jeudi 17 décembre 2015

Storyteller Part 1

Voila, je me suis décidé à commencer mon nouveau texte. Je n’arrête pas de cumuler des notes depuis quelques jours, ne pouvant pas m’ôter de la tête le rêve qui me donna cette idée.

Chapitre 1, Les forains


Voila deux semaine et 2 jours de cela qu'un jeune homme des steps de l'écosse vin vire à Londres pour Y faire ces études et travailler dans les bureaux de presse que son paternel dirige. Il mis pieds dans un appartement à la hauteur de ces moyens avec les mures d'un blanc immaculé et des boiseries en contrastes. Les lieux n'ont rien de particulier sinon que l'entrée de l'appartement est décorer d'un alcôve dans lequel se trouve une vieil carte du monde embosser dans du cuivre, un vestige de la personne qui vivait en ces murs avant lui.son appartement n'étais pas tout à fait meubler qu'il vivait de ce que la liberté lui donnais, soit de bière et de la compagnie de quelques amis.

« Bientôt, disait-il; bientôt je travaillerez pour mon père et vous verrez. Mes murs seront tapisser de mes articles et c'est autours d'une bouteilles de vin que l'on parlera de ce village d'on l'on viens. Pour l'instant, fêtons avant les labeurs. »

Ce soir, notre jeune homme, Lucas de son nom; fit une sortis en banlieue de Londres pour y retrouver une fête foraine comme il s'en fait rare de nos jours. Manèges, jeux d'adresses, bateleurs et performeurs offrait à tous et chacun bien plus que du plaisir, mais des souvenirs que l'en enfants n'oublierons jamais et les adultes conterons des semaines durant. Malgré son plaisir, notre jeune homme ne put s'empêcher de se vautrer dans la boisson, rendent désagréable sa présence et indésirée. Lorsque les forain tenta de le soustraire de la foule pour qu'il aille dégriser en retraits, son tempérament bouillant du moment l'emporta et il finit assommer par un inconnu lors d'une bataille désarticulé.

Au beau matin, c'est sur un lit de camp, adosser à une roulotte qu'il se réveille péniblement de sa mésaventure. Ni café ni œufs pour le remettre, mais seulement le bruits des forain qui démonte le camp. Avant même que Luca puisse ouvrir totalement les yeux, une voix roque le somme de se lever. Une vieil dame au habit décrépit, l'observe avec un aire désappointé.

« Vous avez causer de grand trouble jeune homme, dit-elle. Vous nous avez coûter cher par le même fait. »

Jeune au idées fertile, notre instigateur voulu proposer de rembourser au nom de sa famille, mais la dame n'en voyant pas point conte lui demanda :
« L'argent n'est pas un problème. Ce n'est pas de telle que tu nous remboursera, mais par les comptes et récits du grand livres des voyageurs auquel tu as arracher les pages la nuit dernière. Ce livre est inestimable et unique, tu te devra d'en retrouver le contenus avec ce qui en reste. »

Sur ces mots, elle lui lança un livre manuscrit plus grand que la tailles de son torse dont une odeur d'alcool émanait des pages encore des pages humides. Luca Mackay avait soudainement un poids sur les épaules qui lui traversait le cœur de honte, lui qui est un homme de lettre, avoir détruits un telle ouvrage à la couverture de cuire et au reliure de cuivre. Par sa volonté, il lui dit :
« C'est dans un livre encore plus grand et magnifique que je reviendrez. »

Après tout, ce n'est pas quelque chose de si dure a faire, se disait-il. La vielle dame lui souris d'un air narquois en acquiesçant ces dires. Après quelques échanges, les règles était fixer. Une histoire par mois pour dix histoire. Elle le contacterais à chaque fin de mois jusqu'à son retour a pareil date l’an prochain. C’était un régime stricte pour reconstituer les récits d'un livre, mais pas insurmontable pour quelqu'un qui en as les moyens se disait-il.

C'est sur ces mots que le jeune homme pris le chemin du village pour y dégriser avant de repartir vers les siens.

Le lendemain matin, son téléphones sonnait, son père, embarrassé lui demanda comment allait sa tête. Somme doute, la rumeur s'était répandus et qu'il en étais peut fier. Il étais à Lucas de se fondre en excuse. Le paternel resta muet tout au long de la prostration avant de lancer un grand soupire et de lui dire de se rendre à son bureau, ce qui fait, avec le grands livre sous le bras.

Quelques minutes plus tard, il franchis la porte de la rédaction emportant avec lui cette forte effluve qu'apporta le livre. C'est sous les regards désapprouvé qu'il cogna à la porte du bureau de son père, William Mackay. Assis sur une chaise de bois, Lucas subissait les foudres de son père discoureur :

« Je n'arrive toujours pas à digérer ce que j'ai entendus. Je croyait t'avoir élevé en gentlemen, mais du moment que je tourne le dos, tu te déprave comme si tu n'avait jamais été à l'école. Je n'ai pas payer tes éducations pour que tu finisse en rebuts de la société. As tu pensé au tors que tu fait à ta défunte mère? Que va dire ta petite sœur? Mon frère est un Alcoolique fini? C'est tu vraiment ce que tu veut? »

Avant même que Lucas puisse placer un mots, monsieur Mackay repris :
« Avec tout ce qui se dit sur toi aujourd’hui, je ne peut pas concevoir de te faire entrer dans l'équipe du journal par la grande porte sans nuire à la réputation du journal. Il va falloir que tu commence en bas de l'échelle ou que tu te trouve un autre emplois. Hé diable que tu sent mauvais! »

Encore dans les excuse, Lucas expliqua le marché qu'il pris avec les forains, ce qui ne manqua pas de dégoûter le paternel.
« T'est un idiot, répliqua William. Tu ne sait pas de quoi sont capable les gens du voyage. Les nomades ne vive pas de nos lois et encore moins quand ils se sente invité. »

Notre jeune homme dévisagea son père face à ces mots xénophobe avant ce celui-ci plaça un mots, William reprit :
« Tu ne comprend pas qu'ils ont un pouvoir que nous n'avons pas. Maintenant sort et apporte cette brique loin de mon bureau. »


La journée passa tendis que Lucas restais enfermer dans son appartement à moitié vide à fixer de son lit, le bouquin qui étais sur le sol à l'autre bout de la pièce. La nuit tomber, il se décida à ouvrir le livre et lire la première page. Le texte flous étais écrits dans un vieux français border de phrase en latin qui semblais être tout droit sortis d'un grimoire. Une fois la préface retranscrite dans un cahier de note, il s'attaqua à la première histoire. Le poing Dublinois.    

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