Oui, j'ai changer l'arrière plans de ma page, en espérant que vous l’apprécierez. l'image est une modification drastique d'une image venant d'un autre blogue que je joindrez ici.
Pour ce qui est du texte, je dois avouer avoir galérer pour le sortir, j'essaie de ne pas me perdre dans les détails et de rendre mes idées cohérente. comme certain d'entre vous le savent, je tire me idées pour ce texte de mes rêves et malheureusement, je m'y suis pris un peut tard. ce qui à rendu l'idée de base flous bien que certain détail me restait claire. Il fallut me battre contre les répétitions et les incohérence car j'ai du composer le texte en deux partie. Mais bon, j’espère que vous apprécierez!
Chapitre
3, le samuraï moderne
Les jours comme le heures
se succédèrent au travail à l'impression. Le temps succéda de
brume et de pluie dans ce Londres mi-moderne mi-ancien. Notre
écrivain en herbe avait bon chercher dans les dires et archives pour
une histoire de japonais dit samuraï qui suivrait l'inspiration d'un
titre si peut énonciateur. Vue l'ouvrage, le texte pouvait avoir au
bas mots une centaine d'année si ce n'est pas plus.
Depuis quelque jours, Lucas
s’arrêtait dans un café à mi chemin entre son travail et son
appartement pour profiter du peut d'argent qu'il lui restait pour se
sustenter d'une boisson chaude soir après soir et ainsi pouvoir
plonger la tête dans ces recherches qui malheureusement étaient
veine. L'achat de ces meubles au compte goutte lui coûtait temps,
argent et énergie; ce qui le nuisait en tout point.
Il est présentement onze
heures moins quarts du soir, les lumières du café se tamise et la
musique descends encore un brin pour signaliser la fermeture bientôt.
Dans les carreaux des fenêtres retentissait la pluie battante. Le
jeune Mackay avait la tête caler dans le creux de la mains,
rêvassant quelque peut. Il ne l'avait pas remarquer mais il ne
restait que lui et la serveuse dans les lieux. Celle-ci vin à sa
table.
« Avez-vous terminer votre
thé? »
Demanda-elle les mains lier
sur son plateau. Lucas fit signe que oui, mais elle resta inerte,
regardant le fouillis de pages gribouiller et le vieux livre sur la
table. La jeune fille qui devait avoir tout juste l'àge pour
travailler, ne pouvait plus retenir ce question. Cela faisait déjà
plus d'une semaines qu'il venait dans ces lieux encombrer de ces
ouvrages pour à chaque fois tomber dans la lune et griffonner
quelque dessin, toujours des choses qui l'entoure. Peut-être cherche
t-il l'inspiration demanda-elle. Peut-être que les mots lui manque
pensa-elle.
Lucas eut un sourire bref
et lui dit que si elle avait un peut de temps il voudrait bien lui
raconter. En soit, le café étais déjà fermer au nouveau venus et
seul chose à faire étais de nettoyer la coutellerie de Lucas et
faire les comptes. Elle décida donc de s’asseoir à la table de
notre compteur et d'écouter. Luca commença son récit du début
avec les forain pour vite bifurquer sur son aventure en Irlande,
montrant ces notes et croquis. Puis, vin le moment de dire pourquoi
il étais si distraits; une suite de recherche à vide et un titre
plus brumeux encore que les jours gris. La jeune fille captiver par
le récit dit d'une idée soudaine :
« Peut-être que vous devriez voyager jusqu'au Japon ou peut-être que ce que vous devez chercher c'est que qui fait un samouraï ou ce qui en fait une légende. Soit le Bushido (l'esprit du samouraï), ou encore les récits unique qui les entoures. Mon patron dit souvent que ce n'est pas nécessairement le contenus qui fait le produits, mais celui qui le fait et je crois que ça peut s’appliquer ici. Non? »
« Peut-être que vous devriez voyager jusqu'au Japon ou peut-être que ce que vous devez chercher c'est que qui fait un samouraï ou ce qui en fait une légende. Soit le Bushido (l'esprit du samouraï), ou encore les récits unique qui les entoures. Mon patron dit souvent que ce n'est pas nécessairement le contenus qui fait le produits, mais celui qui le fait et je crois que ça peut s’appliquer ici. Non? »
Surpris, Mackay demanda son
nom pour poursuivre :
« Alice, merci! L'air de
rien, vous m'avez donner un nouveau sentier à suivre, un détail si
simple qu'il m'avait échapper. Merci! »
C'est sur ces mots qu'il
plia bagage avec cette note en plus. Bien qu'il étais à moins d'une
semaines de la date d'échéance, il avait maintenant espoir de
trouver son histoire. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentais
qu'il étais sur la bonne voie. Bien qu'il passa une bonne partie de
la nuit sur ces recherche, il ne pue tenir le rythme et décida de
reprendre au lendemain. Après tout, il avait congé pour les deux
prochain jours.
Son sommeil fut de courte
durée, quelqu'un semblais cogner à la porte avec prestance, et
c'est les yeux mi fermé qu'il alla répondre. À sa demande, le
nouveau venus dit qu'il étais livreur. Perplexe, Luca ne c'était
pas rendu compte que la mâtiné semblait bien avancé, une forte
lumière transcendait l'extérieur et l'on pouvait entendre le champ
des oiseaux. Bien son aveuglement, notre protagoniste signa le
registre et perçu le paquet. Une fois cette effort fait, il plongea
son regard sur les alentours pour se rendre compte qu'il n'étais
plus à Londres. La rue passante avait laisser place à un chemin de
terre entourer de plantations. L'air étais doux et pure. Une odeur
légère de cuisson parfumait les abord de la porte. Se retournant,
il perçut une famille qui le regardait avec un regard un brin
moqueur. En effets, notre jeune homme ne portait que des caleçons
rayé bleu et blanc. Son premier réflexe fut de se cacher par le
paquet.
Un moment de silence suivit
avant que l'homme de la maison demanda avec un accent brisé :
« Alors, ce paquet est-il- pour vous? »
« Alors, ce paquet est-il- pour vous? »
Perplexe, Lucas ne parvint
pas déchiffré l'écriture, encore éblouie à son retour à la
pénombre. Les trois personnes devant lui étais de tout
vraisemblance asiatique et les lieux en démontrait tout autans. Mes
vêtement se demanda t-il pour vite se rendre compte que la pièce
d’où il venait étais à l'image de sa propre chambre, à quelque
exception près. Ces vêtements étais sur chaise de bois, nettoyé,
repasser. Il revient auprès de ces ôtes, toujours plus confus.
« Je... je ne sait pas
lire les Kanjis dit Lucas avant de reprendre d'une autre question.
Comment j'ai atterrie ici? »
Le vieil homme dit
simplement qu'il était leur visiteur et pour l'instant. L'heure
étais aux repas. Pendant le repas, la dame tenta de poser quelque
question, mais son parlé étais-telle que Mackay n'en compris rien.
Leur fils s’écorça de traduire, mais ces mots étais tout aussi
incongrus. Il n'en est pas moins qu'au fil de la conversation, il pue
comprendre leur nom et la région ou il se trouvait.
Ichiro Saito le père, Ren
le fils et Saki la mère. Aujourd’hui, il vivrait avec eux et
peut-être qu'il trouverait ce pourquoi il est venus dit Ichiro. Sans
se prier, Lucas dit qu'il cherchait celui que l'on nommait le
Samouraï moderne ou peut-être en avait-il déjà entendu parler.
Une conversation s'en suivie entre les membre de cette famille et le
fils pris finis par prendre les dernier mots. Mr. Saito saisi le
colis et le donna à Lucas en disent :
« Ce colis est pour le samouraï, tu devra lui apporter et pour se faire, aller vers la ville. Mon fils vous conduira vers des amis qui vous y conduirons. »
« Ce colis est pour le samouraï, tu devra lui apporter et pour se faire, aller vers la ville. Mon fils vous conduira vers des amis qui vous y conduirons. »
Sur le chemin de terre, il
croisa un petit autel sur lequel se trouvait une statuette de pierre
enrubanner d'un foulard rouge. À ces pieds se trouvait quelque
victuailles telle qu'un bol de riz et une jolie fleure. Il savait que
cette statuette servait à vénérer aussi bien les dieux que les
défunts. Selon ce qu'il en savait ce foulard, ou plutôt ce bavoir
étais placé ainsi autours du coup par une mère en deuil. Il resta
fixe à regarder l'idole et plongea la main dans la poche de son
pantalon pour y trouver quelque Livres Sterling qu'il déposa au pied
de la statuette. Ren comme Lucas Saluèrent ainsi la sculpture et
reprirent ensuite leur route. Le trajets étais parsemer de champ des
oiseaux et de commentaire incompréhensible de Ren et ce, jusqu'à
leur arrivé au porte d'un livreur fort sympathique. Celui-ci se
présenta sans attendre. Totoro dit-il en plaisantent. Ce dernier
parlait tout de même bien la langue de Lucas.
« Ha! Sa fait plaisir à
entendre, dit Mackay. Vous pourrez probablement m'aider, Je cherche
celui que l'on dit être le Samouraï moderne. »
Le livreur l'invita à
l'aider à charger la remorque de ces caisses de fruits tendis qu'il
contais son histoire. Quel redondance se disait Lucas... Entre temps,
Ren était parti, voyant que les deux se comprenait bien.
À leur départs, le
livreur, Sai de son vrai nom avait appris de la paroles de certaine
personne qu'un voyageur c’était arrêter dans la région pour
suivre ainsi la voie de ces ancêtres et ainsi suivre son chemin dans
les vertus du bushido. Lucas prenait ce qu'il pouvait de note sur ce
qu'il avait sous la main, soit un carnet à peine plus grand que sa
main. Sai poursuivit :
« L'homme en question
venait de Tokyo, Il était un jeune fonctionnaire dans une entreprise
de financement et n'avait jamais eut ni femme ni amis. Un jours, Il
devait reprendre la finance d'une ferme dont le fermier ne pouvait
plus payer les frais pour sa culture. Trop de mauvaise année avait
eux raison de leur fils aîné et la famille avait tout mis ce qu'il
pouvait pour le remettre sur pied. Ils ont donc due céder la terre
et leur avoir au compté. »
Lucas commençait à se
faire à cours de feuille pour noter et il ne pouvait écrire plus
petit vue le chemin cahoteux, mais n’étant pas à cours d'idée,
il continua de noter sur son avants bras.
« Ces fait ce sont rendu
au oreilles de cette homme qui étais leur agent. Il se sentait
impliqué dans ce désastre et sentais qu'il devais faire quelque
chose. Après quelque jours à chercher une solution, Il fini par
suggérer au parents de payer la terre de sa poche, mais ces dernier
refusèrent pour ne pas être à sa solde. Plusieurs aurais penser au
cauchemar ou que son histoire ce saurais terminer ici, mais il en est
tout autrement. ...On est arriver. »
Le temps de porter une
première livraison à un restaurent local et il repartirent. Lucas
ne manqua pas de demander des feuilles qui lui firent offert par la
réceptionniste avec un grand sourire. De retour sur la route, il
reprirent la saga.
« Un bon matin, le jeune
fonctionnaire cogna à la porte de la famille peut fortunée, les
mains encombrer de papier de tout sorte. Il y avait en main les
papier de la terre et de la maison. Je vous les offre disait-il il
renchérissait en disent que personne ne devrais avoir à perdre un
fils et leur bien le plus cher. Malgré tout, le vieil homme refusait
disent que sans son fils, il ne pourrait travailler la terre, il
étais maintenant trop vieux pour continuer seul. C'est ainsi que le
jeune fonctionnaire décida donner de son temps pour travailler à la
ferme. Il vendit sa voiture, son loft et tout ce qui s'y trouvait
pour acheter une petite maisonnée au bout de la terre. Tout les
jours, Il allait travailler le matin au terre et ensuite à
l'entreprise. Il n'avait pas peur du travail. »
Le camion avait finalement
par quitter les chemins sinueux la route, rendent l'écriture plus
facile.
« Sa dévotion pour ce
fermier ne plaisait pas au seins de l'entreprise et comme il le
craignait, certaine personne tenta de le doubler. Son employeur le
mis à la porte car sa loyauté envers l'entreprise avait bien
changer. D'autre ont tenter de saisir les terres sous de faux
prétexte, mais le carma de l'entreprise tourna et elle perdu tout
recours contre la ferme. Du jours au lendemain, les attaques contre
la ferme prirent une étrange tournure. Le concurrent de notre
entrepreneur tenta de raser la ferme dans un coup d'éclats. Les
tracteur et démolisseur ont été dépêcher sur place sans permis
pour tout raser. Il furent accueilli par un homme en kimono, armée
d'un sabre, revendiquant les droits du fermier. Quelque gaillard
tentèrent de le mettre à terre, mais il tenu bon jusqu'à l'arrivée
des force de l'ordre. C'est ainsi que le samouraï étain née. »
Un silence suivit.
Un silence suivit.
« Il me semble que ce
n'est qu'un début, demanda Lucas.»
L'air serin, notre
conducteur repris :
« En effets. Son histoire
se répandue dan tout le Japon et le jours suivent il recevait des
lettres. Des lettre de merci, de courage, d'amour, de fans mais aussi
des appelle à l'aide. La première fut une lettre d'un enfants
devenus orphelin qui cherchait à sortir de son malheur. Il s'appelle
Ren. Une famille, c'est tout ce qu'il voulait. »
Lucas compris le paquet, il
étais là ou tout à commencer Ichiro étais le fermier et il
compris pourquoi il y avait cette chambre loin d'être celle d'un
petit garçon. Les détails de la pièce lui revenait, à savoir la
photos bordé de ruban noir, les livres universitaire, le panier
d'osier poussiéreux. Comme si le temps étais au ralentis dans cette
pièce.
« Il y eut aussi la nuit
des cerisier. Ou il due sauver une jeune femme de ces frères qui
faisait d'elle un esclave et la battais. Le jours ou il alla à sa
rencontre, fut la seul fois ou il la vue. Tout commença par un
rendez-vous dans un parc de la cité une nuit ou les cerisier étais
en fleur. Comme son image, elle demandait à le voir en samouraï
pour le reconnaître, ce qu'il fit. Par contre, c’était un piège
tendus par ces mécréants de frères qui attendait avec d'autre
rebut pour lui faire la peau. Il voulait faire les grands titre avec
sa mort, Diriger le cartier par la terreur et la violence.»
de tout évidence la
cargaison étais arriver à destination, mais Sai stoppa le moteur
pour continuer son récit :
« Les premier combat se
fit à arme égale, mais ce ne fut pas long pour qu'il sorte les
armes à feux. Il due utiliser de stratégie et courage pour mettre
hors d'états de nuire plusieurs voyous. Les combat se finirent quand
les agents de police arrière en nombre sur place. Les frères
tentèrent de le faire inculper pour divers fait et sur le coup, les
policier les embarquas tout. Il devait passer un bon moment en
prison, mais au lendemain, un journaliste qui avait été appeler par
le gang avant la police avait écrits un article héroïque et pris
des clichés saisissent du combat dont une ou l'on voyait le samouraï
défendre de son sabre la jeune dame contre la batte d'un forcené.
Les chef d'accusation contre lui tombèrent et la jeune femme fut
accueilli par les membres d'un temple Shintoïste. »
Une fois le récits
terminer, Lucas vin l'aider à la livraison tentant de lui soutirer
d'autre de ces récits épiques en lui posent des question par
dizaine. Sous sons insistance, il finit par dire :
« Vous savez, Avec le
temps, il passa de l'actualité au légendes et peut de gens finir
par croire qu'il existait. Un bon jours, il plia bagage et parti avec
des forains pour l’Europe et les Amériques...»
« ...Pour ensuite revenir
près des siens, repris Lucas. Vous en savez beaucoup trop pour
simplement le connaître. Surtout que vous parlez si bien ma langue
comme si vous étiez immerger dans celle-ci. C'est vous n'est-ce
pas? »
Sai éclata de rire :
« Oui, tu as raison. Ce
temps est loin derrière moi... Alors, tu me le donne ce paquet? »
Le jeune Mackay
l’accompagna d'un rire lui aussi et lui remis le paquet. À
l'intérieur du paquet se trouvait une lettre d'un gamin plaine
d'espoir qui disait vouloir devenir samouraï lui aussi. La lettre
étais accompagné d'une poupée fait à la main et d'un mots de la
mère disent :
-Sai, merci pour tout.
Les deux homme finir la
journée de labeur par un soupé dans un restaurent ou il mis les
autres récits de Sai sur papier et c'est dans ces feuilles qu'il
d’endormis.
À son réveil, il étais
de retour dans son appartement, convaincus qu'il avait rêver. Les
idées encore fraîche de son périple, il voulu se débarbouiller
pour commencer l'écriture de ce rêve extraordinaire. C'est en
plongeant les mains dans l'eau de l'évier qu'il perçût les
écritures mi effacé sur son bras.
-Ce pourrait-il? Demandait
Lucas
Courent ver la cuisine, il
vit une pile de papier sur lequel se trouvait la poupée et une note
de Sai, disent qu'il avait apprécier sa journée, qui le remerciait.
L'appelle de la foraine se
fit dans les trois dernier jours et encore une fois, un coins du
monde se pointa d'or sur la carte de cuivre à l'entrée.
Prochain chapitre, Le
couloir des vapeur.
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