lundi 31 août 2015

Lune noir, part 3

Passer d'une narration à 3em personne à la première me fait un drôle d'effets, j'ai l'impression de m'insinuer dans l'histoire. si vous trouver que le chapitre est plus ou moins complets, dite vous que j'ai due couper sur de la narration pour éviter d'être redondant. j'ai due couper sur les marqueurs de temps car je ne suis pas en mesure de déterminer la durée d'une convalescence réel alors, ne soyez pas trop déboussoler si vous trouver qu'il se remets rapidement, je n'ai simplement pas mis les temps sans connaissance de faits qui semblerais plus plausible.   

Chapitre 1
Chapitre 2

Chapitre 3, les intrus


Réveiller par un claquement de porte, je me trouve finalement seul dans la pièce avec deux homme vêtus d'imperméable Gris sous lequel l'on pouvais voir une chemise noir impeccable. De toute évidence, je ne suis pas avec des policiers.

« Je peut savoir ce que vous me voulez? »

« Nous voulons votre version des faits, répondit celui qui étais adosser au mur. Il y as des vides dans la version des policiers. »

Qui sont-il, des avocats? Non, ça ne fait pas de sens, l'on dirais plus d'anciens membres d'un boysband. Vaut mieux être prudent, je n'arrive toujours pas à figurer ce que sont ces deux têtes grise.

« Je n'ai pas encore déposer ma version des faits au policier, vous l'aurez en même temps qu'eux. »

le second qui étais devant la porte, répliqua en s'avançant vers le lit :
« Tu na pas saisi ce qu'il s’envient petit. Si tu est la cause de ce délire, un pal va venir te chercher, et ce ne saura pas la joie. »

Un pal? C'est quoi un pal? Un acronyme pour une police?
« Commencez donc par me dire qui vous êtes. Vous êtes des journaliste a sensation ou un truc du genre? Je ne direz rien sans un avocats. »

l'homme adosser au mur tenais un sourie en coin tendis que son acolyte semblais ronger son frein. Avants que l'homme colérique prononce un mots, le plus came des deux le pris de vitesse
« Révérend. Nous somme révérend Risum et Mendax. Nous ne somme pas ici pour vous exactement, mais pour celui qui est derrière le massacre. Nous croyons qu'il rodent dans les alentours et qu'il cherche à finir ce qu'il as commencer. »

Tendis qu'il voyait mon regard confus, il repris :
« Je vois bien quel sont vos questions, mais vous comprendrez bien assez tôt notre présence quand vous aurez compris ce qui vous pourchasse. Maintenant, dite nous ce que vous savez voulez-vous? »

Si c'est une mauvaise blague, je dois dire quelle est plutôt étrange. Jouer les prêtres pour faire son enquêtes.
« Je suis désolé, mais je ne vous direz rien. Maintenant sortez avents que j'appelle à l'aide. »

Toujours aussi calme, il me répondit :
« Très bien, dans ce cas, nous nous verrons dans d'autre circonstance. »

Quel soulagement de les voir sortir de la chambre. Hé c'est quoi l'idée de ce pointer si tard le soir? Je vois à peine les lueurs du crépuscule. Voir la cités s’évanouir dans la noirceur me donne autans de sérénité que de frisson. Les arbres d'automne commence à perdre leur feuille et laisse paraître leur branche noir sur ces lueurs orangé par des lampadaires. Encore une nuit dans mes songes je présumes. Sans doute le silence qui me tiens éveiller. Je ne trouverez pas le sommeil d'ici peut alors, vaut mieux s'occuper.

« Vous me pardonnerez de vous déranger, Dit un homme avec un saros blanc dans le cadrage de porte. Je suis Docteur Baudelaire, celui en charge de votre dossier, vous vous sentez bien? »

Acquiesçant a plusieurs de ces question sur ma santé, il me fit des vérification de routine avants de me dire qu'il avait en mains mon ordonnance et me disant que je pourrez quitter l’hôpital dés l'aube si je le désirait. Il serais contraire à mes habitudes de partir dés l’aurore, étant donné mon mode de vie que je qualifierait de nocturne. Sans sommation je pris mes choses dans la penderie de la chambre, soit, des chaussures et chaussettes mon portefeuilles et des clefs...
« Mais ou sont mes vêtements? »

Dis-je sans penser. Il me fallut longue secondes pour me remémorer ce qui m'étais arrivé. Sans doute que mes vêtements étais désormais des haillons immaculé d’hémoglobine. C'est à ce moment que je compris que les pièces dépareiller sur le comptoir étais pour moi. Pour un soir, j’aurai l'air d'un vagabond.


jeudi 27 août 2015

27-08-15

Comme vous avez pue le remarquer, j'ai mis beaucoup d’emphase sur le manuscrits de L.S. Northwall. Bien que certain d'entre vous souhaiter lire la suite le plus promptement, je me dois de vous avertir que la suite devra attendre. Non pas que je suis a cours d'idée, mais c'est pas mal çà. Je vais me tourner sur la suite de certain texte que j'ai déjà commencer pour me vider l'esprit de ces idées qui attende juste d'être mis sur papier.

Aussi, je dois trouver un emplois à mi temps au minimum. J'étais supposer commencer un travail dans une boutique de recyclage informatique, mais le patron me prend tout bonnement pour un décélérer en tentants de faire travailler 80 heures pour 150$ par mois selon un programme du gouvernement nommer PAAS Action. Laissez moi vous dire que je ne la trouve pas drôle.  

mardi 25 août 2015

L.S. Nortwall part 9

Gros gros GROS chapitre en perspective. je n'ai pas sue couper dans l'information, ni l'action. Mais bon, je verrez à çà plus tard, il arrive 4 heurs du matin pour moi...  

6 Octobre 2078


Ce matin, tout le monde as les traits tirer. Pour la plupart, ce sont les activités prévus par les commerce qui les ont garder éveiller. Restaurent et Bar offrait à boire à qui conque venait se scotcher sur leur téléviseur pour voir le départs qui tardais à se faire. Tendis que certain regardais l'instant présent, d'autre le vivait, soit sur le terrain, d'autre au bout de leur doigts. Bien que les média traditionnel parlait d'un retard causer par des difficultés technique la plupart des citoyens savait ou chercher l'information pour outrepasser la censure et une fois encore, le bâillon mis au média na fait que monter la gronde.

D'autre parts, notre jeune demoiselle chercha désespérément des trace de son frère, et comme à l'habitude, elle se laissa prendre par les première fausse piste et se retrouva perdu dans le dédale de l’hôpital. Il va sans dire que notre disparue étais quelqu’un de très rusé, doubler d'un bon esprits.

Notre amis le journaliste lui passa pratiquement la nuit debout à écrire et boire du café pour mettre en place son plans pour faire de Jane la coqueluche des médias. Bien malgré tous ces efforts, le fil des actualité étais à ce point centrer sur l'Agence Aéronautique que Jane comme Kevin passait inaperçue face au flot d'informations continue attestant et contestant ce qui se passe sur le cite de l'agence. Il lui étais difficile de jongler avec les information et la censure en se moment car le mensonge à cacher était si gros qu'il en étais une vrai farce. Par dessus son malheur, Il y avait cette jeune fille en pleur qui n'avait plus que lui comme bouée de sauvetage. Il essaya de joindre en vain ces contactes de la presse interdite par le gouvernement, mais ces demandes restais lettre morte. Ismahen devais trouver une solution et pour se faire, il devais trouver l'inspiration. Le restaurent ou tout à commencer est un bon point de départs.

Ce matin là ; sans le savoir, notre journaliste vertueux avait laisser Jane entre les mains de la presses écrite autoriser par le gouvernement et du même fait, l'agence de renseignement intérieur. Dans une entrevue d'allure plutôt banal, notre jeune fille se démasqua sans méfiance au autorité, croyant jouer le rôle que lui avait assigner Ismahen.

Assis à une table, dans un café en plein cœur du centre ville, la jeune fille ainsi qu'un journaliste et son acolyte prenais parts à interrogatoire.
« Premièrement, je nous présente Andrew Wilson et James Adam, mon collègue de travail. Il est du Sun's et moi du Gardian. »

Après les salutation d'usage, Notre adolescente étais confuse.
« Vous travaillez ensemble? Je croyait que les périodiques se faisait la guerre pour avoir l'information? »

« On est de vieux amis, rétorqua t-il nonchalamment. De plus, je lui en dois une pour une autre affaire. »

Mr. Adam ne fit qu'un hochement de la tête tendis qu'il prenait des notes manuscrites comme un vieux routier du journalisme. Avants de oser la prochaine question :
« Dite moi, Savez vous ou pourrait se trouver votre frère? Aurait-il des amis ou des proche ou il aurais pue aller? »

Sans y penser réellement, elle déballa qu'il n'aurais pue aller que chez son ex petite copine, car elle et sa mère ont du déménagé dans un appartement pour la santé de sa vieil mère. De plus, elle leur dit que s'il se savait rechercher, il opterais pour une fausse identité, probablement qu'il tenterais de rejoindre ces contactes sur la toile. Quand Monsieur Wilson lui demanda s'il connaissait ces personne elle n'eut qu'une réponse :
« Bin là... Je suis pas mon frère. C'est pas comme si je connaissait tout ce qu'il faisait. D’ailleurs, j'ai pas trop bien saisi ce qu'on lui voulait. »

Andrew avait du mal à cacher son rictus face à cette remarque grossière mais au combien niai. Tout le contraire de James qui resta stoïque en prenant ces notes. Ce dernier lui demanda même s'il n'avait pas peur qu'il se fasse tuer s'il insistait trop à se mettre au travers des projets du gouvernement. Ces mots, glaça le sang de la jeune fille. Elle avouait ni avoir jamais penser réellement et elle dit encore une fois qu'elle ne comprenait toujours pas pourquoi on lui voulait du mal.

«Vous ne savez réellement pas ou ce trouve Kevin alors. Insista m. Wilson. Vous savez, nous pourrions faire de lui une personnalité publique, ce qui rendrais difficile pour le gouvernement de lui porter atteinte. »

Les yeux plein d'eau, suite au émotion que lui avait causer les dire de monsieur Adam elle fut stupéfait d'entendre les dire de son second interlocuteur. Le regard fixe, elle pria de l'excuser et parti pour les toilettes des dames, ce qu'elle fit promptement. Les cabines étais vide quand elle appela Ismahen, mais ils n'eut que peut de temps avant qu'une personne fit son entrer. La conversation fut brève, Il entendis que les premier sanglotement de l’adolescente qu'il dit :
« Ho, ça sent les problème la. Trouve un lieux sure et brouille les pistes, a commencer par ton cellulaire. Je te rappelle dans 3 minutes chronos. »

Quand Jane se retourna, elle vit la femme qui la surveillait, depuis probablement le débuts. Elle renifla un coup avent de dire :
«M... ma maman ne répond pas.»

Sur un pas de course, elle partais vers la sortis quand Monsieur Adams l’interrompue, lui demandant ou elle partait. À ce moment précis, elle réalisa qu'elle avait encore son cellulaire en main.
« J'ai peur que quelque chose soit arriver à ma mère, elle ne décroche pas. »

James Rangea son crayon dans les annones de son cahier et dit :
« Bien alors dans ce cas, je vous y conduits de ce pas! »

Elle se savait prise au piège d'une parts et de l'autre, refuser l'offre dévoilerait ce qu'elle sait. Elle n'eut d'autre choix que d'accepter. Les peux prirent place dans une vieil Mini-Cooper grise foncé, l'un des premier modèle électrique commercialiser par la compagnie. L'engin étais plutôt habile malgré son poids, nous étions loin des voitures auto-piloter qui sont désormais la norme.

Bien sûr, les trois minutes passèrent et le téléphone retentis dans la cabine. Dés lors, le nom d'Ismahen s'afficha. Aussitôt qu'elle le put, elle ferma son appareille en disent,
« Ce n'est pas le moment...»

Rendu à une intersection, James brûla un feux rouge en entamant une manœuvre serrer entre les voitures pour tourner à gauche. Sous un raffut de klaxon Jane demanda ce qui lui prenait.

« Nous somme suivis, répondit-il en accélérant. Les fédéraux nous collent en voiture banaliser depuis le débuts. »

Jane étais surprise de ces mots. Dans quel clans était-il? L'action se poursuivit, laissant place au silence lors d'une poursuite digne des meilleur vidéo capter au siècle dernier. L'engin sans frein moteur télécommandée ni limite de vitesse se faufilait au travers des carlingues arrêter. James coupa par un passage piétons déserter avant de ce faufiler entre les arbres d'un parc et déboucher dans une ruelle des vieux cartier. Regardant partout, en espérant passer sous le radar des patrouilles, Monsieur Adam lança ces quelque phrases :

« Il na vraiment pas de flaire ce Wilson. Il s’était bien griller à interrogatoire et encore plus en me faisant confiance... quel idiot. »

« Je ne sait même pas si je peut vous faire confiance, dit Jane. Hé puis, je ne sais même pas qui vous êtes. »
Adam, notre tête grise ; lui répondit sans émotion :
« En effets, ce sont des bonne questions. La seule personne en qui tu peut avoir confiance, c'est à toi même. Tans qu'à moi, James suffira même si ce n'est pas mon nom. Comme tu peut le voir, j'ai rien d'un journaliste... maintenant, prend ma veste derrière et sort. Il cherche une voiture, pas un piéton. »

Après avoir vider les poche de la veste à la demande de James, elle sorti et tendis qu'il repartis, elle rappela notre journaliste pour un second rendez-vous.


samedi 22 août 2015

L.S. Northwall part8

Bon j'ai crue que je frappais un mur avec mon histoire de javeline, mais j'ai trouver une façon plutôt naturel d'emmener le sujets, sans trop aller en profondeur. Pour ceux qui se le demande, oui, ces armes sont plausible, voir réel; oui, il existe un traité de l'espace et non, les arme cinétique ne sont pas inclus dans le traité actuellement...

Note: j'ai fait une petite modification à l'intro du chapitre.

chapitre 1   chapitre 2   chapitre 3


5 Octobre, 11 heures, 59 minutes.

Quittons nos protagoniste quelque instant pour rejoindre le restaurent. Déserté de la populace ou presque, nos jeunes étudient et pirates étais toujours sur place à écouter les dernier instants menant au lancement. Le cuisinier ayant terminer son quarts de travail s'était joins à eux et sous une musique d’ambiance jazz l'on peut entendre les communications de l'Agence Aérospatiale.

« Ici L.S. Northwall. Les procédures de sécurité ont été effectuer et tout les voyants sont au vert. Paré à effectuer le premier teste! »

« Entendus Capitaine Wellington. Avez vous un message à nous laisser pour les médiats? »

« Vous leur direz qu'il aille se faire foutre, dit-il en rigolant. »

« Ici Parove, Un peut de sérieux Mike, vous allez écrire l'histoire, faite de vous un héros. »

« Entendue Madame. Heu... donnez moi quelque seconde. »

Pendant cette instant, l'on pouvais entendre les bruits de la passerelle au seins de l’astronef
« hé bien, je ne dirais qu'une seul chose. Nous avons explorer La terre, la lune et mars. Nous partons pour un allé Retours vers la ceinture de Kuiper et dite vous que ce n'est que le débuts... C'est bon? »
« C'est parfait Capitaine, vos paroles vont résonner dans tout les médias du monde d'ici quelques heures. Je redonne la parole à l'opératrice. »

« Merci madame Parove. Ici le centre des opérations , vous pouvez initialiser la manœuvre pour sortir de l'orbite terrestre. N'oubliez pas qu'il y auras désormais un décalage plus grand entre les communication, veuillez attendre notre confirmation avants de commencer les manœuvres. »

« Ici L.S. Northwall, nous confirmons la transition des ordres et entamons notre sortis de l’attraction terrestre en attentes vos ordre futur. »

Quelque instant passa avants que la communication repris, mais seul un bruits de détonation retentis lorsque l'opératrice de l'Agence Aérospatiale s'apprêta à parler. La communication coupa pour quelque instant avant de reprendre sporadiquement. Dans ces bref moment, l'on pouvais entendre une alarme intercaler de communication parasite. Suite à un long silence c’était au tours de l'équipe du L.S. Northwall d'entrer en communication et c'est avec un tons surpris, voir de la peur dans la voix que le capitaine demanda si tout allais pour le mieux au sol. Son message resta lettre morte très longtemps quand soudainement une voix nouvelle se fit entendre.

« Heu... ici Anonseeker, je ne sais pas si vous m'entendez ? Je sais que je ne suis pas supposer vous parler sur votre bandes de communication, mais je suivais les événements depuis mon pc quand l'attaque à commencer. Grosso modo, un javeline cinétique de l'ancien armement spatiale Chinois viens de frapper le centre des A.A. C'est pas mal tout ce que j'ai comme informations d'ici à ce que l'armée prenne le relais, vous êtes pas mal tout seul en haut... »

Quel effrois, ces javeline cinétique étais l'une des dernière armes à être bannis sur le nouveau traité de l'espace. Ces armes peuvent paraître anodine, mais tellement destructrice. Prenez une tige du matériaux le plus lourd et dense jamais créer et lancez la à plus de 10 fois la vitesse du sons sur une surface plutôt maniable, comme la croûte terrestre; car oui, dans ces paramètres, le sol peut paraître maniable.

D'autre parts, ce fut tout une surprise pour le groupe de jeune du restaurent d'entendre un autre pirate informatique intervenir dans la transmission, et qui plus est par le dénommer Anonseeker; celui même qui posta les instructions sur les forums undergrounds pour justement percevoir les transmissions de l'Agence Aéronautique.

Après les quelques minutes nécessaire à la réception, un membre du vaisseau répondit :
« Ici l'officier scientifique Jenny-Lee Peng du L.S. Northwall, c'est un plaisir de vous parler. J'ai eut l'occasion de voir quelques un de vos postes sur les internets et il semblerais qu'il n'y pas beaucoup de nos moyens de transcriptions qui vous échappes. Je voudrais que vous me répondez avec exactitude au question qui vont suivre. Donnez nous un compte rendus détailler de ce que vous avez pue percevoir à l'agence. Deuxièmement, à quel niveau avez pue percer nos moyens de transcriptions et êtes vous le seul dans cette situations. Finalement, puisque les points de réceptions des donné de l'agence sont sans doute hors d'usage, êtes vous en mesure de nous mettre en communication rapidement avec l'agence Spatiale Européenne ? Je sais qu'il ont refuser de coopérer à l'odyssée mais il n'y as pas de raison qu'il laisse ces donnés se perdre. »

Le retour de message se fit avec retard, notre interlocuteur anonyme dit encore une fois une description approximative des événement due à son manque d'information. Il y aurais eut l'attaque orbitale et ensuite une intervention tactique d'un groupe encore non identifier visible via les vidéo poster il y as quelques instants par les vidéo-blogueurs à proximité du cataclysme. Hors mis ces faits, il dit ce que qui conque dans l'équipe de l'Agence Aérospatiale aurais souhaiter ne jamais entendre. Une brèche monumentale dans leur système de sécurité dans les communications permets à tout ceux ayant un bon fond de connaissance en télécommunication d'écouter tout conversation sur leur réseau. Par contre, très peut ont le savoir pour récupérer les donnés crypté partagé. Pour ce qui est de l'agence Européenne, il est toujours en attente de raiponces.


Près de quarante minutes passa sans qu'un bruits se fit entendre. Sans aucune raiponce de tout les partis. Notre bande de jeunes pirates informatique relégua l'écoute au lendemain, sachant très bien qu'un passionné aurais déjà fait un montage de l'audio en coupants tout les silences. Il ne resterais plus qu'à trouver les fichiers en question.

mercredi 19 août 2015

L.S. Northwall Part7

Voila le chapitre 7! vous savez ce qui est bien avec cette histoire? c'est que j'ai aucune idée de comment je vais la finir... j'ai tellement d'idée, de piste à explorer et des ''side line'' que je pourrais faire que j'en viens à me demander si je pourrais réellement mettre une fin logique à cette histoire. va vraiment falloir que je me décide sur le chemin à prendre. 

5 octobre, le gâteau 


Quelques minutes avants la fin des heures de visites, Jane arriva au couloir menant à la chambres quand un grand gaillard habiller en veston cravate sortis sortis de la pièces, fourchette et gâteau à la main.
« Tien Donc, La voilà! »

Dit-il l'air persuadé de l'intimidé, mais il en étais tout autrement. Le regard fulminent, elle s'avança vers lui et saisi la fourchette d'un geste brusque et lui braqua sous le mentons.
« Non mais! Qui vous as permis de manger le gâteau de Kévin! Hé puis, qu'est-ce que vous faite dans sa chambre premièrement.»

L'homme peut impressionner la saisi par le poignet et repoussa la main avec lequel elle saisissait l’ustensile en serrant avec une telle force qu'elle ne put faire autrement que de lâcher son arme improviser.
« Hé bien, premièrement, ce n'est pas une façons de faire avec un agents de la sécurité intérieur et ce que je fait ne regarde pas les civiles. »

Jane regardait la pâtisserie qui s’était échouer sur le sol lors de l’interaction avec les larmes qui lui montait aux yeux. L'agent saisi la bourse de madame et la retourna, laissant tomber son contenus se vider sur le sol. Par miracle, son cellulaire est rester pris dans un recoins décousus de son sac. Seul des produits d'esthétique et d'hygiène, deux cannes de jus et de l’argent liquide en sortis.

« Pas de Cellulaire ? Demanda-il avent de reprendre avec plus de hargne. Et deux boisson, comme çà, vous saviez qu'il étais réveiller! »

d'un force colossale, l'homme la plaqua face contre mur et lui mis la main sur la tête, procèdent comme à une arrestation, mais lors qu'il mis la main à la ceinture, il se rappela qu'il avait ni arme, ni menottes. Jane sentis cette hésitation et compris un détails.
« Vous n'êtes pas censé être ici n'est-ce pas? »

l'homme frustré recula le poing pour la frappé quand soudainement elle se mis à pousser un cris de toute ces forces. Il fallu seulement quelque seconde pour qu'un Préposé au bénéficiaire sortis d'un recoin et les interpella. Tendis que des dizaines de personne sortais la tête de leur chambre par curiosité, des braves qui étais en visite auprès de proche, survire le pas du garde malade près à l'affronter. Face à cette afflux, l'assaillant n'eut d'autre chois que de fuir. Certain ont tenter de le poursuivre, mais l'intervenant le déconseillait. D'un coup de fil, notre héros du jours, avertis la sécurité qu'un homme violant courrais les couloir de l’hôpital. En quelque minutes, l'établissement étais boucler.

Jane passa de victime à consolé en attente de la police municipale pour faire sa déposition. En attendent, elle récupéra ces choses et son cellulaire.

« Ismahen, c'est Jane. Mon frère c'est réveiller... il as disparue. »



« Je suis encore au resto, j'arrive tout de suite! »

mardi 18 août 2015

18-08-15

Super, je ne trouve pas le sommeille due à la chaleur et maintenant que l'air se rafraîchie, je me sent un regain d'énergie. je vais dire ce que je me dit souvent à voix haute: « The fuck, brain? »

Autans en profiter pour sortir un nouveau chapitre de quelque chose. Si vous avez des préférences pour un texte ou pour un autre, faite le moi savoir et je me plongerez plus dans un que dans les autres. Je prend les suggestions pour des nouveau textes aussi, mais je ne garantie rien.

lundi 17 août 2015

Courte histoire méphistophélique

j'ai l'impression que sa fait une éternité que je n'ai pas poster quelque chose sur mon blogue, et pourtant....

Il fait chaud, je suis fatigué et je n'ai pas la notion du temps, rien pour m'aider dans mon écriture. Néanmoins, j'ai sue dénicher un texte qui devrais plaire à ceux qui ont apprécier les manuscrits Lune noir. Il est en fait l'une de mes inspirations pour ce texte. Je vous présente une Courte histoire méphistophélique, petit récits sans suite mais bien sombre...

Courte histoire méphistophélique, Le procès du meurtrier.


Dans une sale d’audience au cœur de la métropole Montréalaise se passe un procès à mi-clos opposant l’un des plus grands assassins de la scène québécoise aux familles de ces cents soixante-dix-sept victimes, du moins, leurs représentants.

Le juge fait son entrer et comme le décorum le veut, tout l’audience se lèvent à l’exception de l’accusé qui étais vautré dans son siège. Madame la juge le dévisageait, mais il n’en fit rien, son attention se portait plus as l’observation du jury en place, composer de vieilles personnes et de quelques personnages peut remarquable en soit.

Après quelques minutes à attendre sans que l’accusé ne lève le petit doigt, dame Tremblay outrepassa cette fâcheuse position en continuas sans cette mesure pour arriver au fait de ce procès.

- Monsieur Leclerc, vous n’avez pas d’avocat vous représentant? Demanda stoïquement madame la juge. Avant même qu’elle puisse demander s’il souhaitait un représentant, il lui répondit qu’il se défendrait seul. Les membres de la partie adverse se regardaient entre eux avec beaucoup de questionnement. Son apparence de vieillard serin avec ces longs cheveux naturels ne laissait rien présager d’un tel meurtrier, mais serait-il aussi un stratège hors-norme, ou encore était-il un fou.

Sans attendre, une voie se fit entendre, prodiguant les accusations.
-Monsieur Gérald Leclerc, vous êtes accus…

l’accusé se leva et l’interrompit en haussant le ton.

« Rectification, je ne me nomme pas ainsi. Dit-il tendis que les appelle au silence pleuvait de la juge.Je suis le barde des guerres, le roi des enfers. Pour qui mes paroles ont un sens profond, ces dires à d’autre y découle l’essence de l’antéchrist.»

Tout l'audience fut surprise de ces dires maudite. Un silence lourd s'installa lorsqu'il continua sa scène.

«Sexisme, raciste, nazisme sont des idées bien basses face à mon fondement,
je suis le mal, l’inconnaissable parmi les mortels
car bien que l'on me dépeigne avec des cornes,
seul l’imposteur peut les porter.
Que l’on m’appelle le diable, Méphistophélès ou Belzébuth mon nom est Satan,
qu’ils vous en déplaisent. »

Ces mots dits si limpides au travers des coups de marteau de la juge qui souhaitais le faire taire, glaçaient le sang de toute l’assistance qui était bouleversée sinon avide de commentaires face à cette déclaration.

Après quelques menace d’évincement de son procès, les accusations détaillés des cents soixante-dix-sept meurtres aussi crapuleux les un des autres reprirent. Sexe, nom et ages de ces victimes retentissait dans la sale, que ce soit des personnes d’âge mûr, les membres de sa famille ou encore des nouveaux nées, l’accusé écoutait d’un regard satisfait et quand on lui demanda ce qu’il allait déclarer, il répondit avec fierté :
« Coupable! Et il en manque, faites mieux vos recherches. »

Stupéfaite, la juge qui était penchée vers l’accusé prit un grand respire en s’adossant dans son siège. Quelques instants après, elle lui répondit :
« Vous savez qu’avec ces accusations, vous serez emprisonné à perpétuité et avec un tel comportement, vous ne pourrez être libéré sous condition. Qu’est-ce qui vous pousse à agir de la sorte? »

L’accusé regarda fixement madame Tremblay dans les yeux sans broncher et discourut.

« Vous ne pourrez jamais m’emprisonner, ni même me contenir. Cette chaire putride n’ai qu’un véhicule que j’ai dérobé à une âme fragile, comme je l’ai déjà fait au par avant et comme je referai. Vous pouvez ne pas croire en Dieux, car il vous a abandonné depuis bien des lustres, mais moi je dure et perdure aussi longtemps que le monde sera monde et ne sera pas mien. »

Suite à ces mots, le meurtrier détourna le regard vers le jury et sourie, tendis que la juge confuse ajourna la cession.

Au matin suivent, les gardes qui surveillaient le vieil homme, retrouvèrent ce dernier dans un état végétatif, allonger dans son lit. Dans une autre instance, un maître d’hôtel retrouva le corps de quatre personnes qui composait les membres du jury tandis que les autres étaient manquants. Personne n’a entendu ni vu ce qu’il s’était réellement passé.

mercredi 12 août 2015

Les comptes oublié part.3

Une petite suite en forme de lettre. Il pourrait facilement y avoir une préface, mais je n'ai pas d'idée en ce moment. peut-être plus tard, ou à la finition... Je pourrais aussi r'ajouter un chapitre entier entre le deuxième et celui-ci. En faite, je le poste sans trop savoir comment continuer dans cette élans. peut-être que ce bout de texte va disparaître, seul l’avenir nous le diras.      

Réponse du cœur

Ho mère, Sache que je t'aime et que j’apprécie d’être de retour auprès des miens, mais je ne peut me soumettre à cette vie de cours. Ma douce lames m'invoque les aventures passé et tu me sait hardi de mon vécus. De plus, je me peut laisser la morts du paternel impunis.


Comprend moi, il y as maintenant 4 ans que mon retour en ces murs on fait de mois un héros, puis chevalier, mais je nais jamais détourner le regard du nord. Je dois retrouver ce démon car tout au fond de mois, je sent les flammes qui châtie l’âme de mon père. Je ne peut vivre avec ce sentiment d'infamie et rancœur.


Au moment ou tu lis cette lettre moi et Roth aurons traverser l'autre rive du ruissellement, porte du monde proscris des hommes. Nous retournerons à la montagne boisée ou gis sous terre, la dépouille de mon aïeul. Dés ce moment, je tracerez mon chemin de ma lame au travers de ces démons, jusqu'à ce que l’esprit de père obtienne l'absolution. Que les Saint m'en soit témoin, je sauverez l'honneur de mon père.


Ne pleure pas mon départs car j'ai vécus une vie bien remplis et il serais juste de rendre à la nature un esprit comme le mien qui vécus si pleinement. Réjouis toi car notre ligné est assuré, ma douce épouse porte mon enfants et je compte sur toi pour que nos mémoires perdure par ta paroles.


Prie pour notre retour.
Ton enfants, William

Fils de Ulrich

mardi 11 août 2015

L.S. Northwall part6

Pour quelque chose qui n'étais qu'une idée sur un bout de papier, voila que ça deviens gros. bon, c'est promis, je saute à un autre texte pour le prochain poste.

chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
chapitre 5

5 octobre, événement orbitale


Tendis que nos protagonistes discute entre eux, des adolescents ont apporter une ordinateur doubler d'un récepteur satellite bidouiller pour capter bien plus que de simple fréquences. L'on peut entendre les conversations en directe, relative à l'Agence Aérospatial et au projets L.S. Northwall.

« Ici, le vol Wallas wing's, en approche de la station de construction Magnus-01. Nous apportons du matériel pour le lancement du L.S. Northwall. Demandons autorisation d'approche pour accostage.»

« Ici l'Agence Aérospatial, votre approche est refusé, vous n'êtes plus à l’horaire depuis 76 heures. Initialiser une manœuvre de descente vers les points de location que l'on vous envoie... Vol Wallas Wing's, me recevez vous ? Corrigez votre trajectoire... »

« Magnus-01 au rapport, le vol Wallas wing's semble avoir été atteint par un projectile inconnus. Nous tentons d'effectuer une manœuvre d'évitement des débris. »

« Ici Morgan Parove en charge du projets à l'Agence Aérospatial. Vous devez à tout prix protégé le réacteur. S'il explose, nous perdrons tout communication satellite et vous allez irradier des milliards de personne au sols... Magnus, me recevez vous? Magnus-01, nous attendons votre confirmation.»

Un silence s'installe et suivit une interférence statique de grande amplitude pour ensuite revenir à un niveau de silence tout aussi inquiétant. Cela à dure encore quelques instants le temps pour les jeune homme de trouver et décoder les fréquences sécurisé.

« Ici l’observatoire Sulivan, l'on détecte des impactes au radar, l’étendue des dommages reste encore à déterminer.»

« Merci des informations Sulivan, Avez vous des informations sur la provenance du projectile qui as heurter Wallas wing's ?»

« Négatif, la source reste encore inconnus. Du moins, ça ne viens pas du sol...»

« Ici la tour de contrôle de Newport-05, nous signalons que le Wallas wing's est toujours au sol. Je répète, Wallas wing's est toujours sur le tarmac. »

« Entendus Newport-05...»
La communication est terminer entre Newport-05 et l'Agence Aérospatial, mais les canaux sont rester ouvert et l'on peut à peine distinguer les voix de quelques personnes qui semble contrarier par les événements. L'interlocuteur de l'A.A. acquiesce promptement à ce qui semble être des ordres et repris la paroles au microphones.

« Attention à tout le personnels. l'Agence Aérospatial passe en mode d'alerte rouge jusqu'à la fin des teste du L.S. Northwall. Je répète, l'Agence Aérospatial passe en mode d'alerte rouge. Nous demandons à tout les membres du projets de se présenter à leur poste respectifs pour un contrôle d'urgence. Tout personne manquante ou qui n'ont pas les autorisations pour les zones de restriction ou il se trouvent, seront mise en états d'arrestation, le temps d'y voire plus claire. »

Près de deux minutes ce sont passer dans le silence et les interférences avents qu'un nouveau message se fit entendre :
« Magnus-01, au rapport. Le L.S. Northwall na subis que des dégâts mineur à l'infrastructure bâbord. En revanche, Magnus-01, est dépressurisé à cinquante pour cents. Nous trans ferrerons le reste des vivres et les membres de l'équipage dans la section terminé du L.S. Northwall. Encore désolé pour le futur équipage, mais il n'aurons pas le plaisir d'être les premiers abord. »

« Ha ! Merci magnus-01, c'est une très bonne nouvelles! Pouvez vous nous donner des spécifications sur les circonstances de l'explosion de la navette inconnus en question? »

« Hé bien, a vue de nez, je dirais que c'est un débris qui aurais heurter la navette qui aurais déclencher l'explosion. Il devait y avoir des explosifs dans la soutes, autrement, une telle déflagration auraient été impossible. Je tien a préciser que ce sont des suppositions.
Nous vous envoyons les images de l'approche et nous effectuerons des prises d'échantillons dés que possible. Pour l’instante, notre équipe inspecte l'intégrité de la coque. »

La conversation entre terre et ciel continua encore longtemps sur des points technique, laissent que les érudits rassasié.

lundi 10 août 2015

L.S. Northwall part5

Oui, deux texte en moins de 24 heures. Je viens tous juste de finir le chapitre et j'ai envie de le poster right nao!

Un petit merci de mon lecteur des états unis qui semble me suivre si promptement. en espérant que ce ne soit pas juste Google...  

chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4

5 Octobre 2078

Sur la zone grise des Internets, l’interview à mi-clos commence à faire son apparitions sur les internets. Les acteur y sont présenté avec un brouillage visuel et une modifications audio cars bon nombre d’entre eux au par avant ont finis en coures pour atteinte à la sécurité publique ou sont simplement disparue. Les dernière paroles de l’interview retentissent sur les blogs de partout. Entre temps les armadas de manifestants s’active et grossissent partout au travers le monde. Des vidéo de dissuasions font leur apparitions sur les anciens réseau de communications et des reportages sur le sujets défie la censure. Plusieurs studio ont été investie durant des émissions en directe avec des propos choques.

Aujourd’hui les journalistes sont rebuter et ont laisser place à la sécurité et au blessé dans l’entrer des urgences. Malgré tout, Jane décida d'entrer en douce dans l’établissement, avec un paquet sous le bras. Un petit gâteau du resto d’où travaillait Kevin. Un cadeau des ces amis et collègue de travail. Elle déposa le gâteau sur le ventre de son frère et deux cuillères de plastique. Elle n'eut le temps de s’asseoir que son mobile sonna.

«Vous n'êtes pas très discrètes, dit la voie familière. Vous devez quitter l’établissement et ne vous faites pas remarquer je vous pris, je vous attend au restaurent en face.»

Cette voie. Elle n'arrivait pas à mettre un nom dessus mais elle lui étais si familière. Ce n'étais pas de la famille, ni un proche, ni un amis. Elle se demanda même si elle devais craindre pour sa vie. Pris de panique, elle laissa tomber son téléphone sur le sol, qui se fractura. Le panneau arrière, la batterie et l’écran c’était détacher. Ces vieux modèle de téléphone dit intelligent sont aussi fragile que cher, mais au combien convoiter depuis que les fabricants sont contraint au normes de 2051 qui bloque tout réception de donnés sous des déplacement à plus de trente kilomètres heure. La panique laissa place à la frustration pour un court moment, le temps de mettre les morceaux brisé dans sa bourse.

Quelque instants plus tard, elle étais enfin dans ce restaurant en face de l’hôpital. C'est là qu'elle vie le journaliste qui l’interviewait la veille. Cette fameuse voie étais la sienne. Bonjour! Dit-elle en envoyant la main. L'homme d'une quarantaines d'année ne broncha pas sauf pour montrer la banquette devants lui en guise d'invitation. Une fois assise, il commanda 2 soda.

«Salut, en passent, mon nom, c'est Ismahen, ne m'appeler pas monsieur, je n'aime pas çà. Avants de continuer, donne moi ton téléphone.»

Jane sortis les morceaux de son sac à mains quelque peut confuse.
«Je l'ai échappé après l'appelle.»
Sans broncher, notre journaliste sortis de sa mallette un nécessaire de réparation telle que vue dans les annonces à la télévision, mais celui-ci semble avoir été bidouiller, ce qui est risquer de nos jours car les lois sur la propriété intellectuel est rendu si sévère qu'il est rendu pratiquement impossible de modifier un une voiture sans subir de poursuite du fabriquant. Néanmoins, elle compris rapidement l’importance de ces modifications lorsqu'elle aperçût les modifications interne que l'appareil apportais à son téléphones. Le résultat étais d'autans plus frappant que l'appareille semblaient n'avoir jamais été briser. Généralement ce genre de matériel laisse des traces, signature de la réparation, ce qui indique au autorités qui saisi ces appareille de les démonter pour déceler tout trace d'infraction, voir piratage.

Notre journaliste-bricoleur redonna l'appareille à la jeune fille
« Voila, maintenant, vous avez la possibilité de passer des appelles de manières totalement anonymes et les systèmes de localisations prendrons au minimum 5 minutes pour vous trianguler. Si vous sentez qu'on vous épie, activez le mode vibratoire 2 fois et l'appareille changera le tracé de localisation. Surtout, ne laisser personne vous le prendre.»

La jeune fille le regardait d'un air placide :
« Je me suis mis dedans, il semblerais... qu'est-ce que je dois faire maintenant? Il vont sûrement me faire payer pour ce que j'ai dit. »

Ismahen fit un sourie en coin, signe qu'il avait un plans.
« Il n’oserons pas toucher à la nouvelle coqueluche des média traditionnelle... nous allons vous faire un faux démentie, vous allez aussi vous lancer dans une croisade contre des faux blogueur que nous allons faire arrêter par nos contracte dans les services de sécurité. Pour rajouter du beur au pain, nous allons vous mettre en contacte avec la fille du président... essayez d’être copine.»

Sur ces dernier mots, il repris son matériel et commanda un soda, ce qui ne manqua pas de subjuguer la jeune demoiselle. Comment pouvait-il être si calme, comment pensait-il s'y prendre; tout cela relevait de la fiction pour elle. Elle arriva pour poser mille et une question quand elle se souvenus d'il y as quelques années l'histoire d'un certain Mathiméo qui du jours au lendemain est devenus la personne la plus connus du pays après avoir dénoncé Un juge corrompus. Elle n'étais encre qu'un enfants, mais elle se souvenait qu'il étais pratiquement partout, décrits comme un homme d'une droiture infaillible, un intouchable, jusqu'à ce qu'il fut traîner en coures par sa femme pour adultère et d'autres raison qui lui ont coûter la vie en bout de ligne; noyé dans l'alcool.
Le gâteau pouvait encore attendre, les deux avait encore trop à ce dire. Encore deux heures à peaufiner un plans tout aussi étrange qu'extravaguant. Jane ne savait pas trop si elle voulais bien jouer le jeu, mais elle savait qu'elle n'avais plus vraiment le choix. Ce soir, son frère devra attendre; ce soir, elle devait penser pour elle aussi.   


Lune noir, part 2

je n'ai pas retoucher l’esquisse, j'ai décider d'en faire mon premier chapitre. Peut-être que je le ferais plus tard, qui sais...
Chapitre 1

Chapitre 2, H. Tim Smith


Une voie féminine m'appelle :
«Réveillez-vous jeune homme, votre sommeil à assez durer. Vous m'entendes? Cela fait maintenant 3 jours que vous refaites surface et que vous replongez dans les vapes. Il est temps pour vous de rouvrir les yeux.»

Ces mots mon parus d'une clarté. Mon microcosme sonore avait éclaté et tout me paraissait maintenant évident. Une chambre d'hôpital commune avec deux autres personne, des passent dans le couloir, et tout ces trucs branché sur mon corps... quel douleur! Je finis par ouvrir les yeux pour y voir le visage de la femme qui m'appelais, une afro-américaine plutôt corpulente avec une blouse blanche. Sans doute du personnelle soignant.

« Monsieur Henoc Tim. Smith? Vous comprenez ce que je vous dis? »
C'est vraiment mon nom? J'aimerais bien répondre, mais je n'ai qu'un filet de voie. Peut-être verrat-elle que je comprend en hochant de la tête.

« Bien ! Laissez mois vous dire monsieur Smith que vous êtes louangé des dieux. Vous avez survécus à un massacre. L'homme qui voulais vous tuer est venus à bout de deux équipes tactiques avants de se donner la mort. Vous, étiez dans un sale états quand l'on vous à retrouver. Vous avez été éviscérer et avez reçu cinq balles à bout portant, hé pourtant, vous guérissez en un rien de temps. »

Ouai, bien, je m'épate! Je ne sais même pas comment c'est possible de survive à un telle bain de sang ; en plus que ce soit moi, je me dit bravo! Y as un truc qui me chicote par contre, çà ne c'est pas passer comme çà, il étais mort bien avants. Je suis sure qu'ils étaient au moins deux. Et cette histoire de visage... je ne comprend toujours pas ce qui c'est passer.

« Nous allons prendre des prises de sang, dit l'infirmière avant de reprendre; et si vous vous en sentez la capacité, des officiers voudrais vous parler. »

Mouai... je n'en doute pas une seconde. Ils vont tenter de me tirer les verres du nez qu'en même que j'arrive tout juste à sortir un sons de ma gorge. Si c'est pour une déposition, il vont attendre. C'est étrange par contre, j'ai l'impression qu'un odeur âcre est en trin d’envahir la pièce.,on dirais du lait suris ou pire encore. Elle ne sent rien elle? Comment peut-elle ne pas sentir cette puanteur nauséabonde.

« Vous savez, le monde de nos jours devient fou, dit la dame pendent qu'elle pend des échantillons de sang. Vous savez qu'il y as encore trois autre personne à l'étage qui ce sont retrouver dans le même états que vous? L'on dit qu'il y en aurais encore d'autre dans la région. »

Derrière, une voie plus masculine se fit entendre :
« Madame Michaud, gardez vous de faire ce genre de commentaire à des patients dans sons genre, l'on ne voudrais pas d'une poursuite pour un traumatisme... »

« Très bien, repris-elle froidement avants de reprendre en me regardant droits dans les yeux. N’empêche que vous le sauriez tôt ou tard, si vous ne le saviez déjà pas. Bon, les échantillons sont pris, je vous laisse à vous. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n'avez qu'a appuyer sur le déclencheur ici. »

Poussant de tout mes forces pour sortir un, je finis par me faire entendre.


« Ouvrez la fenêtre, j'ai besoin d'air frais. »
Ainsi dit, elle s'exécuta et sous la brise, je me rendormis pour encore quelques heures.

jeudi 6 août 2015

Lune Noir, première esquisse

Première esquisse du texte dont je parlais la veille. je n'ai pas encore de titre à proprement parler, alors, je le surnommerez Lune Noir. Soyez indulgent, ce n'est même pas une version revisiter, vous avez devants vous une idée brute, pas encore sculpter.

Lune noir

par exhor D. Descôteaux

ligoté


Les mains attacher derrière le dos avec un fils de fer qui me scie la peau je me réveille dans une posture plus que désagréable. Assis sur le sol, les jambes cadenassé à plus de Quatre-vingt dix degrés, je suis adosser à ce qui me semble être une patte de table. Si ce n'étais pas de la douleur, je crois que je ne saurais pas conscient de ce qui m'arrive. J'arrive à peine à ouvrir les yeux, sans doute l'on ma droguer ou quelque choses dans le genre. Je suis terriblement épuiser bien que mes sens sont en alerte.

Un tourne disque joue inlassablement les instructions d'un disque rayé provenant vraisemblablement de l'époque de l'après guerre, tandis que des pas lourd parcoure la pièces de long en large. Sans doute que c'est la personne qui me retiens ainsi que j’entends, mais il me semble distinguer deux voie. L'une gémis et l'autre semble profonde.

Ma vue est trouble, je n'arrive pas à distinguer les couleurs du sol et je me sent désarticuler, n'arrivant pas remonter suffisamment la tête pour voir plus que les chaussures en cuir noir de mon geôlier.

Ho mon dieux, il vient vers moi.
La main sur ma gorge il me remonte la tête. Ces doigts s'enfonce douloureusement dans mon gosier avants de me demander hargneusement pourquoi je ne suis pas mort. Bien que je ne distingue pas vraiment son visage au travers de mes larmes, je peut voir la frayeur sur son visage. Qu'est-ce que j'ai d'aussi effrayant? Pourquoi son visage tremble t-il si rapidement? Je me sent partir bien que mon ouïe m'aie encore fonctionnelle. Je ne ressent plus la douleur, ni la fatigue, mais entend tout.

«Son visage, son visage s'efface!»
Cris l'homme apeurer avants de lancer un cris. Un, Deux encore trois autres coup de feux. Le tourne disque s’arrête avec fracas. Un cris étouffé et un dernier coup de feux. Ensuite, le silence.

Sa y est, tout est fini, je vais sombrer dans la mort sans doute. J'en vient à oublier comment j'ai pue me retrouver dans cette situation. Quel effroi, je n'arrive même plus à me rappeler qui je suis. Est-ce que c'est vraiment çà la mort, sombrer dans le néant? Ou peut-être ai-je reçu une balle dans la tête? Non, sa ne fait pas de sens, je ne serais pas en trin de penser en ce moment...

Encore un petit effort, je dois sortir de ma torpeur. Les sons se succède alentours de moi. Je ne distingue pas les voix mais un sons semble retentir de façon cyclique. Je reconnais ce son, c'est un cardiogramme. J'ai donc survécus, je le sais!  

mercredi 5 août 2015

L.S. Northwall Part4

Je lance ce quatrième chapitre maintenant car je me lance sur un autre projets, une autre histoire... sombre cette fois. Je n'en direz pas plus pour le moment, j'assemble mes idées...

Le 3 Octobre, plus tard dans l'après midi.


À deux jours du lancement les réseaux de presses font le topos sur les événements entourant ce qu’ils appellent désormais l’avènement. Les actes de notre comateux font encore échos et sensations dans le milieu. Les médiats ayant fait la lumière sur ce qui le motivait, un mouvement de protestation c’était organiser au points stratégique des agences aérospatiales dans tous les coins du mondes. La presses, supporter par les autorité ont débouler en meutes dans l’établissement de santé ou se trouve le jeune Kévin Mac locker. Jane fut fortement surprise de cette attroupement à l’entrer des urgences, surtout du fait qu’elle n’ai pas écouter les infos depuis la veilles. Une infirmière avertis la fit passer par l’entrer des livraisons, lui expliquant la situations. Arriver au pas de la chambre une équipe d’intervenants et de journalistes attendait les autorisations pour faire une interventions au près de la familles et avoir des images de celui qu’ils disent la victimes.

Une fois à l’intérieur de la chambre, les lits des autres patients avait été déplacé dans le couloir pour l’intervention. Dans un coins se trouvait encore Maya qui de tout évidence avait passer la nuits à son chevets, elle semblait épuiser et découragé. A plusieurs reprises les journaliste tentais de lui soutirer de l’information qu’elle ne pouvait savoir.

Deux hommes en costard, sans doutes des agents de presses, commença à bourrer le crane des demoiselles avec des informations technique sur les événement entourant la dite manifestations présentes et antérieur entourant le cas de Kevin mais aussi de monsieur Crues. De toute évidences, ils essayent de contrôler les informations pour justement ne pas attiser les manifestants. Les caméras en places l’entrevue commences :

« je suis en compagnie de mademoiselle Jane Mac Locker, la sœur de Kevin et accompagner de Maya Vespertine la petite amies de Kevin Mac Locker. Bonjour, répondit-elle brièvement. Avant que celui commença avec les première questions. Nous savons que votre frère étais très actif au sains des mouvements protestataire, il étais un homme de foie et que ces convictions se portait sur les idéaux de la théorie de la relativité d’Albert Einstein. Pouvez vous nous dire pourquoi c’est-il arrêter à ces mites pour engager une lute contre l’Agence Aérospatial? »

Le journaliste eut à peine fini que Maya lui répondit d’un ton autoritaire :
« Premièrement, sachez que cette théorie est encore enseigner. Hé puis, comment pouvez vous ignorer les théories du pères de la physique nucléaire, sans lui notre monde serais encore au balbutiement de la technologie et probablement exterminer par l’astéroïde de 2027. »

je journaliste fut surpris de la ferveur de Maya
« ok, donc pour vous ce serait une question de principes et de croyance qui l’aurais pousser à manifester? »

les filles répondirent oui en duo à la question avant que le journaliste, monsieur Ismahen poursuit :
« selon vous, qu’est-ce qui aurais pousser Kévin à se battre lors de la manifestations? »

« je ne le sait vraiment pas, répondit Jane. D’habitude il est de ceux qui dénonce se comportement. Il connais le code des Anonymes et il sait trop bien comment mener une manifestations fructueuse. Ce n’est pas dans son genre de défier quelqu’un et encore moins de se battre. »

« Il y as aussi le faites qu’il n’étais pas nerveux, rien de tout cela, repris Maya. Je l’avait appeler quelque minutes avant qu’il aille manifester et il semblait confiant, même enjouer d’y aller… »

le journaliste leur demanda si elle savait comment c’était dérouler les événement mais aucune d’elle avait de réponses, Jane dit simplement qu’elles n’en sait pas plus que ce que les nouvelles ont rapporter. L’un des deux hommes derrière la caméras leva le pouce voulant dire qu’elle filtrais bien.

Ismahen leur demanda ce qu’elle faisait se jours la, elle répondit brièvement à cette question qu’elle étais en classes, l’une pour un examen et l’autre en éducations physique.

« Vous savez que la personne qui c’est battus contre votre frère, monsieur Miguel Crues est décéder depuis, auriez vous une idée sur ce qui aurais pousser monsieur Crues à intenter à sa vie? »

Les dires du journaliste étais d’un froids Jane venait tous juste de faire le lien. Elle venait de comprendre ce qui c’était passer, du moins elle en déduis. Son regard s’accrocha à ceux des hommes de la censure qui la regardait avec sévérité. Malgré cette interstice ou son visage en disait plus qu’elle pouvait en dire, elle répondit :

« je le ne sait pas. En fait non, vous venez de m’apprendre qui lui as fait ça. Peut importe comment il est mort, si c’est pour sa culpabilité ou pour autre choses, c’est regrettable mais sa rend justice. »

après un court silences, elle reprit disent que c’était même trop de justice.

Le journaliste fit signe au cameraman de couper. Un silence comblait tout les bruits, seul un soupire d’ Ismahen retentissait :
« éteint le spot veut tu, c’est éblouissant… on prend une poses, cinq minutes. »

Il sortis avec les deux hommes en costard gris pour négocier ce passages mais en faites c’était qu’une ruse parce que dans les faits, le matériel roulait encore tendis que le cameraman, le preneur de son et l’éclairagiste discutais banalement avec les jeunes filles. Maya avait bien vue le stratagème. Sous le couvert du centre des nouvelles national ces hommes travaillait aussi pour la presse libre. Avec nonchalances, elle déballait ces infos et juste avant que le signale d’Ismahen soit donner elle leur dit :
« C’est pour Kevin que je le fait, mais c’est son combat. »


le journaliste réapparue dans le cadrage et dit :
 « C’est bon, on la garde mais on arrête l’entrevue. Michel, prend des images du jeunes et on remballes. Les agents de presses du centre vont s’occuper des journalistes à l’entrer, vous pouvez vous reposer… »

lundi 3 août 2015

L.S. Northwall part 3

Pourquoi le troisième chapitre maintenant? parce-que j'en ai envie tout simplement.
chapitre 1
chapitre 2
chapitre 4

Lundi 3 Octobre 2078

Quelque temps avant l’arrivé de Jane au chevet de son frère; dans la cantine en face de l’établissement hospitalier, un journaliste accompagner du coroner de la municipalité fait une légère réunions avant l’entrevue exclusive sur la mort de l’un des pilotes prétendent à la barre du L.S. Norwall.

Le journaliste crue bon de lui demander de décrire comment l’on peut déterminer la date d’un décès découvert que plus tard comme dans le cas présent de celui présent de Monsieur Crues. Le coronaire le regarda avec un sourire en coins avant de s’exécuter :

« Vois tu, un cadavre c’est comme mettre un poulets au fours, sauf qu’au lieux de réchauffer il refroidis. Au débuts, les liquides vont descendre vers le bas, un-peut comme le gras dans tes croquettes de poulets. Et plus tard, le corps fini par durcir, comme des croquettes trop cuite… »

Monsieur Lafortune marqua une pose, remontas ces lunettes et regarda le journaliste qui lui regardait à présent son festin avec un certain dégoûts

« Est-ce que tu va finir tes croquettes de poulets? » Demanda le coronaire

Ismahen repris sa fourchette et répondit avec un peut d’hésitations :
« heu oui, oui. Je vous demanderez seulement de ne pas être aussi imagé quand vous décrirez le les faits à la caméra. Ho et pouvez vous aussi éclaircir les fait sur l’origine de la morts de Miguel Crues? Plusieurs rumeur dise qu’il fut assassiner, ce serais biens si vous pourriez démentir les faits. »

Le spécialiste regardait le journaliste d’un air perplexe :
« Sa risque d’être dure, l’on ne peut nier les fait de la scènes de crimes. Tu as vue comme moi qu’il y as eut des trace de violences sur les lieux. Je peut dire par contre, qu’il est mort d’une overdose d’acétaminophène, mélangé avec tout l’alcool qu’il as eut, il est tomber dans un comas éthylique avant de se noyer dans sa vomissure. Il est fort probable qu’il as été forcé a faire ça.»

Ismahen repousse son assiette, détournant le regard :

« sa y est, vous m’avez dégoûter. Déjà que je me sentais pas superbe ce matin. Hé galère… Bon, l’on va dire que sa va y être , mais essayez de moins peser sur les détails morbide sinon, nous allons être couper au montage… Et une autre choses, il faudrait que vous me vouvoyez quand nous serons en onde, question de garder notre crédibilité. »

Tendis que le coronaire répondait positivement d'un hochement de la tête, notre demoiselle arriva en la chambre ou est assoupis Kévin et quelque comparse dans des situations similaires. La température maussade de cette après midis rendait l’atmosphère lourde, surtout que cette fois-ci, Jane étais accompagner d’une jeune brunette au cheveux boucler. Debout au coté du lits, les deux le regardait silencieusement avant qu’Jane l’introduise :

« Salut p-tit frère, j’ai de la grande visite pour toi, Maya est la… »

sur ces mots, elle se retourna vers la jeune filles qui d’un regard terrifier scrutait l’énorme cicatrice qui garnissait son fronts d’une étoile plus ou moins uniforme. Elle semblait vouloir dire quelques choses, mais sa voie étais remplis de sanglot et n’arrivait à rien. Ces yeux en amandes se remplissait de larme quand elle vin enfin à dénouer sa langue demandant pourquoi timidement tendis qu’elle pleurait désormais à chaude larme.

« Pourquoi je t’ai laisser faire ça? Susurrait-elle, pourquoi je t’ai laisser dans le noir? »


Elle saisi la main de Kévin, la portant à ces larmes implorant son pardon, espérant son réveil mais en vain. La grande sœur derrière, fermait les yeux et tournait le regard, voulant se détacher de la scènes si douloureuse qu’elle ne pue retenir ces larmes. A peine ces esprits repris, elle interpella Maya lui disant qu’elle allait se retirer. Sur ces mots, l’adolescente vin la serrer dans ces bras lui disant un petit merci…

dimanche 2 août 2015

L.S. Nortswall Part2

Note:
J'avoue que j'aurais pue joindre les deux premier chapitre ensemble. C'est bien parce que j'ai poster la première journée seul que celle ci devient un chapitre. qu'en même, ce dernier offre des information qui vous feront évoluer votre compréhension de cette univers (je ne suis même pas sure que cette tournure de phrase est compréhensible, faut vraiment que je dorme...)

L.S. Northwall
Chapitre 2


Le lendemain, 2 Octobre 2078

« Allô! J’ai une surprise pour toi! Maman as laver ta chemise préférer avec ce savon à la lavande que tu aime tans. Je te la mets sur ton oreiller, comme çà tu pourra sentir son odeur fraîche. Je sais que maman devrais pas faire toutes ces choses mais même si l’on veut la calmer, elle insiste pour le faire. Au moins l’aide soignant dit qu’elle se porte à merveille. Il faut juste qu’elle prennent son temps pour tout faire, sinon elle peut perdre connaissances. Si elle pouvais venir ici, je crois qu’elle le ferais, en faite non, j’en suis sure.

Encore aujourd’hui, la radio parlait des testes qu’il font sur le réacteur, à parement que tout va à merveille, ils n’ont rencontrer aucune difficulté lors des premier teste de démarrages et que d’ici trois jours, ils pourrons faire un premier essaie en directions de mars. Grosso modo, ils veuillent avancer la date d’échéances du lancement. Sa fait encore chialer, certain spécialiste disent qu’ils devrais attendes que l’alliance aéronautique déclare le vaisseau hors de l’orbite terrestre pour décoller, d’autre dise qu’ils veulent avancer la date pour éviter l’arrêt des procédures qui sont discuter dans les coures international. C’est tu vraiment Alliance aéronautique? J’ai jamais sue pourquoi il avais remplacer la NASA par ces AA. Bon c’est pas si grave…

Pi toi, quand est-ce que tu pence te réveiller? Parce que c’est long sans toi tu sais? Je m’ennuie quand t’est pas là, y as pu personne pour me faire tes galettes au macadam. Si seulement on savait ce que tu mettais dedans pour les rendre aussi bonne… juste à y penser, l’odeur me reviens… oui, j’en mangerais là, pas toi? Tu répond pas comme toujours.

Je peut te lire un livre si tu veut… (…) »

Durant encore 2 heures, Jane lui fit la lecture des récits de Jules Verne, ces récits qui berçait leur enfances à tous deux. Ces avec une petite larme qu’elle se remémorait l’époque ou leur père, racontais ces récits d’un parqueur, comme si il les avait vécus lui même.


samedi 1 août 2015

Revue juillet 2015

Comme le titre l'indique, ce poste est pour faire un survol de ce qui as été poster dans le mois, je vais non pas les classer par date, mais par titre et continuité. Comme vous pourrez le voir, je les ai classer par datation pour l’instant. j'insiste sur le fait que ce soit temporaire care j'avais l'impression que ce sautais trop lourd de classer les textes par genre pour le moment puisqu'ils r'entre pratiquement tout dans la catégorie fantastique à quelques exceptions près.

dans la catégorie: 

Médiéval

  • Les comptes oublier, chapitre 1, 2 

Rétro

  • Les pilotes du Blanc-Bonnet, chapitre 1, 2

Moderne et Futur

  • Les rêveries d'Aurélie, chapitre 12
  • L.S. Northwall, chapitre 1

Les textes sans suite