Bonne lecture qu'en même
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Chapitre 17 chemins de croix
Nous parcourons les rues dénudées
de lumières à la recherche de ce meurtrier tout en évitant les patrouilles et
les barrages routiers, sachant trop bien que les autorités nous suivent à distance,
sans que je ne sache trop pourquoi. Bon, OK, c’est sure que ce serait plutôt flippant
interpeller un cadavre ambulant qui se dépassent de toits en toits et un mec
ensanglanté suivit d’un esprit qui ne fait que réapparaître brièvement d’un endroit
à un autre le temps de converser. En fait, ils ont déjà due en voir de toutes les
couleurs avec ces ombres et ces occultistes de toutes sortes.
En parlent de ces ombres, il
semblerait que quelques-unes d’entre elles nous suivent à bonne distance. Je ne
peux que me questionner sur leurs existences et demander au baron ce qu’il en
sait.
« Ha? tu ne te souviens donc
vraiment de rien me dit-il amusé. Tu es l’un d’entre eux. Ce ne sont pas des
esprits malins, loin de là. Ils sont de ceux que l’on a apporté de l’autre
côté, mais les portes entres les mondes sont maintenant grande ouverte et les
anciens pensionnaires de ce mondes peuvent maintenant revenir… …en quelque
sorte. »
Je me suis arrêté un moment, stupéfait
de sa réponse quand il vin à moi et ne dit :
« Ne va pas croire que tu es l’âme d’un défunt. Tu es dans aucun livre ni récits que les plus haut m’on laisser. Les ombres, ces êtres de l’autre côté t’on créer de leur magie ou je ne sais quoi.et c’est sans doute pour cela qu’ils te surveillent. Si je savais ce qu’ils attendent de toi, je te le ferais savoir. Ne reste pas là, navré. Marche mon amis, marche! »
« Ne va pas croire que tu es l’âme d’un défunt. Tu es dans aucun livre ni récits que les plus haut m’on laisser. Les ombres, ces êtres de l’autre côté t’on créer de leur magie ou je ne sais quoi.et c’est sans doute pour cela qu’ils te surveillent. Si je savais ce qu’ils attendent de toi, je te le ferais savoir. Ne reste pas là, navré. Marche mon amis, marche! »
Je suis resté muet quelques moments,
les mains dans les poches, à me demander d’où je tire ces brides de souvenirs
incertain et sans lumières. Serait-ce les ceux de l’âme qui habitait ce corps avant mon…
…notre arrivé. Je ne sens pas sa présence et encore moins ces tourments, comme
si cette vie étaient que l’empreinte d’un chant dans celle d’un ours. Ou peut-être
qu’il a finit consumer par le malin quand il as pris place dans son corps. Je n’en
sais rien.
Notre revenant qui parcourait les
toits me sortit de ma réflexion, pour me demander expressément de venir sur le
toit d’un édifice en ruine. Mon entrée en ces murs n’ont pas été de tout
facilité. Une fois la porte barricadé enfoncé, je pouvais voir que celui qui
étaient ici avant as mis un temps fou à fortifier les lieux et suspendre des
vieux charmes en papier partout. Je montais l’escalier de cette ruine en
prenant bien la précaution de ne pas me laisser piégé dans par qui que ce soit dans
ces murs. Les croix peinte en noir sur les murs me semble plus terrifiante qu’une
décentes en enfer. J’ai l’impression que n’importe qui ou n’importe quoi pourrais
surgirent de la poussière et me découper en morceau.
Cette peur qui m’ai irrationnel c’estompa
quand je suis enfin arrivé à la porte qui mena sur le toit de cette édifice. Une
odeur pestilentiel s’émanait des lieux tandis que j’avançais au travers des
échafauds laisser en abandons. J’y ai retrouvé notre macchabé et une vieille
connaissance, crucifiée sur place. Cette homme vêtu de noir avec et de son long
manteau gris m’avait bien déçu.
« Je l’aurais crue plus puissant, dit baron Samedi. Pathétique pour un paladin. »
« Je l’aurais crue plus puissant, dit baron Samedi. Pathétique pour un paladin. »
Je vin à scruter ces mains teinté
de peinture noir quand il releva la tête en rugissant, crachant du sang. Son
regard vide se projetait sur nous agressivement. Bien son apparence physique,
ce qui l’habitait n’étais plus humain. Il n’en fallu pas plus pour notre
passeur pour plonger la main dans sa tête et mettre fin à ce délire.
« Nous voilà face à un nouveau
problème, s’écria le baron. Il appelle les siens à prendre ces corps en les vident
de leur esprits. Nous sommes encore
chanceux que ce ne soit qu’un esprit primal qui ait pris place en ce corps. Rien
que je ne peux révoquer. »
« Il est frustrant d’avancer sur
un échiquier vide, reprit le corps sans vie du paladin. Vous ne pourrez nous
arrêter, d’autre vont venir. »
Ce dernier éclata de rire. Tandis
que notre revenant se retenait de lui arracher la tête, le baron lui demanda
qui parla. Le paladin lui répondit de son rang dans les abysses. Soudainement
je compris que le tout était orchestré depuis bien longtemps. Avant même que l’on
puisse poser d’autre question, notre défunt le réduisit en charpie. Mettant fin
à son existence et à l’interrogatoire. Sur le coup, je trouvais que ce n’était
une réaction stupide, mais en bout de ligne, j’ai eu beau penser et je ne voie
pas comment ils auraient pu nous aider. Ce n’est pas comme s’il aurait dévoilé
leurs plans ou bien nous dire par ou trouer ce démon… et de toute manière, les palmes
d’un hélicoptère commencent à se faire entendre. il me serait sage de fuir ce
merdier avant que l’on se face voir sur place.
Le temps d’y pensé et j’étais déjà
seul sur le toit. Je n’avais d’autre choix que de retourner dans ces ruines en espérant
passer inaperçu. L’engin me semblait s’éterniser au-dessus de l’édifice, me
laissant piéger à l’intérieur de ce complexe affreusement affecté par ce qui l’habite.
Je vin à me terrer dans l’une des pièces du second étages en espérant ne pas me
faire surprendre par ces soldat qui s’engouffrait dans le rez-de-chaussée. Pour
je ne sais quel raison, ils ont tiré quelques coup avant de fuir, paniqué par
quelque chose qui semble être en ces murs, ce qui ne me plaisent pas du tout. Après
quelque instant, je me suis décidé d’avancer à pats feutré dans ce silence
presque parfait. J’effleurais les murs de mes doigts quand j’entendis la seule
chose que je ne suis pas prêt à affronter. Ces soubresauts me glaceraient le
sang.
Les pleure d’une enfant.
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