mon nom? »
« Un murmure dit je gothique, Un
murmure que j'ai entendue au début de ta séance de spiritisme. »
Lucas afficha un regard perplexe,
restant muet.
« Ne me dit pas que tu en a pas eut
conscience? Dit le jeune homme. Les lumières, la guitare qui bouge
tout seul, tu na rien vue? »
« Je peut savoir à qui j'ai à faire,
demanda Lucas suspicieux. Je n'ai pas l'impression de vous connaître.
»
Au tours du jeune gothique de ce
présenter au nom évocateur de Ash Stone(cendre pierre). Il lui
expliqua par la suite ce qu'il vit au café, ce qui ne manqua pas de
faire pâlir Lucas. Celui-ci voulu discréditer le jeune homme en lui
pointant son ouvrage pour s’apercevoir que non seulement il ne
reconnaissait pas les dires écrits, mais aussi que les mots étais
accompagner de note s'apparentant à des accords et des brides de
partitions. Constatant qu'il avait probablement raison, Mackay ne
manqua pas de maudire la sorcière qui lui faisait perdre raison.
Sans même prévenir, il couru vers son appartement pour examiner le
manuscrits.
Ces mots était une découverte pour
l'écrivain. Une courte chansons en palindrome suivit d'une mélodie
d'allure simple qui ne pouvait déchiffrer de lui même. Il tenta de
répéter l'expérience à plusieurs reprise sans succès. Les tours
de passe passe de la foraine ce saurait-il estomper? Il n'en étais
pas moins intriguer de la raison que tout tournait autours de cette
individue. Ce n'est que quelque jours plus tard qu'un de ces amis
d'enfance vin lui rendre visite et qu'il entendue pour le première
fois l'œuvre de la main d'un musicien. Cette mélodie étais bien au
delà de ces espérances et faisait l'envie de son amis qui
souhaitait la garder pour lui, mais Lucas refusa prétextant que ce
morceau servirait à un artiste qui en as grandement de besoins. Il
n'en fallut pas moins pour son amis au grand cœur pour répondre :
« Hé bien dans ce cas, laisse moi
remettre sa guitare en états. »
Profitant du fait qu'il retirait les
corde de sois, Lucas sortis le contenant de pot pourri de la guitare
pour satisfaire sa curiosité. Fait de pétale de roses, de noix et
de zeste d'agrume, le contenus parfumer laissait paraître un bout de
papier parchemin plier dont les pointes était éroder par le
frottement. Celui ci contenais les mots suivent :
«Un message pour ceux qui
me lise au dos de la rose en noir.
Milles mondes n'aurons
jamais eut les même passions que je portais pour elle.
Ma rose, my lady, Milady.
Une fin tragique m'attend
mais sache que les arômes
quelle ma laisser
me suivront bien au delà
des frontières du vivent.
Milady Rose me montre le
chemin de l'aventure.
Les rose de my lady me
suivront tout au long de ma vie
et dans l'ombre d'une
sombre rose en noir. »
Suite à cette découverte, et les
corde fraîchement reposer, tout deux se mire à le chercher dans
Londres. L'après midi passa sans nouvelle du vagabond. Lucas ne
savait plus ou donner de la tête, mais son acolyte du moment proposa
de reprendre à partir de l’endroit ou ils l'avait vue la dernière
fois.
Une fois sur place, Lucas passait à
mainte reprise dans les rue et ruelle du cartier sans y trouver son
compte, mais il ne fallu qu'un passage à son amis d'enfance pour
découvrir un étroit passage d'à peine un pied de large entre deux
bâtiment couverte par un vieux panneau publicitaire faisant office
de porte. Les deux s'avançait dans l’étroite corridor pour
arriver à un espace clos remplis de détritus et boites de cartons.
L'on pouvait y déceler un foyer de fortune en son centre et un
amoncellement de boite et couverture et de boite dans lequel l'on
pouvait voir les pieds bleu d'un homme. Il étais bien sure trop tard
pour l'homme, mais Lucas insistais pour appeler de l'aide, du moins
pour venir chercher le corps.
La journée se terminait dans le
silence. Tout deux ne savait quoi dire sinon trinquer au nom du
pauvre homme. Ce fut ainsi que leur rencontre se termina avec un
accolade et un retour seul chez soit.
Cette nuit dans les bras de Morphée,
ces songes l'apportais dans un monde de papier et de lettre dont
l'écriture lus était familière. Il n'eut le temps de s'attarder au
écris qu'un personnage familier vin lui rendre visite. Arthur le
vagabond s'était assis sur un muret tapisser des même mots que ceux
sur la guitare et dons le mots amitié étais ajouter.
« Tu est mort, s'exclama Lucas. Avoir
sue que tu étais si mal au point, je t'aurais offert de l'aide! »
Artur fit un sourire rassurant et avec
la plus grande des candeurs commença un récit qui ne pouvait que
mettre un baume sur son cœur.
« Oui, je sais... Mon temps étais
due depuis fort longtemps. J'ai vécus pour l'amour de la poésie
comme un artiste pour son arts. Je l'ai suivi là ou elle devais me
mener et maintenant, tu m'apporte la dernière e mes poésie, en vers
et en accord. Je t'ai demander ce service pour enfin reprendre ma
place auprès de ma douce Rose. Je l'attend depuis si longtemps... »
Lucas repris d'une promesse :
« Tes amis me font dire que tu va leur manquer. Il t'attendait encore, mais c'est peine perdu...»
« Tes amis me font dire que tu va leur manquer. Il t'attendait encore, mais c'est peine perdu...»
« Je ne laisse ni famille, ni enfants
dans la douleur, dit Arthur. Seulement quelques inconnus dans le
deuil. Puisse t-il me pardonner de mon absence. »
Ainsi s’estompait le rêve au
première lueurs du matin. Le silence régnait dans l'appartement
tendis que Lucas avait encore cette mélodie en tête. Il devais
aller travailler, mais il en avait ni l'envie, ni l'énergie. Les
papier en mains, il étais affaler à la table de la cuisine,
chauffer par un rayon de soleil dorer. Cette instant ou la tristesse
fait place au regrets pesait lourd sur ces pensées. Il devais faire
quelque chose pour l'honorer au moins, mais première des choses, Il
devra sortir de son mutisme.
Il pris donc son chemin pour le café
rue Betterton. La caissière n'en étais pas moins mécontente de le
voir revenir, mais celui-ci n'en fit rien. Il alla au babillard
retirer l'avis de recherche et l'apporta au comptoir.
«Vous l'avez retrouver demanda la
caissière. »
Lucas répondit la mine base :
« Malheureusement, oui... »
Ces mots voulais tout dire. Il tourna
le dos à la femme avants de la saluer du revers de la main, la
laissant avec un nœud dans la gorge et les yeux plein d'eau. Le
jours même, il apporta au journal une lettre, sont récit pour la
rubrique nécrologique avants de reprendre congé. Un hommage digne
des mots qu'Arthur avait pour les roses. Cette parutions fut vibrer
Londres et dans les jours qui suivirent, l'entrée du lieu de sa mort
comme celui du café des poètes se tapissait de quelques roses et de
poèmes en son honneur.
Comme l'avait signifier Lucas dans
cette lettre, c’était maintenant à son tours de trouver cette
rose. Au fils de ces recherches, il découvrit la passion d'Arthur
non seulement pour la poésie et l’horticulture, mais aussi pour
l'histoire. Ce qui l’amena sur les traces d'une histoire aussi
folle que les propos de sont rêve. L'histoire d'une jeune fille
nommer Rose qui un samedi de 1916 devais quitter sa région natale
de Verdun en France affin d'échapper à la guerre et l’ostracisation
car elle se voulais païenne. Dans son épopée à travers le monde
elle tomba vite amoureuse d'un forain au nom d'Arthur avec qui elle
faisait un numéro de magie qui, un jours; finit par mal tourner,
mettant fin à un des duos les plus incroyable de ce temps. Selon la
presse de l'époque elle aurais promis de le ramener à elle.
La fin du mois approchait à grandement
et Lucas n'avait toujours pas mis une seul lettre sur ce que devait
être le récits d'un temps de fou pour une rose. Ils n'étais pas
sure d'être sur les bonne traces. De plus, la seul personne avec qui
il voulais en parler, se faisait absente. Le café qu'il côtoyait
n'étais pas le même sans Alice.
Une seconde révélation lui fit faite
lors d'un rêve la veille d' Halloween. Il reconnus la Liseuse de
bonne aventure qu'il croisa lors de voyage à l'époque Ou Amanda
rejoignit les forains. Bien qu'elle n se nommait jamais, il compris
que c’était la Rose en question. Elle le remercia de lui avoir
ramener son Arthur, elle le remerciait de l'avoir libérer de ce
mauvais sort, son erreur.
« Il faut que jeunesse se face lança
Lucas. J'ai maintenant un texte à rédiger... »
Et dés son réveil, il se mis à
l'écriture de cette histoire, tout en poésie. A son retour au
travail, William l'attendais avec un grand sourire.
« Mon fils, tes mots valent de l'or!
Laisse l'impression de côté veut tu, je vais faire de toi un
journaliste! Toujours près faire parti de la rédaction? »
Lucas le laissa pantois disent qu'il
allait y réfléchir, prétextant qu'il n'étais pas encore assidue
et qu'il se voyait maintenant plus romancier que journaliste.
Le soir même, il reçu l'appelle
d'Amanda et lui confia son histoire. Le sur lendemain, à son retour
au travail, il trouva une note parfumé dans ces affaires. Sans
l’ouvrir, il reconnus ce parfum doux. La lettre n'étais pas signé,
mais ils reconnus tous de suite à qui pouvait appartenir ces propos.
« Au fils des mots, je t'ai lue et au
fils de tes récits je t'ai crue. Ma parole n’étant pas la tienne,
personne ne crue ces mots, personne ne voulut aimer ces histoire
comme je les ai aimer. J'ai donc décider de vérifier la véracité
de tes dires et de partir un moment pour lire les mots des autres,
ceux qui ont été ton inspiration. Je suis peut-être qu'une
serveuse, mais je veut apprendre à capturer la vie, l'espace d'un
instant, comme tu le fait si bien. Je sais maintenant ce que je veut
faire dans la vie, merci! »
Prochain chapitre : Paris par les
vieil rues
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