lundi 21 mars 2016

Le cristal de Sébastian Part 1 & 2

Vous avez due remarquer antérieurement un texte appeler Le héros, hé bien c'est un texte que je compose pour un second blogue que je tiens en collaboration avec une autre artiste que vous pouvez aller lire sou ce lien:

http://wackexhor.blogspot.ca/

j'ai donc combiner mes deux premier textes pour les poster ici... sans les images. Je tien à garder mon blogue visuellement neutre pour une meilleur lecture.
Je vous souhaite donc une bonne lecture!

Le cristal de Sebastian

Un vieil homme fait face au feux de foyer de l'auberge. Sur son épaules est tatouer un écusson bien particulier et en sa main se trouve une coupe de vin tendis que croule à ces pieds les bouteilles passé. Son regard se posait doucement sur un petit fragment de pierre rouge en sa main. Cette éclisse étais la prémisse à de nombreuse aventure.

Sans le dire, un enfants le regardait, questionner pas se personnage plus grand que nature. Il était debout, au coté d'une table qu'il dépassait à peine, les mains sur un grand verre de lait.

« Bonjour petit, je peut faire quelque chose pour toi? »

Ces mots brisa le silence laisser par l’enfant qui, dés ce moment, entrepris de lui poser une multitude de question à la fois mais n'en resta que muet. Il baissa son regard sur la petite pierre un instant et demande ce que c'était. Notre aventurier en resta silencieux un moment avent de répondre :
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
L’enfant s'assit sur le sol en face de lui, en restant muet, attendent qu'il se raconte. Notre homme a la crinière châtaine lui souri avent de prendre une gorgée de son nectar et commencer sa narration :
« J'ai toujours rêver du ciel et de liberté. Ces rêves ou l'on voles comme les oiseaux me garde le cœur aussi jeunes qu'a mes premiers jours dans les champs de Merrya. J'ai toujours aimer ce vertige bien que, comme un cerf-volant; j'ai besoin que l'on tienne la corde pour ne pas m'y perdre. Celle qui tenus cette ficelle fut mon salut, mon amour, ma reine. Rend toi confortable car ma vie fut bien remplis et mon récit en saura tout aussi long... Par ou commencer... ...ha, oui. Bien pour commencer, Appelle moi Sebastian...»


Première histoire : Le jour ou je la rencontra

...Après une longue journée dans les champs à travailler la terre, nous avions toujours pour habitude de faire la course pour désigner qui serait le premier à se servir au repas. Cette journée particulièrement, nous avions fait énormément de travail et tout deux était rendu à la rivière quand le carillon de la cité sonna les coups de 5 heures.

« Sébastian, tu entend ça? Me demanda Rowen. Si tu parlait encore, probable que l'on aurais pas entendue sonner. »

Nous nous sommes regarder tout deux dans les yeux avant de partir et comme toujours il me devançait sur le départs, mais vue la distance, j'étais sure de le reprendre sur l’endurance. De plus, il avait toujours pris le même chemin de terre qui longeait les pâturages de celui que l'on appelait l'ogre de Merrya. Son surnom mérite tout une histoire à lui alors, je ne m'y éterniserez pas. Du coup, j'ai crue bon de piquer à travers champs pour le devancer. La première clôture enjamber, je fit mon fanfaron devants les bestiaux qui me regardait désintéresser. Ma surprise fut grande d'entendre les pleurs d'une demoiselle qui se retrouvait au milieux du troupeau. Sans le savoir, cette journée marqua le début de la vie qui me saura destiner.

La jeune Demoiselle étais tout en beauté, d'une crinoline de sois grise en harmonie avec son délicat visage blanc et ces lèvres vermeille. Affalé sur le sol, l'on pouvait à peine la distinguer au pieds de l'arbre ou elle était accoler. Il me fallut un moment avant d’apercevoir les liens qui lui tailladait les chevilles et poignets. J'étais sans voie devant la demoiselle qui n’osait me regarder. Insouciant comme j'étais, je me précipita pour l'aider. Va sans dire que je l'ai affoler, m'approchant d'elle avec un couteau à la main pour la détacher. Une fois qu'elle fut délester des ces cordes, je lui tendus la main et elle leva enfin son regard vers moi. Son regard étais plongé dans le mien si profondément que je n'avais pas vue que l'on nous observait.

Soudainement, je sentis un coup très fort, me projetant sur le sol. Une étrange femme dont le bras gauche reprenait forme, me défia du regard. Je me leva et m’intercala entre la demoiselle et cette guerrière. Elle pris position, mettant son bras gauche qui se mis à verdir et devenir velouté. Cette combattante avait un veston ajusté surmonté de quelques pièces d'armures tenus de multiples sangles. Je connus plus tard que cette femme venait d'un peuple bien au delà des frontières du monde que l'on connais.

Désarmé suite a cette chute, je pris tout même place entre elle et la jeune demoiselle pour la protégé de cette assaillante. J'étais vaillant, mais dupe. Ne sachant pas ce qui m'attendait, je la provoqua en duel et fit quelque saut sur place tendis qu'elle prenait une position de combat. Je voulus la duper en me déplaçant vars la droite pour la prendre de revers, mais ce n'étais pas une bonne idée. Elle ne fit qu'un bond m'atteindre et me faire un croc en jambes que je m'échappa de justesse. Elle bloqua mes premier coup avec aisance tendis que je mettais le paquet. Quand venus son tours de me frapper, hé bien... ...Je compris rapidement que je n'étais pas de tailles.

Les premières frappes qu'elle m'infligea étais robuste, me projetant encore une fois sur le sol. Je me sentait dépasser par sa force, mais je ne pouvait la laisser s'approcher d'elle, alors, je tenta le tout pour le tout, en la plaquant contre le sol en sans grand succès. Elle me repoussa d'un simple geste de son bras avant de se retourner et me projeter au sol. J'étais sonné et couvert de boue, un jolie mélange.

La demoiselle n’offrit aucune résistance quand la guerrière la saisi par le poignet. Suite à ce moment, perdit conscience un moment. À mon réveil, je me retrouvait assis à l'arbre ou elle était, avec sur mon poitrail une bourse fait de la même soie grise que la robe de la demoiselle. A l'intérieur se trouvait un cristal rouge. Oui, le même que ce petit cailloux que je t'ai montrer. L’objet était chaud et parfumer des quelques pétales qui se trouvait dans la bourse.

Ce jour là, il était évident que j'avais perdu la course. Je franchit le portail de la cité au couché du soleil. Rowen m'attendait au porte de la maison ou je chambrait.
« Tu en as mis du temps, me dit-il avant de me dévisager. De tout évidence, tu la eut dure ce soir. »

Comme un vrai amie, il m'avait attendue pour le repas durent lequel je lui raconta mes péripéties. Il mis sa main sur mon épaules et me dit :
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »


La nuit venus, je grimpa sur le toit et m'y allongea pour y observer le cristal scintillant au bout de mes doigts. Je me disait qu'une fois encore, je renouait avec mon vieil arc. Je fit mine de gesticuler comme si je tendis mon arc devants mois et à ce moment, je sentis la chaleur de la pierre entrer dans le bras jusqu'à mon cœur et vit se dessiner la silhouette d'un arc étincelantes dessiner dans ma main dans lequel je tenais le joyaux. Je compris rapidement que cette pierre étais plus qu'un simple objets. 




Chapitre 2, la suite du compte.


Sebastian, voyant son ver vide arrêta son récits au grand désarroi du petit. Il ce leva et fit un constat qui le troubla pour un moment. La mélancolie l'avait amener dans l'ivrognerie.
« Mais qu'est-ce que je suis en train de devenir, se disait-il. Je vais me mettre au thé... »

La perspective de ce voir devenir un héros déchue face à ce gamin lui avait ouvert les yeux un moment. Il avait déjà passer une semaine dans cette auberge au remord d'une vie perdu. Il n'avait plus foie en lui, mais le regard fasciné de cette enfants lui remplissait ce vide au cœur.
« Je dois me ressaisir, ce disait-il. »

Il passa commande d'une boisson chaude au tavernier et revins vers le gamin.et cette fois-ci il s’assit au sol avec le petit et lui demanda :
« Alors, près à entendre la suite? »


Seconde partie, l'attaque :

...Aux premières Lueurs du matin, Rowen et moi sommes aller au pied de l'arbre ou j'ai trouver la belle pour y trouver les trace non seulement du bétails, mais aussi de quelques personnes dont celle de la dames qui m'avait embarrasser la veille. Ces bottes étrange avait laisser des trace bien distinctive sur le sol, mais rien qui ne laisserais voire une destination précise. En fait, nous étions perplexe car elle semblait avoir fait de nombreux allé et retour sur les lieux et ce, dans de nombreuse direction.

Mon cher amis Rowen proposa de se séparer pour chercher des indices. Il alla vers la rivières tendis que je me dirigea vers les boisées de l'autre côté des plaines. Ce matin, les chemins et champs étais tout particulièrement silencieux. Ni le chant des oiseaux, ni les soubresauts des enfants se faisait entendre. De plus, les quelques maraudeurs que je croisa étaient plutôt craintif. L'on me disait qu'il y avait dans ces bois une armée de créature sauvages marchait vers la cité. Ma curiosité de nature me porta dans les profondeurs de la forêts. Les arbres couvert de mousse me semblait bleuté d'une fumée irritante, les dires de ces malheureux me semblait de plus en plus vrai. J’avançai discrètement, arc en main, près à débusquer tout intrus qui m'attaquerais.

Je me positionna au côté d'un grand chêne dont le feuillage couvrait le ciel, ne laissant passer que des filets de lumière bariolant la fumée de plus en plus dense. L'espace d'un instant, cette dernière s'estompa et je vis une créature tout de noir vêtus avançant sur un sentier non loin. Je voulus me pencher pour l'observer, mais cette créature à peine plus grande que toi me surpris et il n'en fallut pas plus pour que cette chose cria d'un dialecte, alertant ces comparse qui le suivait. Ce dernier, très agile défléchi deux de mes flèches avec une épée. Je compris que si je voulais les pourfendre, il me faudra user d'adresse et de ruse. J'entrepris donc une course au travers des feuillage, les contournant et décocha ma troisième flèches, atteignant en plaine tête l'un d'entre eux. Bien leur petite taille, ces damné créatures étaient plutôt rapide et bien armée. Je stoppa mes attaques après été pris en tenailles entre un arbalétrier qui me manqua de peur, le carreau qui envoya vers ma tête fut dévier de peut par une branche, touchant son allié derrière moi. Si ce n'est pas avoir de la chance, je ne sait pas ce que c'est...

J'entrepris une course effrénée pour les distancer sans grand succès. Je me retrouva dans une clairière entourer par ces malappris dans ce que je crois était l'un des charniers de la grande guerre de la première Merrya. Le sol étais joncher de branchage et de vieil briques qui me servit à terrasser les premiers à m'attaquer. Ces pierres était solide et bien qu'ils bloquaient ces morceau, je voyait bien la douleur dans leur gestuelles. Le premier fit mis chaos d'une pierre lancé en plaine tronche, le second fit retraite sous l'avalanche de briques que je lui servit et un dernier tenta de me prendre de coure, mais il goutta d'un coup à la mâchoire avant de s'écrouler. Les autres prirent la fuite sans que je ne sache trop pourquoi, c'est seulement après un moment aux augets que je me rendit compte qu'un grand loup solitaire m'observait.

Tout en me méfiant, je quitta la forêts, sachant très bien que l'on me suivait. Je parvins à retrouver mon chemin hors du boisé et suivit la rivière ou j'y retrouva mon cher Amis qui pêchait, tout penaud d'être pris dans sa lassitude. Sur le coup, je n'en fis aucun cas car les mots me pressait :
«Rowen! Rembarque ta ligne, nous avons des ennuies...»

De tout évidence, Il était crédule quand je dit ces mots, mais la fumée dans la forêts derrière moi lui fit comprendre que les problèmes arrivèrent. Son visage valait mille mots... autans j'en étais morts de rire, autans j'avais peur de me retourner pour voir ce qui n'allais pas. Nous avons couru au plus vite que nos jambes nous le permettais vers la citée fortifier. Par comble de malheur, les gardes sur place avait fermer les portes et refusait de les ouvrir pour quelques inconnus à la veille d'une bataille, surtout que les fermiers étaient déjà entrer il y as fort lurette.

Tendis que Rowen maudissait les gardes, je pouvais voir le bataillons arriver à l’aurions. Je dois dire que je frémissait de devoir combattre au première lignes, seul avec mon amis Rowen le bagarreur quelques maraudeurs pris dans le même pétrin que nous et toujours ce loup qui me suivait depuis la clairière dans la forêts. Mes sens étais aux aguets, mois comme certain autres avons débusquer trois éclaireurs de cette légion inconnus et de ce fait, il me restais que deux flèches.

Je croyait que ce saurais la fin, voyant l’ennemie à porté de tire, mais je me suis souvenus de ce que pouvait faire le cristal. Je le pris donc entre mes mains et aussitôt, je sentis son énergie me remplir le poitrail. Je me plaça telle que je le ferais avec mon arc et il apparue encore une fois. Cette arme mystique de lumière et d'énergie fit une onde de choc au sol, m'entourent d'un halos de lumière. Je saisi la corde et aussitôt une flèche enflammer y apparaissait. Face à cette surprise, je la relâchait presque aussitôt et elle partis comme un éclair vers l’ennemie, laissant une nuée de faux à l'impacte. Je ressaisie donc ma chance et pointa vers le ciel. Je regardais la trace de fumée noir qu'elle laissait en me disent que si je le pouvait, j'en tirerais cents comme celle là. Sur cette pesée, je la vie se décupler dans le ciel avant de retomber sur cette légion, laissant qu'un mur de flammes une fois au sol. A moi seul, j'avais mis l’ennemie en déroute, galvanisant par le même fait mes compagnons d'arme du moment qui partis à leur poursuite.

Rowen me saisi pas l'épaule et n’emmena dans les buisson, me disent :
« Pauvre fou, si l'on de voie à faire de la magie, il saisirons tes biens et ils t'enfermerons pour ne pas suivre la prohibition. »

J'avais beau expliquer à mon amis que je n'étais pas sorcier, que je fit cela par instinct, il ne dérageait pas. C’était beau à voir... Mais bon, pour le reste, l'on reprendra demain soir si tu veut. Retourne chez toi petit homme, il se fait tard.



mardi 8 mars 2016

Radio Enfer Phoenix Prologue

Je me suis lever ce matin avec un rêve bien particulier en tête, empreint de nostalgie et de nouveauté. j'avoue attendre une suite de ce téléroman jeunesse depuis des années sans pour autans y croire. Ce rêve fut un déclic, je me suis dit, pourquoi pas... Alors, voila MA suite de Radio Enfer. Si ce petit bout de texte retiens suffisamment l'attention, je ferez une suite.


Radio Enfer, Phoenix


Un dernier show mon Carl


Un homme entra dans les locos de ce qui était une radio étudiante à une certaine époque. Les murs avait été peint grossièrement d'une seul couche de blanc, les lieux étais maintenant remplis de vieux classeur et casier qui ont déjà connus de meilleur jours. Il est difficile de concevoir que les choses que l'on ai tans aimer puisse finir par mourir de leu belle mort. Après son départs, la radio étudiante qu'il animait resta muette, faute de budgets. Hé pourtant, tout étais encore là. La console de sons, le micros, les vinyles qui ont tordus sous leur propres poids et des dizaines de haut parleur mal mener entourer de leur fils.

Décidément, le directeur à l'époque avait finit par gagner le silence avants le repos éternel, mais notre homme était là pour rectifier ça. Notre Carl, intervenant social; avait enfin eut la clef du local, il avait enfin eut les subventions pour faire renaître son phœnix, sa radio, Radio Enfer. Durant les jours à venir, il travailla de concert avec le concierge pour tout remettre en place et réparer sous les regards intriguer des étudiants jusqu'à ce qu'un jours...

Un tapotement se fit entendre dans les corridors de la polyvalente suivit d'une voie posé :
« Est-ce que sa marche?... Good! Ici Carl, le Cat, Charet, votre animateur pour aujourd’hui, mais aussi votre intervenant social qui vous invite à venir donner votre nom pour faire partie de l'équipe de Radio Enfer! Je vous attend au local 117 dans le corridor juste avants l’agora. Maintenant l'on poursuit avec Du Bon Jovi tout droits sortis des abîmes de l'école, Bon Jovi – Always. »
( Avouer que vous venez de le lire dans la voie de l'acteur François Chénier )




dimanche 6 mars 2016

Storyteller part 8

Finalement!!! j'ai sortis mon huitième chapitre de Storyteller. Je ne pensait jamais avoir autans de difficulté a mettre de l'avants des personnages secondaire... ironiquement, j'ai travailler et retravailler mainte et mainte fois l'histoire pour encore une fois arriver avec l'histoire d'un personnage sans attache sinon que sa passion... dans le prochain texte, je vais tenter de corriger ce ''problème''.  



Chapitre 8, La musique du Bayous

« Vous avez vue juste mon cher, et je sais que la suite vous saura tout aussi bien. Elle s'appelle la musique du Bayous. »
« Hé bien, je crois que j'ai déjà ce texte en main...»
-Bonjour monsieur Stone. Il semblerait que vous désireriez participer au aventures de votre cher amis l'écrivain?
-Retiens bien ces mots car ici commence ton aventure... La musique du Bayous.
« Excusé-moi mon cher, s'exclama notre jeune homme. Vous serait-il possible de nous venir en aide? Nous sommes quelque peut... ...perdu. »
Le vieil homme mis son chapeau de paille et lui répliqua en lui pointant du doigt :
« Betty, Cria-il. Laisse moi entrer bon-sang, la rue, c'est mauvais pour la guitare. »
« Oui... Cette fin étais grandement manquante. Cette histoire était tellement triste à la base, c'est un baume sur le cœur que d'entendre cette finale. »



Comme à tout les fin de mois, la foraine appela, pour prendre des nouvelles des récits et aussi pour lui souhaiter la bonne année. Lucas fit su survole de son histoire pour confirmer avec la dame pour valider si celle-ci correspondait avec ce qu'elle avait en mémoire, ce qu'elle confirma sans hésitation :

Notre écrivain semblait perplexe quand il lui répondue :

Ces propos ne manqua pas de soulever des questions chez Amanda, à savoir pourquoi et comment.

«Hé bien, il semblerais que Rose aient pris partis avec mes amis. Ash, ma remis hier un texte de ce titre que j'ai parcourue, voulez vous que je vous en face la lecture? »

Amanda En étais tout surprise demanda qu'il procède.

« Hé bien, allons-y!...


Jours de fête, et jours de bal. Tout commença au bon fixe pour Ash car, Alice, sa partenaire d'écriture et d'aventure; accepta de m’accompagner au bal de saisons au collège avec thématique, l'après guerre. Tout deux étais vêtus de avec beauté de costume d'époque. Ils étaient tout deux chez Alice quand Ash qui étaient à la sales de bain reçut un appelle sur son cellulaire. Appelle qui allait changer leur plans pour la soirée. Tendis que la demoiselle attendait avec impatience la sortie de son partenaire, les mots retentissait dans la sales échos :

Bien avant qu'il puissent répondre, l'interlocutrice à la voie rocailleuse poursuivit :

Ces mots ne manqua pas de rendre confus Ash qui se levait pour se laver les main dans l'évier suite à... vous savez. Il tourna le robinet qui semblait avoir un bon débit et l'évier se remplis rapidement d'au et en moins de temps qu'il n'en faut, ces semelles clapotaient dans l'eau qui remplissait la sales. Il ne le savait pas encore, mais la magie de Rose prenait place dans la sales de bain. Notre jeune femme qui entendait les soubresauts de Ash commençait à s’impatienter et a cogner à la porte de la sales de bain se plaignant du temps qu'il prenait.
-Mais qu'est-ce que tu fait, l'on dirait que tu joue dans l'eau!

Suite à ces mots, Notre jeune homme poussa un cris de surprise suivit du bruit que ferait un objets qui tomberais lourdement dans l'eau. Alice était effrayé de voire cette vase grise et verte qui commençait à sortir d'en dessous de la porte
-Ash, qu'est-ce qui se passe, Y as plein de merde qui coule sur le planché!

Elle finit par prendre son courage à deux mains et se prépara :
- Remonte tes culottes, je rentre!

Ouvrent la porte en poussent une épingle à cheveux dans la serrure, elle perdit pieds dans cette monstruosité qui se répandait sur le sol pour se retrouver elle aussi dans cette eau vaseuse. Notre héroïne maudissait cette idiot qui avait ruiné la sales de bain de la maison familial. Sans doute, ces dégâts ruineront le sol et les meubles se disait-elle en tentant de se dés-embouer le visage. Cherchant à mettre la main sur l'une des serviette, elle fini par tâter une surface peut familière. Se questionnant sur ce qu'elle avait bien pue toucher, elle entrouvrit les yeux pour se rendre conte qu'elle avait poser la main sur un tronc d'arbre. Dans les faits, tout deux n'étais plus dans la sales de bains, mais se retrouvait désormais dans un marrais qui semblais s'étendre à perte de vue.

Ils étaient perdu. Perdu dans cette étendues, perdu dans la nuit. Au travers des sanglots de la demoiselle qui ne cessait de maudire sa vie, Ash lui étais abasourdis et sans mots. Il prêta son oreille et cherchait du regard ne serai-ce qu'un point de repère. Lorsqu'elle finis par se calmer, un sons bien particulier faisait échos à quelque lieux où ils étaient. Un Gramophone qui jouait une musique nasillarde dans la nuits qui étais accompagné seulement du champ des grenouilles à seulement quelque lieux de la.

« L'on joue de chance, dit sarcastiquement le jeune Stone. Je crois savoir d’où viens cette musique. »

Sous la directive de notre gentlemen, tout deux parcourue un lopin de terre infester de moustique pour enfin arriver au abord d'une maisonnée sur pilotis entourer de quai. Au abord de cette maison se trouvait un homme pauvrement vêtus qui semblait faire frire quelque chose sur un feux dans un demis baril de fer monter sur des briques. Ce dernier ne semblait pas avoir entendue nos jeunes aventurier monter sur les planches. Alice semblait ne pas avoir confiance à cette énergumène, mais l'assurance de notre jeune homme l'avait convaincus de le le suivre. De plus, c'était mieux que de rester dans ce lopin de boue.
Le vieil homme se retourna et les inspecta. Son regard changea lors qu'il se rendit compte qu'ils étaient suintant des marécages.
« Que faite vous pauvre fous, s'emballa le vieillard. Ne savez vous donc pas que ces eau son infester d’alligator? »

Alice semblait subjuguer par la musique, n'écoutant aucunement les dires du vieil homme. Elle finit par demander ce qu'étais cette musique qui lui paraissait étrange. Ash lui répondit :
« hé bien, c'est peut-être pour cette musique que l'on est ici.»

Il expliqua brièvement la conversation qu'il eut au téléphone avec la sorcière qui les auraient amener ici, ce qui ne manqua pas de confondre le pauvre homme.
« Pouvez vous nous ramener à la civilisation, demanda la belle. Je veut rentrer chez moi. »

« Hé bien sotie, mais vous me devrez un service en retour. »

Cette demande ne manqua de piquer la curiosité des deux jeune, mais ils en resta muet pour le moment. Ils eurent la chance de se sécher tendis que le Cadien dégustait sa mixture. La troupe eut un moment bien silencieux lors de la traversé dans l’embarcation et sans trop savoir par quel moyens, ils ont finalement traverser ces marrais. Les portes de la Nouvelle-Orléans franchie au petite heures du matin, ils déambulait dans l'espoir de trouver ne serai-ce qu'un endroit ou se nettoyer.
La clic arriva à un petit hôtel du centre ville d'on le première étage était, semblerai-il un café ou un club dans lequel se dressait quelque table et une scènes, commandent une chambre et demandant par le même fait ou il pourraient trouver des vêtements propres. La tenancière, bien qu'elle aient été réveiller au petite heures; fut ravis d’accueillir les deux jeunes, par contre il en était autrement du vieil homme.
« Vous, vous quittez mon établissement, S’écria la femme en pointant du doigt le clochard. Je ne veut pas d'un ''Hobo'' dans mes murs, retourne dans ton marais. »

Ce langage coloré avait aussitôt attirer les maraudeurs et curieux encore debout ce soir là.
« Ho silence Betty. Tu sais très bien que ma guitare fait marcher tes affaires quand je m'y mets.

Aussitôt, ces mots, elle répliqua :
« Ne m'appelle plus Betty, je suis madame Strakhouse maintenant et tu le sait bien. »

Le vieux rabougris afficha un sourire et éclata de rire tout à son image avant de pointer Ash du doigt :
« Tiens ta promesse jeune homme et trouve moi une guitare, c'est tout ce que je demande. Tu n'aura qu'a me chercher près des canaux.»

La conversation pris fin sur ces mots tendis que le vieil homme quittais en chantonnant un air saugrenus. Le reste de la nuit passa ainsi qu'une bonne partie de la matinée avant que nos deux aventurier refirent surface dans les méandre de la citée bien vivante. Bien le charme des lieux, il va sans dire que nos jeune adultes galérais à trouver, ne serai-ce qu'une piste sur l'artiste qu'il doivent débusquer car la quantité de musiciens et interprètes regorgeait. Ils retournèrent bredouille à leur point de départs suite à une longue marche sur les boulevards achalandé. L'établissement était maintenant bondé pour écouter un jeune homme qui jouant du pianos d'une main bien rythmé.

La tenancière les invita à une table ou un repas les attendaient. Alice semblait malaisé de tout ce luxe soudain. Elle rétorquait à Ash qu'elle n'avait que quelques schillings sur elle. Ce dernier semblait imperturbable, voir, insouciant. Il n'avait d'oreilles et d'yeux que pour la scènes. Ce jeune noir métissé avait un talent hors norme et la foules en redemandait.

Madame Strakhouse vin s'asseoir avec eux pour un instant :
« Vous ne mangez pas, demanda-elle. Goûtez au moins, vous allez m'insulter. »

Notre demoiselle pris timidement la fourchette avant de dire ce qui la dérangeait. Betty répliqua avec sourie :
« Votre grand-mère, Rose, est venue pour payer votre séjours durent votre escapade. Ne vous en faite pas pour cela, je vous le ferez savoir si vous excéderez vos frais. »

« Soulagé, demanda le jeune Stone. Jamais je ne croirait que l'on nous ait lancer dans cette aventure sans filets. »

La soirée avançait et ils finirent la veillé accompagné de l'artiste à parler de musique et de vie. Serte la conversation était intéressante, mais la jeune fille ne pue supporter la fatigue et ce nuage de tabac qui plombait l'air de la pièce plus longtemps, laissent les deux hommes parler entre eux. La conversation interminable continua encore des heures et Ash finit par parler de leur histoire. L'artiste le fixait silencieux avant de répondre de ces dires :
« C'est une histoire de fou que vous me contez... Admettons que c'est vrai cette histoire, vous pensez vraiment que je suis assez dingue pour rejoindre un cirque? Non... vous savez quoi? Maintenant que je sait cette histoire, jamais je joindrez un cirque, encore moins un Freak-show. Je ne veut surtout pas de sorcière a mes trousses... Comptez vous chanceux que Betty vous héberge gratuitement. Elle as un grand cœur et je ne veut pas que vous lui brisiez. »

Ash rétorqua à cette dernière remarque qu'elle savait pour Rose et que la sorcière avait payer leur frais. Le pianiste repris le jeune homme sur ces faits :
« Vous savez, elle ma dit la même chose il y as trois ans. Je suis orphelin... Elle n'a eut qu'un coup de chance sur le nom de la vieille. Betty aime aider les gens d'exceptions elle les flaires sans le savoir, mais elle aide toujours ceux qui ont une grande histoire ou qui sont destiner à en avoir une... C'est inné chez elle. »

« Ça ne m'arrange en rien tout ça, lança notre jeune homme. Nous allons rester percher dans cette auberge tans et aussi longtemps que nous aurons pas trouver notre artiste. Et encore, il faut que je trouve une guitare pour un vieux... ne me dit pas que c'est lui, il n'arrive même pas à chantonner sans fausser. »

Tout deux resta pensif un moment et le pianiste demanda s'il lui prêtait une guitare, allait-il lui rendre. Ash vin à lui répondre qu'il ne pourrait tenir une promesse dont il ne connais pas la réponse. Sur ces mots, la soirée pris fin pour laisser place au lendemain. Trois jours passèrent sans que rien n'y changea et un bon matin, Alice ce leva confuse et inquiète. Sous les questionnement de notre jeune homme, elle dit ces mots :
« As tu déjà rêver de la réalité dans un rêve? Comme rêver de dormir dans son lit. C'est un peut comme mon rêve à l'exception que je vivait ma journée avec le regard éteint, le visage livide. J'en viens à me demander si l'on est pas pris entre deux rêve, comme si les réalité n'avait pas de sens. Je commence à me demander si l'on est vraiment du 21em siècles à force de vivre ici. »

Aussi désolé qu'elle, Ash Stone finit par avouer son amertume face au événement et ces craintes. Les heures de la journée leur paressait interminable dans leur recherche d'informations caduc. L'après midi était avancé et Betty finit par faire son entrer dans la chambre disent qu'ils avait reçu un colis ce matin. Une vieil guitare était emmitoufler d'un drap ficeler avec une note.

« Bonjour Ache Ash! J'ai sue que tu n'avait toujours pas trouver ton musicien alors, je me suis dit que tu ne cherchait probablement pas à la bonne place. Apporte cette guitare au vieil homme. Ce n'est peut-être pas un bijoux, mais ça fera l'affaire. Je te l'offre! »

La lettre signé, de la main du pianiste William Thomas Dupree avait tôt fait de réjouir Alice qui la déballa aussi tôt et partis avec pour retrouver le vieil homme.
« Hé bon, pourquoi pas, dit notre jeune homme incrédule. C'est bien la dernière personne que je vois dans ce rôles. »

Notre jeune fille revient quelques heures plus tard, accompagner de notre vagabond qui pris la peine de mettre ces plus beau vêtements pour le moment. Soit, une chemise propre et un pantalon quelque peut décousue. Ce dernier se pausa au pied de l'édifice pour commencer à jouer de son instrument. Au grand étonnement de notre jeune chercheur, les paroles décousue était d'une complémentarité parfaite avec sa méthode de jeux. Les passant s’arrêtait pour l'observer aussi curieux que séduits par le phénomène. Ces aires cajun semblait se marier au rythme de la rue, il ne forçait pas la mesure et ne languirait pas sur les détails. Une fois entourer d'une foules assez dense, il arrêta net de jouer :

Il étais difficile de nier pour la tenancière tout la clientèle qu'il amenait si soudainement. Dés le zéniths, l'auberge faisait sale comble jusqu'à l'arrivée du groupe qui devait se produire ce soir là, transformant la foules amateur en danseurs refréner. Bien la contre indication de madame Strakhouse, Alice incita à ce que le vieil homme reste pour parler de son histoire. Dés lors, nos jeunes écrivains comprirent qu'il étais en présence de la bonne personne. Le vieillard entreprit son monologue :

« En fait, avant de finir dans ces bayous à trafiquer pour quelques dollars, j'étais un compositeur de renom, ou presque. En fait, j'ai composer quelques aires pour des interprètes, mais j'ai passer la plus grande partie de ma carrière à jouer mes aires avec les troubadours du grand cirque nomades. L'on devais suivre le rythme du spectacles et des fois même, notre rôles étais telle que l'on recevait nous aussi l'ovation pour notre exactitude. L'on faisait même l’animation des bals dans les villes ou s’arrêtait le cirque. »

Tout deux étais suspendue à ces lèvres, demandent à entendre toujours plus. La voie roque de ce symphoniste, repris le récits :

« En fait, ma carrière en Nouvelle-Orléans as été plus difficile que partout ou j'ai pue jouer. Ma femme de l'époque voulu s'installer ici car les gens parlait sa langue d'origine. Et li y eut Betty, ma fille. Je n'arrivait à joindre les deux bout alors, je suis repartis sur les routes, jouer de concert en concert pour finir plus pauvre que j'ai commencer. Quand je voulu retourner auprès des miens, ma femme me ferma la porte au nez et me dit de revenir quand j’aurais un emplois... Selon elle, contrebandier n'est pas un métier alors elle se déclara veuve et se remaria. Mettant à dos ma petite fille, mais je sais qu'elle m'aime qu'en même. Je me suis montrer comme un bon à rien face à ceux que j'aime parce que je ne voulait que faire ce qu'il me plaisait, sans me soucier de mes proches. »

Il s'avança sur la table et repris à mi-tons :
« Vous savez ce qui me manque maintenant? Absolument rien. J'ai vécus de ma richesse et de mes rêve et il n'est toujours pas trop tard pour moi de revivre un dernier moment avec ma fille et ce soit, elle me dit...»

Betty qui était derrière lui interrompit :
«Bobby, t'est aussi incorrigible que maman le disait. Je la comprend de t'avoir aimer autant. »

La soirée fit fortement mouvementé et au lendemain, à leur réveille, les deux étudient était de retour à Londres, paré pour un bal à venir.

Fin de récital.»

La ligne était silencieuse, notre locutrice étais sans mots et resta béa devants la question de Lucas :
« Est-ce que l'on garde ce récit? »

La voie troublé, la foraine répondit finalement :

Elle marqua une pause avant de dire la suite :
« Bien... Le sens du titre de la suite m'échappe, peut-être pourra tu déchiffrer les pages cette fois-ci, le récit me semblait presque intactes bien qu'il soit dans une vieil langue. Mon prédécesseur appelait ce chapitre l'hiver des druides ou l'été froid des Highlands dépendamment à qui il s'adressait. Je te laisse deux mois cette fois ci pour trouver ce texte. Nous serons en terre isolée pour un bon moment, alors nous nous reparlerons seulement en fin de février. »


Ce délais supplémentaire faisait grandement l'affaire de Lucas qui la salua et lui souhaita bonne route.