Finalement!!! j'ai sortis mon huitième chapitre de Storyteller. Je ne pensait jamais avoir autans de difficulté a mettre de l'avants des personnages secondaire... ironiquement, j'ai travailler et retravailler mainte et mainte fois l'histoire pour encore une fois arriver avec l'histoire d'un personnage sans attache sinon que sa passion... dans le prochain texte, je vais tenter de corriger ce ''problème''.
Chapitre
8, La musique du Bayous
« Vous avez vue juste
mon cher, et je sais que la suite vous saura tout aussi bien. Elle
s'appelle la musique du Bayous. »« Hé bien, je crois que j'ai déjà ce texte en main...»
-Bonjour monsieur Stone. Il semblerait que vous désireriez participer au aventures de votre cher amis l'écrivain?
-Retiens bien ces mots car ici commence ton aventure... La musique du Bayous.
« Excusé-moi mon cher, s'exclama notre jeune homme. Vous serait-il possible de nous venir en aide? Nous sommes quelque peut... ...perdu. »
Le vieil homme mis son chapeau de paille et lui répliqua en lui pointant du doigt :
« Betty, Cria-il. Laisse moi entrer bon-sang, la rue, c'est mauvais pour la guitare. »
« Oui... Cette fin étais grandement manquante. Cette histoire était tellement triste à la base, c'est un baume sur le cœur que d'entendre cette finale. »
Comme
à tout les fin de mois, la foraine appela, pour prendre des
nouvelles des récits et aussi pour lui souhaiter la bonne année.
Lucas fit su survole de son histoire pour confirmer avec la dame pour
valider si celle-ci correspondait avec ce qu'elle avait en mémoire,
ce qu'elle confirma sans hésitation :
Notre
écrivain semblait perplexe quand il lui répondue :
Ces
propos ne manqua pas de soulever des questions chez Amanda, à savoir
pourquoi et comment.
«Hé
bien, il semblerais que Rose aient pris partis avec mes amis. Ash, ma
remis hier un texte de ce titre que j'ai parcourue, voulez vous que
je vous en face la lecture? »
Amanda
En étais tout surprise demanda qu'il procède.
« Hé
bien, allons-y!...
Jours
de fête, et jours de bal. Tout commença au bon fixe pour Ash car,
Alice, sa partenaire d'écriture et d'aventure; accepta de
m’accompagner au bal de saisons au collège avec thématique,
l'après guerre. Tout deux étais vêtus de avec beauté de costume
d'époque. Ils étaient tout deux chez Alice quand Ash qui étaient à
la sales de bain reçut un appelle sur son cellulaire. Appelle qui
allait changer leur plans pour la soirée. Tendis que la demoiselle
attendait avec impatience la sortie de son partenaire, les mots
retentissait dans la sales échos :
Bien
avant qu'il puissent répondre, l'interlocutrice à la voie
rocailleuse poursuivit :
Ces
mots ne manqua pas de rendre confus Ash qui se levait pour se laver
les main dans l'évier suite à... vous savez. Il tourna le robinet
qui semblait avoir un bon débit et l'évier se remplis rapidement
d'au et en moins de temps qu'il n'en faut, ces semelles clapotaient
dans l'eau qui remplissait la sales. Il ne le savait pas encore, mais
la magie de Rose prenait place dans la sales de bain. Notre jeune
femme qui entendait les soubresauts de Ash commençait à
s’impatienter et a cogner à la porte de la sales de bain se
plaignant du temps qu'il prenait.
-Mais
qu'est-ce que tu fait, l'on dirait que tu joue dans l'eau!
Suite
à ces mots, Notre jeune homme poussa un cris de surprise suivit du
bruit que ferait un objets qui tomberais lourdement dans l'eau. Alice
était effrayé de voire cette vase grise et verte qui commençait à
sortir d'en dessous de la porte
-Ash, qu'est-ce qui se passe, Y as
plein de merde qui coule sur le planché!
Elle finit par prendre son courage à
deux mains et se prépara :
-
Remonte tes culottes, je rentre!
Ouvrent
la porte en poussent une épingle à cheveux dans la serrure, elle
perdit pieds dans cette monstruosité qui se répandait sur le sol
pour se retrouver elle aussi dans cette eau vaseuse. Notre héroïne
maudissait cette idiot qui avait ruiné la sales de bain de la maison
familial. Sans doute, ces dégâts ruineront le sol et les meubles se
disait-elle en tentant de se dés-embouer le visage. Cherchant à
mettre la main sur l'une des serviette, elle fini par tâter une
surface peut familière. Se questionnant sur ce qu'elle avait bien
pue toucher, elle entrouvrit les yeux pour se rendre conte qu'elle
avait poser la main sur un tronc d'arbre. Dans les faits, tout deux
n'étais plus dans la sales de bains, mais se retrouvait désormais
dans un marrais qui semblais s'étendre à perte de vue.
Ils
étaient perdu. Perdu dans cette étendues, perdu dans la nuit. Au
travers des sanglots de la demoiselle qui ne cessait de maudire sa
vie, Ash lui étais abasourdis et sans mots. Il prêta son oreille et
cherchait du regard ne serai-ce qu'un point de repère. Lorsqu'elle
finis par se calmer, un sons bien particulier faisait échos à
quelque lieux où ils étaient. Un Gramophone qui jouait une musique
nasillarde dans la nuits qui étais accompagné seulement du champ
des grenouilles à seulement quelque lieux de la.
«
L'on joue de chance, dit sarcastiquement le jeune Stone. Je crois
savoir d’où viens cette musique. »
Sous
la directive de notre gentlemen, tout deux parcourue un lopin de
terre infester de moustique pour enfin arriver au abord d'une
maisonnée sur pilotis entourer de quai. Au abord de cette maison se
trouvait un homme pauvrement vêtus qui semblait faire frire quelque
chose sur un feux dans un demis baril de fer monter sur des briques.
Ce dernier ne semblait pas avoir entendue nos jeunes aventurier
monter sur les planches. Alice semblait ne pas avoir confiance à
cette énergumène, mais l'assurance de notre jeune homme l'avait
convaincus de le le suivre. De plus, c'était mieux que de rester
dans ce lopin de boue.
Le
vieil homme se retourna et les inspecta. Son regard changea lors
qu'il se rendit compte qu'ils étaient suintant des marécages.
«
Que faite vous pauvre fous, s'emballa le vieillard. Ne savez vous
donc pas que ces eau son infester d’alligator? »
Alice
semblait subjuguer par la musique, n'écoutant aucunement les dires
du vieil homme. Elle finit par demander ce qu'étais cette musique
qui lui paraissait étrange. Ash lui répondit :
« hé
bien, c'est peut-être pour cette musique que l'on est ici.»
Il
expliqua brièvement la conversation qu'il eut au téléphone avec la
sorcière qui les auraient amener ici, ce qui ne manqua pas de
confondre le pauvre homme.
«
Pouvez vous nous ramener à la civilisation, demanda la belle. Je
veut rentrer chez moi. »
« Hé
bien sotie, mais vous me devrez un service en retour. »
Cette
demande ne manqua de piquer la curiosité des deux jeune, mais ils en
resta muet pour le moment. Ils eurent la chance de se sécher tendis
que le Cadien dégustait sa mixture. La troupe eut un moment bien
silencieux lors de la traversé dans l’embarcation et sans trop
savoir par quel moyens, ils ont finalement traverser ces marrais. Les
portes de la Nouvelle-Orléans franchie au petite heures du matin,
ils déambulait dans l'espoir de trouver ne serai-ce qu'un endroit ou
se nettoyer.
La
clic arriva à un petit hôtel du centre ville d'on le première
étage était, semblerai-il un café ou un club dans lequel se
dressait quelque table et une scènes, commandent une chambre et
demandant par le même fait ou il pourraient trouver des vêtements
propres. La tenancière, bien qu'elle aient été réveiller au
petite heures; fut ravis d’accueillir les deux jeunes, par contre
il en était autrement du vieil homme.
«
Vous, vous quittez mon établissement, S’écria la femme en
pointant du doigt le clochard. Je ne veut pas d'un ''Hobo'' dans mes
murs, retourne dans ton marais. »
Ce
langage coloré avait aussitôt attirer les maraudeurs et curieux
encore debout ce soir là.
« Ho
silence Betty. Tu sais très bien que ma guitare fait marcher tes
affaires quand je m'y mets.
Aussitôt,
ces mots, elle répliqua :
«
Ne m'appelle plus Betty, je suis madame Strakhouse
maintenant et tu le sait bien. »
Le
vieux rabougris afficha un sourire et éclata de rire tout à son
image avant de pointer Ash du doigt :
«
Tiens ta promesse jeune homme et trouve moi une guitare, c'est tout
ce que je demande. Tu n'aura qu'a me chercher près des canaux.»
La
conversation pris fin sur ces mots tendis que le vieil homme quittais
en chantonnant un air saugrenus. Le reste de la nuit passa ainsi
qu'une bonne partie de la matinée avant que nos deux aventurier
refirent surface dans les méandre de la citée bien vivante. Bien le
charme des lieux, il va sans dire que nos jeune adultes galérais à
trouver, ne serai-ce qu'une piste sur l'artiste qu'il doivent
débusquer car la quantité de musiciens et interprètes regorgeait.
Ils retournèrent bredouille à leur point de départs suite à une
longue marche sur les boulevards achalandé. L'établissement était
maintenant bondé pour écouter un jeune homme qui jouant du pianos
d'une main bien rythmé.
La
tenancière les invita à une table ou un repas les attendaient.
Alice semblait malaisé de tout ce luxe soudain. Elle rétorquait à
Ash qu'elle n'avait que quelques schillings sur elle. Ce dernier
semblait imperturbable, voir, insouciant. Il n'avait d'oreilles et
d'yeux que pour la scènes. Ce jeune noir métissé avait un talent
hors norme et la foules en redemandait.
Madame
Strakhouse
vin s'asseoir avec eux pour un instant :
«
Vous ne mangez pas, demanda-elle. Goûtez au moins, vous allez
m'insulter. »
Notre
demoiselle pris timidement la fourchette avant de dire ce qui la
dérangeait. Betty répliqua avec sourie :
«
Votre grand-mère, Rose, est venue pour payer votre séjours durent
votre escapade. Ne vous en faite pas pour cela, je vous le ferez
savoir si vous excéderez vos frais. »
«
Soulagé, demanda le jeune Stone. Jamais je ne croirait que l'on nous
ait lancer dans cette aventure sans filets. »
La
soirée avançait et ils finirent la veillé accompagné de l'artiste
à parler de musique et de vie. Serte la conversation était
intéressante, mais la jeune fille ne pue supporter la fatigue et ce
nuage de tabac qui plombait l'air de la pièce plus longtemps,
laissent les deux hommes parler entre eux. La conversation
interminable continua encore des heures et Ash finit par parler de
leur histoire. L'artiste le fixait silencieux avant de répondre de
ces dires :
«
C'est une histoire de fou que vous me contez... Admettons que c'est
vrai cette histoire, vous pensez vraiment que je suis assez dingue
pour rejoindre un cirque? Non... vous savez quoi? Maintenant que je
sait cette histoire, jamais je joindrez un cirque, encore moins un
Freak-show. Je ne veut surtout pas de sorcière a mes trousses...
Comptez vous chanceux que Betty vous héberge gratuitement. Elle as
un grand cœur et je ne veut pas que vous lui brisiez. »
Ash
rétorqua à cette dernière remarque qu'elle savait pour Rose et que
la sorcière avait payer leur frais. Le pianiste repris le jeune
homme sur ces faits :
«
Vous savez, elle ma dit la même chose il y as trois ans. Je suis
orphelin... Elle n'a eut qu'un coup de chance sur le nom de la
vieille. Betty aime aider les gens d'exceptions elle les flaires sans
le savoir, mais elle aide toujours ceux qui ont une grande histoire
ou qui sont destiner à en avoir une... C'est inné chez elle. »
«
Ça ne m'arrange en rien tout ça, lança notre jeune homme. Nous
allons rester percher dans cette auberge tans et aussi longtemps que
nous aurons pas trouver notre artiste. Et encore, il faut que je
trouve une guitare pour un vieux... ne me dit pas que c'est lui, il
n'arrive même pas à chantonner sans fausser. »
Tout
deux resta pensif un moment et le pianiste demanda s'il lui
prêtait une guitare, allait-il lui rendre. Ash vin à lui répondre
qu'il ne pourrait tenir une promesse dont il ne connais pas la
réponse. Sur ces mots, la soirée pris fin pour laisser place au
lendemain. Trois jours passèrent sans que rien n'y changea et un bon
matin, Alice ce leva confuse et inquiète. Sous les questionnement de
notre jeune homme, elle dit ces mots :
«
As tu déjà rêver de la réalité dans un rêve? Comme rêver de
dormir dans son lit. C'est un peut comme mon rêve à l'exception que
je vivait ma journée avec le regard éteint, le visage livide. J'en
viens à me demander si l'on est pas pris entre deux rêve, comme si
les réalité n'avait pas de sens. Je commence à me demander si l'on
est vraiment du 21em siècles à force de vivre ici. »
Aussi
désolé qu'elle, Ash Stone finit par avouer son amertume face au
événement et ces craintes. Les heures de la journée leur paressait
interminable dans leur recherche d'informations caduc. L'après midi
était avancé et Betty finit par faire son entrer dans la chambre
disent qu'ils avait reçu un colis ce matin. Une vieil guitare était
emmitoufler d'un drap ficeler avec une note.
«
Bonjour Ache
Ash! J'ai sue que tu n'avait toujours pas trouver ton musicien alors,
je me suis dit que tu ne cherchait probablement pas à la bonne
place. Apporte cette guitare au vieil homme. Ce n'est peut-être pas
un bijoux, mais ça fera l'affaire. Je te l'offre! »
La
lettre signé, de la main du pianiste William Thomas Dupree avait tôt
fait de réjouir Alice qui la déballa aussi tôt et partis avec pour
retrouver le vieil homme.
«
Hé bon, pourquoi pas, dit notre jeune homme incrédule. C'est bien
la dernière personne que je vois dans ce rôles. »
Notre
jeune fille revient quelques heures plus tard, accompagner de notre
vagabond qui pris la peine de mettre ces plus beau vêtements pour le
moment. Soit, une chemise propre et un pantalon quelque peut
décousue. Ce dernier se pausa au pied de l'édifice pour commencer à
jouer de son instrument. Au grand étonnement de notre jeune
chercheur, les paroles décousue était d'une complémentarité
parfaite avec sa méthode de jeux. Les passant s’arrêtait pour
l'observer aussi curieux que séduits par le phénomène. Ces aires
cajun semblait se marier au rythme de la rue, il ne forçait pas la
mesure et ne languirait pas sur les détails. Une fois entourer d'une
foules assez dense, il arrêta net de jouer :
Il
étais difficile de nier pour la tenancière tout la clientèle qu'il
amenait si soudainement. Dés le zéniths, l'auberge faisait sale
comble jusqu'à l'arrivée du groupe qui devait se produire ce soir
là, transformant la foules amateur en danseurs refréner. Bien la
contre indication de madame Strakhouse, Alice incita à ce que le
vieil homme reste pour parler de son histoire. Dés lors, nos jeunes
écrivains comprirent qu'il étais en présence de la bonne personne.
Le vieillard entreprit son monologue :
«
En fait, avant de finir dans ces bayous à trafiquer pour quelques
dollars, j'étais un compositeur de renom, ou presque. En fait, j'ai
composer quelques aires pour des interprètes, mais j'ai passer la
plus grande partie de ma carrière à jouer mes aires avec les
troubadours du grand cirque nomades. L'on devais suivre le rythme du
spectacles et des fois même, notre rôles étais telle que l'on
recevait nous aussi l'ovation pour notre exactitude. L'on faisait
même l’animation des bals dans les villes ou s’arrêtait le
cirque. »
Tout
deux étais suspendue à ces lèvres, demandent à entendre toujours
plus. La voie roque de ce symphoniste, repris le récits :
«
En fait, ma carrière en Nouvelle-Orléans as été plus difficile
que partout ou j'ai pue jouer. Ma femme de l'époque voulu
s'installer ici car les gens parlait sa langue d'origine. Et li y eut
Betty, ma fille. Je n'arrivait à joindre les deux bout alors, je
suis repartis sur les routes, jouer de concert en concert pour finir
plus pauvre que j'ai commencer. Quand je voulu retourner auprès des
miens, ma femme me ferma la porte au nez et me dit de revenir quand
j’aurais un emplois... Selon elle, contrebandier n'est pas un
métier alors elle se déclara veuve et se remaria. Mettant à dos ma
petite fille, mais je sais qu'elle m'aime qu'en même. Je me suis
montrer comme un bon à rien face à ceux que j'aime parce que je ne
voulait que faire ce qu'il me plaisait, sans me soucier de mes
proches. »
Il
s'avança sur la table et repris à mi-tons :
«
Vous savez ce qui me manque maintenant? Absolument rien. J'ai vécus
de ma richesse et de mes rêve et il n'est toujours pas trop tard
pour moi de revivre un dernier moment avec ma fille et ce soit, elle
me dit...»
Betty
qui était derrière lui interrompit :
«Bobby,
t'est aussi incorrigible que maman le disait. Je la comprend de
t'avoir aimer autant. »
La
soirée fit fortement mouvementé et au lendemain, à leur réveille,
les deux étudient était de retour à Londres, paré pour un bal à
venir.
Fin
de récital.»
La
ligne était silencieuse, notre locutrice étais sans mots et resta
béa devants la question de Lucas :
«
Est-ce que l'on garde ce récit? »
La
voie troublé, la foraine répondit finalement :
Elle
marqua une pause avant de dire la suite :
«
Bien... Le sens du titre de la suite m'échappe, peut-être pourra tu
déchiffrer les pages cette fois-ci, le récit me semblait presque
intactes bien qu'il soit dans une vieil langue. Mon prédécesseur
appelait ce chapitre l'hiver des druides ou l'été froid des
Highlands dépendamment à qui il s'adressait. Je te laisse deux mois
cette fois ci pour trouver ce texte. Nous serons en terre isolée
pour un bon moment, alors nous nous reparlerons seulement en fin de
février. »
Ce
délais supplémentaire faisait grandement l'affaire de Lucas qui la
salua et lui souhaita bonne route.
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