jeudi 27 octobre 2016

Lune noir, part17

Octobre avance et j'ai l'impression de ne pas avoir fait la moitié de ce que j'aurais souhaiter faire. Comme si le fait de ne plus travailler me ralentissait... étrange non? c'est peut-être juste une mauvaise impression aussi. Il est peut-être moins bien construits que les autres, mais j'avais besoins de placé des information avant de continuer.

Bonne lecture qu'en même

( Chapitres antérieur )


Chapitre 17 chemins de croix


Nous parcourons les rues dénudées de lumières à la recherche de ce meurtrier tout en évitant les patrouilles et les barrages routiers, sachant trop bien que les autorités nous suivent à distance, sans que je ne sache trop pourquoi. Bon, OK, c’est sure que ce serait plutôt flippant interpeller un cadavre ambulant qui se dépassent de toits en toits et un mec ensanglanté suivit d’un esprit qui ne fait que réapparaître brièvement d’un endroit à un autre le temps de converser. En fait, ils ont déjà due en voir de toutes les couleurs avec ces ombres et ces occultistes de toutes sortes.

En parlent de ces ombres, il semblerait que quelques-unes d’entre elles nous suivent à bonne distance. Je ne peux que me questionner sur leurs existences et demander au baron ce qu’il en sait.

« Ha? tu ne te souviens donc vraiment de rien me dit-il amusé. Tu es l’un d’entre eux. Ce ne sont pas des esprits malins, loin de là. Ils sont de ceux que l’on a apporté de l’autre côté, mais les portes entres les mondes sont maintenant grande ouverte et les anciens pensionnaires de ce mondes peuvent maintenant revenir… …en quelque sorte. »

Je me suis arrêté un moment, stupéfait de sa réponse quand il vin à moi et ne dit :
« Ne va pas croire que tu es l’âme d’un défunt. Tu es dans aucun livre ni récits que les plus haut m’on laisser. Les ombres, ces êtres de l’autre côté t’on créer de leur magie ou je ne sais quoi.et c’est sans doute pour cela qu’ils te surveillent. Si je savais ce qu’ils attendent de toi, je te le ferais savoir. Ne reste pas là, navré. Marche mon amis, marche! »

Je suis resté muet quelques moments, les mains dans les poches, à me demander d’où je tire ces brides de souvenirs incertain et sans lumières. Serait-ce les  ceux de l’âme qui habitait ce corps avant mon… …notre arrivé. Je ne sens pas sa présence et encore moins ces tourments, comme si cette vie étaient que l’empreinte d’un chant dans celle d’un ours. Ou peut-être qu’il a finit consumer par le malin quand il as pris place dans son corps. Je n’en sais rien.

Notre revenant qui parcourait les toits me sortit de ma réflexion, pour me demander expressément de venir sur le toit d’un édifice en ruine. Mon entrée en ces murs n’ont pas été de tout facilité. Une fois la porte barricadé enfoncé, je pouvais voir que celui qui étaient ici avant as mis un temps fou à fortifier les lieux et suspendre des vieux charmes en papier partout. Je montais l’escalier de cette ruine en prenant bien la précaution de ne pas me laisser piégé dans par qui que ce soit dans ces murs. Les croix peinte en noir sur les murs me semble plus terrifiante qu’une décentes en enfer. J’ai l’impression que n’importe qui ou n’importe quoi pourrais surgirent de la poussière et me découper en morceau.

Cette peur qui m’ai irrationnel c’estompa quand je suis enfin arrivé à la porte qui mena sur le toit de cette édifice. Une odeur pestilentiel s’émanait des lieux tandis que j’avançais au travers des échafauds laisser en abandons. J’y ai retrouvé notre macchabé et une vieille connaissance, crucifiée sur place. Cette homme vêtu de noir avec et de son long manteau gris m’avait bien déçu.

« Je l’aurais crue plus puissant, dit baron Samedi. Pathétique pour un paladin. »

Je vin à scruter ces mains teinté de peinture noir quand il releva la tête en rugissant, crachant du sang. Son regard vide se projetait sur nous agressivement. Bien son apparence physique, ce qui l’habitait n’étais plus humain. Il n’en fallu pas plus pour notre passeur pour plonger la main dans sa tête et mettre fin à ce délire.

« Nous voilà face à un nouveau problème, s’écria le baron. Il appelle les siens à prendre ces corps en les vident  de leur esprits. Nous sommes encore chanceux que ce ne soit qu’un esprit primal qui ait pris place en ce corps. Rien que je ne peux révoquer. »

« Il est frustrant d’avancer sur un échiquier vide, reprit le corps sans vie du paladin. Vous ne pourrez nous arrêter, d’autre vont venir. »

Ce dernier éclata de rire. Tandis que notre revenant se retenait de lui arracher la tête, le baron lui demanda qui parla. Le paladin lui répondit de son rang dans les abysses. Soudainement je compris que le tout était orchestré depuis bien longtemps. Avant même que l’on puisse poser d’autre question, notre défunt le réduisit en charpie. Mettant fin à son existence et à l’interrogatoire. Sur le coup, je trouvais que ce n’était une réaction stupide, mais en bout de ligne, j’ai eu beau penser et je ne voie pas comment ils auraient pu nous aider. Ce n’est pas comme s’il aurait dévoilé leurs plans ou bien nous dire par ou trouer ce démon… et de toute manière, les palmes d’un hélicoptère commencent à se faire entendre. il me serait sage de fuir ce merdier avant que l’on se face voir sur place.

Le temps d’y pensé et j’étais déjà seul sur le toit. Je n’avais d’autre choix que de retourner dans ces ruines en espérant passer inaperçu. L’engin me semblait s’éterniser au-dessus de l’édifice, me laissant piéger à l’intérieur de ce complexe affreusement affecté par ce qui l’habite. Je vin à me terrer dans l’une des pièces du second étages en espérant ne pas me faire surprendre par ces soldat qui s’engouffrait dans le rez-de-chaussée. Pour je ne sais quel raison, ils ont tiré quelques coup avant de fuir, paniqué par quelque chose qui semble être en ces murs, ce qui ne me plaisent pas du tout. Après quelque instant, je me suis décidé d’avancer à pats feutré dans ce silence presque parfait. J’effleurais les murs de mes doigts quand j’entendis la seule chose que je ne suis pas prêt à affronter. Ces soubresauts me glaceraient le sang.

Les pleure d’une enfant.        

vendredi 21 octobre 2016

Lune noir, part16

Bon, le principale avantage de ne plus avoir d'emploie, c'est que je peut me lever en plaine nuit et écrire mes trucs. Par contre, je me retrouve à somnoler tout la journée et manquer la plupart des truc que je me disait de faire... Au moins, je ne manque pas d'imagination pour la suite des choses.
Bonne lecture!

( Chapitres antérieur )


Chapitre 16, Dans le sang


Mon retour est plus que douloureux. Mes os me font mal et ma vue est plus que floue. Je ne peux que crier, tant par joie que par douleur sans qu’aucun sons ne s’échappe de ma gorge.

« Ha… Il revient enfin à lui.»

Ce tons de voie m’ai familière, mais ce grain lugubre et désincarner lui enlève tout trace d’humanité. Je distingue les gestes de deux personnes mais je ne peux voir que leurs silhouettes.


« Peut-il nous entendre, demande l’ombre à ma droites. Pourquoi prend-il autant de temps? »

La seconde personne lui répondit avec un ton enjouer :
« Ne soit pas si presser, il doit encore revenir à lui. »

Cette voie m’est plus que familière. Seul le souvenir d’un homme noir et de l’amertume me revient. Après considération, je me souviens. Ce faucheur d’âmes est encore au-dessus ma carcasse. Mais qui donc est avec lui?

Quelques minutes encore et je voie plus que des ombres et lumières et je peux murmurer quelques mots. Baron est les premiers mots que je viens qu’à dire pour ensuite lui demander ce qui m’ai arrivé.

« Hé bien, dit baron Samedi. Elle a Réussi et non. Tu n’as plus cette chausse en toi, mais elle se balade dans les rues de la ville avec ce qu’elle a pris de toi. Soit une bonne partie de ta chaire et tes entrailles. Encore heureux que tu ne sois pas humain. »

Étonné de ce verdict, je tentai de me relever pour découvrir que ma peau est ouverte de partout et que mes entrailles sont partout sur la table, laissant mon cœur battre à découvert et mes poignets décharnés de mes mains. L’effroi m’emplie, mais pour une raison que j’ignore, aucune expression ne sortais de moi. Je suis mort et revenus à la vie pour découvrir que je vais bientôt mourir? Ça ne fait pas de sens.

« Je suis quoi, lui demandai-je. Un zombie? Qu’est-ce qui m’arrive? »

La seconde personne qui pour le moment était resté à l’écart vin répondre à mes questions :
« Ne te détrompe pas, tu es bien vivent, et plus que je peux l’être. Détourner le corps que le malin à conçu pour venir sur cette terre et l’enfouir au plus profond de ta personne ressort d’un acte divin, en quelque sorte. »

 « J’ai tu l'air de jésus, lui dis-je sans regarder.  Je veux bien croire que je reviens de l'autre bord mais je ne suis pas un saint, compris! Me traiter d’antéchrist, non mais…»

Je me suis retourné vers ce planétaire pour constater à qui je faisais affaire. Ces rastas terreux, cette peau curieuse tendue sur ce corps sans vie et ces orbites creuse sinon qu’un brin de lumière maléfique qui en sortait me glaça le sang. Il est supposé être mort de ma main, mais le voilà de retour. Il se leva d’un geste brusque et avança, me disent d’un air hargneux :
« Ecoute moi bien, je suis ici qu’un seul et unique raison. Me venger et venger ma mère de celui qui la réduit au silence. »

Le décor était fixé. Tout autours, les objets étaient fracasser, projeter au sol avec un mélange de sang des long cheveux de la tignasse de cette chamane qui de tout évidence reposait un peu partout dans cette salles. J’ai délivré un mal qui ne devrait exister en ce monde et de toute évidence, il est venu nous anéantir. Un silence pesant fut ma réplique, une voie muette qui de sons sens demanda un pardon inavoué.

Une question me vin soudainement à l’esprit :
« Comment êtes-vous venus à croire que je suis l’antéchrist? Ou plutôt, comment se fait-il que baron Samedi ne m’ai encore rien dit? Hé puis, ça ne fait pas de sens, comment un faucheur peut retenir le diable en personne? »

« Il en est rien, me répondit froidement le baron. Ce corps n’est pas le tien et les démons ne sont qu’une espèce bannis de ce monde. Ils ne sont pas tousse l’ange déchue que tu dépeins. De plus, ne m’appelle pas faucheur, je ne suis pas l’Ankou. S’il y a quelqu’un que tu ne veux pas croiser sur ton chemin, c’est bien ce passeur vide de tout compassion et avide de cette énergie qui habite les vivent. Il est si longtemps sur terre qu’il en a perdu son humanité et traques ceux qui sont en fin de vie comme un animal le ferait. Près à déchiqueter le corps de ces victimes pour en aspirer toute parcelle de vie. »

Le revenant lui demanda si nous allions le rencontrer sur notre quête contre ce démon et le Baron lui répondit froidement que les démons sont encore plus avide de cette énergie que peut l’être un passeur.

« Si je comprends bien, lui dis-je. Tu me suis seulement parce que je suis ton garde mangé. »

Le baron vin à me reprendre :

« Nous ne la consommons pas. Je dirais que nous la subissons. Un-peut comme vous sentez cette énergie, ce frisson dans les manèges d’un parc d’attraction. Peux-tu te relever maintenant? »

Sans m’en rendre vraiment conte, mon corps c’est régénérer dans la presque entièreté. Je pouvais désormais me relevé et tituber le temps que reprenne forme mes os, mes muscles et tendons. Nous sommes enfin sortis de ce carnage, paré pour suivre la route ensanglanté que nous laissa ce démon.   

mardi 18 octobre 2016

lune noir, part 15

Une belle journée sombre et pluvieuse, parfaite pour écrire! En fait, c'est bien la première fois que j'écris en après midi. Bon, j'ai pris 4 heures écrire ce que j'aurais fait en une ou  2 heures, mais ce n'est pas grave. l'inspiration étais au rendez-vous.

( Chapitres antérieur )


Chapitre 15, Chaman


Je ne sais pas comment j’au pue parvenir à la retrouver, seul chose que je sais, c’est que j’y suis. Une odeur Âcre me remplit le nez tandis que je recommence à y voir plus clair. Mes poumons brûlent comme si j’aurais couru un marathon. Mes empruntes noir de je ne sais trop quel matière montrent que j’ai erré dans les alentours comme un animal en recherche de sa proie. Possiblement que cette encens m’ai réveillé de cette transe possiblement dangereuse.

La porte d’un blanc immaculé semble être celle où je dois aller. J’entrebâillais la porte pour y entendre les pleurs d’une dame d’âge mûr. Elle tenais d’une main une photo et de l’autre, un revolver qu’elle tendais vers moi. Tu as tué mon fils, s’écria-elle hargneusement avant de décharger son arme sur moi. Je fermai les yeux en espérant que cette douleur m’emporte avec le mal qui me déchire, mais il en était rien. Quelque instant à peine et j’étais de nouveau moi-même, sans marque de d’impact sinon que le sang et les trous sur mes vêtement déjà en lambeaux. Je ne sais pas s’il s’agissait de ma propre pensée ou celle de la bête, j’ai du mal à compatir. Seul l’amertume de m’être fait tirer dessus me venais. Je me suis approcher d’elle et m’agenouilla devants elle :
« Fait sortir ce monstre de moi. Je ne sais pas comment le retenir, je ne sais pas l’arrêter s’il est en moi. »

La pauvre étais terroriser, je ne savais pas quoi lui dire de plus et elle semblait paralyser de peur. Je suis donc resté ainsi quelque longue minutes avant de me demander si j’étais maintenant plus serein? À ma propre surprise, je devais avouer que oui, c’était comme si ces lieux ou cette magie me permet de retenir ce monstre.

« C’est bien ce que je croyais, dit-elle. Il y a bien deux esprits dans ce corps si ce n’est plus et seul toi peux être emprise par la sérénité que mon incantation inflige. Autrement, tu souhaiterais que fuir ces lieux. »

Elle se leva et pris une corde de chanvre :
« Je sais quoi faire, repris-elle. Mais ce ne saura pas de tout repos. Si nous voulons tuer ce mal, nous devrons l’extraire et pour ce faire, tu devras mourir une première fois, comprends-tu ce que j’insinue? »  

C’est quelque peu ironique de me dire de telle chose considérant que je viens de survivre à mon propre meurtre sans aucune égratignure. D’un autre côté, je n’ose imaginer ce qui m’attend. Je consentis à ces demandes bien que je crains cette souffrance à venir.
« Il n’y a pas de temps à perdre, dit la chamane. Ce sort de paix ne durera pas éternellement. Je dois t’attacher sur cette table pour commencer l’extraction. »

Je m’y allongeai donc, elle m’attachât par les chevilles, les poignets et la gorge. Je n’avais de cesse de me demander comment ai-je pu tuer son fils, je n’ai eu aucun souvenir ressent de ce lui. Oui, serte la dernière fois que je suis venus la voir, mais jamais je ne l’ai vue depuis et je dois dire être tracasser par ce pans d’histoire qui me manque. Sans que ces mots sorte de ma bouche elle commença à me parler tandis qu’elle préparait le rituel :
« Tu sais, depuis que ta sortie de l’hôpital a fait surface dans les nouvelles, un homme du Vatican est venus nous rendre visite dans ces première heures. Il était venu maudire l’implication de barons Samedis et de nous tenir à l’écart de sons travail. Il voulait aussi des informations sur ta personne, mais nous en étions moins connaisseurs qu’aujourd’hui sur ce qui t’habite. »

Ça fait près d’une semaine que je suis en cavale? J’ai l’impression que seulement quelques heures c’est dérouler. Merde, je déteste perdre le fils du temps.
Elle me mit dans les mains des roses avant de les refermer avec des chiffons.
« Tu as causé un sacré carnage à tenter de nous retrouver. Plus de la moitié des officiers du sud de la ville y ont goûté et c’est maintenant l’état de siège sur la rive sud. L’armée est passée ici et ils vont surement revenir d’ici peu. La plupart des gens ce sont cloîtrer en espérant ne pas finir comme mon fils… Il faisait partis des volontaires qui ont décidé de te mettre la main dessus. Des pourfendeurs plus que des tireurs. »

Houai, je ne suis pas sortie de l’auberge. Il me faudrait presque changer de pays pour m’en sortir. Son regard interrogé se porta sur mon visage :
« Étrange, dit la dame. Pour un instant, j’ai cru que ton visage avait changé pour celui d’un autre.  »

Quoi? Je ne sais même pas comment je fais ! Il va vraiment falloir que j’apprivoise ce don. Enfin, si ça vient de moi…

« Ça va être salé dit-elle en mettant une pogné de sel en bouche. Je tiens à te le dire, vue ton talent pour te régénérer, ça va faire très mal. »

Elle entama une incantation et planta un poignard dans mon estomac. Pour une fois, à douleur me sembla plus que réel, une vraie sensation, une vrai mort. Lorsque ma vue vint au noir, j’aperçu le baron dans le dernier soubresaut de vie qui me restait. Me voilà replongé dans l’intangible noirceur, privé de mes sens. Seul avec ma conscience et mes pensées.

Une éternité dans la noirceur. Je croyais que lorsque l’on mourait, l’on voyait défiler sa vie ou encore que ce serait un chemin vers l’au-delà ou encore une nouvelle vie, mais pas le néant. J’ai déjà compté à plus de cinq milles Mississippi et j’ai dû m’y reprendre par trois fois parce que je perdais le compte. C’est chiant à la fin! Flotter comme ça dans le vide, c’est n’est  vraiment pas une vie… enfin, une mort.


J’entends un battement de cœur, ça y est, je reviens. 

mercredi 12 octobre 2016

Lune noir part14

Bon, comme je vous l'avais dit plus un texte plus tôt, je vais vous donner de mes nouvelles! Bonne nouvelle, les temps sombre et les nuits qui rallonge m'ouvre les portes de l'imaginations, donc plus de texte et d'image par le même fait. J'ai maintenant un profile Instagram dans lequel je mets les images que je fait pour le Inktober 2016. Grosso modo, c'est une pratique spécifique pour le dessin. et de tout évidence, j'en ai grandement besoins...

la moins bonne nouvelle est que je n'ai plus d'emploie et dois trouver un autre moyen de subsistance. Le commence pour lequel je travaillait, as fermé ces porte au débuts du mois et vue que j'étais sur un programme gouvernementale, je ne toucherez pas de chômage. je retombe donc au plus bas des salaire soit l'aide sociale. Bref, merde...

Au moins, j'ai plus de temps pour écrire, quand je ne marche pas d'un employeur à un autre (et c'est ce qu'on appellerais une nouvelle comme-ci comme ça )  

Pour revenir sur une nouvelle plus positive, j'ai décider de créer un Patreon pour subventionner la correction et la mise en marché de mes manuscrits et ce, dés que j'aurez toucher au dernier chapitre de Storyteller. Ce n'est pas pour tous de suite alors, Je vous tiendrez eu courent de mes démarches. Finalement, j'espère que vous appréciez le fait que j'ai effectuer une correction rapide sur ce dernier textes. ce n'est serte pas parfait, mais je fait de mon mieux.

bonne lecture!



Chapitre 14, puissance


L’un des passent qui étaient venue à mon secours commença à me prodiguer les premier soins. Une entaille logée en mon abdomen perdait beaucoup de sang. Je me souviens l’avoir vue paniquer avant de perdre connaissance. Et maintenant, me voilà étendue dans un lit peut confortable  à contempler un plafond suspendue étrangement familier. Je ne pourrais dire s’il s’agissait de chance ou de manigance, mais je me suis retrouver  dans le même lit d’hôpital que la dernière fois.

Une femme à l’entrée me sorti de mes songes en me rétorquant :
« Encore vous ? Je n’espérais pas vous voir si tôt…»

Madame Michaud! Je ne sais pas si c’est une bonne nouvelle de retomber sur les même têtes, mais je dois dire que je suis contente de la revoir. Je dois me relever…

« Ne forcez pas trop, dit-elle. Cette coupure fut nette, mais vous avez perdu beaucoup de sang. En fait, j’ai bien peur que vous ne puissiez retourner chez vous ce soir, la police veut vous garder à vue cette fois-ci.»

Elle vin à mes coté pour examiner la plaie. Défaisant le bandage, eut un choc de voir que la plaie commençait déjà à se ressouder. Elle alla jusqu’à tirer sur les points de suture pour confirmer que ce n’étais pas une illusion. Quelle douleur…

« Je devrais arrêter de m’étonner, dit-elle. Le monde ne fait que devenir de plus en plus bizarre… Le fait que tu ne sois pas l’une de ces personne qui entre ici en convulsion et que tu as tout ta tête, c’est déjà bon… …surtout que depuis votre arrivée, les ombres se font rare.»

Si elle savait à quel point tout à changer. Je n’ai peut-être pas la réponse à ces temps sordide, mais une chose est sure, je reprends le contrôle sur ma vie, Il est bon de se sentir en puissance.

«Madame, s’exclama une voie venant de l’embrasure de la porte. Madame, éloignez-vous de cette homme immédiatement.»

Deux officier ce tenais à l’entrer quand l’infirmière pris du recul. Elle était confuse et mois donc, entendre l’un d’eux me réciter mes droits et l’autre j’approcher de moi, menottes à la main. Je pouvais percevoir le Baron se tenir dans le cois de la pièce. Ces rires retentissaient dans ma tête quand l’officier me saisit par le poignet. Jamais je ne m’étais jamais senti autans effrayé de pour mon avenir, même si personnellement, je n’aurais jamais cru en avoir un. Baron Samedi qui semblait invisible aux yeux des autres s’approcha de moi et se pencha au-dessus de mon lit.

L’officier me passa la menotte au poignet et me dit : « vous venez avec moi.»
Je n’eus le temps de pensé que le baron insuffla à ma voie les mots suivent.
«Je ne crois pas, non.»

Sur ces mots, le second officier mis la main sur son arme, mais il était déjà trop tard pour son acolyte. Sans même m’en rendre compte, je l’avais repoussé à l’autre bout de la pièce, comme une poupée de chiffon. Le tout me sembla irréel, tout était aux ralentis, je me suis lever du lit et en moins de temps qu’il n’en faut, je poussais le second officier dans le corridor et il s’encastra violemment dans le mur derrière lui, perdant conscience. Je saisi mes choses dans la penderie à l’entrée sous les yeux effrayé de madame Michaud. Les échos de mes délits retentir jusqu’à la sécurité de l’hôpital, attirent le regard. Je suis donc entré dans le clair-obscur d’une salle ou seul un respirateur se faisait entendre pour me changer. Ma plaie n’est plu, j’ai déjà deux de mes points de suture gisent au sol comme si mon corps avait dissout ce fils ferreux. Mes vêtements sont tachés de mon sang, difficile de ne pas attirer l’attention, surtout avec mon trench-coat noir. Je peux me considérer chanceux d’avoir échappé à la surveillance de la sécurité avant que les renforts policiers arrivent.

Les rues cette nuis sont d’un silence et d’une froideur morbide. Je n’ai croisé aucunes âmes qui vivent et encore moins de ces ombres. Seul ce vautour de Baron Samedi me suit en ricanant, c’est plus qu’énervant.

«Qu’attends-tu de moi, dit-je hargneusement. Pourquoi me suis-tu encore?»

Sa voie spectrale susurra ces mots, faisant trembler les os de mon crane :
« Tu es idiot. »

Il fit pleinement apparition devants mois avant de reprendre d’un ton théâtral :  
« Tu crois le métriser quand il t’offre ces pouvoirs, mais tu deviens comme lui et il te dévore ainsi… Ne vois-tu pas la hargne et le mépris t’envahir, reprit-il en me fixant droits dans les yeux. Sonde ton esprit. »

Dès lors, je n’ai eu de pensé pour ces mots et repassa ces dernier moments en boucle dans ma tête. La scène semblait mensongère. J’ai mis les deux policier K.O. et fuit. Ensuite… … non. J’ai tué ces deux policiers devant l’infirmière et ce de ma volonté. Cette idées me trouble d’autant que je la sens vrai et n’ai eu aucun remord avant ce moment. Maintenant, je comprends mieux ce silence. Ces ombres savent quel monstre je deviens. J’ai donc embrasser la vie de ce diable qui me consume et set idiot ne trouve rien d’autre à faire que de rire de moi. Ho, je le haï autant que je peux m’en vouloir en ce moment. Pourquoi ne fait-il rien pour m’aider? Pourquoi a-t’ il provoquer leur mort en infusent ces mots dans ma bouche? Pourquoi se moque-t-il de moi ainsi?

Mes mains perle de sang frais et ne sais pas pourquoi. Ce n’est pas le mien et je n’ai souvenir de personne sur mon chemin. En fait… …c’est totalement faux ce mal qui m’habite me cache la réalité. Autant je peux percevoir le monde qui m’entoure, autant je ne peux croire en mes Yeux.
Je dois trouver de l’aide, peut-être que la chamane saura m’aider.    

jeudi 6 octobre 2016

Storyteller part 9

Bonjour! Oui, je sais, j'ai promis d'être plus présent sur le blogue et j'ai déjà du retard, encore une fois, et j'ai de bonne raison pour cela, mais au lieux de me confondre en excuse, je vous présente ce neuvième chapitre de Storyteller qui, disons le, est plus complexe que ce que je pensait faire, mais bon...

l'on ma demander quand-est-ce que je recommençait mes Lune noir, hé bien, je m'y lance. le prochain texte devrait r'amener le récit de lune noir vers à un autre niveau... Entre temps, je vous donnerez des mes nouvelle pour mieux éclaircir ma situation, d'ici là, bonne lecture 


Chapitre 9, L'été froid des Highlands


Lucas Attendait avec impatience l'appelle de la foraine pour lui compter ces déboires. Ces derniers jours de février lui paraissait une attente des plus longue. Il espérait avoir la chance de renouveler ces expériences au plus tôt. Le dernier dimanche de ce mois, le téléphone sonna enfin. La voie de la vieil dame qui semblait se douter de rien lui demanda comment était ces deux mois. Notre jeune protagoniste ne fit pas d’hésitation et lui répondit :
« Ces deux dernier mois fut les plus incroyable depuis un bon bout de temps. Non pas que j'en retire rien de ce que j'ai vécus cette dernière année, mais je n'ai encore rien eut d'aussi grand, d'aussi vivifiant! »

Empreinte de curiosité, notre dame d'age mure lui demanda de raconter son histoire, ce que le jeune homme fit avec joie.
« Laissez moi commencer de ces sages paroles, dit-il. Les légendes doivent être vécus pour être raconter...


Ce début de janvier m'était banal, voir sans intérêts sauf peut-être pour ce qui est de mes amour qui prenait forme avec celle qui fait désormais partie de ma vie. Cette douce femme, Emma Jones, m'étais plaine de surprise que vous découvrirez bientôt.

À défaut de pouvoir traduire moi même les mots que m'affiliait le grand livre, je posta sur mon profiles internet les quelques pages que comportait le cette écriture à mis chemin entre le latin et une autre langue ponctuer de symbole runique. Mes tentatives pour obtenir de l'aide de mes amis resta lettre morte pendent deux jours ou je ne fit que travailler et flirter avec ma douce. Au terme de nos conversation, nous avons décider de sortir le soir, pour un restaurent en tête à tête, question de mieux se connaître.

Il va sans dire que la conversation as pris une tournure plutôt étrange quand vin mon tours de parler de mes choix de vie. Elle ne comprenait pas mes principes et encore moins mon entêtement à achever ces livres. Bien sure, je ne lui dit pas rudement que je vivait ces histoire, pour mes propos, je paraît de recherche et de quelques voyages. Une vie de moine à son regard. Je voulais parler de passion et elle voyait des corvées. Je ne sais plus par quel chemin je vin à lui dire ces mots, mais elle resta accrocher sur ces dernière phrases de mon crue qui bien malgré mois finit par définir ce qui nous attendait.

-C'est la vie qui me dicte ces mots, je mets sur papier ce qu'elle m'offre. Dire que je ne vie pas ces histoires revient à me mentir, à denier ce pourquoi je m’invertis.

Suite à ce, elle pris un moment pour penser et me demanda :
«Est-ce que je suis une de tes histoires ou c'est autre choses?»

Je la regarda et dit avec franchise :
« Je t'ai vue comme je te voie, dans une Amérique de cotons avec colt et courage. C'était peut-être qu'une fantaisie à tes yeux, mais détrompe toi, ce que je vie en te voyant est bien plus que de simple mots sur du papier.»

Ces mots avait résonné aux oreilles de la dame à la table voisine et dés qu'Emma ce leva pour aller se rafraîchir, cette quinquagénaire se retourna et me demanda :
«Je sais reconnaître un artiste quand il se présente. Mais dite moi, si ces œuvre vous sont si réel, pourquoi ne pas l’amener dans ces récits?»

Sur ces mots, je restais subjuguer, et ne comprenais pas comment elle avait pue décoder et comprendre que je vivait ces fait. Néanmoins, le reste de ce rendez vous galant se poursuivit sans heurt et finit par la raccompagné à sa porte. Semblerait-il que j’avais un air troublé car je me plongeait sans cesse dans mes pensés, ce qui eut pour effets de terminer la soirée en queue de poisson.

Sur mon retour, je ne pouvais m'empêcher de me maudire pour cette fin de soirée décevante. Je déambulait dans le cartier à chercher qui pouvait bien être cette vieil dame et repenser à ce qu'elle m’avait dit, me répétant que je devrais éviter de m'en faire que si elle voulait vraiment vivre ce que je vie elle le ferait de son gré. Ces mots me sonnait comme un mensonge et un sa possible perte. Vous pouvez savoir ce que sait; qui na pas déjà eut l’angoisse de perdre la personne qui fait battre notre cœur.
Une émotion puérile et légitime dans son sens.

Je ne pouvait rentré chez mois et décida de passer quelque instant au café, parler avec Alice et quelque connaissance sur place, question de me désemplir la tête de mes tracas. Avants de les quitter, je dit à Alice que je partirais pour l'écosse voir des vieux amis et peut-être trouver la réponse à ce chapitre. Comme toujours, elle me souhaita bonne recherche et fit ce regard de chiot triste qui nous regarde partir, jalouse de mes péripétie. Le soir même, je fit mon sac pour partir dés le lendemain.

Ce lendemain semblais prometteur avec ce ciel bleu pastel et cette fraîcheur. Je m'étais mis une musique des plus entraînante pour accompagner ma routes dans l'autobus. C'était une des rare fois ou je venait à faire le vide de mes pensés, principalement depuis le débuts de tout ces aventures. Un moment de paix relative qui fut brusquement interrompue par une révélation. Qui d'autre que notre cher Amanda pouvait savoir, qui d'autre que vous et les forains. Je ne l'avait peut-être pas reconnus sur le coups; peut-être avait-elle emprunter la voie de cette dame, mais je reconnus dés ce moment son parlé lascif ou devrai-je dire posé? Bref, ces manières qui lui sont bien unique. Je compris donc que je manqua une belle opportunité de montrer le monde comme je le vois à celle que j'aime. D'un autre côté, elle m'indiqua que je partais vers la bonne direction et cette avec cette conviction que je descendit de l’autocar.

Comme à chaque année, moi et mes amis d'enfance partons pour notre ville d'enfance pour faire des retrouvailles et fêter et comme à tout les années, certain disparaissent et d'autre voie leur famille grandir. À chaque fois, James Revient avec une nouvelle femme à ces coté et une nouvelle tête. Il est presque méconnaissable à chaque fois. Plusieurs sont manquant, laissant des messages au autres pour dire leur regret de ne pas y être, mais qui en voudrait à quelqu'un qui attend un enfants dans les prochains jours ou un autre qui travail énormément. Sylvestre qui arrive toujours les poches vide, mais tout aussi travaillant. Karen, la garçonne avec ces jumeaux de 4 ans. C'est tellement agréable de se revoir à chaque année. Une nostalgie qui me fait chaud au cœur.

Cette année encore, nous avons louer dans l'auberge familial de Marty Mcllroy qui détestait tellement cette auberge quand il étais petit. Maintenant c'est lui le patron et c'est son fils qui n'aime pas y être, quel ironie...

Le soir venus, nous nous retrouvons autours de la grande table du restaurent de l'auberge pour conter nos avoir et déboires autours d'une carafe de vin pour certain, et du thé pour d'autre. J'étais rester muet sur ma vie jusqu'à ce que Marty s'exclama :
« Lucas, tu na pas toucher ton ver ou presque! Je n'y crois pas, notre fêtard ce saurait-il calmé!»

Je ne pouvait qu’esquisser mon arrogance et faire semblant de boire ma coupe, ce qui fit bien rire les autres. J’ai avouer par la suite que Londres m'avait bien changé et tranquillement, je faisait de moi un homme avec des ambitions, un amour, des projets et un livres. Ce dernier sujets piqua la curiosité de mes amis et décida de montrer cette pièces d’anthologie que vous m'avez demander de restaurer. Karen était en pâmoison devant l’objet, James et Sylvestre lisait mes notes avec empressement tendis que Mcllroy me regardait tout sourire, contant de me voir réussir ma vie mieux qu'il m'aurais crue capable. Ce court exposé s'arrêta sur dernier titre. L'été froid des Highlands.

Chaque un avait sa propre histoire pour ce titre. Pour Karen Dean, c'était la naissance de ces jumeaux. James me parla de l'histoire d'amour de ces grand parents, contant celle ci comme s'il s’agissait de la sienne. Marty lui, n'avait que de souvenir pour ces histoires de bretteur et d'aventurier qu'il sortait de ces vieux romans. Sylvestre lui resta songeur. La soirée continua et notre hôte se fit le conteur de la soirée. Avant de quitter la table, nous levons notre verre une dernière fois avant de prendre place dans nos chambres respective.

La nuit me sembla brève. Déjà ai première lueur, une note étais glisser sous ma porte. Malgré l'écriture affreuse, je parvins à déchiffrer que Sylvestre avait possiblement trouver la sources de ce titre, du moins, il savait ou aller chercher. La lettre disait qu'il chercherais un vieillard qu'il connue tout jeune ou du moins cette famille. Et tout ça pour une question de clef. J'ai eu bon le chercher tout la journée, personne semblait savoir ou il était.Le temps avançait et son absence pesait. James quitta au déjeuné pour retourner à Leeds déçu de ne pas voir une dernière fois celui avec qui il avait fait les milles et un coup. La Famille Dean étais bien occupé d'elle même et Marty semblait distrait jusqu'à ce que le téléphone sonna. Anna qui était de la famille de Sylvestre appela pour dire qu'il avait passer la nuit dans les archives de l'hôtel de ville ou elle travaillait, au village voisin disent que je devait venir. Je pris donc mon sac à dos et un foulard que Marty me prêta pour affronté les quelques heures de marche que je ferez au seuil du point de congélation. Une bien mauvaise idée à la base, mon trajet terminé, je m'étais gelé les pieds dans une flaque d'eau et ma tignasse me semblait moins touffue que ce que je pensait.

Je mis les pieds dans ce petit édifice habité que de la réceptionniste, une dame stricte. C'est as ce demander comment il as pue rejoindre la sales des archives. J’attendais la venue d'Annie ou Sylvestre à l'entrée quand derrière mois j'entendis une voie familière :
« Mackay! Si tu aurais attendue un peut...»

À ma grande surprise, Alice se tenait devant la porte, suivi d'Emma qui étaient venus me rejoindre. Durent l’heure ou nous devions attendre, elle mon expliquer leur venue. Bien que ma cher Emma semblait perplexe de ce qui se passait, Alice elle décrivait avec romance leur folle aventure. Dans les fait, elle se connaissent depuis peut mais Emma lui parle beaucoup depuis notre première rencontre... Le soir ou j'ai eut mon rendez-vous avec mademoiselle Jones, elle est venu demander conseil à Alice à la fin de son quart de travail à mon sujets. Selon ces dires, une vieil dame l'aurais interpeller quand elle alla au toilette du restaurent, le soir de notre rendez-vous. Cette dame s'était nommer comme vous l'aurez deviner, Amanda. Il n'en fallut pas plus pour notre jeune serveuse pour lui faire dire que si Emma n'allait pas me rejoindre, elle, elle le ferait d'elle même. C'est sur ces mots qu'elle la convaincus. Elle sont donc venus à l'auberge que javait parler à Alice, avec la voiture d'Emma. Bref... …heu, non. Il est un peut tard pour abrégé. Poursuivons...

Nous étions dans le hall et le tintamarre de notre conversation finit par venir au oreille d'Annie, l'archiviste et sœur de Sylvestre. En fait, ce dernier est venus chez elle en plaine nuit pour demander de l'aide pour retrouver une personne décédé depuis une bonne dizaine d'année. Cette homme étais un collectionneur de Récit et de contes local. Selon les dires de Sylvestre, ou plutôt du vieil homme, du temps ou il l'aurais connus; des ouvrages auraient été caché dans une cache sur les terres de cette familles. Bien à l'encontre des avertissement de sa sœur, il à entrepris de retrouver ce lieu. Annie s'en voulait d'avoir laisser son petit frère fouiner dans la mairie. Puisque j'étais selon ces dire l'un de ces plus grand amis, elle espérait que je puisse le ramener dans le droit chemin avant que la famille de ce défunt personnage appelle les gens d'armes.
«Avec lui, la fin justifie toujours les moyens, disait-elle.»

Je ne pouvait que me sentir coupable de ces actes. Indirectement, c'est mon histoire qui le pousse à cette mésaventure. En moins de temps pour le dire nous nous somme rendus sur les ces terres qui étais plutôt en retraits. Le cottage semblait sans vie, il n'y avait ni voiture, ni trace sur place. De plus, une neige détrempé tombait, rendent les lieux plus inhospitalier qu'il ne l'étais déjà. Notre Chauffeuse Emma, remarqua quelques instant plus tôt que qu'il y avait un îlot de forets visible au plus l’oins des terres.

Tendis que nous avancions sur les routes de campagnes pour retrouver cette endroits, Alice et mois même avons ressentis une étrange sensation qui pourtant nous semblait familière. Cette frénésie, ce moment précis ou l'on entre dans un lieux ou l'aventure nous guette. De surcroîts nous demandions l’arrêt de la voiture. Sans trace, ni reperd, nous sortions dans cette nature inhospitalière, marchant à travers champ pour se réalisé après un moment qu'un vent plus tempéré faisait surface et les flocons laissèrent place à une brume puis à un ciel d'une clarté cristalline. L'on avançait sur un coteau quand ce dessinait dans le valons suivent, un village, laissant perplexe Emma. Nous somme rester muet sur ces questions, sachant très bien que vivre l'instant parlerait de lui même. L'instant de lui dire que tout irais bien et nous étions dans ce village hors du temps. Fanaux, Charrettes et tous ce qui nous semblerait d'antiquité décorais les lieux.

Les gens semblait nous ignorer à l'exception d'un petit garçon qui nous demanda si nous étions des forains nous aussi. Il va de soit que nous sortions du lots avec nos accoutrements. Alice s'accroupit pour être à son niveau et lui demanda ce qu'il en pensait. L'enfant n'eut le temps de parler qu'une voie derrière nous lui répondit :
« Oui mon enfants! Nous sommes le cirque.» 
À notre grande surprise, une homme tout en muscle se tenait derrière nous avec beaucoup de prestance. Pantalon taille haute et bretelle n'avait d'égale que sa moustache entretenus à la perfections. Nous n'avions pas remarquer sur le moment, mais nous n'étions pas réellement sur place. Autrement, J'aurais du mal à déterminer comment un tabouret pouvais traverser ma cheville sans douleur ni blessure.
Parcourent les rues et ruelle de ce village, son histoire nous étais révélé par ce qui semblait des mise en scènes. Une histoire touchante d'un petit garçon qui aida un forain à trouver l'amour dans ces lieux et une promesse de ne jamais laisser ces moments périr. Le dernier souvenir que l'on eut, si je peut dire cela, fut de voir le Forain plus vieux, offrent un calepin de cuire à cette enfants qui étais maintenant un jeune homme. Cette fois-ci, les deux restais muet. Nous avons suivi le jeune homme dans l'arrière de la maison ou nous le voyons placer ce manuscrits dans une jarre scellé avant de mettre cette jar sous une pierre du sol. Suite à ces fait, Alice s'exclama ironiquement que trouver ce manuscrit, c'est trouver mon amis. Sur le coup, je n'avais vraiment pas apprécier cette moquerie, me retournant vers Alice pour me rendre conte que nous n'avoine pas quitter les sièges de l'automobile, nous laissant tous déboussoler. Du coup, je sortis de l’habitacle et observa les alentours. Il n'y avais aucune trace de notre excursion dans cette nouvelle neige fraîchement poser au sol. Un peut plus loin appertisait les traces fraîche de Sylvestre qui longeait la route et qui soudainement tourna pour prendre à travers champ.

Avant de poursuivre, Emma demanda des explications. Ce non sens, disait-elle; Il devait y avoir une raison. Malgré ces fait hors de l’ordinaire que nous venions de vivre, je ne savait pas s'il elle accepterais mon récit. J'étais avare d’explication, mais Alice elle sut trouver les mots :
« Vous savez ce que l'on dit; si vous chercher désespérément l'étrange et vous ne le trouverez jamais. Par contre, vivez le qu'une seule fois et ces choses vous suivront pour la vie. Lucas est un aimant dans le genre et c'est là qu'il puise ces histoires. Mais bon... ...Allons chercher son amis avant qu'il lui arrive malheurs. »

Tout trois focalisé sur la recherche de Sylvestre, nous avions suivit ces traces jusqu'à ce boisées balayé par les vents froid et ce début de pluie verglaçante. Passer quelques buisson, nous avons retrouver mon vieil amie qui gisait inerte sur le sol. Alice étais terrifier à l'idée qu'il soit mort, mais Emma sut faire face et l'inspecta. Par bonheur, il n'avait que trébucher et perdu connaissance après s'être cogner la tête sur une racine exposé. J'étais bien content de voir que ma douce savait prodiguer les premier soins, autrement, j'aurais paniquer moi aussi.

Quand Sylvestre repris conscience, Il ne semblait pas désorienté, mais surpris de nous voir sur place. En me voyant, il sortis un bout de papier détrempé de sa poche me disent que ce que je cherche est ici, quelque parts. Dés lors, Alice se rendit conte que notre cher blessé avait découvert les reste d'une clôture qui nous semblait fort familier. Cette forêts recouvrait les ruines de ce qu'étais le village avant les guerres et les recherches de Sylvestre le montraient. Je voulu luis rendre son papier avant de reprendre la recherche et ce dernier m'agrippa la main avant de me dire :
« Prend garde, mon vieil amis ma toujours dit que ces lieux était garder par ceux qui y vivait. »

Malgré sa blessure à la cheville et ce coup à la tête, il insistais pour nous suivre. Je le pris à bras-le-corps, tendis qu'Alice nous conduisait, de mémoire, là ou se trouvait la place du village. Un grand chêne avait pousser en son centre et seul quelque façade restait encore visible. Le bougre avait raison sur une chose, quelque chose gardait ces lieux, du moins, un œil lourd pesait sur nous. Sans ce laisser intimider, Alice ouvra la marche vers l'habitation ou plutôt l’endroit que le rêve nous indiquais. Plus nous avancions vers le calepin, plus ce regard lourd terrifiait Sylvestre. À quelque pas de ce que nous cherchions, mon vieil ami nous suppliait pour que l'on fasse demi-tours, mais nous y étions enfin parvenus et non seul.

Des silhouettes ombré se dressait entre nous et ces ruines. En peut de temps, ces ténèbres nous entourait, Valsant quelque peut, chuchotant, oppriment la lumière. J'étais médusé, Alice comme Sylvestre, eux étaient terrifier tendis qu'Emma était sur un pied de guerre. Bien que je l'appelle ma douce, elle est d'un courage sans limite, avançant au pas de la porte de cette ruine, forçant cette esprits à s’intercaler dans la pièce. Une voie lourde se fit entendre de tout parts :
« Qui est tu donc pour entrer chez moi? »

Emma lui répondit avec franchise que nous cherchions un calepin avec le récits d'un forain. Du coup, elle mis l’esprit en colère et ce dernier étreint son enclave sur nous. Ma cher Emma ne s'arrêta pas là, rétorquant :
« Le compteur d'histoire est là pour faire renaître le récit de ces forains, sans lui, vos légendes sont vouer à disparaître et vous, à errer ici bas. »

Sur ces mots, les chuchotements s’estompèrent et les ténèbres aussi. La silhouette noire fit un pas de coté et tendis qu'elle sortis la jar sous les décombres, les traits de cette esprits s’éclaircissait pour enfin dévoilé son identité. Cette homme fort, mort il y as plus de 100 ans; observait nos fait et geste, amusé et sans doute soulagé. Le livre lui, étais resté intacte, hors du temps. Nous l'avions remercier pour ce récits et avons juger de lui porter honneur.

De retour à l'auberge, nous avons été accueillit en héros par mes amis et la sœur de Sylvestre qui semblait anxieuse. Chacun voulut sa parts d'histoire, mais nous nous étions tenus à peut de mots, sinon de dire que cela fera un fort bon récits. les deux dernier jours ont été fort agréable et nous avons passer... …hé bien... ...un bon moment en couple. »

. . .

Amanda qui était resté muette durent le récital de notre écrivain demanda :
« Et Alice, comment va-elle? Et ton amie Sylvestre lui?»


Lucas dit rapidement qu'Alice Resta avec Karen et ces jumeau qui étaient semblait l'apprécier beaucoup et Sylvestre est encore chez sa sœur pour quelques jours. Une voie derrière lui, demanda à qui notre jeune homme parlait. Emma était arrivé depuis peut, un bon moment pour faire connaissance avec la commanditaire de ces récits et papoter entre elle...

Prochain Récits : Les contes d'outremer