dimanche 3 janvier 2016

Storyeller part 2

Il est tard et le chapitre est particulièrement long. J’espère que vous saurez apprécier ce récit car Il me fait terriblement plaisir de l'écrire. Je crois que j'ai trouver mon histoire, celle qui me correspond. Qu'en dite vous?

Chapitre 1


Chapitrtre 2, Le poing Dublinois 



Deux semaines ont passer depuis la dispute avec son paternel, Luca ne pouvais pas croire que son père puisse être aussi désobligent envers les gens du voyage.

« Comment peut-il dire de telle bêtises, se demandait-il. j'ai eut l'impression d'entendre des propos moyenâgeux. »

Néanmoins, Depuis ce jours, il avait fait beaucoup de chemin, il commença son travail à l'impression, seul avec les presses et les deux frères Toms. Deux joyeux luron, fier et joviale qui ont un sens de l’accueil. Ils ont pour leur dire qu'un retard se reprend le soir, ce qui valus à Lucas d'arriver près de 30 minutes plus tôt que les frères.Il n'étais rien de dire que ces deux gaillard avait une cadence de travail qui voilait leur retard.

Au fils des conversation, il en vire à parler du récit que notre protagoniste tente désespérément de remettre sur pied. C'est à la fin du quart de travail que l'un des frères vin à lui dire, exaspéré :
« Pourquoi ne va-tu pas là ou l'histoire sait passer? L’Irlande, ce n'est pas si loin et je ne crois pas que le patron verra ton absence, pas en notre nom. »

De tout évidence, ce dernier n'avait pas la notion des distances. Savait-il au moins que pour se faire, il devra traverser le pays dans sa largeur et faire un tours de ferry. N'en reste pas moins que l'idée germa dans son esprits tout au long de sa marche au retour vers son appartement. Son repas décongelé et le sons de la lumière au plafond lui étais insupportable et sur un coup de tête, il pris le chemin de la gare d'autobus, juste à temps pour prendre le 19 heure. Un chemin de bercé par le ronronnement du moteur avec pour seul bagage, son cahier, son cellulaire et riens de plus que son porte feuille. La fébrilité laissa place au sommeil après un moment.

Réveiller au petite heures du matin par le chauffeur qui venais qui nota sin inertie :
« Hé! debout l'ami, Tu est à Dublin. Va donc prendre un café au restaurent au coins de la rue, ils ont un très bon cuisinier. »

Encore tout étourdis, Luca mis les pieds hors du busse, éblouis par les premières lueur du matin. Son brin de folie lui passa durent son sommeil et il maudissait maintenant sa pulsions de la veille. En sa bouche l'air salin lui donnais pour seul envie de boire une eau des plus fraîche pour se débarrasser de son haleine et de son estomac renverser. Avec le peut d'argent qu'il avait pour son retour, il ne pouvait se payer plus qu'une tasse de thé et peut-être une barre de chocolat, néanmoins, il entra quand même dans ce soit disent restaurent qui étais habiter pour le moment que par les travailleurs du matin. De bouche à oriels, Lucas tenta de rassembler les pièces d'un puzzle sans image. Bien la méfiance des irlandais envers le britannique qu'il représente, certains se laissait au jeux pour lui parler soit du dimanche sanglant (Bloddy Sunday) ou encore de la révolution de 1798 sans pour autans trouver quelque chose qui lui semblais appartenir à l'histoire des forains, rien de cela lui parlait et pour aussi peut qu'il recueillait les notes que l'on lui dictais, Il ne trouvait pas son comptes. Ce récit unique que lui inspire ces idées d'aventure ou de héros que pouvait contenir le grand livre des forains.

À la vue de son désarroi, une enfants bien matinale lui demanda ce qu'il cherchait. Avec simplicité, il répondu qu'il cherchait l'histoire d'une personne extraordinaire a qui l'on avait donner que pour indice le titre de son récits. La jeune fille eut un moment de silence avants de commenter :

« Mon grand-papa me racontais souvent l'histoire d'un ami qu'il connus juste avant de marier mammy. »
Suite à une grande inspiration, les yeux fermer, elle commença à dicter l'histoire comme son grand-père luis contais, mots pour mots :

« Un bon matin de mai, sous le soleil et le ciel bleu, mon grand-papa Emmet marchait vers la maison d'Aline avec un bouquet de fleur à la main. C’était son premier rendez-vous avec Grand-maman. Il devais l’accompagner au tailleur pour ensuite aller au restaurent. C'est à ce moment qu'il vue un petit garçon, à peine plus vieux que moi, je dirais. Il étais tout bronzé, les cheveux rasé et habiller d'un habit orange, il tenais sur son épaules un baluchon dans lequel l'on voyait une miche de pain et une boite de métal tout gravé à la main. Il mendia à mon grand-papa par ces geste de quoi à manger. Toucher par la demande du petit garçon au yeux bridé, il l'invita à le suivre jusque chez son amoureuse. Ce qui fut une surprise pour elle de le voir avec son petit amis. Bien que les temps pouvait être dure, mammy lui offrais tous de même un repas riche avec des œufs des pomme de terres et un grand verre de lait. Le petit garçons se régalais et souriait de toute ces dents et une fois qu'il eut finis son repas, il les saluas d'une main droite à la verticale et penchant la tête avant de partir. la main comme ça, reprit-elle en imitant le mouvement. »

Tout surpris de ce récits, notre écrivain pris en vitesse les paroles de la jeune fille dans son cahier. Sans attendre celui-ci, elle repris de plus belle.

« La matinée avait bien avancé et ils commençait à être avancé quand ils ce sont rendu à leur rendez-vous chez le tailleur, ce qui déplaisait à la couturière, mais leur petit récit du matin avait tôt fait de briser la mauvaise humeur dans le commerce. Grand-papa voulait un veston tout neuf pour son nouvel emploie à la gare d'Heuston. À leur sortie, il le recroisèrent sur le pavé donnant une performance tout en agilité et une force incroyable pour sa petite taille. Il étais un moine de combat, Un Chaolin. C'était la première fois qu'un telle voyageur s’arrêta dans la capitale et bien son originalité et la couleur qu'il donnait au rue en ce moment, peut de gens le regardait et il ne gagna que quelque boutons pour sa performance. Son baluchons s'était transformer en un bâton manier par le plus agile des guerrier. Il finit sa performance grimper au bout de sa perche comme s'il c'était d'un arbre bien enraciné, en saluent la petite foule. Aline était charmé par le moine et trouvait triste de le laisser à lui même dans la ville. Elle décida donc de laisser tomber le restaurent et proposa un pique-nique à trois dans les plaines. La température étais très clémente et seul une brise fraîche coupais la chaleur porter par le soleil. » 

Les notes de Lucas accompagnait d’esquisse pour palier le manque de descriptions vue la vitesse de la diction de la petite fille. Regardant ces dessins, la petite pris une pose avant de se relancer avec un grand sourie.

« C'est en route qu'ils commença à discuter, le petit garçons avait bien du mal à suivre, mais il semblais déchiffrer ce qu'ils disait. Le repas fut ponctuer de rire et de simagrée pour se faire comprendre. Malheureusement, Des chiens errant, entendant ces bruits, sont venus pour voler le goutté. Le gamin comme Grand-papa l'appelait, le gamin commença à défendre le couple et la nappe contre la meute Jusqu'à ce qu'un très grand chien s'imposa à la meute par son grognement, Il étais tout de muscle et devais facilement faire la hauteur du gamin à l'épaule. Il avait une tête en ballon de rugby et les Yeux d'un rouge furieux. Grand-maman et grand-papa avait fuis vers la voiture et le suppliait de faire pareil, mais le petit moine étais sans peur. Il resta face à ce monstre, la main à la verticale comme je l'ai dit plus tôt. Il ne bougea pas, même quand ce monstre s'approcha nez à nez avec le moine. »

Fébrile, la demoiselle pris une respiration et finit son récit :

« Le gros chien se mis à le sentir avant de repartir terrifier devant la force que dégageait le petit moine. Mammy n'en croyait pas ces yeux et pleurait. Quand les chien sont repartis, elle couru le prendre dans ces bras. Grand-père étais épaté, une fois que mammy le relâcha, il plongea la main dans sa poche et lui donna un médaillon de la vierge marie qu'il gardais comme portait bonheur, lui disent à quel point il étais un héros. Le moine les salua encore une fois en plaçant la main devant et grand-papa fit pareil. Le moment dura jusqu'à ce qu'une Chienne blanche au ventre tout rond vin se coucher au coté de la nappe en quémandent. Le petit garçons la flatta et lui donna une partis de son repas. Ce fut le début de leur amitié. Plus tard dans la journée, Emmet demanda au petit garçon pourquoi il étais à Dublin. Il répondit pour voir la Saint-Patrick, mammy répondit qu'il étais bien tard pour la fête, ce c'était il y as quatre mois. Il répondit alors qu'il visitera l’Amérique et partis le torse bombé pour seulement se retourner au bout de la rue et saluer mes grands-parents accompagner de sa chienne qui avait une surprise pour lui... ...des petits bébés chiots! »

Notre écrivain pris une bonne minutes à finalisée récit et la remercia pour l'histoire. Avant même qu'elle puisse dire quoi que ce soit, la tenancière lança :

« Ne prenez pas au pied de la lettre les histoire de mon père, ce sont des histoire pour les en...»

La tenancière qui étais de tout évidence la mère de la jeune fille s’était arrêter net dans ces dire et afficha un aire béa en regardant à l'extérieur. Un Homme tout en muscle à la tête grise, en habit de moine tenait un sac d'une main et un grand bâton de l'autre. Il semblait chercher quelque chose du regard tendis qu'un chien blanc avec une tache grise à sur la tête et le fessier humais l'air assis sur le sol. Le restaurent étais présentement vide, entre deux repas. Elle se précipita à l'extérieur suivit de sa fille. Elle posa quelque question avant de venir les yeux en larme et de lui prendre la main. Sur ces lèvres, Lucas pouvait lire :
« Mais tu Existe! »

Le restaurent fut fermer pour le reste de la journée, l'écrivain, le moine et la fille ont eut une journée incroyable à écouter les histoires du moines du temps de son enfance, de Dublin à l'Amérique et sa rencontre avec les forain et sa route du le Canada à son retour en chine par l'Alaska et la Russie pour reprendre la route quelque années plus tard pour enfin combler un rêve d'enfants, vivre la Saint-Patrick comme Il l'entendit de la bouche d'un voyageur. Le cahier fut vite remplis et la petite fille fut ravis de donner un cahier d'école pour qu'il puisse tout noter.

C'est après un bon repas offert par la maison que Lucas les laissa pour retourner chez lui, en leur promettant de revenir avec un propre du récit dans un livre pour eux.

Bien-sur, son absence ne passa pas inaperçue. Mr. William étais mécontent du manque de rigueur de son fils, mais il ne pouvait lui en vouloir trop car plus jeune, Il avait la même fougue et il étais tout aussi impulsif, ce qu'il sut exploité et ce qu'il espère que Lucas sache faire.

La fin du mois approcha et le téléphone sonna, c'était la foraine. Elle écouta en silence le récit de Lucas et répondit :
« Vous avez sue trouver bien plus que ce que les mots, vous avez sue trouver les émotions de l'histoire. Pour la suite, Je crains fort que nous devrons vous aider, à commencer par le titre. Samouraï moderne. »

Lucas Surpris, demanda :
« Mais ou voulez vous que je trouve un Samouraï à Londres. Vous ne comptez tous de même pas que je voyage jusqu'au japon pour cela, J'ai peut-être des moyens, Mais je ne suis pas riche à ce points. »

La vieil dame lui répondit pour finir la conversation :
« Ne sous-estimez pas les forains, Ne sous-estimez pas la porté des histoire, mais surtout, ne vous sous-estimez pas et en la magie qui entoure les mots. »

Elle raccrocha, le laissant dans le questionnement. Il ne l'avait pas remarquer encore, mais un point dorer c'était ajouter sur Dublin sur la carte graver dans le cuivre à l'entrer de son appartement. La magie as commence son œuvre.  

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