Voila, je me suis décidé à commencer mon nouveau texte. Je n’arrête pas de cumuler des notes depuis quelques jours, ne pouvant pas m’ôter de la tête le rêve qui me donna cette idée.
Chapitre 1, Les forains
Voila deux
semaine et 2 jours de cela qu'un jeune homme des steps de l'écosse
vin vire à Londres pour Y faire ces études et travailler dans les
bureaux de presse que son paternel dirige. Il mis pieds dans un
appartement à la hauteur de ces moyens avec les mures d'un blanc
immaculé et des boiseries en contrastes. Les lieux n'ont rien de
particulier sinon que l'entrée de l'appartement est décorer d'un
alcôve dans lequel se trouve une vieil carte du monde embosser dans
du cuivre, un vestige de la personne qui vivait en ces murs avant
lui.son appartement n'étais pas tout à fait meubler qu'il vivait de
ce que la liberté lui donnais, soit de bière et de la compagnie de
quelques amis.
« Bientôt, disait-il; bientôt je
travaillerez pour mon père et vous verrez. Mes murs seront tapisser
de mes articles et c'est autours d'une bouteilles de vin que l'on
parlera de ce village d'on l'on viens. Pour l'instant, fêtons avant
les labeurs. »
Ce soir, notre jeune homme, Lucas de
son nom; fit une sortis en banlieue de Londres pour y retrouver une
fête foraine comme il s'en fait rare de nos jours. Manèges, jeux
d'adresses, bateleurs et performeurs offrait à tous et chacun bien
plus que du plaisir, mais des souvenirs que l'en enfants n'oublierons
jamais et les adultes conterons des semaines durant. Malgré son
plaisir, notre jeune homme ne put s'empêcher de se vautrer dans la
boisson, rendent désagréable sa présence et indésirée. Lorsque
les forain tenta de le soustraire de la foule pour qu'il aille
dégriser en retraits, son tempérament bouillant du moment l'emporta
et il finit assommer par un inconnu lors d'une bataille désarticulé.
Au beau matin, c'est sur un lit de
camp, adosser à une roulotte qu'il se réveille péniblement de sa
mésaventure. Ni café ni œufs pour le remettre, mais seulement le
bruits des forain qui démonte le camp. Avant même que Luca puisse
ouvrir totalement les yeux, une voix roque le somme de se lever. Une
vieil dame au habit décrépit, l'observe avec un aire désappointé.
« Vous avez causer de grand trouble
jeune homme, dit-elle. Vous nous avez coûter cher par le même fait.
»
Jeune au idées fertile, notre
instigateur voulu proposer de rembourser au nom de sa famille, mais
la dame n'en voyant pas point conte lui demanda :
« L'argent n'est pas un problème. Ce
n'est pas de telle que tu nous remboursera, mais par les comptes et
récits du grand livres des voyageurs auquel tu as arracher les pages
la nuit dernière. Ce livre est inestimable et unique, tu te devra
d'en retrouver le contenus avec ce qui en reste. »
Sur ces mots, elle lui lança un livre
manuscrit plus grand que la tailles de son torse dont une odeur
d'alcool émanait des pages encore des pages humides. Luca Mackay
avait soudainement un poids sur les épaules qui lui traversait le
cœur de honte, lui qui est un homme de lettre, avoir détruits un
telle ouvrage à la couverture de cuire et au reliure de cuivre. Par
sa volonté, il lui dit :
« C'est dans un livre encore plus
grand et magnifique que je reviendrez. »
Après tout, ce n'est pas quelque chose
de si dure a faire, se disait-il. La vielle dame lui souris d'un air
narquois en acquiesçant ces dires. Après quelques échanges, les
règles était fixer. Une histoire par mois pour dix histoire. Elle
le contacterais à chaque fin de mois jusqu'à son retour a pareil
date l’an prochain. C’était un régime stricte pour reconstituer
les récits d'un livre, mais pas insurmontable pour quelqu'un qui en
as les moyens se disait-il.
C'est sur ces mots que le jeune homme
pris le chemin du village pour y dégriser avant de repartir vers les
siens.
Le lendemain matin, son téléphones
sonnait, son père, embarrassé lui demanda comment allait sa tête.
Somme doute, la rumeur s'était répandus et qu'il en étais peut
fier. Il étais à Lucas de se fondre en excuse. Le paternel resta
muet tout au long de la prostration avant de lancer un grand soupire
et de lui dire de se rendre à son bureau, ce qui fait, avec le
grands livre sous le bras.
Quelques minutes plus tard, il franchis
la porte de la rédaction emportant avec lui cette forte effluve
qu'apporta le livre. C'est sous les regards désapprouvé qu'il cogna
à la porte du bureau de son père, William Mackay. Assis sur une
chaise de bois, Lucas subissait les foudres de son père discoureur :
« Je n'arrive toujours pas à digérer
ce que j'ai entendus. Je croyait t'avoir élevé en gentlemen, mais
du moment que je tourne le dos, tu te déprave comme si tu n'avait
jamais été à l'école. Je n'ai pas payer tes éducations pour que
tu finisse en rebuts de la société. As tu pensé au tors que tu
fait à ta défunte mère? Que va dire ta petite sœur? Mon frère
est un Alcoolique fini? C'est tu vraiment ce que tu veut? »
Avant même que Lucas puisse placer un
mots, monsieur Mackay repris :
« Avec tout ce qui se dit sur toi
aujourd’hui, je ne peut pas concevoir de te faire entrer dans
l'équipe du journal par la grande porte sans nuire à la réputation
du journal. Il va falloir que tu commence en bas de l'échelle ou que
tu te trouve un autre emplois. Hé diable que tu sent mauvais! »
Encore dans les excuse, Lucas expliqua
le marché qu'il pris avec les forains, ce qui ne manqua pas de
dégoûter le paternel.
« T'est un idiot, répliqua William.
Tu ne sait pas de quoi sont capable les gens du voyage. Les nomades
ne vive pas de nos lois et encore moins quand ils se sente invité. »
Notre jeune homme dévisagea son père
face à ces mots xénophobe avant ce celui-ci plaça un mots, William
reprit :
« Tu ne comprend pas qu'ils ont un
pouvoir que nous n'avons pas. Maintenant sort et apporte cette brique
loin de mon bureau. »
La journée passa tendis que Lucas
restais enfermer dans son appartement à moitié vide à fixer de son
lit, le bouquin qui étais sur le sol à l'autre bout de la pièce.
La nuit tomber, il se décida à ouvrir le livre et lire la première
page. Le texte flous étais écrits dans un vieux français border de
phrase en latin qui semblais être tout droit sortis d'un grimoire.
Une fois la préface retranscrite dans un cahier de note, il
s'attaqua à la première histoire. Le poing Dublinois.
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