mercredi 12 octobre 2016

Lune noir part14

Bon, comme je vous l'avais dit plus un texte plus tôt, je vais vous donner de mes nouvelles! Bonne nouvelle, les temps sombre et les nuits qui rallonge m'ouvre les portes de l'imaginations, donc plus de texte et d'image par le même fait. J'ai maintenant un profile Instagram dans lequel je mets les images que je fait pour le Inktober 2016. Grosso modo, c'est une pratique spécifique pour le dessin. et de tout évidence, j'en ai grandement besoins...

la moins bonne nouvelle est que je n'ai plus d'emploie et dois trouver un autre moyen de subsistance. Le commence pour lequel je travaillait, as fermé ces porte au débuts du mois et vue que j'étais sur un programme gouvernementale, je ne toucherez pas de chômage. je retombe donc au plus bas des salaire soit l'aide sociale. Bref, merde...

Au moins, j'ai plus de temps pour écrire, quand je ne marche pas d'un employeur à un autre (et c'est ce qu'on appellerais une nouvelle comme-ci comme ça )  

Pour revenir sur une nouvelle plus positive, j'ai décider de créer un Patreon pour subventionner la correction et la mise en marché de mes manuscrits et ce, dés que j'aurez toucher au dernier chapitre de Storyteller. Ce n'est pas pour tous de suite alors, Je vous tiendrez eu courent de mes démarches. Finalement, j'espère que vous appréciez le fait que j'ai effectuer une correction rapide sur ce dernier textes. ce n'est serte pas parfait, mais je fait de mon mieux.

bonne lecture!



Chapitre 14, puissance


L’un des passent qui étaient venue à mon secours commença à me prodiguer les premier soins. Une entaille logée en mon abdomen perdait beaucoup de sang. Je me souviens l’avoir vue paniquer avant de perdre connaissance. Et maintenant, me voilà étendue dans un lit peut confortable  à contempler un plafond suspendue étrangement familier. Je ne pourrais dire s’il s’agissait de chance ou de manigance, mais je me suis retrouver  dans le même lit d’hôpital que la dernière fois.

Une femme à l’entrée me sorti de mes songes en me rétorquant :
« Encore vous ? Je n’espérais pas vous voir si tôt…»

Madame Michaud! Je ne sais pas si c’est une bonne nouvelle de retomber sur les même têtes, mais je dois dire que je suis contente de la revoir. Je dois me relever…

« Ne forcez pas trop, dit-elle. Cette coupure fut nette, mais vous avez perdu beaucoup de sang. En fait, j’ai bien peur que vous ne puissiez retourner chez vous ce soir, la police veut vous garder à vue cette fois-ci.»

Elle vin à mes coté pour examiner la plaie. Défaisant le bandage, eut un choc de voir que la plaie commençait déjà à se ressouder. Elle alla jusqu’à tirer sur les points de suture pour confirmer que ce n’étais pas une illusion. Quelle douleur…

« Je devrais arrêter de m’étonner, dit-elle. Le monde ne fait que devenir de plus en plus bizarre… Le fait que tu ne sois pas l’une de ces personne qui entre ici en convulsion et que tu as tout ta tête, c’est déjà bon… …surtout que depuis votre arrivée, les ombres se font rare.»

Si elle savait à quel point tout à changer. Je n’ai peut-être pas la réponse à ces temps sordide, mais une chose est sure, je reprends le contrôle sur ma vie, Il est bon de se sentir en puissance.

«Madame, s’exclama une voie venant de l’embrasure de la porte. Madame, éloignez-vous de cette homme immédiatement.»

Deux officier ce tenais à l’entrer quand l’infirmière pris du recul. Elle était confuse et mois donc, entendre l’un d’eux me réciter mes droits et l’autre j’approcher de moi, menottes à la main. Je pouvais percevoir le Baron se tenir dans le cois de la pièce. Ces rires retentissaient dans ma tête quand l’officier me saisit par le poignet. Jamais je ne m’étais jamais senti autans effrayé de pour mon avenir, même si personnellement, je n’aurais jamais cru en avoir un. Baron Samedi qui semblait invisible aux yeux des autres s’approcha de moi et se pencha au-dessus de mon lit.

L’officier me passa la menotte au poignet et me dit : « vous venez avec moi.»
Je n’eus le temps de pensé que le baron insuffla à ma voie les mots suivent.
«Je ne crois pas, non.»

Sur ces mots, le second officier mis la main sur son arme, mais il était déjà trop tard pour son acolyte. Sans même m’en rendre compte, je l’avais repoussé à l’autre bout de la pièce, comme une poupée de chiffon. Le tout me sembla irréel, tout était aux ralentis, je me suis lever du lit et en moins de temps qu’il n’en faut, je poussais le second officier dans le corridor et il s’encastra violemment dans le mur derrière lui, perdant conscience. Je saisi mes choses dans la penderie à l’entrée sous les yeux effrayé de madame Michaud. Les échos de mes délits retentir jusqu’à la sécurité de l’hôpital, attirent le regard. Je suis donc entré dans le clair-obscur d’une salle ou seul un respirateur se faisait entendre pour me changer. Ma plaie n’est plu, j’ai déjà deux de mes points de suture gisent au sol comme si mon corps avait dissout ce fils ferreux. Mes vêtements sont tachés de mon sang, difficile de ne pas attirer l’attention, surtout avec mon trench-coat noir. Je peux me considérer chanceux d’avoir échappé à la surveillance de la sécurité avant que les renforts policiers arrivent.

Les rues cette nuis sont d’un silence et d’une froideur morbide. Je n’ai croisé aucunes âmes qui vivent et encore moins de ces ombres. Seul ce vautour de Baron Samedi me suit en ricanant, c’est plus qu’énervant.

«Qu’attends-tu de moi, dit-je hargneusement. Pourquoi me suis-tu encore?»

Sa voie spectrale susurra ces mots, faisant trembler les os de mon crane :
« Tu es idiot. »

Il fit pleinement apparition devants mois avant de reprendre d’un ton théâtral :  
« Tu crois le métriser quand il t’offre ces pouvoirs, mais tu deviens comme lui et il te dévore ainsi… Ne vois-tu pas la hargne et le mépris t’envahir, reprit-il en me fixant droits dans les yeux. Sonde ton esprit. »

Dès lors, je n’ai eu de pensé pour ces mots et repassa ces dernier moments en boucle dans ma tête. La scène semblait mensongère. J’ai mis les deux policier K.O. et fuit. Ensuite… … non. J’ai tué ces deux policiers devant l’infirmière et ce de ma volonté. Cette idées me trouble d’autant que je la sens vrai et n’ai eu aucun remord avant ce moment. Maintenant, je comprends mieux ce silence. Ces ombres savent quel monstre je deviens. J’ai donc embrasser la vie de ce diable qui me consume et set idiot ne trouve rien d’autre à faire que de rire de moi. Ho, je le haï autant que je peux m’en vouloir en ce moment. Pourquoi ne fait-il rien pour m’aider? Pourquoi a-t’ il provoquer leur mort en infusent ces mots dans ma bouche? Pourquoi se moque-t-il de moi ainsi?

Mes mains perle de sang frais et ne sais pas pourquoi. Ce n’est pas le mien et je n’ai souvenir de personne sur mon chemin. En fait… …c’est totalement faux ce mal qui m’habite me cache la réalité. Autant je peux percevoir le monde qui m’entoure, autant je ne peux croire en mes Yeux.
Je dois trouver de l’aide, peut-être que la chamane saura m’aider.    

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