Il est dure d'écrire ce qui pourrais sembler être un roman ou tout autre forme de texte. Non pas que l'inspiration puissent faire défaut ou que le travail soit trop ardue (un peut qu'en même), mais Je dois admettre avoir de la difficulté à agencer ce qui arrive dans la vie de tous les jours et les sentiment de mes personnages. en fait, il est difficile de mettre en accord une histoire amoureuse quand l'on as le cœur brisée ou de parler de tristesse quand la joie nous emporte, c'est pourquoi, j'ai toujours plusieurs ouvrage d’ouvert en même temps. Tenir une émotions sur une semaines pour l'écriture d'un texte, ça reste passablement facile quand l'on est dans ce ''mood'' en question, mais tout change si l'on dois y passer 2-3 semaines. La vie change et les humeur aussi, alors, les idées se tasse et un renouveau se fait en soit, rendent presque impossible de travailler sur un textes entamer sans le retravailler constamment.
Que dire... ...c'est comme lancer un dard, si la cible est trop loin et que l'on dois relancer à mi parcours pour atteindre la cible, les première intentions me semble biaisé et c'est comme ça que je me sent avec mon chapitre en cours d'écriture actuellement. J’espère juste en venir à bout en fin de semaine car je ne veut plus travailler ce que j'ai déjà écris.
Wish me Good work, for once...
samedi 27 février 2016
dimanche 21 février 2016
21/02/16
Je suis désolé pour mes lecteur qui attendait la sortie du prochain Storyteller, mais des événements... ...disons difficile à gérer c'est passer dernièrement dans ma vie. Je n'arrivait plus à penser à autre chose et encore moins à définir les émotions de mes personnages.
Pour tout dire, La femme que j'aime m'a appris qu'elle est enceinte de son ''fuckfriend''. Elle m'avait déjà laisser au printemps 2015, mais je ne comprenait pas pourquoi et espérait toujours qu'elle me revienne. Ce chagrin et l'anxiété qui m'habitait m'a rendu malade par après, beaucoup même. C'est la deuxième fois qu'elle me brise le cœur en moins de 12 mois... ...et je c'est la dernière fois.
Je dois dire un gros merci à une amis qui me semble à l'autre bout du monde même si ce n'est que dans la province voisine. Elle m'a soutenus quand je tombait en morceau, elle sue me remonter le moral et prendre soins de moi, ''because she care.''
Une bonne chose qu'elle n'ai pas été ici, j'aurais probablement fait une bêtise par surcharge d'émotion et aurais perdu une amie précieuse. ''When you try too hard but loose your heart, you rush to fit the next one without thinking what you doing. It's a Tricky moment...''
Nous avons commencer à écrire ensemble... autre chose, bien sure et nous espérons parvenir à quelque chose de bien. J'ai eut besoins de me changer les idées et j'en ai toujours de besoin, ce qui veut dire que je ne sais pas quand sortira le prochain texte ou plutôt, la prochaine suite.
Encore merci Wack.
Pour tout dire, La femme que j'aime m'a appris qu'elle est enceinte de son ''fuckfriend''. Elle m'avait déjà laisser au printemps 2015, mais je ne comprenait pas pourquoi et espérait toujours qu'elle me revienne. Ce chagrin et l'anxiété qui m'habitait m'a rendu malade par après, beaucoup même. C'est la deuxième fois qu'elle me brise le cœur en moins de 12 mois... ...et je c'est la dernière fois.
Je dois dire un gros merci à une amis qui me semble à l'autre bout du monde même si ce n'est que dans la province voisine. Elle m'a soutenus quand je tombait en morceau, elle sue me remonter le moral et prendre soins de moi, ''because she care.''
Une bonne chose qu'elle n'ai pas été ici, j'aurais probablement fait une bêtise par surcharge d'émotion et aurais perdu une amie précieuse. ''When you try too hard but loose your heart, you rush to fit the next one without thinking what you doing. It's a Tricky moment...''
Nous avons commencer à écrire ensemble... autre chose, bien sure et nous espérons parvenir à quelque chose de bien. J'ai eut besoins de me changer les idées et j'en ai toujours de besoin, ce qui veut dire que je ne sais pas quand sortira le prochain texte ou plutôt, la prochaine suite.
Encore merci Wack.
jeudi 18 février 2016
Le héros (premier Jets)
Bientôt j'aurez le plaisir de vous montrer une nouvelle histoire fait en collaboration avec une amie ( Wack Godin )
voici le premier jets de ce texte dont le titre reste à définir:
« J'ai toujours rêver du ciel et de liberté. Ces rêves ou l'on voles comme les oiseaux me garde le cœur aussi jeunes qu'a mes premiers jours dans les champs de Merrya. J'ai toujours aimer ce vertige bien que, comme un cerf-volant; j'ai besoin que l'on tienne la corde pour ne pas m'y perdre. Celle qui tenus cette ficelle fut mon salut, mon amour, ma reine. Rend toi confortable car ma vie fut bien remplis. »
voici le premier jets de ce texte dont le titre reste à définir:
Le héros
Un vieil homme fait face au feux de
foyer de l'auberge. Sur son épaules est tatouer un écusson bien
particulier et en sa main se trouve une coupe de vin tendis que
croule à ces pieds les bouteilles passé. Son regard se posait
doucement sur un petit fragment de pierre rouge en sa main. Sans le
dire, un enfants le regardait, questionner pas se personnage plus
grand que nature.
« Bonjour petit, je peut faire quelque
chose pour toi? »
Ces mots brisa le silence laisser par
l’enfant qui dés ce moment entrepris de lui poser une multitude de
question à la fois mais n'en resta que muet. Il baissa son regard
sur la petite pierre un instant et demande ce que c'était. Notre
aventurier en resta silencieux un moment avent de répondre :
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
L’enfant s'assit sur le sol en face
de lui, en restant muet, attendent qu'il se raconte. Notre homme a la
crinière châtaine lui souri avent de prendre une gorgée de son
nectar et commencer sa narration :
« J'ai toujours rêver du ciel et de liberté. Ces rêves ou l'on voles comme les oiseaux me garde le cœur aussi jeunes qu'a mes premiers jours dans les champs de Merrya. J'ai toujours aimer ce vertige bien que, comme un cerf-volant; j'ai besoin que l'on tienne la corde pour ne pas m'y perdre. Celle qui tenus cette ficelle fut mon salut, mon amour, ma reine. Rend toi confortable car ma vie fut bien remplis. »
Première histoire : Mon Acolyte
Rowen
Après une longue journée dans les
champs à travailler la terre, nous avions toujours pour habitude de
faire la course pour désigner qui serait le premier à se servir au
repas. Cette journée particulièrement, nous avions fait énormément
de travail et tout deux était rendu a la rivière quand le carillon
de la cité sonna les coups de 5 heures.
« Sébastien, tu entend ça? Me
demanda Rowen. Si tu parlait encore, probable que l'on aurais pas
entendue sonner. »
Nous nous sommes regarder tout deux
dans les yeux avant de partir et comme toujours il me devançait sur
le départs, mais vue la distance, j'étais sure de le reprendre sur
l’endurance. De plus, il avait toujours pris le même chemin de
terre qui longeait les pâturages de celui que l'on appelait l'ogre
de Merrya. Son surnom mérite tout une histoire à lui alors, je ne
m'y éterniserez pas. Du coup, j'ai crue bon de piquer à travers
champs pour le devancer. La première clôture enjamber, je fit mon
fanfaron devants les bestiaux qui me regardait désintéresser. Ma
surprise fut grande d'entendre les pleurs d'une demoiselle qui se
retrouvait au milieux du troupeau. Sans le savoir, cette journée
marqua le début de la vie qui me saura destiner.
La jeune Demoiselle étais tout en
beauté, d'une crinoline de sois grise en harmonie avec son délicat
visage blanc et ces lèvres vermeille. Affalé sur le sol, l'on
pouvait à peine la distinguer au pieds de l'arbre ou elle était
accoler. Il me fallut un moment avant d’apercevoir les liens qui
lui tailladait les chevilles et poignets. J'étais sans voie devant
la demoiselle qui n’osait me regarder. Va sans dire que je l'ai
affoler, m'approchant d'elle avec un couteau à la main pour la
détacher.
Une fois délester des ces cordes, je
lui tendus la main et elle leva regardent vers moi. Elle avait
plonger son regard dans le mien si profondément que je n'ai pas vue
que l'on nous observait.
Soudainement, je sentis un coup très
fort, me projetant sur le sol. Une étrange femme dont le bras gauche
reprenait forme, me défia du regard. Je me leva et m’intercala
entre la demoiselle et cette guerrière. Elle pris position, mettant
son bras gauche qui se mis à verdir et devenir velouté. Cette
combattante avait un veston ajusté surmonté de quelques pièces
d'armures tenus de multiples sangles. Je connus plus tard que cette
femme venait d'un peuple bien au delà des frontières du monde que
l'on connais.
Les première frappe qu'elle m'infligea
étais robuste, me projetant encore une fois sur le sol. Je me
sentait dépasser par sa force, mais je ne pouvait la laisser
s'approcher d'elle, alors, je tenta le tout pour le tout, en la
plaquant contre le sol en vain. Elle me repoussa d'un simple geste de
son bras avant de se retourner et me projeter au sol. J'étais sonné
et couvert de boue, un jolie mélange.
La demoiselle n’offrit aucune
résistance quand la guerrière la saisi par le poignet. Suite à ce
moment, perdit conscience un moment. À mon réveil, je me retrouvait
assis à l'arbre ou elle était, avec sur mon poitrail une bourse
fait de la même soie grise que la robe de la demoiselle. A
l'intérieur se trouvait un cristal rouge. Oui, le même que ce petit
cailloux que je t'ai montrer. L’objet était chaud et parfumer des
quelques pétales qui se trouvait dans la bourse.
Ce jour là, il était évident que
j'avais perdu la course. Je franchit le portail de la cité au couché
du soleil. Rowen m'attendait au porte de la maison ou je chambrait.
« Tu en as mis du temps, me dit-il
avant de me dévisager. De tout évidence, tu la eut dure ce soir. »
Comme un vrai amie, il m'avait attendue
pour le repas durent lequel je lui raconta mes péripéties. Il mis
sa main sur mon épaules et me dit :
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
Cette nuit, je grimpa sur le toit et
m'y allongea pour y observer le cristal scintillant au bout de mes
doigts. Je me disait qu'une fois encore, je renouait avec mon vieil
arc. Je fit mine de gesticuler comme si je tendis mon arc devants
mois et à ce moment, je sentis la chaleur de la pierre entrer dans
le bras jusqu'à mon cœur et vit se dessiner la silhouette d'un arc
étincelantes dessiner dans ma main dans lequel je tenais le joyaux.
Je compris rapidement que cette pierre étais plus qu'un simple
objets.
vendredi 12 février 2016
Storyteller part 7
Enfin, terminer! J’entame le chapitre 8 dés demain en espérant le finir pour lundi au plus tard. Bonne lecture!!!
Chapitre 7, La jeune femme et le colt
L'hiver
s'installe et les gens se côtoie dans l’indifférence et
l'aveuglement de leur quotidien. Comme tout le monde, Lucas regardait
le temps des fêtes qui s'installait peut à peut dans les boutiques
et restaurent de Londres. Encore une fois, ce temps de réjouissance
lui laisse lui laissait tout autans de fébrilité que le malaise de
le passer encore une fois seul avec son père et probablement quelque
collègue de travail. Une situation des plus insoutenables pour
quelqu'un qui n'aimait pas festoyer comme le pourrait faire les
autres. Il se sentais désormais loin de ces beuveries de l'été
passé.
Déjà
le dix Décembre et aucune nouvelle de cette jeune femme ou encore de
ces jeune amis. Comme s'ils avaient disparue, ce qui n'étais pas
tout à fait faux. L'une des plus grandes crainte de Lucas étais de
ce voir dans l'aventure à la veille du jours de noël, mais l'une
des choses les plus improbables devait se produire ce jour-ci.
Après
une rude journée de travail à classer des document au archive, en
remplacement de l'un de ces collègue; Il fut surpris de découvrir
une jeune demoiselle qui attendait dans son appartement. Celle-ci
devais avoir pas plus de quatorze ans et de tout évidence elle avait
crocheter la serrure pour y entrer. La fille étais allongé sur le
parquet, immobile avec l'énorme livre des forains ouvert au dessus
de la tête. Notre écrivain voulu appeler les autorités quand la
demoiselle l'appela par son nom. Une voie si faible. Lucas retira le
livre qui couvrait le visage de la jeune fille pour y découvrir ce
qui lui étais qu'un rude souvenir. Une connaissance, peut-être
simplement une rencontre au hasard des rues.
« Tu ne me reconnaît pas, affirmais la jeune fille déçu. C'est moi, Abigail. »
« Tu ne me reconnaît pas, affirmais la jeune fille déçu. C'est moi, Abigail. »
Bien
ces mots, notre gentlemen n'arrivait toujours pas à cerner son
identité. Serte le nom lui étais familier, mais sans plus. Il la
regarda dans ces yeux d'un bleu brillant comme le ciel et ces taches
de rousseur rappelait soudainement son d'enfance. Quel ressemblance
remarquable pensait-il. Elle étais à l'image de sa grande sœur.
Elle les laissaient sans nouvelle d'elle depuis qu'elle partis de la
maison familial pour étudier en Italie, sinon que les rare messages
qu'elle laissait Sur sa page web.
« Pourquoi est tu venus ici, demanda-il froidement. Est-ce que Marie sait que tu est ici? »
« Pourquoi est tu venus ici, demanda-il froidement. Est-ce que Marie sait que tu est ici? »
Un
sourire se forma sur le visage de la petite et elle le pris dans ces
bras, les larmes aux yeux. De tout évidence, elle avait vécus un
enfer. Il ne savait quoi faire, sinon que de caresser sa chevelure
bouclé. La soirée s’annonçait longue et pour une raison qu'il
n'arrivait à s'expliquer, il ne tenta pas de rejoindre sa sœur, ni
son père, bien qu'il se disait que ce saurait la chose à faire.
D'un autre côté, il voyait bien qu'elle était épuisé. Pour ce
soir, elle serait son invité.
C'est
sous un aire de jazz doucement infuser au décor qu'il prépara le
soupé pour deux. Et il lui vin une idée pour
«
Dit moi Ade, me permettrai tu que je t'appelle Abe? »
Elle
hocha de la tête et il continua :
«
Jouons à ni oui, ni non. L'on se pose des questions à tours de
rôles, compris? »
Sans
réfléchir, elle répondit oui avant de se reprendre en disent
qu'elle avait compris. Lucas commença :
« Tu
aime les tomates? »
«
Beaucoup, répondit-elle. Tu fait des macaronis à la viande? »
«
Macaronis gratiné au tomates et basilique pour être exactes... Je
n'ai pas l'habitude de cuisiner, alors j'improvise. Ma sœur à
parler en bien parler de moi j’espère? »
« En
quelque sorte. Est-ce vrai que tu portais son maquillage? »
Lucas la regarde découragé :
« C'est elle qui me maquillait avec ces amis. Je vois qu'elle na pas manquer de me faire passer pour un phénomène de foire...»
« En
fait, j'ai un peut changer ce qu'elle m'avais dit. Est-ce que c'est
vrai qu'elle t'avait briser le pouce par accident avec la porte? »
«Hé,
c'est a mon tours de poser une question! C'est arriver, en effets,
c’était avec la portière de la voiture de ton grand papa.
Alors... A tu pris le tunnel sous la manche pour venir à Londres? »
Elle baissa les yeux avant de répondre :
«J'ai pris le ferry...»
Lucas
fronça les sourcil et lui demanda si sa mère étais au courent.
Elle lui répondit avec empressement que sa mère la crois encore en
sortie avec ces amis, quel devait-être de retour dans une semaines.
Encore une fois, Il lui demanda comment elle étais parvenus à
Londre et avec tout l’innocence que l'on pourrais prêter à une
fille de son âge, elle dit qu'une vieil dame la prise en auto-stop.
« Ne
te rend tu pas compte, lança Lucas d'un air furieux. Elle aurais pue
te kidnapper ou pire encore! »
Elle
le regardait avec le même air moqueur que sa maire avait à
l'époque :
« Quel me viole? Franchement... C'est plus elle qui aurais dure crainte de moi. »
« Quel me viole? Franchement... C'est plus elle qui aurais dure crainte de moi. »
Sur
ces mots, Lucas ne pue s'empêcher de la comparer à sa mère
tellement elle se ressemblait en tout point et elle étais l’oins
d'apprécier.
« Ne
me compare pas à elle! Je veut que l'on arrête de me parler d'elle!
»
Sur
ces mots, l'on sonnai à la porte. La vieil dame qu'Abe parlait vin
s'assurer que notre héroïne était entre de bonne mains. Celle-ci
se courbais sous le pois des années et de tout évidence, elle
n'étais pas très mobile. Suite à une courte conversation, elle
repris la route avec pour demande que l'on lui donne des nouvelles
sur ce qui suivrait, promettant de repasser. Une fois attablé, Abe
demanda :
«
Alors, est-ce qu'on mange? »
Lucas
répondit promptement oui et il n'en fallut pas plus pour décrocher
un sourie à la demoiselle.
«Tu
as perdu!»
Tout
deux éclata de rire et commença le festin. Pour une des rare fois,
Notre écrivain passa la soirée devant la télévision, question de
se changer les idées. Ce soir là, elle bivouaqua sur le canapé.
Entre temps, Lucas tentas d'appeler sa sœur en vain. Il finit par se
dire qu'il étais tard et qu'il devra l'appeler le lendemain.
Une
fois coucher, il entendit ces mots dans ces rêves :
«
Trouble sont les songes pour celui qui voit sa vie changer. »
Le
décor se mettais en place. Un western, un revolver et une dame tout
de blanc vêtus. Puis, un bruits le sortis des bras de Morphée. La
petite faisait des cauchemars et grouillait continuellement. Ce fut
ainsi la nuit durent.
Au
petite heures du matin, tout deux étais réveiller, l'un par souci
du travail, l'autre par le bruits.
«
Mon oncle, Fait moins de bruits... j'ai mal à la tête. »
Le
sons des céréales frappait le fond du bol ce qui semblait être
aussi bruyant qu'un orchestre pour la jeune fille.
« Ne te replonge pas dans tes mauvais rêve, dit Lucas. Aujourd’hui, tu viens voir ton grand-père au travail! »
« Ne te replonge pas dans tes mauvais rêve, dit Lucas. Aujourd’hui, tu viens voir ton grand-père au travail! »
Sur
ces mots, elle se leva et vin s'asseoir sur l'un des tabourets. Les
yeux brouillé, elle commença à peine à distinguer les chose
qu'elle commençait à manger son déjeuné mollement. Tout deux
prirent amplement de temps de commencer la journée, quitte à
arriver en retard au travail, car; comme Lucas n'en doutait, ce fut
une surprise plus qu'agréable pour son père d'enfin connaître sa
petite fille. Tendis qu'elle étais avec William, notre jeune homme
tenta d'appeler, sa sœur, Marie et encore une fois, il se heurta à
une boite vocale. Cette fois-ci, il laissa un message dénonçant la
fugue de sa fille et ou elle était. Le bureau de l'archiviste, que
Lucas remplaçait; était un drôle de mélange entre deux monde.
D'un côté, il y avait des classeurs avec des centaines des pages de
journaux classer par date adosser à un bureau en ordre avec une
dactylo, faisant office de décoration, de l'autre, l'on pouvait y
voir un ordinateur beige avec un serveur web et une table de
photographie pour numériser les vieil reliures.
Au
grand bonheur de Lucas, les lieux étaient insonoriser et à l’abri
des regards.
« Je
vais piquer un sommes, je n'en peut plus...»
Affalé
sur le bureau, il pue reprendre son rêve de l'ouest américain...
Malheureusement, les rêves ne sont que traîtrise pour ceux qui
cherche les images car ces dernier ne se nourrisse que du
subconscient et non de la pensée active. Cette fois, le visage de la
femme en blanc lui parus clairement. Elle étais en pleur et ces
lèvres avait beaux s'ouvrir et se fermer, rien n'en sortais ni
paroles, ni bruits. Soudainement, elle se retourna effrayé et Lucas
Sorti de sa torpeur. Avants ou pendent son sommeil il avait noter
quelque chose au creux de sa main. Trois mots. Ils me chassent. La
porte du bureau s'ouvrit soudainement.Sa nièce entra accompagner de
son William, concluent la fin d'une visite de l'établissement.
«Bon! mon cher, dit le patron; Je te laisse avec la petite. Prend congé pour la journée pendent que je règle cette histoire en quelque sorte. On se reparle ce soir! »
«Bon! mon cher, dit le patron; Je te laisse avec la petite. Prend congé pour la journée pendent que je règle cette histoire en quelque sorte. On se reparle ce soir! »
Le
regard de Lucas bifurquas rapidement vers l’horloge avant de
répondre :
«
Bien... allons dîner. »
Tout
deux convenus à l'idée d'aller dîner à l'appartement et l'oncle
et la jeune fille en prirent le chemin
de
l'appartement. Le repas comme l'après midi fut d'une simplicité.
Craquelin et chocolat chaud les accompagnait tendis que du jazz se
faisait entendre tendis que tout deux étais plongé dans leur
lecture. Lui dans un Roman, elle sur son téléphones. Le Salon étais
leur sanctuaire que seul la musique pouvait briser le silence. Vue le
calme, il finirent pas s’assoupir, elle au bras de son oncle, lui
un doigt entre les pages de son roman en guise de signet.
Le
songe revins encore une fois et cette fois-ci, La jeune Abe
l'accompagnait. Le décor étais légèrement différent cette
fois-ci. Ils se trouvèrent dans un salons tout en boiserie, assis
sur une causeuse capitonné. La sales étais peupler de quelques
personnes dont la fameuse dame en blanc. Voyant que Lucas
l'observait, Abigail lui demanda qui pouvait bien être cette dame.
«
Elle est celle pour qui nous somme ici répondit-il. Je dois
apprendre à la connaître, connaître son histoire. »
Sur
ces mots, notre jeune fille crue entendre un plaidoyer d'amour. Elle
s'en sentais bouleversé et c'est avec des étoiles plis les yeux
qu'elle lui répondit :
« Alors, n'hésite pas! Elle n'attend que toi. »
« Alors, n'hésite pas! Elle n'attend que toi. »
Ces
mots laissait perplexe notre écrivain, mais il ne put placé un mots
qu'elle le mena à sa rencontre. La dame engagea la conversation
directement en lui demandent qui il était. Seul son nom sortis des
lèvres du jeune homme qui était abasourdis par cette voie volupté.
« Hé
bien, mon chère Luke, Répondit-elle. Sache que je ne suis pas une
femme à qui l'on peut faire la coure si facilement. »
« Ho
mais mon intention n'est pas de vous séduire, lui répondit Lucas
après avoir repris ces esprits. Ce que je veut connaître de vous,
c'est votre histoire. »
La
dame semblait surprise de son accent et de sa voie délicate. Pour ne
pas laisser transparaître ces émotions, elle lui tourna le dos et
répondit :
« Il vous faudra bien plus que des mots pour me séduire étranger. »
« Il vous faudra bien plus que des mots pour me séduire étranger. »
Suite
à ce, elle pris son chapeau et alla vers la sortie. Lucas, ne savant
pas trop quoi faire, se retourna vers sa nièce qui les regardait.
Celle-ci, avait les yeux rond face au manque d'initiative de son
oncle.
«
Mais qu'est-ce que tu attend? Suis la! »
Quand
Lucas se décida à suivre la dame il la voyait chevaucher au loin
tendis qu'un cheval attelé lui étais tendus en guise d'invitation.
Bien qu'il n'avait jamais chevaucher, il tenta tout de même sa
chance sur l'animal. Cette balade dura jusqu'au couché du soleil.
Ils avaient passer de loin la plantations et s'était aventurer sur
la voie du chemin de fer, en route vers une cité en bord de mer.
Tendis qu'elle attachait son cheval avant d'entrer dans le saloon
adjacent, elle lui demanda pourquoi il la suivait et il répondit
avec un souffle écourté :
« hé bien, je crois que mes propos ont été claire, non? Mais vous, de qui fuyez-vous? »
« hé bien, je crois que mes propos ont été claire, non? Mais vous, de qui fuyez-vous? »
« De
mon marie, dit elle sans hésiter. S'il vous prenait à me suivre, il
aurais tôt fait de vous pendre. »
Lucas,
avec un sourire en coins lui demanda :
« Il
est donc si mauvais votre marie? »
Sur
cette question, elle avança vers lui et le saisi par le visage pour
l'embrasser tendrement qui enflamma le cœur de notre homme d'un
amour grandiose. Passé cette flamme, il compris en ce moment que le
piétinement derrière lui ne pouvait-être que la monture de son
soit disent marie.
« Je
suis désolé, dit la Abe tout penaud. Je ne pouvait pas savoir... »
Lors
qu’il se retourna, il vit sa nièce prise au piège par le
corpulent personnage qui la tenais en joue de son révolter. Sa main
étranglait presque la jeune fille qui gémissait a chaque fois qu'il
la secouait.
«
Pousse-toi Darling, dit l’odieux personnage. C'est entre moi et ce
connard! »
La
dame en blanc se déplaça sur la gauche, s'écartant ainsi des
foudres de son marie. Notre écrivain étais subjuguer.
«Vous
n'allez qu'en même pas tirer sur un homme désarmé, s'exclama
Lucas. »
Cette
ordure eut un rire malsain avant de pointer son arme en sa
directions, puis; un coup de feux retendis. La scène semblait être
cristallisé dans le temps pour un moment puis l'homme corpulent
baissa son arme. La dame avait en main un revolver fument. Elle
venait d'abattre son marie d'une balle sous l'aisselle, le laissant
mollasse sur sa monture. Abigail n'eut qu'à le pousser au sol pour
s'en défaire; soulagé, mais aussi traumatisé par les faits.
«
Qu'allons nous faire maintenant, demanda Abe. Je veut rentrer. »
La
dame resserrait son arme tendis qu'elle disait :
«Une
chose est sure, nous ne pouvons plus rester dans la régions. »
Tendis
que la jeune fille tentais de descendre de la monture, la dame vin
l'aider et lui remis une broche en argent lui disent de rester forte,
quoi qu'il arrive. Cette petite broche avait en son centre, une
pierre bleu et une inscription à l'arrière. Lucas, de son côté;
avait arrêter son regard sur une affiche fraîchement poser. Le
cirque était en route.
Bien
qu'il aurais voulu que ce rêve continue, La sonnerie de la porte
retentis, sortant tout deux de leur torpeur. Il étais maintenant
passer quatre heures du soir et le soleil se couchait. La sonnerie
retentis une seconde fois et Lucas alla ouvrir la porte pour y
découvrir la vieil dame qui avait amener sa nièce jusqu'à Londres.
«
Bonjour jeune homme, Je viens voir si tout va bien avec noter petite
aventurière avant de repartir de Londres. »
Par
courtoisie, Lucas l'invita à entrer pour prendre le thé, ce qu'elle
accepta volontiers. Lucas prêtas l'oreille à ce que se disait les
dames tendis qu'il préparait les boissons chaudes.
«
Jeune fille, je sais que vous êtes plaine de courage, mais je
souhaite vous faire parts d'un petit présent. »
La vieil dame plongea ces main dans sa sacoche, cherchant quelque chose.
« Je sais que ce qu'il s'en viens pour vous risque d'être très difficile, alors, j'aimerais vous offrir une amulette que ma grand-mère m'offrit quand je vécus des moments difficile à mon tours. C'est peut de chose, mais elle donna le courage nécessaire au dames de notre famille depuis des générations. »
Lorsque la vieil dame sorti les mains de la sacoche, Abigail vit la broche d'argent qui de tout évidence avait vécus de meilleur jours.
La vieil dame plongea ces main dans sa sacoche, cherchant quelque chose.
« Je sais que ce qu'il s'en viens pour vous risque d'être très difficile, alors, j'aimerais vous offrir une amulette que ma grand-mère m'offrit quand je vécus des moments difficile à mon tours. C'est peut de chose, mais elle donna le courage nécessaire au dames de notre famille depuis des générations. »
Lorsque la vieil dame sorti les mains de la sacoche, Abigail vit la broche d'argent qui de tout évidence avait vécus de meilleur jours.
«
J'ai rêver à cette Amulette dit Abe. Une Cowgirl me la donna! »
Intriguer la femme d'âge mure demanda de connaître le récit de la jeune fille et sur cette demande, elle déroula le récit de son rêve avec précision, de son point de vue.
«
Mais je connais cette histoire, s'exclama la vieil dame. C'est un
récits qui est dans ma famille depuis des générations l'histoire
de Lady Margaret. Elle voyageait avec accompagné de son oncle,
Docteur Luke Johnson. Ils ont traverser l'Amérique ensemble. Suivent
le grand cirque. Le sort voulu que le docteur et la brigande se
fiancèrent Tendis que Margaret retourna en Angleterre. »
Lucas
vin au salon avec la coutellerie, demandant qu'étais-il
arriver par la suite avec le couple. La dame lui répondit :
«
Bien, l'on dit que le docteur devin soigneur. Après quelques années,
il mourus de la fièvre et sa femme disparue dans la nature. Si je ne
m'abuse, elle s’appelait Johannes. »
Ce
moment fut magique pour Abe qui, dés ce soir, chérissait cette
broche avec le plus grand soins. Le lendemain, elle choisi d'appeler
sa mère pour s'expliquer. Elle ne pouvait supporter que sa mère
remplace son père avec le premier venus. Les mots firent place à la
colère puis aux pleurs. Lucas voulu se faire réconfortant, lui
disent de se rappeler que que lui avait dit Johannes, de rester forte
quoi qu'il arrive.
«
Comment tu sait ça, demanda Abe. Je n'ai pas parler de ces mots
qu'elle m'avait dit. »
Lucas
la regarda avec un sourire et l'impression d'être démasque.
«
Bien, Disons simplement que j'y étais moi aussi... et ne m'appelle
pas Luke s'il te plais. »
Ces
mots conclus le début de la nouvelle Abigail. Elle voyait
maintenant la magie qui l'entourait. Elle croyait maintenant en elle
et croyait finalement qu'elle pourrait passer au travers du divorce
de ces parents. Ainsi, a la veille de noël, notre petite héroïne
pris la décision de retourner et pardonner sa mère. Lucas, lui;
pris comme engagement au près d'elle et de sa sœur que si Abe le
désirait, il pourra l’héberger si elle ne se sentais toujours pas
bien avec sa famille.
Le
calme étais maintenant revenus chez lui et la douce qu'il avait tans
aimer dans cette aventure est retourner à l'état de songe, mais
jamais il ne pourrais l'oublier. Une trace indélébile étais faite
sur son cœur et il cherchait sans cesse cette voie, se visage... Son
temps des fête en fut que morne sans elle et ses journée au travail
en étais constamment affecté. Distraits, lunatique, ennuyé. La fin
du mois arrivait et son dernier jours de travail de l'année se
terminait. Les rue était couverte d'un tapis blanc et les commerces
affichait leur dernière offres. Sur le chemin du retour, il s'arrêta
au café pour y séjourner dans ces rêveries. Après quelque
instant, Il l’aperçu qui rentra dans l'établissement, vêtus d'un
chandail de laine blanc et touffus. Elle commanda un chocolat chaud
puis alla s’asseoir seul à une petite table en retrait. Sans
attendre, notre jeune homme alla s’asseoir avec elle.
« Pardon, est-ce que l'on se connais,
demanda-elle. »
A lui de répondre avec sourie :
« Non, mais je le souhaite. »
C'est
ainsi qu'une conversation passionné commença...
lundi 8 février 2016
Du retard, du retard, du retard...
Oui, je sais, je n'ai pas poster de texte cette fin de semaine, mais j'ai de bonne excuse! j'ai eut (pour une fois, une fin de semaines plus que complètes avec le nettoyage, lessive, l'épicerie, la cuisine pour un et pour l'autre... Même si j'ai fait ma parts pour mon texte de Storyteller, je ne suis pas parvenus à finaliser le chapitre. premièrement, je me suis mis a déblatérer d'un histoire secondaire qui est devenus trop encombrante, j'ai donc due tout effacer de nouveau pour reprendre et me retrouver avec une autre histoire secondaire qui semblait être trop importent pour n'être qu'une histoire secondaire alors, j'ai recommencer de nouveau... Je me garde ces idée pour autre chose peut-être. Bref, j'ai perdu beaucoup de temps à repenser mon texte que je continue dés ce poste mise en ligne.
Sur ce, bonne journée! et à la semaine prochaine, sans doute!
Sur ce, bonne journée! et à la semaine prochaine, sans doute!
mardi 2 février 2016
Storyteller part 6
Oui, j'ai du retard cette foi-ci... Je voulu mettre de l'avents les deux adolescents et j'ai galérer à bien incorporer ces deux là. Je voulu les incorporer car je veut leur faire leur propre histoire, probablement au chapitre huit.
Chapitre 6,
Paris par les vieil rues.
Cette année, l'hiver s’annonce
plutôt froid avec ces doux flocons qui tombe dés la première
semaine de novembre. L'écharpe autours du coups, notre jeune plume
avait commencer ces recherches sans trop savoir quel histoire
chercher. Il aurais bien voulu partir pour paris, mais ces derniers
mois il avait dilapider ce qu'il avait pour se payer des meubles et
enfin se sentir à son aise. Cuisine et salon étais maintenant
habitable, voir confortable avec ces meubles hétéroclite. Un simple
îlot sépare la cuisine du salon, adosser à une table et des
chaises bistro en fer forgé et le salon lui est munis d'une causeuse
et d'un fauteuil du style renaissance que l'on aurais retaper avec un
vernis cajou et du feutre rouge foncé en parfaite harmonie avec les
le parquet en latte de bois et les autres meuble en bois franc. Un
décor loin de la pension qu'il côtoyait, se disait-il...
Il tardais à Lucas de retourner dans
son nids le travail terminer pour y écouter de la musique et
continuer ces recherches sur ces histoires. Il y avait tans de chose
qu'il ne connaissait sur ce pays voisin. À l'exception des grandes
guerre, il n'avait pas connus grand choses de la France, encore moins
de Paris. Il dévorait l'histoire de Paris comme si son histoire
étais un roman au milles soubresaut. Notre chercheur en herbe
prenais un malin à y lire l'actualité par décennie de la plus
récente en régressent dans le temps. En très peut de temps, il
avait déjà lue sur le siège de de Paris par les Prusse et se
tardais de continuer avec la décennie dix-huit-cents soixante. Les
ouvrages qu'il avait dégoter étais fort bien détailler avec les
découpes originales de l’époque et l’ajout de photos et
gravures. Très divertissant, mais rien qui ne pourrait lui mettre
sur la piste d'une personne ou d'un événement qui pourrais
déclencher la fameuse magie de la foraine.
À peine une heure après son arrivée
chez soit que l'on cognait à sa porte. Lucas attendais la visite
d'un collègue de travail qui devait apporter de vieux articles de
journaux sur son sujets, mais à sa grande surprise, son paternel
étais venus à sa place. Il avait eut vents de ces recherche et
voulait voir ce qu'il en était.
« Bonsoir fiston! Entama
maladroitement William. Wow, ça as bien changer depuis ma dernière
visite! »
Lucas constata l'épais document entre
les mains de son paternel et en vin à demande ce que s’était.
Tout de fierté, monsieur Mackay fit son entrer dans l'appartement,
présentant le résultat de la recherche que son amis devait lui
apporter, laissant derrière lui deux personnes qui était sans doute
surprise de n'avoir pue sortir de l'ombre de la stature du paternel.
Se fut une surprise qui fit bondir Lucas car il ne les avait à peine
remarque face à cette prestance. C'était de notre jeune corbeau,
Ash qui étais accompagner d'une demoiselle que nous connaissons
bien, mademoiselle Alice qui avait quitter l'Angleterre quelques
jours le mois dernier avec le plus grand des courage qu'une
adolescente pouvait avoir.
«Entrer, je vous pris, lança Lucas
avant de reprendre de ces questions. Mais c'est quoi cette histoire?
Pourquoi vous débarquez tous ici ce soir? »
« Un peut de retenus jeune homme, dit
William. Pour ma parts, je ne souhaite pas m'éterniser, sauf si l'on
m'invite bien-sûr. »
Les Mackay se retournèrent tous deux
vers les jeunes et Alice se lança sur une explication :
« En faite, je suis revenus depuis
deux jours et je voulais te revoir. Vue que tu ne venais plus au café
hé bien... »
« Nous avons suivi ton père, repris
Ash. Et comme le hasard fait bien les choses, nous voilà! »
Lucas les regardait d'un air suspicieux
tendis que son aïeul lui semblait confus. Sans doute, Alice n'étais
pas alèse de ce fait, mais Ash lui n'en faisait pas de cas, au
contraire, il s'en amusait. Par preuve de bonne soit, le Gothique
ouvrit son sac à dos et en sortis un cadeau d'hôtesse :
« Je ne savait pas si tu appréciait
le vin alors, j'ai pris un vin que tous le monde aime. Un rosé bien
fruité. »
Lucas le remercia, mais il étais bien
navré de ne pas pouvoir les recevoir correctement, Il n'avait ni
coupes ni repas à leur servir car il ne gardait que peut de
provision vu qu'il avait pour habitude d'acheter au fur et à mesure
ce que son appétit lui dictais.
« Ce n'est pas grave, répondit
William. Je vais commander! Je serais bien curieux de connaître ceux
qui m’ont suivit.»
Ainsi, commençait une soirée
légèrement arroser, accompagné d'une simple pizza. William resta
un peut moins d'une heure avant de repartir, laissant les quelques
conversations futile et la magnifique histoire d’Alice en Irlande
derrière lui avec une promesses de leur faire découvrir, un jours;
les locos du journal. N'étais t-il pas magnifique pour la jeune
femme de tomber ainsi dans un univers qui le charmait autant. Sa
passion pour l'écriture n'en faisait que grandir. Ash avait lui
laisser roder ces yeux sur les quelques livres ici et là :
« Dit moi, Lucas, ne serais tu pas sur
une nouvelle histoire en ce moment? »
Lucas répondit avec un sourire en
coin :
« Vous aussi, l'on dirait bien. Vous
êtes en couple? »
« Mais pas du tout! Repris Alice. Nous
nous sommes rencontrer dans le club de littérature à la fin des
cours et il est venus me voir quand j'ai parler de toi et de ton
travail. Je t'assure, il n'y as rien entre nous. »
Les deux hommes restaient muet un
moment après cette réponse puis Lucas pouffa de rire :
« Désolé... Pour répondre à ta
question, je cherche pour trouver ma prochaine histoire justement. »
Après quelques explications, le trio
se mire à la recherche d'une histoire qui pourrais être relaté à
celle d'un homme ou une femme qui serais relater aux forains.
Malheureusement, ils ont vites fait le tours de ce que l'équipe
possédait comme information et personne ne trouvait ne serait-ce
qu'un article sur ces voyageurs ni même une publicité. Comme si ce
cirque n'aurais jamais mis les pieds dans Paris. L'aube semblait
vouloir se lever quand Alice demanda que devait-être le titre de ce
nouveau texte car elle découvrit entre deux page que les premier
mots de chaque ligne étais justement le titre chercher. Et ce non
seulement sur un article, mais sur plusieurs articles étaler à
travers le temps. Mathieux Alem, Max d’Harlem, Mathis De-Salem.
Serai-ce une manipulation ou est-il possible que ce soit une seul et
même personne? Lucas en étais stupéfait.
« Ça ne fait pas de sens, lança Ash.
Il dois y avoir un article par décennie si ce n'est pas moins. Il
serait aussi vieux que Mathusalem...»
Suite à ces propre mots, Le jeune
homme eut une révélation troublante et repris :
« qui que ce soit, il dois travailler
au archive ou ce rats de bibliothèque as l’esprit tordus. »
Bien qu'ils avaient passer une nuit
blanche à plancher sur ces pages, le sommeil ne s'en faisait pas
sentir et donc ils décidèrent d'aller déjeuner à un restaurent
pour l'occasion. Notre trio finir par déambuler dans les rue d'une
ville qui ne ressemblait en rien à celle de Londres mais qui leur
semblais familière. Sur le coins d'un bâtiment fenestrer se
trouvait un jeune camelot qui offrait des journaux pour presque rien.
L'établissement lui offrait une variété de pâtisserie et des
boissons chaude. Enfin assis à l'intérieur, le trio dégustait ces
viennoiseries.
Tout semblait trop beau pour Ash, il ne
savait pas ce qu'il n'allait pas, mais il le ressentait. Ces yeux
finir par se poser sur la couverture du journal en question, notant
le titre. Un ouvrier Défie la mort au chantier de la tours Eiffel.
L'image qui accompagnait le titre lui semblait surréaliste, voyant
que la base de la construction à peine entamer. Dés lors, il
aperçut la date de l'entête, 12 novembre dix-huit-cent quatre-vingt
sept. Sur cette incohérence, il sortis de son songe.
De tout évidence l'équipe avait
succomber à Morphée. notre gothique ne fit pas de cas de ce rêve étrange et
décida qu'il étais temps pour tous de se réveiller. Sans demander,
il commença à faire le déjeuner pour tous. Le sons et l'odeur de
la machine à café sortis les autres de leur sommeils, tous deux
semblait confus. Alice se remis à chercher dés son réveil tendis
que Lucas pris quelque notes, plus près du gribouillis qu'autre
chose, mais il comprenait ses marques.
« J'ai fait un drôle de rêve, dit
Ash. Nous étions... »
Lucas l’interrompue :
« Dans un restaurent à paris au début de la construction de la tours Eiffel. »
« Dans un restaurent à paris au début de la construction de la tours Eiffel. »
Tout étonner, le jeune Stone demanda s'il parlait durent son sommeil. A ce point, Alice confirma qu'elle fit le
même rêve et qu'elle se réveillât quand elle se rendit conte qu'
Ash avait disparue. Mackay confirma avec un air moqueur :
« Bienvenus dans mon monde... Par
contre, je me fait du souci par ce que j'ai vue. L'une des personne
dans ce restaurent qui étais à la table au côté de la notre
m'étais familière, mais je ne pouvait pas mettre le doigt dessus.
Maintenant que je suis pleinement conscient, je sait qui étai-ce et
j’espère ne pas avoir à la recroiser. »
Sous le questionnement des deux jeune,
il finit dévoiler l'identité de la femme en question.
« Elle s'appelle Rose, une sorcière
suffisamment puissante pour envoyer son amant dans une autre époque
par erreur. Qui sait combien de fois c'est arriver. Et s'il y as
quelque chose que je ne veut pas c'est de vous voir disparaître de
la sorte. »
Sous cette avertissement, Ash leva le
nez en prétextant ne pas en avoir peur et que si cela devais
arriver, ce saurait une vie d'aventure. Sur ces mots, La demoiselle
le dévisagea et rétorqua :
« Après trois jours, tu va pleurer pour ravoir internet. »
« Après trois jours, tu va pleurer pour ravoir internet. »
Cette complicité étais prometteuse
aux yeux de Lucas. Il savait par ces regards amuser ces deux personne
vivront de grande complicité ensemble, du moins; si cela perdure.
Cette matinée fut courte. Seul constats, les articles de la veille
n'était rien de plus que l'incarnation de leur songe. Un message
peut-être? Sans doute devait-il chercher un homme âgé. Mathusalem
était reconnut pour avoir vécus près d'un millénaire. Sur ces
fait, Alice concluait que la fête foraine à cette époque devais
plutôt être un cirque de variété avec des personnages très
distinctifs, comme ce que l'on appelait à l'époque un Freak-show.
Ces supposition ne faisait pas l'unanimité, Lucas étant indécis
sur ces faits et notre gothique réfutant cette hypothèse par
d'autre idée. Du coup, notre écrivain devait trouver l'origine de
ces forains et peut-être finirait-il par trouver cette personne
d'exception.
Suite à ce déjeuné plus que moyen.
disons simplement que notre gothique est loin d'être un cuisinier;
L'appartement se vida. L'un au travail, les autres au études. Lucas
avait rapporter la somme colossale d'articles que l'on lui avait
confier, déçu de ne pas être sur la bonne voie. Durent la
conversation avec un de ces collègue de travail il entendis parler
d'un archiviste à la bibliothèque municipale qui lui avait une
admiration pour Paris. Sans doute pourrait-il lui venir en aide. La
conversation resta sur ces mots et le soir venus, il alla faire son
tour. L'entrée étais tout de verre et un bureau s'y dressait avec
une jeune secrétaire.
« Excusez moi, je cherche...»
Lucas venait de se rendre compte qu'il
n'avait ni le nom, ni le titre de celui qu'il cherchait
« Heu, je cherche une personne qui
connais bien Paris et l'as dit que l'un de vos employé en est un
grand connaisseur. »
Sans lui répondre, elle se leva et
l'invita à le suivre dans les bureaux. Arriver sur place, elle
interrompu un homme à la chevelure poivre et sel qui arborait une
barbe bien fournis. Celui-ci semblait récité le contenus d'un livre
à un magnétophone. Il va s'en dire qu'il avait une voie chaleureuse
et très plaisant à entendre.
« Papi! Tu as de la visite.»
Les mots de la jeune fille fit échos
dans la pièce, surprenant l'homme. Il pris un moment pour éteindre
le magnétophone et placé un signet dans son livre. Avant de
commencer sa requête, Lucas lui demanda pourquoi il faisait ce genre
de chose et le vieil homme lui répondit avec enthousiasme :
« Les mots ne sont-il que prétention
sans la musique des paroles? …En fait, j'enregistre des romans pour
les personnes avec des difficultés à lire. Hé bon, que puis-je
faire pour vous? »
Tendis que la jeune secrétaire
retourna à son poste, Lucas énuméra ce qu'il cherchait, ne
manquant pas de donner l'époque et dans la quel il recherchait ces
informations.
« Deux dans la même journée? Quel
coïncidence! Un Adolescent ma demander de l'aider à retrouver un
article du Figaro de Paris de novembre ou décembre mille-huit-cents
quatre-vingt sept. »
Ash... Ash l'avait devancer de peut.
Notre écrivain resta sans mots tendis qu'il regardait l’homme
chercher sur son vieil ordinateur quand il reconnus cette silhouette
bien particulière, cette posture pencher de l’avant avec une jambe
légèrement étirer vers l'arrière.
« Mais c'est vous qui étiez avec Rose
à Paris en dix-hui-cents quate-vingt sept! Mathusalem? »
Le regard de l'homme changea
soudainement et son air enjouer s'estompa en même temps qu'il
glissait la main sous son bureau.
« Qui vous as parler de moi, demanda
l'homme. Qui êtes vous? »
Lucas se leva de sa chaise et recula
les main levé :
« Woah! Du calme! Je m'appelle Lucas
Mackay, Je suis ici parce que je dois réécrire le grand livre des
forains. C'est Amanda qui m'envoie! Rose et Amanda travaillait
ensemble. Le titre est Paris par les vieil rues, vous me croyez? »
« C'est moi qui ai écris cette
article, répondit l'homme stupéfait. Comment vont-elle? »
« Hé bien, Rose n'est plus de ce
monde il y as un bon bout de temps et Amanda est maintenant la
doyenne de la famille. Mais puis-je vous poser une question? Quel âge
avez vous? »
« Ho biensure... dit le vieil homme.
J'en perd le file avec le temps. »
Il eut un soulagement sur les volontés
du jeune homme et répondis tout bonnement qu'il n'en savait rien et
que ses souvenirs était comme des rêves qui s'égarait avec le
temps. Par contre, il avait toujours en mémoire ces temps précieux :
« Prend bine note Jeune homme car voici mon histoire, aussi incroyable que cela puisse paraître.»
« Prend bine note Jeune homme car voici mon histoire, aussi incroyable que cela puisse paraître.»
Papier et crayon en main, Lucas prêta
une oreille attentive à celui que se surnommait Mathusalem.
« Bien que je semblais avoir que vingt
ans, j'étais déjà très âgé au débuts de la création de la
tour Eiffel. J'étais sans peur et aventurier à un point ou mes
exploits commençait à faire la hune des journaux. Je m'attira bien
des foudres autans aux près des commerçant que des autorités. Un
jours, l'un des petit fils d'un commencent se rendit conte de ma
longévité en explorant les livres de dettes que ces parents et
grand-parents tenaient. Je leur devais plus d'une centaine de franc
depuis plus de cents ans et je vivait toujours de ma jeunesse. Le
fourbe voulut me saigner pour connaître mon secrets et tenta même
de mettre ma tête à prix pour me retrouver en vain. J'étais
fougueux et jouait les mousquetaires d'une canne de bois en guise de
rapière. »
Au retour d'une page, notre écrivain
changea de posture pour continuer, excité par le récits que
arrivait.
«Un jours, je déambulait dans les rue
étroite de la cité quand une horde de voyous tentas de me prendre
en souricière. Dix d'un côté et six de l'autre, en plus de
quelques gendarmes matraque à la main, près à me soumettre leur
bourreau. Je donna quelque coup de poing à un gringalet près à me
fracasser d'un long bâton que je lui subtilisa et m'en servit pour
me frayer un chemin au travers de ces bagarreurs. Pour se faire, je
me donna d'une course vers les dix homme qui barrait mon chemin pour
sauter à la perche au dessus d'eux et atterrit sur le toit d'une
carriole qui passait à l'intersections. Je Me croyais sortis
d'affaire, les distançant de la sorte, mais les gendarmes n’ont
pas mis de temps accoster les chevaux et je due reprendre ma course.
Contrairement à ce que l'on peut penser, le trafique à cette époque
étais déjà très dangereux, sans sécurité pour les piétons, les
grandes rue faisait beaucoup de blessé.»
Le vieil homme se pencha vers notre
écrivain et reprit :
« C'est au travers des roues et des chevaux que je poursuivit mon combat, terrassant pour la première fois un gendarme en lui collant une droite bien ferme dans le ventre, l'estomaquant. Dés lors, je fit ficher comme un trouble fait et voyant la populace joindre les voyous et les gendarme, je décida de fuir aussi rapidement que mes jambes pouvait me porter et je fini par me retrouver sur le chantier de la fameuse tours. N'ayant peur de rien, je décida de les perdre en escaladent l'échafaudage et m'aventurent sur les poutres et ils se sont jeter dans le piège! La plupart ont pris vertige et les autres n'arrivaient pas à se déplacé suffisamment rapidement pour me suivre, j'ai jouer un jeux de chat et souris un moment pour ensuite m'éclipser de la structure. »
« C'est au travers des roues et des chevaux que je poursuivit mon combat, terrassant pour la première fois un gendarme en lui collant une droite bien ferme dans le ventre, l'estomaquant. Dés lors, je fit ficher comme un trouble fait et voyant la populace joindre les voyous et les gendarme, je décida de fuir aussi rapidement que mes jambes pouvait me porter et je fini par me retrouver sur le chantier de la fameuse tours. N'ayant peur de rien, je décida de les perdre en escaladent l'échafaudage et m'aventurent sur les poutres et ils se sont jeter dans le piège! La plupart ont pris vertige et les autres n'arrivaient pas à se déplacé suffisamment rapidement pour me suivre, j'ai jouer un jeux de chat et souris un moment pour ensuite m'éclipser de la structure. »
Il reprit appuis sur son dossier, le
bras derrière; avents de reprendre son récit :
« C'est le lendemain que j'ai croiser
Rose. Elle M'invita à prendre un café car elle disait qu'elle avait
de grand projets pour moi. Ça avait le mérite de m'intriguer, du
coup je l'écouta. Elle me fit connaître le Grand cirque de Boraine
qui allait bientôt de perdre leur chef et elle estimait que j’avais
la carrure pour prétendre un rôle de leader. Je décida de joindre
la troupe comme homme de main en espérant le retrouver, mais elle
n'étais pas là. J'aurais du mieux écouter la vieil quand elle me
parlait de temps qui coule dans tout les sens. Car j'aurai vite
compris ce qu'elle voulait dire. Le bougre est mort que quinze ans
après mon arrivé et c'est que près de quoi... ...trente années je
crois qu'elle joignit le cirque. À l'époque, elle étais encore
toute jeune! »
Lucas peinait à suivre le récits et
demanda une pose le temps de finir. Le vieil homme n'en fit rien et
dit :
«hé bien, c'est pas mal tout en fait
j'ai due quitter le cirque un peut après la deuxième grande guerre.
Mon nom refaisait surface un peut partout et je n'aimais pas ça. Je
ne voulais pas avoir à m'éclipser encore une fois. De plus, il ont
commencer a délester la formule du cirque pour devenir une foire
foraine et je n'étais pas à l'aise avec tout ces manèges. »
Notre Impérissable personnage fronça
les sourcil et demanda à Lucas s'il étais pour joindre les
forains. Celui-ci lui répondit tout bonnement :
« Non, je ne fait que m’acquitter d'une dette. Par contre, je prend plaisir à le faire. »
« Non, je ne fait que m’acquitter d'une dette. Par contre, je prend plaisir à le faire. »
Ces mots termina son entrevue et il
alla directement au café Morgane ou Alice travaillait pour justement
espérer y trouver le duo, et comme de fait; Il était attendue sur
place.
« J'ai trouver l'article, dit Ash avec
fierté. Et je crois qu'on est sur une bonne piste! »
Lucas eut un sourire en coin avant de
répliquer :
« Je sais, tu ma devancé sur ce coup. Par contre, j'ai trouver notre Mathusalem! »
« Je sais, tu ma devancé sur ce coup. Par contre, j'ai trouver notre Mathusalem! »
Alice haussa les sourcils sous la
surpris tendis que notre Gothique resta incrédule, persuadé qu'on
le faisait marché. Suite au récits de notre homme de lettre, notre poète au cheveux noir ne
put que s'incliner face à cette découverte. l'évidence étais sous son nez
et il ne la pas reconnus. Notre jeune fille voulait se faire
rassurante sur l'exploit de Ash qui lui pataugeait désormais dans la
déception.
« Ne t'en fait pas pour cela,
dit-elle. Ces récits luis sont destiner tout de même. L'on peut
toujours trouver les nôtres si l'on veut.»
Cette idée charma par sa simplicité
et dés lors, autours d'un café bien chaud, les Storyteller's
naissait. Une question taraudais Ash, à savoir s'il finirait par
goûter à cette magie de nouveau.Il eut un moment de silence autours
de la table que Lucas finit par combler :
«Vous savez, je crois que cette magie est partout autour de nous, il suffit de savoir la trouver. Ne vous sentez vous pas bercé par elle? Cette nuit ou les flocons parfume l'air de leur fraîcheur ne pouvait pas être mieux accompagner que par cette air que l'on entend présentement? »
«Vous savez, je crois que cette magie est partout autour de nous, il suffit de savoir la trouver. Ne vous sentez vous pas bercé par elle? Cette nuit ou les flocons parfume l'air de leur fraîcheur ne pouvait pas être mieux accompagner que par cette air que l'on entend présentement? »
tout deux se mire à écouter et
explorer du regard. Comment ce moment pouvait-il être si parfait?
Cette nuit de noir et de blanc se laissait bercer dans la lumière
dorer du café et les aires de Andy Kirk. I know, je sais... cette
air parlait d'amour et de cœur brisé qui semblait aussi être aussi
celui du vieil homme que avait choisi. Une histoire naissait dans la
tête de nos protagoniste. Mélancolie, amour et nostalgie étais les
trois mots qui décrivait ce récit tout inventer sur le moment. Ce
premier jets ne fut que le premier d'une série qui s'écoulerait
tout le reste du mois durent.
Comme promis, cette aventure fut
rapporter à la foraine en fin de mois et elle consentie à ce que
Lucas publie ces récits et seulement s'il étais mention d'une
fiction car elle ne voulait pas nuire à ces frères.
« J'ai bien peur que tu ne puisse
trouver les prochaines personnes dans les journaux, Il va te falloir
chercher dans tes songes, ton cœur et le titre. La jeune femme et le
colt est ton titre, sache la trouver, cette femme t'attend. »
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