Bonjour! Oui, je sais, j'ai promis d'être plus présent sur le blogue et j'ai déjà du retard, encore une fois, et j'ai de bonne raison pour cela, mais au lieux de me confondre en excuse, je vous présente ce neuvième chapitre de Storyteller qui, disons le, est plus complexe que ce que je pensait faire, mais bon...
l'on ma demander quand-est-ce que je recommençait mes Lune noir, hé bien, je m'y lance. le prochain texte devrait r'amener le récit de lune noir vers à un autre niveau... Entre temps, je vous donnerez des mes nouvelle pour mieux éclaircir ma situation, d'ici là, bonne lecture
l'on ma demander quand-est-ce que je recommençait mes Lune noir, hé bien, je m'y lance. le prochain texte devrait r'amener le récit de lune noir vers à un autre niveau... Entre temps, je vous donnerez des mes nouvelle pour mieux éclaircir ma situation, d'ici là, bonne lecture
Chapitre 9, L'été froid des Highlands
Lucas
Attendait avec impatience l'appelle de la foraine pour lui compter
ces déboires. Ces derniers jours de février lui paraissait une
attente des plus longue. Il espérait avoir la chance de renouveler
ces expériences au plus tôt. Le dernier dimanche de ce mois, le
téléphone sonna enfin. La voie de la vieil dame qui semblait se
douter de rien lui demanda comment était ces deux mois. Notre jeune
protagoniste ne fit pas d’hésitation et lui répondit :
«
Ces deux dernier mois fut les plus incroyable depuis un bon bout de
temps. Non pas que j'en retire rien de ce que j'ai vécus cette
dernière année, mais je n'ai encore rien eut d'aussi grand, d'aussi
vivifiant! »
Empreinte
de curiosité, notre dame d'age mure lui demanda de raconter son
histoire, ce que le jeune homme fit avec joie.
«
Laissez moi commencer de ces sages paroles, dit-il. Les légendes
doivent être vécus pour être raconter...
…
Ce
début de janvier m'était banal, voir sans intérêts sauf peut-être
pour ce qui est de mes amour qui prenait forme avec celle qui fait
désormais partie de ma vie. Cette douce femme, Emma Jones, m'étais
plaine de surprise que vous découvrirez bientôt.
À
défaut de pouvoir traduire moi même les mots que m'affiliait le
grand livre, je posta sur mon profiles internet les quelques pages
que comportait le cette écriture à mis chemin entre le latin et une
autre langue ponctuer de symbole runique. Mes tentatives pour obtenir
de l'aide de mes amis resta lettre morte pendent deux jours ou je ne
fit que travailler et flirter avec ma douce. Au terme de nos
conversation, nous avons décider de sortir le soir, pour un
restaurent en tête à tête, question de mieux se connaître.
Il
va sans dire que la conversation as pris une tournure plutôt étrange
quand vin mon tours de parler de mes choix de vie. Elle ne comprenait
pas mes principes et encore moins mon entêtement à achever ces
livres. Bien sure, je ne lui dit pas rudement que je vivait ces
histoire, pour mes propos, je paraît de recherche et de quelques
voyages. Une vie de moine à son regard. Je voulais parler de passion
et elle voyait des corvées. Je ne sais plus par quel chemin je vin à
lui dire ces mots, mais elle resta accrocher sur ces dernière
phrases de mon crue qui bien malgré mois finit par définir ce qui
nous attendait.
-C'est
la vie qui me dicte ces mots, je mets sur papier ce qu'elle m'offre.
Dire que je ne vie pas ces histoires revient à me mentir, à denier
ce pourquoi je m’invertis.
Suite
à ce, elle pris un moment pour penser et me demanda :
«Est-ce
que je suis une de tes histoires ou c'est autre choses?»
Je
la regarda et dit avec franchise :
« Je t'ai vue comme je te voie, dans une Amérique de cotons avec colt et courage. C'était peut-être qu'une fantaisie à tes yeux, mais détrompe toi, ce que je vie en te voyant est bien plus que de simple mots sur du papier.»
« Je t'ai vue comme je te voie, dans une Amérique de cotons avec colt et courage. C'était peut-être qu'une fantaisie à tes yeux, mais détrompe toi, ce que je vie en te voyant est bien plus que de simple mots sur du papier.»
Ces
mots avait résonné aux oreilles de la dame à la table voisine et
dés qu'Emma ce leva pour aller se rafraîchir, cette quinquagénaire
se retourna et me demanda :
«Je sais reconnaître un artiste quand il se présente. Mais dite moi, si ces œuvre vous sont si réel, pourquoi ne pas l’amener dans ces récits?»
«Je sais reconnaître un artiste quand il se présente. Mais dite moi, si ces œuvre vous sont si réel, pourquoi ne pas l’amener dans ces récits?»
Sur
ces mots, je restais subjuguer, et ne comprenais pas comment elle
avait pue décoder et comprendre que je vivait ces fait. Néanmoins,
le reste de ce rendez vous galant se poursuivit sans heurt et finit
par la raccompagné à sa porte. Semblerait-il que j’avais un air
troublé car je me plongeait sans cesse dans mes pensés, ce qui eut
pour effets de terminer la soirée en queue de poisson.
Sur
mon retour, je ne pouvais m'empêcher de me maudire pour cette fin de
soirée décevante. Je déambulait dans le cartier à chercher qui
pouvait bien être cette vieil dame et repenser à ce qu'elle m’avait
dit, me répétant que je devrais éviter de m'en faire que si elle
voulait vraiment vivre ce que je vie elle le ferait de son gré. Ces
mots me sonnait comme un mensonge et un sa possible perte. Vous
pouvez savoir ce que sait; qui na pas déjà eut l’angoisse de
perdre la personne qui fait battre notre cœur.
Une
émotion puérile et légitime dans son sens.
Je
ne pouvait rentré chez mois et décida de passer quelque instant au
café, parler avec Alice et quelque connaissance sur place, question
de me désemplir la tête de mes tracas. Avants de les quitter, je
dit à Alice que je partirais pour l'écosse voir des vieux amis et
peut-être trouver la réponse à ce chapitre. Comme toujours, elle
me souhaita bonne recherche et fit ce regard de chiot triste qui nous
regarde partir, jalouse de mes péripétie. Le soir même, je fit mon
sac pour partir dés le lendemain.
Ce
lendemain semblais prometteur avec ce ciel bleu pastel et cette
fraîcheur. Je m'étais mis une musique des plus entraînante pour
accompagner ma routes dans l'autobus. C'était une des rare fois ou
je venait à faire le vide de mes pensés, principalement depuis le
débuts de tout ces aventures. Un moment de paix relative qui fut
brusquement interrompue par une révélation. Qui d'autre que notre
cher Amanda pouvait savoir, qui d'autre que vous et les forains. Je
ne l'avait peut-être pas reconnus sur le coups; peut-être
avait-elle emprunter la voie de cette dame, mais je reconnus dés ce
moment son parlé lascif ou devrai-je dire posé? Bref, ces manières
qui lui sont bien unique. Je compris donc que je manqua une belle
opportunité de montrer le monde comme je le vois à celle que
j'aime. D'un autre côté, elle m'indiqua que je partais vers la
bonne direction et cette avec cette conviction que je descendit de
l’autocar.
Comme
à chaque année, moi et mes amis d'enfance partons pour notre ville
d'enfance pour faire des retrouvailles et fêter et comme à tout les
années, certain disparaissent et d'autre voie leur famille grandir.
À chaque fois, James Revient avec une nouvelle femme à ces coté et
une nouvelle tête. Il est presque méconnaissable à chaque fois.
Plusieurs sont manquant, laissant des messages au autres pour dire
leur regret de ne pas y être, mais qui en voudrait à quelqu'un qui
attend un enfants dans les prochains jours ou un autre qui travail
énormément. Sylvestre qui arrive toujours les poches vide, mais
tout aussi travaillant. Karen, la garçonne avec ces jumeaux de 4
ans. C'est tellement agréable de se revoir à chaque année. Une
nostalgie qui me fait chaud au cœur.
Cette
année encore, nous avons louer dans l'auberge familial de Marty
Mcllroy qui détestait tellement cette auberge quand il étais petit.
Maintenant c'est lui le patron et c'est son fils qui n'aime pas y
être, quel ironie...
Le
soir venus, nous nous retrouvons autours de la grande table du
restaurent de l'auberge pour conter nos avoir et déboires autours
d'une carafe de vin pour certain, et du thé pour d'autre. J'étais
rester muet sur ma vie jusqu'à ce que Marty s'exclama :
« Lucas, tu na pas toucher ton ver ou presque! Je n'y crois pas, notre fêtard ce saurait-il calmé!»
« Lucas, tu na pas toucher ton ver ou presque! Je n'y crois pas, notre fêtard ce saurait-il calmé!»
Je
ne pouvait qu’esquisser mon arrogance et faire semblant de boire ma
coupe, ce qui fit bien rire les autres. J’ai avouer par la suite
que Londres m'avait bien changé et tranquillement, je faisait de moi
un homme avec des ambitions, un amour, des projets et un livres. Ce
dernier sujets piqua la curiosité de mes amis et décida de montrer
cette pièces d’anthologie que vous m'avez demander de restaurer.
Karen était en pâmoison devant l’objet, James et Sylvestre lisait
mes notes avec empressement tendis que Mcllroy me regardait tout
sourire, contant de me voir réussir ma vie mieux qu'il m'aurais crue
capable. Ce court exposé s'arrêta sur dernier titre. L'été froid
des Highlands.
Chaque
un avait sa propre histoire pour ce titre. Pour Karen Dean, c'était
la naissance de ces jumeaux. James me parla de l'histoire d'amour de
ces grand parents, contant celle ci comme s'il s’agissait de la
sienne. Marty lui, n'avait que de souvenir pour ces histoires de
bretteur et d'aventurier qu'il sortait de ces vieux romans. Sylvestre
lui resta songeur. La soirée continua et notre hôte se fit le
conteur de la soirée. Avant de quitter la table, nous levons notre
verre une dernière fois avant de prendre place dans nos chambres
respective.
La
nuit me sembla brève. Déjà ai première lueur, une note étais
glisser sous ma porte. Malgré l'écriture affreuse, je parvins à
déchiffrer que Sylvestre avait possiblement trouver la sources de ce
titre, du moins, il savait ou aller chercher. La lettre disait qu'il
chercherais un vieillard qu'il connue tout jeune ou du moins cette
famille. Et tout ça pour une question de clef. J'ai eu bon le
chercher tout la journée, personne semblait savoir ou il était.Le
temps avançait et son absence pesait. James quitta au déjeuné pour
retourner à Leeds déçu de ne pas voir une dernière fois celui
avec qui il avait fait les milles et un coup. La Famille Dean étais
bien occupé d'elle même et Marty semblait distrait jusqu'à ce que
le téléphone sonna. Anna qui était de la famille de Sylvestre
appela pour dire qu'il avait passer la nuit dans les archives de
l'hôtel de ville ou elle travaillait, au village voisin disent que
je devait venir. Je pris donc mon sac à dos et un foulard que Marty
me prêta pour affronté les quelques heures de marche que je ferez
au seuil du point de congélation. Une bien mauvaise idée à la
base, mon trajet terminé, je m'étais gelé les pieds dans une
flaque d'eau et ma tignasse me semblait moins touffue que ce que je
pensait.
Je
mis les pieds dans ce petit édifice habité que de la
réceptionniste, une dame stricte. C'est as ce demander comment il as
pue rejoindre la sales des archives. J’attendais la venue d'Annie
ou Sylvestre à l'entrée quand derrière mois j'entendis une voie
familière :
«
Mackay! Si tu aurais attendue un peut...»
À
ma grande surprise, Alice se tenait devant la porte, suivi d'Emma qui
étaient venus me rejoindre. Durent l’heure ou nous devions
attendre, elle mon expliquer leur venue. Bien que ma cher Emma
semblait perplexe de ce qui se passait, Alice elle décrivait avec
romance leur folle aventure. Dans les fait, elle se connaissent
depuis peut mais Emma lui parle beaucoup depuis notre première
rencontre... Le soir ou j'ai eut mon rendez-vous avec mademoiselle
Jones, elle est venu demander conseil à Alice à la fin de son quart
de travail à mon sujets. Selon ces dires, une vieil dame l'aurais
interpeller quand elle alla au toilette du restaurent, le soir de
notre rendez-vous. Cette dame s'était nommer comme vous l'aurez
deviner, Amanda. Il n'en fallut pas plus pour notre jeune serveuse
pour lui faire dire que si Emma n'allait pas me rejoindre, elle, elle
le ferait d'elle même. C'est sur ces mots qu'elle la convaincus.
Elle sont donc venus à l'auberge que javait parler à Alice, avec la
voiture d'Emma. Bref... …heu, non. Il est un peut tard pour abrégé.
Poursuivons...
Nous
étions dans le hall et le tintamarre de notre conversation finit par
venir au oreille d'Annie, l'archiviste et sœur de Sylvestre. En
fait, ce dernier est venus chez elle en plaine nuit pour demander de
l'aide pour retrouver une personne décédé depuis une bonne dizaine
d'année. Cette homme étais un collectionneur de Récit et de contes
local. Selon les dires de Sylvestre, ou plutôt du vieil homme, du
temps ou il l'aurais connus; des ouvrages auraient été caché dans
une cache sur les terres de cette familles. Bien à l'encontre des
avertissement de sa sœur, il à entrepris de retrouver ce lieu.
Annie s'en voulait d'avoir laisser son petit frère fouiner dans la
mairie. Puisque j'étais selon ces dire l'un de ces plus grand amis,
elle espérait que je puisse le ramener dans le droit chemin avant
que la famille de ce défunt personnage appelle les gens d'armes.
«Avec lui, la fin justifie toujours les moyens, disait-elle.»
«Avec lui, la fin justifie toujours les moyens, disait-elle.»
Je
ne pouvait que me sentir coupable de ces actes. Indirectement, c'est
mon histoire qui le pousse à cette mésaventure. En moins de temps
pour le dire nous nous somme rendus sur les ces terres qui étais
plutôt en retraits. Le cottage semblait sans vie, il n'y avait ni
voiture, ni trace sur place. De plus, une neige détrempé tombait,
rendent les lieux plus inhospitalier qu'il ne l'étais déjà. Notre
Chauffeuse Emma, remarqua quelques instant plus tôt que qu'il y
avait un îlot de forets visible au plus l’oins des terres.
Tendis
que nous avancions sur les routes de campagnes pour retrouver cette
endroits, Alice et mois même avons ressentis une étrange sensation
qui pourtant nous semblait familière. Cette frénésie, ce moment
précis ou l'on entre dans un lieux ou l'aventure nous guette. De
surcroîts nous demandions l’arrêt de la voiture. Sans trace, ni
reperd, nous sortions dans cette nature inhospitalière, marchant à
travers champ pour se réalisé après un moment qu'un vent plus
tempéré faisait surface et les flocons laissèrent place à une
brume puis à un ciel d'une clarté cristalline. L'on avançait sur
un coteau quand ce dessinait dans le valons suivent, un village,
laissant perplexe Emma. Nous somme rester muet sur ces questions,
sachant très bien que vivre l'instant parlerait de lui même.
L'instant de lui dire que tout irais bien et nous étions dans ce
village hors du temps. Fanaux, Charrettes et tous ce qui nous
semblerait d'antiquité décorais les lieux.
Les
gens semblait nous ignorer à l'exception d'un petit garçon qui nous
demanda si nous étions des forains nous aussi. Il va de soit que
nous sortions du lots avec nos accoutrements. Alice s'accroupit pour
être à son niveau et lui demanda ce qu'il en pensait. L'enfant
n'eut le temps de parler qu'une voie derrière nous lui répondit :
« Oui
mon enfants! Nous sommes le cirque.»
À
notre grande surprise, une homme tout en muscle se tenait derrière
nous avec beaucoup de prestance. Pantalon taille haute et bretelle
n'avait d'égale que sa moustache entretenus à la perfections. Nous
n'avions pas remarquer sur le moment, mais nous n'étions pas
réellement sur place. Autrement, J'aurais du mal à déterminer
comment un tabouret pouvais traverser ma cheville sans douleur ni
blessure.
Parcourent
les rues et ruelle de ce village, son histoire nous étais révélé
par ce qui semblait des mise en scènes. Une histoire touchante d'un
petit garçon qui aida un forain à trouver l'amour dans ces lieux et
une promesse de ne jamais laisser ces moments périr. Le dernier
souvenir que l'on eut, si je peut dire cela, fut de voir le Forain
plus vieux, offrent un calepin de cuire à cette enfants qui étais
maintenant un jeune homme. Cette fois-ci, les deux restais muet. Nous
avons suivi le jeune homme dans l'arrière de la maison ou nous le
voyons placer ce manuscrits dans une jarre scellé avant de mettre
cette jar sous une pierre du sol. Suite à ces fait, Alice s'exclama
ironiquement que trouver ce manuscrit, c'est trouver mon amis. Sur le
coup, je n'avais vraiment pas apprécier cette moquerie, me
retournant vers Alice pour me rendre conte que nous n'avoine pas
quitter les sièges de l'automobile, nous laissant tous déboussoler.
Du coup, je sortis de l’habitacle et observa les alentours. Il n'y
avais aucune trace de notre excursion dans cette nouvelle neige
fraîchement poser au sol. Un peut plus loin appertisait les traces
fraîche de Sylvestre qui longeait la route et qui soudainement
tourna pour prendre à travers champ.
Avant
de poursuivre, Emma demanda des explications. Ce non sens,
disait-elle; Il devait y avoir une raison. Malgré ces fait hors de
l’ordinaire que nous venions de vivre, je ne savait pas s'il elle
accepterais mon récit. J'étais avare d’explication, mais Alice
elle sut trouver les mots :
«
Vous savez ce que l'on dit; si vous chercher désespérément
l'étrange et vous ne le trouverez jamais. Par contre, vivez le
qu'une seule fois et ces choses vous suivront pour la vie. Lucas est
un aimant dans le genre et c'est là qu'il puise ces histoires. Mais
bon... ...Allons chercher son amis avant qu'il lui arrive malheurs. »
Tout
trois focalisé sur la recherche de Sylvestre, nous avions suivit ces
traces jusqu'à ce boisées balayé par les vents froid et ce début
de pluie verglaçante. Passer quelques buisson, nous avons retrouver
mon vieil amie qui gisait inerte sur le sol. Alice étais terrifier à
l'idée qu'il soit mort, mais Emma sut faire face et l'inspecta. Par
bonheur, il n'avait que trébucher et perdu connaissance après
s'être cogner la tête sur une racine exposé. J'étais bien content
de voir que ma douce savait prodiguer les premier soins, autrement,
j'aurais paniquer moi aussi.
Quand
Sylvestre repris conscience, Il ne semblait pas désorienté, mais
surpris de nous voir sur place. En me voyant, il sortis un bout de
papier détrempé de sa poche me disent que ce que je cherche est
ici, quelque parts. Dés lors, Alice se rendit conte que notre cher
blessé avait découvert les reste d'une clôture qui nous semblait
fort familier. Cette forêts recouvrait les ruines de ce qu'étais le
village avant les guerres et les recherches de Sylvestre le
montraient. Je voulu luis rendre son papier avant de reprendre la
recherche et ce dernier m'agrippa la main avant de me dire :
«
Prend garde, mon vieil amis ma toujours dit que ces lieux était
garder par ceux qui y vivait. »
Malgré
sa blessure à la cheville et ce coup à la tête, il insistais pour
nous suivre. Je le pris à bras-le-corps, tendis qu'Alice nous
conduisait, de mémoire, là ou se trouvait la place du village. Un
grand chêne avait pousser en son centre et seul quelque façade
restait encore visible. Le bougre avait raison sur une chose, quelque
chose gardait ces lieux, du moins, un œil lourd pesait sur nous.
Sans ce laisser intimider, Alice ouvra la marche vers l'habitation ou
plutôt l’endroit que le rêve nous indiquais. Plus nous avancions
vers le calepin, plus ce regard lourd terrifiait Sylvestre. À
quelque pas de ce que nous cherchions, mon vieil ami nous suppliait
pour que l'on fasse demi-tours, mais nous y étions enfin parvenus et
non seul.
Des
silhouettes ombré se dressait entre nous et ces ruines. En peut de
temps, ces ténèbres nous entourait, Valsant quelque peut,
chuchotant, oppriment la lumière. J'étais médusé, Alice comme
Sylvestre, eux étaient terrifier tendis qu'Emma était sur un pied
de guerre. Bien que je l'appelle ma douce, elle est d'un courage sans
limite, avançant au pas de la porte de cette ruine, forçant cette
esprits à s’intercaler dans la pièce. Une voie lourde se fit
entendre de tout parts :
« Qui est tu donc pour entrer chez moi? »
« Qui est tu donc pour entrer chez moi? »
Emma
lui répondit avec franchise que nous cherchions un calepin avec le
récits d'un forain. Du coup, elle mis l’esprit en colère et ce
dernier étreint son enclave sur nous. Ma cher Emma ne s'arrêta pas
là, rétorquant :
«
Le compteur d'histoire est là pour faire renaître le récit de ces
forains, sans lui, vos légendes sont vouer à disparaître et vous,
à errer ici bas. »
Sur
ces mots, les chuchotements s’estompèrent et les ténèbres aussi.
La silhouette noire fit un pas de coté et tendis qu'elle sortis la
jar sous les décombres, les traits de cette esprits s’éclaircissait
pour enfin dévoilé son identité. Cette homme fort, mort il y as
plus de 100 ans; observait nos fait et geste, amusé et sans doute
soulagé. Le livre lui, étais resté intacte, hors du temps. Nous
l'avions remercier pour ce récits et avons juger de lui porter
honneur.
De
retour à l'auberge, nous avons été accueillit en héros par mes
amis et la sœur de Sylvestre qui semblait anxieuse. Chacun voulut sa
parts d'histoire, mais nous nous étions tenus à peut de mots, sinon
de dire que cela fera un fort bon récits. les deux dernier jours ont
été fort agréable et nous avons passer... …hé bien... ...un bon
moment en couple. »
.
. .
Amanda
qui était resté muette durent le récital de notre écrivain
demanda :
«
Et Alice, comment va-elle? Et ton amie Sylvestre lui?»
Lucas
dit rapidement qu'Alice Resta avec Karen et ces jumeau qui étaient
semblait l'apprécier beaucoup et Sylvestre est encore chez sa sœur
pour quelques jours. Une voie derrière lui, demanda à qui notre
jeune homme parlait. Emma était arrivé depuis peut, un bon moment
pour faire connaissance avec la commanditaire de ces récits et
papoter entre elle...
Prochain Récits : Les contes d'outremer
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