dimanche 6 mars 2016

Storyteller part 8

Finalement!!! j'ai sortis mon huitième chapitre de Storyteller. Je ne pensait jamais avoir autans de difficulté a mettre de l'avants des personnages secondaire... ironiquement, j'ai travailler et retravailler mainte et mainte fois l'histoire pour encore une fois arriver avec l'histoire d'un personnage sans attache sinon que sa passion... dans le prochain texte, je vais tenter de corriger ce ''problème''.  



Chapitre 8, La musique du Bayous

« Vous avez vue juste mon cher, et je sais que la suite vous saura tout aussi bien. Elle s'appelle la musique du Bayous. »
« Hé bien, je crois que j'ai déjà ce texte en main...»
-Bonjour monsieur Stone. Il semblerait que vous désireriez participer au aventures de votre cher amis l'écrivain?
-Retiens bien ces mots car ici commence ton aventure... La musique du Bayous.
« Excusé-moi mon cher, s'exclama notre jeune homme. Vous serait-il possible de nous venir en aide? Nous sommes quelque peut... ...perdu. »
Le vieil homme mis son chapeau de paille et lui répliqua en lui pointant du doigt :
« Betty, Cria-il. Laisse moi entrer bon-sang, la rue, c'est mauvais pour la guitare. »
« Oui... Cette fin étais grandement manquante. Cette histoire était tellement triste à la base, c'est un baume sur le cœur que d'entendre cette finale. »



Comme à tout les fin de mois, la foraine appela, pour prendre des nouvelles des récits et aussi pour lui souhaiter la bonne année. Lucas fit su survole de son histoire pour confirmer avec la dame pour valider si celle-ci correspondait avec ce qu'elle avait en mémoire, ce qu'elle confirma sans hésitation :

Notre écrivain semblait perplexe quand il lui répondue :

Ces propos ne manqua pas de soulever des questions chez Amanda, à savoir pourquoi et comment.

«Hé bien, il semblerais que Rose aient pris partis avec mes amis. Ash, ma remis hier un texte de ce titre que j'ai parcourue, voulez vous que je vous en face la lecture? »

Amanda En étais tout surprise demanda qu'il procède.

« Hé bien, allons-y!...


Jours de fête, et jours de bal. Tout commença au bon fixe pour Ash car, Alice, sa partenaire d'écriture et d'aventure; accepta de m’accompagner au bal de saisons au collège avec thématique, l'après guerre. Tout deux étais vêtus de avec beauté de costume d'époque. Ils étaient tout deux chez Alice quand Ash qui étaient à la sales de bain reçut un appelle sur son cellulaire. Appelle qui allait changer leur plans pour la soirée. Tendis que la demoiselle attendait avec impatience la sortie de son partenaire, les mots retentissait dans la sales échos :

Bien avant qu'il puissent répondre, l'interlocutrice à la voie rocailleuse poursuivit :

Ces mots ne manqua pas de rendre confus Ash qui se levait pour se laver les main dans l'évier suite à... vous savez. Il tourna le robinet qui semblait avoir un bon débit et l'évier se remplis rapidement d'au et en moins de temps qu'il n'en faut, ces semelles clapotaient dans l'eau qui remplissait la sales. Il ne le savait pas encore, mais la magie de Rose prenait place dans la sales de bain. Notre jeune femme qui entendait les soubresauts de Ash commençait à s’impatienter et a cogner à la porte de la sales de bain se plaignant du temps qu'il prenait.
-Mais qu'est-ce que tu fait, l'on dirait que tu joue dans l'eau!

Suite à ces mots, Notre jeune homme poussa un cris de surprise suivit du bruit que ferait un objets qui tomberais lourdement dans l'eau. Alice était effrayé de voire cette vase grise et verte qui commençait à sortir d'en dessous de la porte
-Ash, qu'est-ce qui se passe, Y as plein de merde qui coule sur le planché!

Elle finit par prendre son courage à deux mains et se prépara :
- Remonte tes culottes, je rentre!

Ouvrent la porte en poussent une épingle à cheveux dans la serrure, elle perdit pieds dans cette monstruosité qui se répandait sur le sol pour se retrouver elle aussi dans cette eau vaseuse. Notre héroïne maudissait cette idiot qui avait ruiné la sales de bain de la maison familial. Sans doute, ces dégâts ruineront le sol et les meubles se disait-elle en tentant de se dés-embouer le visage. Cherchant à mettre la main sur l'une des serviette, elle fini par tâter une surface peut familière. Se questionnant sur ce qu'elle avait bien pue toucher, elle entrouvrit les yeux pour se rendre conte qu'elle avait poser la main sur un tronc d'arbre. Dans les faits, tout deux n'étais plus dans la sales de bains, mais se retrouvait désormais dans un marrais qui semblais s'étendre à perte de vue.

Ils étaient perdu. Perdu dans cette étendues, perdu dans la nuit. Au travers des sanglots de la demoiselle qui ne cessait de maudire sa vie, Ash lui étais abasourdis et sans mots. Il prêta son oreille et cherchait du regard ne serai-ce qu'un point de repère. Lorsqu'elle finis par se calmer, un sons bien particulier faisait échos à quelque lieux où ils étaient. Un Gramophone qui jouait une musique nasillarde dans la nuits qui étais accompagné seulement du champ des grenouilles à seulement quelque lieux de la.

« L'on joue de chance, dit sarcastiquement le jeune Stone. Je crois savoir d’où viens cette musique. »

Sous la directive de notre gentlemen, tout deux parcourue un lopin de terre infester de moustique pour enfin arriver au abord d'une maisonnée sur pilotis entourer de quai. Au abord de cette maison se trouvait un homme pauvrement vêtus qui semblait faire frire quelque chose sur un feux dans un demis baril de fer monter sur des briques. Ce dernier ne semblait pas avoir entendue nos jeunes aventurier monter sur les planches. Alice semblait ne pas avoir confiance à cette énergumène, mais l'assurance de notre jeune homme l'avait convaincus de le le suivre. De plus, c'était mieux que de rester dans ce lopin de boue.
Le vieil homme se retourna et les inspecta. Son regard changea lors qu'il se rendit compte qu'ils étaient suintant des marécages.
« Que faite vous pauvre fous, s'emballa le vieillard. Ne savez vous donc pas que ces eau son infester d’alligator? »

Alice semblait subjuguer par la musique, n'écoutant aucunement les dires du vieil homme. Elle finit par demander ce qu'étais cette musique qui lui paraissait étrange. Ash lui répondit :
« hé bien, c'est peut-être pour cette musique que l'on est ici.»

Il expliqua brièvement la conversation qu'il eut au téléphone avec la sorcière qui les auraient amener ici, ce qui ne manqua pas de confondre le pauvre homme.
« Pouvez vous nous ramener à la civilisation, demanda la belle. Je veut rentrer chez moi. »

« Hé bien sotie, mais vous me devrez un service en retour. »

Cette demande ne manqua de piquer la curiosité des deux jeune, mais ils en resta muet pour le moment. Ils eurent la chance de se sécher tendis que le Cadien dégustait sa mixture. La troupe eut un moment bien silencieux lors de la traversé dans l’embarcation et sans trop savoir par quel moyens, ils ont finalement traverser ces marrais. Les portes de la Nouvelle-Orléans franchie au petite heures du matin, ils déambulait dans l'espoir de trouver ne serai-ce qu'un endroit ou se nettoyer.
La clic arriva à un petit hôtel du centre ville d'on le première étage était, semblerai-il un café ou un club dans lequel se dressait quelque table et une scènes, commandent une chambre et demandant par le même fait ou il pourraient trouver des vêtements propres. La tenancière, bien qu'elle aient été réveiller au petite heures; fut ravis d’accueillir les deux jeunes, par contre il en était autrement du vieil homme.
« Vous, vous quittez mon établissement, S’écria la femme en pointant du doigt le clochard. Je ne veut pas d'un ''Hobo'' dans mes murs, retourne dans ton marais. »

Ce langage coloré avait aussitôt attirer les maraudeurs et curieux encore debout ce soir là.
« Ho silence Betty. Tu sais très bien que ma guitare fait marcher tes affaires quand je m'y mets.

Aussitôt, ces mots, elle répliqua :
« Ne m'appelle plus Betty, je suis madame Strakhouse maintenant et tu le sait bien. »

Le vieux rabougris afficha un sourire et éclata de rire tout à son image avant de pointer Ash du doigt :
« Tiens ta promesse jeune homme et trouve moi une guitare, c'est tout ce que je demande. Tu n'aura qu'a me chercher près des canaux.»

La conversation pris fin sur ces mots tendis que le vieil homme quittais en chantonnant un air saugrenus. Le reste de la nuit passa ainsi qu'une bonne partie de la matinée avant que nos deux aventurier refirent surface dans les méandre de la citée bien vivante. Bien le charme des lieux, il va sans dire que nos jeune adultes galérais à trouver, ne serai-ce qu'une piste sur l'artiste qu'il doivent débusquer car la quantité de musiciens et interprètes regorgeait. Ils retournèrent bredouille à leur point de départs suite à une longue marche sur les boulevards achalandé. L'établissement était maintenant bondé pour écouter un jeune homme qui jouant du pianos d'une main bien rythmé.

La tenancière les invita à une table ou un repas les attendaient. Alice semblait malaisé de tout ce luxe soudain. Elle rétorquait à Ash qu'elle n'avait que quelques schillings sur elle. Ce dernier semblait imperturbable, voir, insouciant. Il n'avait d'oreilles et d'yeux que pour la scènes. Ce jeune noir métissé avait un talent hors norme et la foules en redemandait.

Madame Strakhouse vin s'asseoir avec eux pour un instant :
« Vous ne mangez pas, demanda-elle. Goûtez au moins, vous allez m'insulter. »

Notre demoiselle pris timidement la fourchette avant de dire ce qui la dérangeait. Betty répliqua avec sourie :
« Votre grand-mère, Rose, est venue pour payer votre séjours durent votre escapade. Ne vous en faite pas pour cela, je vous le ferez savoir si vous excéderez vos frais. »

« Soulagé, demanda le jeune Stone. Jamais je ne croirait que l'on nous ait lancer dans cette aventure sans filets. »

La soirée avançait et ils finirent la veillé accompagné de l'artiste à parler de musique et de vie. Serte la conversation était intéressante, mais la jeune fille ne pue supporter la fatigue et ce nuage de tabac qui plombait l'air de la pièce plus longtemps, laissent les deux hommes parler entre eux. La conversation interminable continua encore des heures et Ash finit par parler de leur histoire. L'artiste le fixait silencieux avant de répondre de ces dires :
« C'est une histoire de fou que vous me contez... Admettons que c'est vrai cette histoire, vous pensez vraiment que je suis assez dingue pour rejoindre un cirque? Non... vous savez quoi? Maintenant que je sait cette histoire, jamais je joindrez un cirque, encore moins un Freak-show. Je ne veut surtout pas de sorcière a mes trousses... Comptez vous chanceux que Betty vous héberge gratuitement. Elle as un grand cœur et je ne veut pas que vous lui brisiez. »

Ash rétorqua à cette dernière remarque qu'elle savait pour Rose et que la sorcière avait payer leur frais. Le pianiste repris le jeune homme sur ces faits :
« Vous savez, elle ma dit la même chose il y as trois ans. Je suis orphelin... Elle n'a eut qu'un coup de chance sur le nom de la vieille. Betty aime aider les gens d'exceptions elle les flaires sans le savoir, mais elle aide toujours ceux qui ont une grande histoire ou qui sont destiner à en avoir une... C'est inné chez elle. »

« Ça ne m'arrange en rien tout ça, lança notre jeune homme. Nous allons rester percher dans cette auberge tans et aussi longtemps que nous aurons pas trouver notre artiste. Et encore, il faut que je trouve une guitare pour un vieux... ne me dit pas que c'est lui, il n'arrive même pas à chantonner sans fausser. »

Tout deux resta pensif un moment et le pianiste demanda s'il lui prêtait une guitare, allait-il lui rendre. Ash vin à lui répondre qu'il ne pourrait tenir une promesse dont il ne connais pas la réponse. Sur ces mots, la soirée pris fin pour laisser place au lendemain. Trois jours passèrent sans que rien n'y changea et un bon matin, Alice ce leva confuse et inquiète. Sous les questionnement de notre jeune homme, elle dit ces mots :
« As tu déjà rêver de la réalité dans un rêve? Comme rêver de dormir dans son lit. C'est un peut comme mon rêve à l'exception que je vivait ma journée avec le regard éteint, le visage livide. J'en viens à me demander si l'on est pas pris entre deux rêve, comme si les réalité n'avait pas de sens. Je commence à me demander si l'on est vraiment du 21em siècles à force de vivre ici. »

Aussi désolé qu'elle, Ash Stone finit par avouer son amertume face au événement et ces craintes. Les heures de la journée leur paressait interminable dans leur recherche d'informations caduc. L'après midi était avancé et Betty finit par faire son entrer dans la chambre disent qu'ils avait reçu un colis ce matin. Une vieil guitare était emmitoufler d'un drap ficeler avec une note.

« Bonjour Ache Ash! J'ai sue que tu n'avait toujours pas trouver ton musicien alors, je me suis dit que tu ne cherchait probablement pas à la bonne place. Apporte cette guitare au vieil homme. Ce n'est peut-être pas un bijoux, mais ça fera l'affaire. Je te l'offre! »

La lettre signé, de la main du pianiste William Thomas Dupree avait tôt fait de réjouir Alice qui la déballa aussi tôt et partis avec pour retrouver le vieil homme.
« Hé bon, pourquoi pas, dit notre jeune homme incrédule. C'est bien la dernière personne que je vois dans ce rôles. »

Notre jeune fille revient quelques heures plus tard, accompagner de notre vagabond qui pris la peine de mettre ces plus beau vêtements pour le moment. Soit, une chemise propre et un pantalon quelque peut décousue. Ce dernier se pausa au pied de l'édifice pour commencer à jouer de son instrument. Au grand étonnement de notre jeune chercheur, les paroles décousue était d'une complémentarité parfaite avec sa méthode de jeux. Les passant s’arrêtait pour l'observer aussi curieux que séduits par le phénomène. Ces aires cajun semblait se marier au rythme de la rue, il ne forçait pas la mesure et ne languirait pas sur les détails. Une fois entourer d'une foules assez dense, il arrêta net de jouer :

Il étais difficile de nier pour la tenancière tout la clientèle qu'il amenait si soudainement. Dés le zéniths, l'auberge faisait sale comble jusqu'à l'arrivée du groupe qui devait se produire ce soir là, transformant la foules amateur en danseurs refréner. Bien la contre indication de madame Strakhouse, Alice incita à ce que le vieil homme reste pour parler de son histoire. Dés lors, nos jeunes écrivains comprirent qu'il étais en présence de la bonne personne. Le vieillard entreprit son monologue :

« En fait, avant de finir dans ces bayous à trafiquer pour quelques dollars, j'étais un compositeur de renom, ou presque. En fait, j'ai composer quelques aires pour des interprètes, mais j'ai passer la plus grande partie de ma carrière à jouer mes aires avec les troubadours du grand cirque nomades. L'on devais suivre le rythme du spectacles et des fois même, notre rôles étais telle que l'on recevait nous aussi l'ovation pour notre exactitude. L'on faisait même l’animation des bals dans les villes ou s’arrêtait le cirque. »

Tout deux étais suspendue à ces lèvres, demandent à entendre toujours plus. La voie roque de ce symphoniste, repris le récits :

« En fait, ma carrière en Nouvelle-Orléans as été plus difficile que partout ou j'ai pue jouer. Ma femme de l'époque voulu s'installer ici car les gens parlait sa langue d'origine. Et li y eut Betty, ma fille. Je n'arrivait à joindre les deux bout alors, je suis repartis sur les routes, jouer de concert en concert pour finir plus pauvre que j'ai commencer. Quand je voulu retourner auprès des miens, ma femme me ferma la porte au nez et me dit de revenir quand j’aurais un emplois... Selon elle, contrebandier n'est pas un métier alors elle se déclara veuve et se remaria. Mettant à dos ma petite fille, mais je sais qu'elle m'aime qu'en même. Je me suis montrer comme un bon à rien face à ceux que j'aime parce que je ne voulait que faire ce qu'il me plaisait, sans me soucier de mes proches. »

Il s'avança sur la table et repris à mi-tons :
« Vous savez ce qui me manque maintenant? Absolument rien. J'ai vécus de ma richesse et de mes rêve et il n'est toujours pas trop tard pour moi de revivre un dernier moment avec ma fille et ce soit, elle me dit...»

Betty qui était derrière lui interrompit :
«Bobby, t'est aussi incorrigible que maman le disait. Je la comprend de t'avoir aimer autant. »

La soirée fit fortement mouvementé et au lendemain, à leur réveille, les deux étudient était de retour à Londres, paré pour un bal à venir.

Fin de récital.»

La ligne était silencieuse, notre locutrice étais sans mots et resta béa devants la question de Lucas :
« Est-ce que l'on garde ce récit? »

La voie troublé, la foraine répondit finalement :

Elle marqua une pause avant de dire la suite :
« Bien... Le sens du titre de la suite m'échappe, peut-être pourra tu déchiffrer les pages cette fois-ci, le récit me semblait presque intactes bien qu'il soit dans une vieil langue. Mon prédécesseur appelait ce chapitre l'hiver des druides ou l'été froid des Highlands dépendamment à qui il s'adressait. Je te laisse deux mois cette fois ci pour trouver ce texte. Nous serons en terre isolée pour un bon moment, alors nous nous reparlerons seulement en fin de février. »


Ce délais supplémentaire faisait grandement l'affaire de Lucas qui la salua et lui souhaita bonne route.

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