dimanche 24 janvier 2016

Storyteller part 5


Ce chapitre mélodrame est peut-être un peut lourd contrairement à tous le reste de l'oeuvre, mais je voulais explorer la mélancolie ou plutôt le deuil. non pas que j'en suis as cette période de ma vie, mais je trouvait intéressent d'explorer tout les gammes d'émotions. si ça peut vous aider, j'ai composer ce texte en écoutant principalement la guitare d'Estas Tonne et du flamenco. 

Un chapitre, une aventure! j'ai déjà hâte de plonger dans l'écriture du prochain chapitre!


Chapitre 5. Un temps de fou pour une rose.


Face au mots de la foraine, Lucas c'était préparer à tout, saut à ce qu'il l'attendait. Dés le premier du mois, un homme dans la rue l'interpellait lui demandant s'il avait une chansons pour lui. De tout évidence cette homme n'étais pas dans la fortune, en d'autre terme, nous pourrions le qualifier de vagabond. Serte Lucas n'avais pas de quoi lui offrir, mais l'homme se faisait insistant, lui demandant à genoux même s'il pouvait lui offrir un texte et des notes à mettre sur sa guitares.

« Je suis désolé monsieur, répondit Mackay. Je n'ai pas de chansons à vous offrir ni l'inspiration pour ce genre de chose. »

Sans doute qu'il me voyait écrire au café, se disait Lucas. Le vagabond tendis alors sa guitare au jeune hommes :
« Alors, prend la et inspire toi. »

L’objet en soit étais magnifique pour son originalité et son aspect unique. Ces cordes en fil de sois dentaire remplaçait les cordes de nylon. Le manche étais entailler d'une profonde entaille à l'endos et commençait à noircir par l'utilisation. Sur le caisson, l'on pouvait voir quelque autocollant défraîchie sur le bas et des mots simple écris au feutre un peut au dessus de l’endroit ou l'on placerais la main. Amour, lumière et passion sont partiellement effacé et et plusieurs autre ne sont que des marque rendu illisibles par l'usure. Lucas la pris et fut étonner de découvrir à l'endos un dessin de fleur magnifique contrastant à peine avec la couleur foncé du dos de la guitare.

Lucas voulu refuser l'offre et rendre la guitare, mais le vagabond en question avait déjà fait sont chemin et avait disparue dans la foule soudaine.
« Quel dommage se disait notre écrivain, j'aurais voulu lui remettre, je ne sais même pas quoi en faire. »

Ce premier jours d'octobre étais un jours de travail, il fut obligé d’apporter l'instrument au travail, ce qui ne manqua pas de faire tourner les regards. Au fils des conversations avec ces collègues de travail il finit pas comprendre que le vagabond serais semblablement un des poètes de Betterton qui aurait sombrer dans la mélancolie. Une histoire à dormir debout par certain, une histoire plausible pour d'autre.

Les évidences pointant dans tout les directions, il décida en fin de son quart de travail d'aller jeter un coup d’œil. Sur les lieux, il trouva un café don la façade bleue et blanche portait le nom évocateur de Poetry Cafe. Le petit établissement étroits ne possédait que quelques tables éclairer par des lanterne de tissue jaunis couverte de quelques mots à l'ancre. Seulement trois personnes s'y trouvait en ce moment, incluant l'hôtesse. Arrivant au comptoir, il présenta la guitare et demanda s'il savait à qui appartenait cette guitare, qu'il devait lui rendre. Sans dire un mots, elle pointa un babillard sur un mur auquel l'on pouvait voir des articles. L'un d'eux présentait un avis de recherche. Le pauvre homme avait laisser sa vie de côté pour vivre de son instrument et l'on ne l'aurais jamais revue depuis. Lucas resta un moment, dans le silence. A observer la feuilles avant de rebrousser chemin. Quand il mit la main sur la porte la tenancière lui lança ces quelque mots :

« Si vous le retrouver, dite lui que ces amis l'attende... non, dite luis que sa famille l'attende. »

ces mots lui brisa le cœur, il ne put que lui promettre qu'il allait le faire, mais qu'il ne savait pas s'il allait vraiment le revoir.

La soirée étais avancé et il n'avait toujours pas trouver les mots pour la chanson et encore moins pour commencer son manuscrit pour dame Amanda. De plus, son environnement avait quelque chose de changer, il ne pouvait pas déceler quoi, mais quelque chose étais différent. Une semaines passèrent sans que mots s'écrivent, sans que ce vagabond au nom d'Arthur se pointa. Une semaines à se sentir épier d'un regard lourd. Il ne pouvait cerner le pourquoi, ni le comment, mes cette impression se fait toujours de plus en plus lourd.

Lucas décida de repartir à la recherche de ce vagabond et de se débarrasser une bonne fois pour toute de ce fardeau qui le pesait. Pour se faire, il décida de partir à sa recherche avec la guitare en main. Celle ci avait parfumer son appartement d'une arôme floral car un pot pourri de rose se dans un contenant coller et perforer qui étais disposer au fond de la guitare. Notre journaliste avait chercher le centre ville dans son entièreté ou presque sans succès. L'espace d'un instant, lorsqu'il passa sous les haut parleur d'un établissement d'électronique, l'on pouvait entendre le commentateur journalistique dire ces mots :

« Rester à l'écoute! Après la pose nous parlerons d'un jeune homme contraint à écrire une chanson pour un vagabond mais qui ne mets pas l'effort de s'y attaquer... ...Mackay. »

Notre jeune homme n'y avait pas porter attention au départs, mais dés qu'il entendue son nom, ces propos résonnait dan on esprits comme un avertissement d'un devoir non fait. En se retournant il vit le journaliste une fraction de seconde avant la pose, qui peut importe la disposition dans l'écran dans lequel il était , ce dernier le fixait du regard. Cette avertissement lui glaçait le sang. Sans doute que la magie de la sorcière y était derrière, mais pourquoi? Nul moyen de savoir.

Lucas arriva au café des poètes décidé à mettre sur papier quelque ligne, des idées qui lui vin sur le moment. À moins d'une demi heure de la fermeture, il demanda un thé et de quoi écrire pour se mettre à l'ouvrage. La dame lui sortie un crayon et des feuilles destiner au recyclage, ce qui faisait amplement l'affaire de Mackay. Il se mis à l'ouvrage tendis que la serveuse alla chercher son thé. Mackay se mis a l'ouvrage dé qu'il pue mais ce qui lui semblait de routine étais pour les autres une vision d'horreur. La guitare disposer sur la chaise devant lui s'était mise à léviter tendis que les lumières se balançait en changeant de luminosité constamment. Au yeux de notre écrivain, il se voyait écrire d'un bon rythme, mais dans les fait, il avait la tête pencher et les paume ouverte vers le ciel avec la plume qui bougeait d'elle même dans sa main. Certain fuyaient d'autre ne pouvait qu'assister au troublant spectacle qui durait le temps de remplir cinq page.

Se retournant pour demander si la boisson étais finalement prête, Il vue la tenancière subjuguer qui par son ébahissement avait laisser couler sur le sol le thé.

« Madame, demanda t-il. Vous allez bien? »

Le regard de la dame changea pour de la colère et elle se mis à lui crier des noms et lui sommait de sortir de son établissement, ce qu'il fit promptement. Il ne le savait pas encore, mais un jeune homme le suivait depuis quelque moment. Ce dernier l'interpella de loin par son nom de famille. Intriguer, Lucas alla à sa rencontre. Un jeune homme au look un peut gothique avec ces vêtement noir mat et ces long cheveux plat. Notre protagoniste se rappelait l'avoir vue dans le café plus tôt et lui demanda :
« Comment sait tu mon nom? »

« Un murmure dit je gothique, Un murmure que j'ai entendue au début de ta séance de spiritisme. »

Lucas afficha un regard perplexe, restant muet.

« Ne me dit pas que tu en a pas eut conscience? Dit le jeune homme. Les lumières, la guitare qui bouge tout seul, tu na rien vue? »

« Je peut savoir à qui j'ai à faire, demanda Lucas suspicieux. Je n'ai pas l'impression de vous connaître. »

Au tours du jeune gothique de ce présenter au nom évocateur de Ash Stone(cendre pierre). Il lui expliqua par la suite ce qu'il vit au café, ce qui ne manqua pas de faire pâlir Lucas. Celui-ci voulu discréditer le jeune homme en lui pointant son ouvrage pour s’apercevoir que non seulement il ne reconnaissait pas les dires écrits, mais aussi que les mots étais accompagner de note s'apparentant à des accords et des brides de partitions. Constatant qu'il avait probablement raison, Mackay ne manqua pas de maudire la sorcière qui lui faisait perdre raison. Sans même prévenir, il couru vers son appartement pour examiner le manuscrits.

Ces mots était une découverte pour l'écrivain. Une courte chansons en palindrome suivit d'une mélodie d'allure simple qui ne pouvait déchiffrer de lui même. Il tenta de répéter l'expérience à plusieurs reprise sans succès. Les tours de passe passe de la foraine ce saurait-il estomper? Il n'en étais pas moins intriguer de la raison que tout tournait autours de cette individue. Ce n'est que quelque jours plus tard qu'un de ces amis d'enfance vin lui rendre visite et qu'il entendue pour le première fois l'œuvre de la main d'un musicien. Cette mélodie étais bien au delà de ces espérances et faisait l'envie de son amis qui souhaitait la garder pour lui, mais Lucas refusa prétextant que ce morceau servirait à un artiste qui en as grandement de besoins. Il n'en fallut pas moins pour son amis au grand cœur pour répondre :
« Hé bien dans ce cas, laisse moi remettre sa guitare en états. »

Profitant du fait qu'il retirait les corde de sois, Lucas sortis le contenant de pot pourri de la guitare pour satisfaire sa curiosité. Fait de pétale de roses, de noix et de zeste d'agrume, le contenus parfumer laissait paraître un bout de papier parchemin plier dont les pointes était éroder par le frottement. Celui ci contenais les mots suivent :

«Un message pour ceux qui me lise au dos de la rose en noir.
Milles mondes n'aurons jamais eut les même passions que je portais pour elle.
Ma rose, my lady, Milady.
Une fin tragique m'attend
mais sache que les arômes quelle ma laisser
me suivront bien au delà des frontières du vivent.
Milady Rose me montre le chemin de l'aventure.
Les rose de my lady me suivront tout au long de ma vie
et dans l'ombre d'une sombre rose en noir. »
Suite à cette découverte, et les corde fraîchement reposer, tout deux se mire à le chercher dans Londres. L'après midi passa sans nouvelle du vagabond. Lucas ne savait plus ou donner de la tête, mais son acolyte du moment proposa de reprendre à partir de l’endroit ou ils l'avait vue la dernière fois.

Une fois sur place, Lucas passait à mainte reprise dans les rue et ruelle du cartier sans y trouver son compte, mais il ne fallu qu'un passage à son amis d'enfance pour découvrir un étroit passage d'à peine un pied de large entre deux bâtiment couverte par un vieux panneau publicitaire faisant office de porte. Les deux s'avançait dans l’étroite corridor pour arriver à un espace clos remplis de détritus et boites de cartons. L'on pouvait y déceler un foyer de fortune en son centre et un amoncellement de boite et couverture et de boite dans lequel l'on pouvait voir les pieds bleu d'un homme. Il étais bien sure trop tard pour l'homme, mais Lucas insistais pour appeler de l'aide, du moins pour venir chercher le corps.
La journée se terminait dans le silence. Tout deux ne savait quoi dire sinon trinquer au nom du pauvre homme. Ce fut ainsi que leur rencontre se termina avec un accolade et un retour seul chez soit.

Cette nuit dans les bras de Morphée, ces songes l'apportais dans un monde de papier et de lettre dont l'écriture lus était familière. Il n'eut le temps de s'attarder au écris qu'un personnage familier vin lui rendre visite. Arthur le vagabond s'était assis sur un muret tapisser des même mots que ceux sur la guitare et dons le mots amitié étais ajouter.

« Tu est mort, s'exclama Lucas. Avoir sue que tu étais si mal au point, je t'aurais offert de l'aide! »

Artur fit un sourire rassurant et avec la plus grande des candeurs commença un récit qui ne pouvait que mettre un baume sur son cœur.

« Oui, je sais... Mon temps étais due depuis fort longtemps. J'ai vécus pour l'amour de la poésie comme un artiste pour son arts. Je l'ai suivi là ou elle devais me mener et maintenant, tu m'apporte la dernière e mes poésie, en vers et en accord. Je t'ai demander ce service pour enfin reprendre ma place auprès de ma douce Rose. Je l'attend depuis si longtemps... »

Lucas repris d'une promesse :
« Tes amis me font dire que tu va leur manquer. Il t'attendait encore, mais c'est peine perdu...»

« Je ne laisse ni famille, ni enfants dans la douleur, dit Arthur. Seulement quelques inconnus dans le deuil. Puisse t-il me pardonner de mon absence. »

Ainsi s’estompait le rêve au première lueurs du matin. Le silence régnait dans l'appartement tendis que Lucas avait encore cette mélodie en tête. Il devais aller travailler, mais il en avait ni l'envie, ni l'énergie. Les papier en mains, il étais affaler à la table de la cuisine, chauffer par un rayon de soleil dorer. Cette instant ou la tristesse fait place au regrets pesait lourd sur ces pensées. Il devais faire quelque chose pour l'honorer au moins, mais première des choses, Il devra sortir de son mutisme.

Il pris donc son chemin pour le café rue Betterton. La caissière n'en étais pas moins mécontente de le voir revenir, mais celui-ci n'en fit rien. Il alla au babillard retirer l'avis de recherche et l'apporta au comptoir.

«Vous l'avez retrouver demanda la caissière. »

Lucas répondit la mine base :
« Malheureusement, oui... »

Ces mots voulais tout dire. Il tourna le dos à la femme avants de la saluer du revers de la main, la laissant avec un nœud dans la gorge et les yeux plein d'eau. Le jours même, il apporta au journal une lettre, sont récit pour la rubrique nécrologique avants de reprendre congé. Un hommage digne des mots qu'Arthur avait pour les roses. Cette parutions fut vibrer Londres et dans les jours qui suivirent, l'entrée du lieu de sa mort comme celui du café des poètes se tapissait de quelques roses et de poèmes en son honneur.

Comme l'avait signifier Lucas dans cette lettre, c’était maintenant à son tours de trouver cette rose. Au fils de ces recherches, il découvrit la passion d'Arthur non seulement pour la poésie et l’horticulture, mais aussi pour l'histoire. Ce qui l’amena sur les traces d'une histoire aussi folle que les propos de sont rêve. L'histoire d'une jeune fille nommer Rose qui un samedi de 1916 devais quitter sa région natale de Verdun en France affin d'échapper à la guerre et l’ostracisation car elle se voulais païenne. Dans son épopée à travers le monde elle tomba vite amoureuse d'un forain au nom d'Arthur avec qui elle faisait un numéro de magie qui, un jours; finit par mal tourner, mettant fin à un des duos les plus incroyable de ce temps. Selon la presse de l'époque elle aurais promis de le ramener à elle.

La fin du mois approchait à grandement et Lucas n'avait toujours pas mis une seul lettre sur ce que devait être le récits d'un temps de fou pour une rose. Ils n'étais pas sure d'être sur les bonne traces. De plus, la seul personne avec qui il voulais en parler, se faisait absente. Le café qu'il côtoyait n'étais pas le même sans Alice.

Une seconde révélation lui fit faite lors d'un rêve la veille d' Halloween. Il reconnus la Liseuse de bonne aventure qu'il croisa lors de voyage à l'époque Ou Amanda rejoignit les forains. Bien qu'elle n se nommait jamais, il compris que c’était la Rose en question. Elle le remercia de lui avoir ramener son Arthur, elle le remerciait de l'avoir libérer de ce mauvais sort, son erreur.

« Il faut que jeunesse se face lança Lucas. J'ai maintenant un texte à rédiger... »

Et dés son réveil, il se mis à l'écriture de cette histoire, tout en poésie. A son retour au travail, William l'attendais avec un grand sourire.
« Mon fils, tes mots valent de l'or! Laisse l'impression de côté veut tu, je vais faire de toi un journaliste! Toujours près faire parti de la rédaction? »

Lucas le laissa pantois disent qu'il allait y réfléchir, prétextant qu'il n'étais pas encore assidue et qu'il se voyait maintenant plus romancier que journaliste.

Le soir même, il reçu l'appelle d'Amanda et lui confia son histoire. Le sur lendemain, à son retour au travail, il trouva une note parfumé dans ces affaires. Sans l’ouvrir, il reconnus ce parfum doux. La lettre n'étais pas signé, mais ils reconnus tous de suite à qui pouvait appartenir ces propos.

« Au fils des mots, je t'ai lue et au fils de tes récits je t'ai crue. Ma parole n’étant pas la tienne, personne ne crue ces mots, personne ne voulut aimer ces histoire comme je les ai aimer. J'ai donc décider de vérifier la véracité de tes dires et de partir un moment pour lire les mots des autres, ceux qui ont été ton inspiration. Je suis peut-être qu'une serveuse, mais je veut apprendre à capturer la vie, l'espace d'un instant, comme tu le fait si bien. Je sais maintenant ce que je veut faire dans la vie, merci! »


Prochain chapitre : Paris par les vieil rues

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