Bon, le principale avantage de ne plus avoir d'emploie, c'est que je peut me lever en plaine nuit et écrire mes trucs. Par contre, je me retrouve à somnoler tout la journée et manquer la plupart des truc que je me disait de faire... Au moins, je ne manque pas d'imagination pour la suite des choses.
Bonne lecture!
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( Chapitres antérieur )
Chapitre 16, Dans le sang
Mon retour est plus que douloureux. Mes os me font mal et ma vue est plus que floue. Je ne peux que crier, tant par joie que par douleur sans qu’aucun sons ne s’échappe de ma gorge.
« Ha… Il revient enfin à lui.»
Ce tons de voie m’ai familière, mais ce grain lugubre et désincarner lui enlève tout trace d’humanité. Je distingue les gestes de deux personnes mais je ne peux voir que leurs silhouettes.
«
Peut-il nous entendre, demande l’ombre à ma droites. Pourquoi prend-il autant
de temps? »
La
seconde personne lui répondit avec un ton enjouer :
« Ne soit pas si presser, il doit encore revenir à lui. »
« Ne soit pas si presser, il doit encore revenir à lui. »
Cette
voie m’est plus que familière. Seul le souvenir d’un homme noir et de l’amertume
me revient. Après considération, je me souviens. Ce faucheur d’âmes est encore au-dessus
ma carcasse. Mais qui donc est avec lui?
Quelques
minutes encore et je voie plus que des ombres et lumières et je peux murmurer
quelques mots. Baron est les premiers mots que je viens qu’à dire pour ensuite
lui demander ce qui m’ai arrivé.
« Hé bien, dit baron Samedi. Elle a Réussi et non. Tu n’as plus cette chausse en toi, mais elle se balade dans les rues de la ville avec ce qu’elle a pris de toi. Soit une bonne partie de ta chaire et tes entrailles. Encore heureux que tu ne sois pas humain. »
« Hé bien, dit baron Samedi. Elle a Réussi et non. Tu n’as plus cette chausse en toi, mais elle se balade dans les rues de la ville avec ce qu’elle a pris de toi. Soit une bonne partie de ta chaire et tes entrailles. Encore heureux que tu ne sois pas humain. »
Étonné
de ce verdict, je tentai de me relever pour découvrir que ma peau est ouverte
de partout et que mes entrailles sont partout sur la table, laissant mon cœur battre
à découvert et mes poignets décharnés de mes mains. L’effroi m’emplie, mais pour
une raison que j’ignore, aucune expression ne sortais de moi. Je suis mort et
revenus à la vie pour découvrir que je vais bientôt mourir? Ça ne fait pas de
sens.
«
Je suis quoi, lui demandai-je. Un zombie? Qu’est-ce qui m’arrive? »
La seconde personne qui pour le moment était resté à l’écart vin répondre à mes questions :
« Ne te détrompe pas, tu es bien vivent, et plus que je peux l’être. Détourner le corps que le malin à conçu pour venir sur cette terre et l’enfouir au plus profond de ta personne ressort d’un acte divin, en quelque sorte. »
La seconde personne qui pour le moment était resté à l’écart vin répondre à mes questions :
« Ne te détrompe pas, tu es bien vivent, et plus que je peux l’être. Détourner le corps que le malin à conçu pour venir sur cette terre et l’enfouir au plus profond de ta personne ressort d’un acte divin, en quelque sorte. »
« J’ai tu
l'air de jésus, lui dis-je sans regarder. Je veux bien croire que je reviens de l'autre
bord mais je ne suis pas un saint, compris! Me traiter d’antéchrist, non mais…»
Je me suis retourné vers ce planétaire
pour constater à qui je faisais affaire. Ces rastas terreux, cette peau curieuse
tendue sur ce corps sans vie et ces orbites creuse sinon qu’un brin de lumière
maléfique qui en sortait me glaça le sang. Il est supposé être mort de ma main,
mais le voilà de retour. Il se leva d’un geste brusque et avança, me disent d’un
air hargneux :
« Ecoute moi bien, je suis ici qu’un seul et unique raison. Me venger et venger ma mère de celui qui la réduit au silence. »
« Ecoute moi bien, je suis ici qu’un seul et unique raison. Me venger et venger ma mère de celui qui la réduit au silence. »
Le décor était fixé. Tout autours,
les objets étaient fracasser, projeter au sol avec un mélange de sang des long
cheveux de la tignasse de cette chamane qui de tout évidence reposait un peu
partout dans cette salles. J’ai délivré un mal qui ne devrait exister en ce
monde et de toute évidence, il est venu nous anéantir. Un silence pesant fut ma
réplique, une voie muette qui de sons sens demanda un pardon inavoué.
Une question me vin soudainement à
l’esprit :
« Comment êtes-vous venus à croire
que je suis l’antéchrist? Ou plutôt, comment se fait-il que baron Samedi ne m’ai
encore rien dit? Hé puis, ça ne fait pas de sens, comment un faucheur peut
retenir le diable en personne? »
« Il en est rien, me répondit froidement
le baron. Ce corps n’est pas le tien et les démons ne sont qu’une espèce bannis
de ce monde. Ils ne sont pas tousse l’ange déchue que tu dépeins. De plus, ne m’appelle
pas faucheur, je ne suis pas l’Ankou. S’il y a quelqu’un que tu ne veux pas croiser
sur ton chemin, c’est bien ce passeur vide de tout compassion et avide de cette
énergie qui habite les vivent. Il est si longtemps sur terre qu’il en a perdu
son humanité et traques ceux qui sont en fin de vie comme un animal le ferait. Près
à déchiqueter le corps de ces victimes pour en aspirer toute parcelle de vie. »
Le revenant lui demanda si nous allions
le rencontrer sur notre quête contre ce démon et le Baron lui répondit
froidement que les démons sont encore plus avide de cette énergie que peut l’être
un passeur.
« Si je comprends bien, lui dis-je.
Tu me suis seulement parce que je suis ton garde mangé. »
Le baron vin à me reprendre :
« Nous ne la consommons pas. Je
dirais que nous la subissons. Un-peut comme vous sentez cette énergie, ce
frisson dans les manèges d’un parc d’attraction. Peux-tu te relever maintenant?
»
Sans m’en rendre vraiment conte, mon corps c’est régénérer dans la presque entièreté. Je pouvais désormais me relevé et tituber le temps que reprenne forme mes os, mes muscles et tendons. Nous sommes enfin sortis de ce carnage, paré pour suivre la route ensanglanté que nous laissa ce démon.
Sans m’en rendre vraiment conte, mon corps c’est régénérer dans la presque entièreté. Je pouvais désormais me relevé et tituber le temps que reprenne forme mes os, mes muscles et tendons. Nous sommes enfin sortis de ce carnage, paré pour suivre la route ensanglanté que nous laissa ce démon.
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