Chapitre 1
Chapitrtre 2, Le poing Dublinois
Deux semaines ont passer depuis la dispute avec son paternel, Luca ne pouvais pas croire que son père puisse être aussi désobligent envers les gens du voyage.
« Comment peut-il dire de telle bêtises, se demandait-il. j'ai eut l'impression d'entendre des propos moyenâgeux. »
Néanmoins, Depuis ce jours, il avait fait beaucoup de chemin, il commença son travail à l'impression, seul avec les presses et les deux frères Toms. Deux joyeux luron, fier et joviale qui ont un sens de l’accueil. Ils ont pour leur dire qu'un retard se reprend le soir, ce qui valus à Lucas d'arriver près de 30 minutes plus tôt que les frères.Il n'étais rien de dire que ces deux gaillard avait une cadence de travail qui voilait leur retard.
Au fils des conversation,
il en vire à parler du récit que notre protagoniste tente
désespérément de remettre sur pied. C'est à la fin du quart de
travail que l'un des frères vin à lui dire, exaspéré :
« Pourquoi ne va-tu pas là
ou l'histoire sait passer? L’Irlande, ce n'est pas si loin et je ne
crois pas que le patron verra ton absence, pas en notre nom. »
De tout évidence, ce
dernier n'avait pas la notion des distances. Savait-il au moins que
pour se faire, il devra traverser le pays dans sa largeur et faire un
tours de ferry. N'en reste pas moins que l'idée germa dans son
esprits tout au long de sa marche au retour vers son appartement. Son
repas décongelé et le sons de la lumière au plafond lui étais
insupportable et sur un coup de tête, il pris le chemin de la gare
d'autobus, juste à temps pour prendre le 19 heure. Un chemin de
bercé par le ronronnement du moteur avec pour seul bagage, son
cahier, son cellulaire et riens de plus que son porte feuille. La
fébrilité laissa place au sommeil après un moment.
Réveiller au petite heures
du matin par le chauffeur qui venais qui nota sin inertie :
« Hé! debout l'ami, Tu est à Dublin. Va donc prendre un café au restaurent au coins de la rue, ils ont un très bon cuisinier. »
« Hé! debout l'ami, Tu est à Dublin. Va donc prendre un café au restaurent au coins de la rue, ils ont un très bon cuisinier. »
Encore tout étourdis, Luca
mis les pieds hors du busse, éblouis par les premières lueur du
matin. Son brin de folie lui passa durent son sommeil et il
maudissait maintenant sa pulsions de la veille. En sa bouche l'air
salin lui donnais pour seul envie de boire une eau des plus fraîche
pour se débarrasser de son haleine et de son estomac renverser. Avec
le peut d'argent qu'il avait pour son retour, il ne pouvait se payer
plus qu'une tasse de thé et peut-être une barre de chocolat,
néanmoins, il entra quand même dans ce soit disent restaurent qui
étais habiter pour le moment que par les travailleurs du matin. De
bouche à oriels, Lucas tenta de rassembler les pièces d'un puzzle
sans image. Bien la méfiance des irlandais envers le britannique
qu'il représente, certains se laissait au jeux pour lui parler soit
du dimanche sanglant (Bloddy Sunday) ou encore de la révolution de
1798 sans pour autans trouver quelque chose qui lui semblais
appartenir à l'histoire des forains, rien de cela lui parlait et
pour aussi peut qu'il recueillait les notes que l'on lui dictais, Il
ne trouvait pas son comptes. Ce récit unique que lui inspire ces
idées d'aventure ou de héros que pouvait contenir le grand livre
des forains.
À la vue de son désarroi,
une enfants bien matinale lui demanda ce qu'il cherchait. Avec
simplicité, il répondu qu'il cherchait l'histoire d'une personne
extraordinaire a qui l'on avait donner que pour indice le titre de
son récits. La jeune fille eut un moment de silence avants de
commenter :
« Mon grand-papa me
racontais souvent l'histoire d'un ami qu'il connus juste avant de
marier mammy. »
Suite à une grande
inspiration, les yeux fermer, elle commença à dicter l'histoire
comme son grand-père luis contais, mots pour mots :
« Un bon matin de mai,
sous le soleil et le ciel bleu, mon grand-papa Emmet marchait vers la
maison d'Aline avec un bouquet de fleur à la main. C’était son
premier rendez-vous avec Grand-maman. Il devais l’accompagner au
tailleur pour ensuite aller au restaurent. C'est à ce moment qu'il
vue un petit garçon, à peine plus vieux que moi, je dirais. Il
étais tout bronzé, les cheveux rasé et habiller d'un habit orange,
il tenais sur son épaules un baluchon dans lequel l'on voyait une
miche de pain et une boite de métal tout gravé à la main. Il
mendia à mon grand-papa par ces geste de quoi à manger. Toucher
par la demande du petit garçon au yeux bridé, il l'invita à le
suivre jusque chez son amoureuse. Ce qui fut une surprise pour elle
de le voir avec son petit amis. Bien que les temps pouvait être
dure, mammy lui offrais tous de même un repas riche avec des œufs
des pomme de terres et un grand verre de lait. Le petit garçons se
régalais et souriait de toute ces dents et une fois qu'il eut finis
son repas, il les saluas d'une main droite à la verticale et
penchant la tête avant de partir. la main comme ça, reprit-elle en
imitant le mouvement. »
Tout surpris de ce récits,
notre écrivain pris en vitesse les paroles de la jeune fille dans
son cahier. Sans attendre celui-ci, elle repris de plus belle.
« La matinée avait bien
avancé et ils commençait à être avancé quand ils ce sont rendu à
leur rendez-vous chez le tailleur, ce qui déplaisait à la
couturière, mais leur petit récit du matin avait tôt fait de
briser la mauvaise humeur dans le commerce. Grand-papa voulait un
veston tout neuf pour son nouvel emploie à la gare d'Heuston. À
leur sortie, il le recroisèrent sur le pavé donnant une performance
tout en agilité et une force incroyable pour sa petite taille. Il
étais un moine de combat, Un Chaolin. C'était la première fois
qu'un telle voyageur s’arrêta dans la capitale et bien son
originalité et la couleur qu'il donnait au rue en ce moment, peut de
gens le regardait et il ne gagna que quelque boutons pour sa
performance. Son baluchons s'était transformer en un bâton manier
par le plus agile des guerrier. Il finit sa performance grimper au
bout de sa perche comme s'il c'était d'un arbre bien enraciné, en
saluent la petite foule. Aline était charmé par le moine et
trouvait triste de le laisser à lui même dans la ville. Elle décida
donc de laisser tomber le restaurent et proposa un pique-nique à
trois dans les plaines. La température étais très clémente et
seul une brise fraîche coupais la chaleur porter par le soleil. »
Les notes de Lucas
accompagnait d’esquisse pour palier le manque de descriptions vue
la vitesse de la diction de la petite fille. Regardant ces dessins,
la petite pris une pose avant de se relancer avec un grand sourie.
« C'est en route qu'ils commença à discuter, le petit garçons avait bien du mal à suivre, mais il semblais déchiffrer ce qu'ils disait. Le repas fut ponctuer de rire et de simagrée pour se faire comprendre. Malheureusement, Des chiens errant, entendant ces bruits, sont venus pour voler le goutté. Le gamin comme Grand-papa l'appelait, le gamin commença à défendre le couple et la nappe contre la meute Jusqu'à ce qu'un très grand chien s'imposa à la meute par son grognement, Il étais tout de muscle et devais facilement faire la hauteur du gamin à l'épaule. Il avait une tête en ballon de rugby et les Yeux d'un rouge furieux. Grand-maman et grand-papa avait fuis vers la voiture et le suppliait de faire pareil, mais le petit moine étais sans peur. Il resta face à ce monstre, la main à la verticale comme je l'ai dit plus tôt. Il ne bougea pas, même quand ce monstre s'approcha nez à nez avec le moine. »
Fébrile, la demoiselle pris une respiration et finit son récit :
« Le gros chien se mis à
le sentir avant de repartir terrifier devant la force que dégageait
le petit moine. Mammy n'en croyait pas ces yeux et pleurait. Quand
les chien sont repartis, elle couru le prendre dans ces bras.
Grand-père étais épaté, une fois que mammy le relâcha, il
plongea la main dans sa poche et lui donna un médaillon de la vierge
marie qu'il gardais comme portait bonheur, lui disent à quel point
il étais un héros. Le moine les salua encore une fois en plaçant
la main devant et grand-papa fit pareil. Le moment dura jusqu'à ce
qu'une Chienne blanche au ventre tout rond vin se coucher au coté de
la nappe en quémandent. Le petit garçons la flatta et lui donna une
partis de son repas. Ce fut le début de leur amitié. Plus tard dans
la journée, Emmet demanda au petit garçon pourquoi il étais à
Dublin. Il répondit pour voir la Saint-Patrick, mammy répondit
qu'il étais bien tard pour la fête, ce c'était il y as quatre
mois. Il répondit alors qu'il visitera l’Amérique et partis le
torse bombé pour seulement se retourner au bout de la rue et saluer
mes grands-parents accompagner de sa chienne qui avait une surprise
pour lui... ...des petits bébés chiots! »
Notre écrivain pris une
bonne minutes à finalisée récit et la remercia pour l'histoire.
Avant même qu'elle puisse dire quoi que ce soit, la tenancière
lança :
« Ne prenez pas au pied de la lettre les histoire de mon père, ce sont des histoire pour les en...»
« Ne prenez pas au pied de la lettre les histoire de mon père, ce sont des histoire pour les en...»
La tenancière qui étais
de tout évidence la mère de la jeune fille s’était arrêter net
dans ces dire et afficha un aire béa en regardant à l'extérieur.
Un Homme tout en muscle à la tête grise, en habit de moine tenait
un sac d'une main et un grand bâton de l'autre. Il semblait chercher
quelque chose du regard tendis qu'un chien blanc avec une tache grise
à sur la tête et le fessier humais l'air assis sur le sol. Le
restaurent étais présentement vide, entre deux repas. Elle se
précipita à l'extérieur suivit de sa fille. Elle posa quelque
question avant de venir les yeux en larme et de lui prendre la main.
Sur ces lèvres, Lucas pouvait lire :
« Mais tu Existe! »
« Mais tu Existe! »
Le restaurent fut fermer
pour le reste de la journée, l'écrivain, le moine et la fille ont
eut une journée incroyable à écouter les histoires du moines du
temps de son enfance, de Dublin à l'Amérique et sa rencontre avec
les forain et sa route du le Canada à son retour en chine par
l'Alaska et la Russie pour reprendre la route quelque années plus
tard pour enfin combler un rêve d'enfants, vivre la Saint-Patrick
comme Il l'entendit de la bouche d'un voyageur. Le cahier fut vite
remplis et la petite fille fut ravis de donner un cahier d'école
pour qu'il puisse tout noter.
C'est après un bon repas
offert par la maison que Lucas les laissa pour retourner chez lui, en
leur promettant de revenir avec un propre du récit dans un livre
pour eux.
Bien-sur, son absence ne
passa pas inaperçue. Mr. William étais mécontent du manque de
rigueur de son fils, mais il ne pouvait lui en vouloir trop car plus
jeune, Il avait la même fougue et il étais tout aussi impulsif, ce
qu'il sut exploité et ce qu'il espère que Lucas sache faire.
La fin du mois approcha et
le téléphone sonna, c'était la foraine. Elle écouta en silence le
récit de Lucas et répondit :
« Vous avez sue trouver bien plus que ce que les mots, vous avez sue trouver les émotions de l'histoire. Pour la suite, Je crains fort que nous devrons vous aider, à commencer par le titre. Samouraï moderne. »
Lucas Surpris, demanda :
« Vous avez sue trouver bien plus que ce que les mots, vous avez sue trouver les émotions de l'histoire. Pour la suite, Je crains fort que nous devrons vous aider, à commencer par le titre. Samouraï moderne. »
Lucas Surpris, demanda :
« Mais ou voulez vous que
je trouve un Samouraï à Londres. Vous ne comptez tous de même pas
que je voyage jusqu'au japon pour cela, J'ai peut-être des moyens,
Mais je ne suis pas riche à ce points. »
La vieil dame lui répondit
pour finir la conversation :
« Ne sous-estimez pas les forains, Ne sous-estimez pas la porté des histoire, mais surtout, ne vous sous-estimez pas et en la magie qui entoure les mots. »
« Ne sous-estimez pas les forains, Ne sous-estimez pas la porté des histoire, mais surtout, ne vous sous-estimez pas et en la magie qui entoure les mots. »
Elle raccrocha, le laissant
dans le questionnement. Il ne l'avait pas remarquer encore, mais un
point dorer c'était ajouter sur Dublin sur la carte graver dans le
cuivre à l'entrer de son appartement. La magie as commence son
œuvre.
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