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j'ai donc combiner mes deux premier textes pour les poster ici... sans les images. Je tien à garder mon blogue visuellement neutre pour une meilleur lecture.
Je vous souhaite donc une bonne lecture!
Le cristal de Sebastian
Un
vieil homme fait face au feux de foyer de l'auberge. Sur son épaules
est tatouer un écusson bien particulier et en sa main se trouve une
coupe de vin tendis que croule à ces pieds les bouteilles passé.
Son regard se posait doucement sur un petit fragment de pierre rouge
en sa main. Cette éclisse étais la prémisse à de nombreuse
aventure.
Sans
le dire, un enfants le regardait, questionner pas se personnage plus
grand que nature. Il était debout, au coté d'une table qu'il
dépassait à peine, les mains sur un grand verre de lait.
«
Bonjour petit, je peut faire quelque chose pour toi? »
Ces
mots brisa le silence laisser par l’enfant qui, dés ce moment,
entrepris de lui poser une multitude de question à la fois mais n'en
resta que muet. Il baissa son regard sur la petite pierre un instant
et demande ce que c'était. Notre aventurier en resta silencieux un
moment avent de répondre :
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
L’enfant
s'assit sur le sol en face de lui, en restant muet, attendent qu'il
se raconte. Notre homme a la crinière châtaine lui souri avent de
prendre une gorgée de son nectar et commencer sa narration :
«
J'ai toujours rêver du ciel et de liberté. Ces rêves ou l'on voles
comme les oiseaux me garde le cœur aussi jeunes qu'a mes premiers
jours dans les champs de Merrya. J'ai toujours aimer ce vertige bien
que, comme un cerf-volant; j'ai besoin que l'on tienne la corde pour
ne pas m'y perdre. Celle qui tenus cette ficelle fut mon salut, mon
amour, ma reine. Rend toi confortable car ma vie fut bien remplis et
mon récit en saura tout aussi long... Par ou commencer... ...ha,
oui. Bien pour commencer, Appelle moi Sebastian...»
Première
histoire : Le jour ou je la rencontra
...Après
une longue journée dans les champs à travailler la terre, nous
avions toujours pour habitude de faire la course pour désigner qui
serait le premier à se servir au repas. Cette journée
particulièrement, nous avions fait énormément de travail et tout
deux était rendu à la rivière quand le carillon de la cité sonna
les coups de 5 heures.
«
Sébastian, tu entend ça? Me demanda Rowen. Si tu parlait encore,
probable que l'on aurais pas entendue sonner. »
Nous
nous sommes regarder tout deux dans les yeux avant de partir et comme
toujours il me devançait sur le départs, mais vue la distance,
j'étais sure de le reprendre sur l’endurance. De plus, il avait
toujours pris le même chemin de terre qui longeait les pâturages de
celui que l'on appelait l'ogre de Merrya. Son surnom mérite tout une
histoire à lui alors, je ne m'y éterniserez pas. Du coup, j'ai crue
bon de piquer à travers champs pour le devancer. La première
clôture enjamber, je fit mon fanfaron devants les bestiaux qui me
regardait désintéresser. Ma surprise fut grande d'entendre les
pleurs d'une demoiselle qui se retrouvait au milieux du troupeau.
Sans le savoir, cette journée marqua le début de la vie qui me
saura destiner.
La
jeune Demoiselle étais tout en beauté, d'une crinoline de sois
grise en harmonie avec son délicat visage blanc et ces lèvres
vermeille. Affalé sur le sol, l'on pouvait à peine la distinguer au
pieds de l'arbre ou elle était accoler. Il me fallut un moment avant
d’apercevoir les liens qui lui tailladait les chevilles et
poignets. J'étais sans voie devant la demoiselle qui n’osait me
regarder. Insouciant comme j'étais, je me précipita pour l'aider.
Va sans dire que je l'ai affoler, m'approchant d'elle avec un couteau
à la main pour la détacher. Une fois qu'elle fut délester des ces
cordes, je lui tendus la main et elle leva enfin son regard vers moi.
Son regard étais plongé dans le mien si profondément que je
n'avais pas vue que l'on nous observait.
Soudainement,
je sentis un coup très fort, me projetant sur le sol. Une étrange
femme dont le bras gauche reprenait forme, me défia du regard. Je me
leva et m’intercala entre la demoiselle et cette guerrière. Elle
pris position, mettant son bras gauche qui se mis à verdir et
devenir velouté. Cette combattante avait un veston ajusté surmonté
de quelques pièces d'armures tenus de multiples sangles. Je connus
plus tard que cette femme venait d'un peuple bien au delà des
frontières du monde que l'on connais.
Désarmé
suite a cette chute, je pris tout même place entre elle et la jeune
demoiselle pour la protégé de cette assaillante. J'étais vaillant,
mais dupe. Ne sachant pas ce qui m'attendait, je la provoqua en duel
et fit quelque saut sur place tendis qu'elle prenait une position de
combat. Je voulus la duper en me déplaçant vars la droite pour la
prendre de revers, mais ce n'étais pas une bonne idée. Elle ne fit
qu'un bond m'atteindre et me faire un croc en jambes que je
m'échappa de justesse. Elle bloqua mes premier coup avec aisance
tendis que je mettais le paquet. Quand venus son tours de me frapper,
hé bien... ...Je compris rapidement que je n'étais pas de tailles.
Les
premières frappes qu'elle m'infligea étais robuste, me projetant
encore une fois sur le sol. Je me sentait dépasser par sa force,
mais je ne pouvait la laisser s'approcher d'elle, alors, je tenta le
tout pour le tout, en la plaquant contre le sol en sans grand succès.
Elle me repoussa d'un simple geste de son bras avant de se retourner
et me projeter au sol. J'étais sonné et couvert de boue, un jolie
mélange.
La
demoiselle n’offrit aucune résistance quand la guerrière la saisi
par le poignet. Suite à ce moment, perdit conscience un moment. À
mon réveil, je me retrouvait assis à l'arbre ou elle était, avec
sur mon poitrail une bourse fait de la même soie grise que la robe
de la demoiselle. A l'intérieur se trouvait un cristal rouge. Oui,
le même que ce petit cailloux que je t'ai montrer. L’objet était
chaud et parfumer des quelques pétales qui se trouvait dans la
bourse.
Ce
jour là, il était évident que j'avais perdu la course. Je franchit
le portail de la cité au couché du soleil. Rowen m'attendait au
porte de la maison ou je chambrait.
«
Tu en as mis du temps, me dit-il avant de me dévisager. De tout
évidence, tu la eut dure ce soir. »
Comme
un vrai amie, il m'avait attendue pour le repas durent lequel je lui
raconta mes péripéties. Il mis sa main sur mon épaules et me dit :
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
La
nuit venus, je grimpa sur le toit et m'y allongea pour y observer le
cristal scintillant au bout de mes doigts. Je me disait qu'une fois
encore, je renouait avec mon vieil arc. Je fit mine de gesticuler
comme si je tendis mon arc devants mois et à ce moment, je sentis la
chaleur de la pierre entrer dans le bras jusqu'à mon cœur et vit se
dessiner la silhouette d'un arc étincelantes dessiner dans ma main
dans lequel je tenais le joyaux. Je compris rapidement que cette
pierre étais plus qu'un simple objets.
Chapitre 2,
la suite du compte.
Sebastian, voyant son ver vide arrêta
son récits au grand désarroi du petit. Il ce leva et fit un constat
qui le troubla pour un moment. La mélancolie l'avait amener dans
l'ivrognerie.
« Mais qu'est-ce que je suis en train
de devenir, se disait-il. Je vais me mettre au thé... »
La perspective de ce voir devenir un
héros déchue face à ce gamin lui avait ouvert les yeux un moment.
Il avait déjà passer une semaine dans cette auberge au remord d'une
vie perdu. Il n'avait plus foie en lui, mais le regard fasciné de
cette enfants lui remplissait ce vide au cœur.
« Je dois me ressaisir, ce disait-il.
»
Il passa commande d'une boisson chaude
au tavernier et revins vers le gamin.et cette fois-ci il s’assit au
sol avec le petit et lui demanda :
« Alors, près à entendre la suite? »
Seconde partie, l'attaque :
...Aux
premières Lueurs du matin, Rowen et moi sommes aller au pied de
l'arbre ou j'ai trouver la belle pour y trouver les trace non
seulement du bétails, mais aussi de quelques personnes dont celle de
la dames qui m'avait embarrasser la veille. Ces bottes étrange avait
laisser des trace bien distinctive sur le sol, mais rien qui ne
laisserais voire une destination précise. En fait, nous étions
perplexe car elle semblait avoir fait de nombreux allé et retour sur
les lieux et ce, dans de nombreuse direction.
Mon cher amis Rowen proposa de se
séparer pour chercher des indices. Il alla vers la rivières tendis
que je me dirigea vers les boisées de l'autre côté des plaines. Ce
matin, les chemins et champs étais tout particulièrement
silencieux. Ni le chant des oiseaux, ni les soubresauts des enfants
se faisait entendre. De plus, les quelques maraudeurs que je croisa
étaient plutôt craintif. L'on me disait qu'il y avait dans ces bois
une armée de créature sauvages marchait vers la cité. Ma curiosité
de nature me porta dans les profondeurs de la forêts. Les arbres
couvert de mousse me semblait bleuté d'une fumée irritante, les
dires de ces malheureux me semblait de plus en plus vrai. J’avançai
discrètement, arc en main, près à débusquer tout intrus qui
m'attaquerais.
Je me positionna au côté d'un grand
chêne dont le feuillage couvrait le ciel, ne laissant passer que des
filets de lumière bariolant la fumée de plus en plus dense.
L'espace d'un instant, cette dernière s'estompa et je vis une
créature tout de noir vêtus avançant sur un sentier non loin. Je
voulus me pencher pour l'observer, mais cette créature à peine plus
grande que toi me surpris et il n'en fallut pas plus pour que cette
chose cria d'un dialecte, alertant ces comparse qui le suivait. Ce
dernier, très agile défléchi deux de mes flèches avec une épée.
Je compris que si je voulais les pourfendre, il me faudra user
d'adresse et de ruse. J'entrepris donc une course au travers des
feuillage, les contournant et décocha ma troisième flèches,
atteignant en plaine tête l'un d'entre eux. Bien leur petite taille,
ces damné créatures étaient plutôt rapide et bien armée. Je
stoppa mes attaques après été pris en tenailles entre un
arbalétrier qui me manqua de peur, le carreau qui envoya vers ma
tête fut dévier de peut par une branche, touchant son allié
derrière moi. Si ce n'est pas avoir de la chance, je ne sait pas ce
que c'est...
J'entrepris une course effrénée pour
les distancer sans grand succès. Je me retrouva dans une clairière
entourer par ces malappris dans ce que je crois était l'un des
charniers de la grande guerre de la première Merrya. Le sol étais
joncher de branchage et de vieil briques qui me servit à terrasser
les premiers à m'attaquer. Ces pierres était solide et bien qu'ils
bloquaient ces morceau, je voyait bien la douleur dans leur
gestuelles. Le premier fit mis chaos d'une pierre lancé en plaine
tronche, le second fit retraite sous l'avalanche de briques que je
lui servit et un dernier tenta de me prendre de coure, mais il goutta
d'un coup à la mâchoire avant de s'écrouler. Les autres prirent la
fuite sans que je ne sache trop pourquoi, c'est seulement après un
moment aux augets que je me rendit compte qu'un grand loup solitaire
m'observait.
Tout en me méfiant, je quitta la
forêts, sachant très bien que l'on me suivait. Je parvins à
retrouver mon chemin hors du boisé et suivit la rivière ou j'y
retrouva mon cher Amis qui pêchait, tout penaud d'être pris dans sa
lassitude. Sur le coup, je n'en fis aucun cas car les mots me
pressait :
«Rowen! Rembarque ta ligne, nous avons
des ennuies...»
De tout évidence, Il était crédule
quand je dit ces mots, mais la fumée dans la forêts derrière moi
lui fit comprendre que les problèmes arrivèrent. Son visage valait
mille mots... autans j'en étais morts de rire, autans j'avais peur
de me retourner pour voir ce qui n'allais pas. Nous avons couru au
plus vite que nos jambes nous le permettais vers la citée fortifier.
Par comble de malheur, les gardes sur place avait fermer les portes
et refusait de les ouvrir pour quelques inconnus à la veille d'une
bataille, surtout que les fermiers étaient déjà entrer il y as
fort lurette.
Tendis que Rowen maudissait les gardes,
je pouvais voir le bataillons arriver à l’aurions. Je dois dire
que je frémissait de devoir combattre au première lignes, seul avec
mon amis Rowen le bagarreur quelques maraudeurs pris dans le même
pétrin que nous et toujours ce loup qui me suivait depuis la
clairière dans la forêts. Mes sens étais aux aguets, mois comme
certain autres avons débusquer trois éclaireurs de cette légion
inconnus et de ce fait, il me restais que deux flèches.
Je croyait que ce saurais la fin,
voyant l’ennemie à porté de tire, mais je me suis souvenus de ce
que pouvait faire le cristal. Je le pris donc entre mes mains et
aussitôt, je sentis son énergie me remplir le poitrail. Je me plaça
telle que je le ferais avec mon arc et il apparue encore une fois.
Cette arme mystique de lumière et d'énergie fit une onde de choc au
sol, m'entourent d'un halos de lumière. Je saisi la corde et
aussitôt une flèche enflammer y apparaissait. Face à cette
surprise, je la relâchait presque aussitôt et elle partis comme un
éclair vers l’ennemie, laissant une nuée de faux à l'impacte. Je
ressaisie donc ma chance et pointa vers le ciel. Je regardais la
trace de fumée noir qu'elle laissait en me disent que si je le
pouvait, j'en tirerais cents comme celle là. Sur cette pesée, je la
vie se décupler dans le ciel avant de retomber sur cette légion,
laissant qu'un mur de flammes une fois au sol. A moi seul, j'avais
mis l’ennemie en déroute, galvanisant par le même fait mes
compagnons d'arme du moment qui partis à leur poursuite.
Rowen me saisi pas l'épaule et
n’emmena dans les buisson, me disent :
« Pauvre fou, si l'on de voie à faire
de la magie, il saisirons tes biens et ils t'enfermerons pour ne pas
suivre la prohibition. »
J'avais beau expliquer à mon amis que
je n'étais pas sorcier, que je fit cela par instinct, il ne
dérageait pas. C’était beau à voir... Mais bon, pour le reste,
l'on reprendra demain soir si tu veut. Retourne chez toi petit homme,
il se fait tard.
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