voici le premier jets de ce texte dont le titre reste à définir:
Le héros
Un vieil homme fait face au feux de
foyer de l'auberge. Sur son épaules est tatouer un écusson bien
particulier et en sa main se trouve une coupe de vin tendis que
croule à ces pieds les bouteilles passé. Son regard se posait
doucement sur un petit fragment de pierre rouge en sa main. Sans le
dire, un enfants le regardait, questionner pas se personnage plus
grand que nature.
« Bonjour petit, je peut faire quelque
chose pour toi? »
Ces mots brisa le silence laisser par
l’enfant qui dés ce moment entrepris de lui poser une multitude de
question à la fois mais n'en resta que muet. Il baissa son regard
sur la petite pierre un instant et demande ce que c'était. Notre
aventurier en resta silencieux un moment avent de répondre :
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
« Cette pierre... C'est une grande parte de ma vie. Avant, cette pierre étais un cristal grand comme ma main. »
L’enfant s'assit sur le sol en face
de lui, en restant muet, attendent qu'il se raconte. Notre homme a la
crinière châtaine lui souri avent de prendre une gorgée de son
nectar et commencer sa narration :
« J'ai toujours rêver du ciel et de liberté. Ces rêves ou l'on voles comme les oiseaux me garde le cœur aussi jeunes qu'a mes premiers jours dans les champs de Merrya. J'ai toujours aimer ce vertige bien que, comme un cerf-volant; j'ai besoin que l'on tienne la corde pour ne pas m'y perdre. Celle qui tenus cette ficelle fut mon salut, mon amour, ma reine. Rend toi confortable car ma vie fut bien remplis. »
Première histoire : Mon Acolyte
Rowen
Après une longue journée dans les
champs à travailler la terre, nous avions toujours pour habitude de
faire la course pour désigner qui serait le premier à se servir au
repas. Cette journée particulièrement, nous avions fait énormément
de travail et tout deux était rendu a la rivière quand le carillon
de la cité sonna les coups de 5 heures.
« Sébastien, tu entend ça? Me
demanda Rowen. Si tu parlait encore, probable que l'on aurais pas
entendue sonner. »
Nous nous sommes regarder tout deux
dans les yeux avant de partir et comme toujours il me devançait sur
le départs, mais vue la distance, j'étais sure de le reprendre sur
l’endurance. De plus, il avait toujours pris le même chemin de
terre qui longeait les pâturages de celui que l'on appelait l'ogre
de Merrya. Son surnom mérite tout une histoire à lui alors, je ne
m'y éterniserez pas. Du coup, j'ai crue bon de piquer à travers
champs pour le devancer. La première clôture enjamber, je fit mon
fanfaron devants les bestiaux qui me regardait désintéresser. Ma
surprise fut grande d'entendre les pleurs d'une demoiselle qui se
retrouvait au milieux du troupeau. Sans le savoir, cette journée
marqua le début de la vie qui me saura destiner.
La jeune Demoiselle étais tout en
beauté, d'une crinoline de sois grise en harmonie avec son délicat
visage blanc et ces lèvres vermeille. Affalé sur le sol, l'on
pouvait à peine la distinguer au pieds de l'arbre ou elle était
accoler. Il me fallut un moment avant d’apercevoir les liens qui
lui tailladait les chevilles et poignets. J'étais sans voie devant
la demoiselle qui n’osait me regarder. Va sans dire que je l'ai
affoler, m'approchant d'elle avec un couteau à la main pour la
détacher.
Une fois délester des ces cordes, je
lui tendus la main et elle leva regardent vers moi. Elle avait
plonger son regard dans le mien si profondément que je n'ai pas vue
que l'on nous observait.
Soudainement, je sentis un coup très
fort, me projetant sur le sol. Une étrange femme dont le bras gauche
reprenait forme, me défia du regard. Je me leva et m’intercala
entre la demoiselle et cette guerrière. Elle pris position, mettant
son bras gauche qui se mis à verdir et devenir velouté. Cette
combattante avait un veston ajusté surmonté de quelques pièces
d'armures tenus de multiples sangles. Je connus plus tard que cette
femme venait d'un peuple bien au delà des frontières du monde que
l'on connais.
Les première frappe qu'elle m'infligea
étais robuste, me projetant encore une fois sur le sol. Je me
sentait dépasser par sa force, mais je ne pouvait la laisser
s'approcher d'elle, alors, je tenta le tout pour le tout, en la
plaquant contre le sol en vain. Elle me repoussa d'un simple geste de
son bras avant de se retourner et me projeter au sol. J'étais sonné
et couvert de boue, un jolie mélange.
La demoiselle n’offrit aucune
résistance quand la guerrière la saisi par le poignet. Suite à ce
moment, perdit conscience un moment. À mon réveil, je me retrouvait
assis à l'arbre ou elle était, avec sur mon poitrail une bourse
fait de la même soie grise que la robe de la demoiselle. A
l'intérieur se trouvait un cristal rouge. Oui, le même que ce petit
cailloux que je t'ai montrer. L’objet était chaud et parfumer des
quelques pétales qui se trouvait dans la bourse.
Ce jour là, il était évident que
j'avais perdu la course. Je franchit le portail de la cité au couché
du soleil. Rowen m'attendait au porte de la maison ou je chambrait.
« Tu en as mis du temps, me dit-il
avant de me dévisager. De tout évidence, tu la eut dure ce soir. »
Comme un vrai amie, il m'avait attendue
pour le repas durent lequel je lui raconta mes péripéties. Il mis
sa main sur mon épaules et me dit :
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
« Tu sait, puisque nous avons beaucoup trimer aujourd’hui, nous partirons à sa recherche demain. Encore une fois, l'aventure nous appelles et cette fois, c'est plus que des pièce d'or qui nous attend. »
Cette nuit, je grimpa sur le toit et
m'y allongea pour y observer le cristal scintillant au bout de mes
doigts. Je me disait qu'une fois encore, je renouait avec mon vieil
arc. Je fit mine de gesticuler comme si je tendis mon arc devants
mois et à ce moment, je sentis la chaleur de la pierre entrer dans
le bras jusqu'à mon cœur et vit se dessiner la silhouette d'un arc
étincelantes dessiner dans ma main dans lequel je tenais le joyaux.
Je compris rapidement que cette pierre étais plus qu'un simple
objets.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
N'oubliez pas de signer Anon!