Bon, comme je vous l'avais dit plus un texte plus tôt, je vais vous donner de mes nouvelles! Bonne nouvelle, les temps sombre et les nuits qui rallonge m'ouvre les portes de l'imaginations, donc plus de texte et d'image par le même fait. J'ai maintenant un profile Instagram dans lequel je mets les images que je fait pour le Inktober 2016. Grosso modo, c'est une pratique spécifique pour le dessin. et de tout évidence, j'en ai grandement besoins...
la moins bonne nouvelle est que je n'ai plus d'emploie et dois trouver un autre moyen de subsistance. Le commence pour lequel je travaillait, as fermé ces porte au débuts du mois et vue que j'étais sur un programme gouvernementale, je ne toucherez pas de chômage. je retombe donc au plus bas des salaire soit l'aide sociale. Bref, merde...
Au moins, j'ai plus de temps pour écrire, quand je ne marche pas d'un employeur à un autre (et c'est ce qu'on appellerais une nouvelle comme-ci comme ça )
la moins bonne nouvelle est que je n'ai plus d'emploie et dois trouver un autre moyen de subsistance. Le commence pour lequel je travaillait, as fermé ces porte au débuts du mois et vue que j'étais sur un programme gouvernementale, je ne toucherez pas de chômage. je retombe donc au plus bas des salaire soit l'aide sociale. Bref, merde...
Au moins, j'ai plus de temps pour écrire, quand je ne marche pas d'un employeur à un autre (et c'est ce qu'on appellerais une nouvelle comme-ci comme ça )
Pour revenir sur une nouvelle plus positive, j'ai décider de créer un Patreon pour subventionner la correction et la mise en marché de mes manuscrits et ce, dés que j'aurez toucher au dernier chapitre de Storyteller. Ce n'est pas pour tous de suite alors, Je vous tiendrez eu courent de mes démarches. Finalement, j'espère que vous appréciez le fait que j'ai effectuer une correction rapide sur ce dernier textes. ce n'est serte pas parfait, mais je fait de mon mieux.
bonne lecture!
bonne lecture!
Chapitre 14, puissance
L’un des passent qui étaient venue à mon secours commença à
me prodiguer les premier soins. Une entaille logée en mon abdomen perdait
beaucoup de sang. Je me souviens l’avoir vue paniquer avant de perdre
connaissance. Et maintenant, me voilà étendue dans un lit peut confortable à contempler un plafond suspendue étrangement
familier. Je ne pourrais dire s’il s’agissait de chance ou de manigance, mais
je me suis retrouver dans le même lit
d’hôpital que la dernière fois.
Une femme à l’entrée me sorti de mes songes en me
rétorquant :
« Encore vous ? Je n’espérais pas vous voir si tôt…»
Madame Michaud! Je ne sais pas si c’est une bonne nouvelle de retomber sur les même têtes, mais je dois dire que je suis contente de la revoir. Je dois me relever…
« Encore vous ? Je n’espérais pas vous voir si tôt…»
Madame Michaud! Je ne sais pas si c’est une bonne nouvelle de retomber sur les même têtes, mais je dois dire que je suis contente de la revoir. Je dois me relever…
« Ne forcez pas trop, dit-elle. Cette coupure fut nette,
mais vous avez perdu beaucoup de sang. En fait, j’ai bien peur que vous ne puissiez
retourner chez vous ce soir, la police veut vous garder à vue cette fois-ci.»
Elle vin à mes coté pour examiner la plaie. Défaisant le
bandage, eut un choc de voir que la plaie commençait déjà à se ressouder. Elle
alla jusqu’à tirer sur les points de suture pour confirmer que ce n’étais pas
une illusion. Quelle douleur…
« Je devrais arrêter de m’étonner, dit-elle. Le monde ne
fait que devenir de plus en plus bizarre… Le fait que tu ne sois pas l’une de
ces personne qui entre ici en convulsion et que tu as tout ta tête, c’est déjà
bon… …surtout que depuis votre arrivée, les ombres se font rare.»
Si elle savait à quel point tout à changer. Je n’ai
peut-être pas la réponse à ces temps sordide, mais une chose est sure, je
reprends le contrôle sur ma vie, Il est bon de se sentir en puissance.
«Madame, s’exclama une voie venant de l’embrasure de la
porte. Madame, éloignez-vous de cette homme immédiatement.»
Deux officier ce tenais à l’entrer quand l’infirmière pris
du recul. Elle était confuse et mois donc, entendre l’un d’eux me réciter mes
droits et l’autre j’approcher de moi, menottes à la main. Je pouvais percevoir
le Baron se tenir dans le cois de la pièce. Ces rires retentissaient dans ma
tête quand l’officier me saisit par le poignet. Jamais je ne m’étais jamais senti
autans effrayé de pour mon avenir, même si personnellement, je n’aurais jamais cru
en avoir un. Baron Samedi qui semblait invisible aux yeux des autres s’approcha
de moi et se pencha au-dessus de mon lit.
L’officier me passa la menotte au poignet et me dit : «
vous venez avec moi.»
Je n’eus le temps de pensé que le baron insuffla à ma voie
les mots suivent.
«Je ne crois pas, non.»
Sur ces mots, le second officier mis la main sur son arme,
mais il était déjà trop tard pour son acolyte. Sans même m’en rendre compte, je
l’avais repoussé à l’autre bout de la pièce, comme une poupée de chiffon. Le tout
me sembla irréel, tout était aux ralentis, je me suis lever du lit et en moins
de temps qu’il n’en faut, je poussais le second officier dans le corridor et il
s’encastra violemment dans le mur derrière lui, perdant conscience. Je saisi
mes choses dans la penderie à l’entrée sous les yeux effrayé de madame Michaud.
Les échos de mes délits retentir jusqu’à la sécurité de l’hôpital, attirent le
regard. Je suis donc entré dans le clair-obscur d’une salle ou seul un
respirateur se faisait entendre pour me changer. Ma plaie n’est plu, j’ai déjà
deux de mes points de suture gisent au sol comme si mon corps avait dissout ce
fils ferreux. Mes vêtements sont tachés de mon sang, difficile de ne pas
attirer l’attention, surtout avec mon trench-coat noir. Je peux me considérer chanceux
d’avoir échappé à la surveillance de la sécurité avant que les renforts
policiers arrivent.
Les rues cette nuis sont d’un silence et d’une froideur morbide.
Je n’ai croisé aucunes âmes qui vivent et encore moins de ces ombres. Seul ce vautour
de Baron Samedi me suit en ricanant, c’est plus qu’énervant.
«Qu’attends-tu de moi, dit-je hargneusement. Pourquoi me suis-tu
encore?»
Sa voie spectrale susurra ces mots, faisant trembler les os
de mon crane :
« Tu es idiot. »
« Tu es idiot. »
Il fit pleinement apparition devants mois avant de reprendre
d’un ton théâtral :
« Tu crois le métriser quand il t’offre ces pouvoirs, mais
tu deviens comme lui et il te dévore ainsi… Ne vois-tu pas la hargne et le mépris
t’envahir, reprit-il en me fixant droits dans les yeux. Sonde ton esprit. »
Dès lors, je n’ai eu de pensé pour ces mots et repassa ces
dernier moments en boucle dans ma tête. La scène semblait mensongère. J’ai mis
les deux policier K.O. et fuit. Ensuite… … non. J’ai tué ces deux policiers
devant l’infirmière et ce de ma volonté. Cette idées me trouble d’autant que je
la sens vrai et n’ai eu aucun remord avant ce moment. Maintenant, je comprends
mieux ce silence. Ces ombres savent quel monstre je deviens. J’ai donc
embrasser la vie de ce diable qui me consume et set idiot ne trouve rien d’autre
à faire que de rire de moi. Ho, je le haï autant que je peux m’en vouloir en ce
moment. Pourquoi ne fait-il rien pour m’aider? Pourquoi a-t’ il provoquer leur
mort en infusent ces mots dans ma bouche? Pourquoi se moque-t-il de moi ainsi?
Mes mains perle de sang frais et ne sais pas pourquoi. Ce n’est
pas le mien et je n’ai souvenir de personne sur mon chemin. En fait… …c’est totalement
faux ce mal qui m’habite me cache la réalité. Autant je peux percevoir le monde
qui m’entoure, autant je ne peux croire en mes Yeux.
Je dois trouver de l’aide, peut-être que la chamane saura m’aider.
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