jeudi 6 août 2015

Lune Noir, première esquisse

Première esquisse du texte dont je parlais la veille. je n'ai pas encore de titre à proprement parler, alors, je le surnommerez Lune Noir. Soyez indulgent, ce n'est même pas une version revisiter, vous avez devants vous une idée brute, pas encore sculpter.

Lune noir

par exhor D. Descôteaux

ligoté


Les mains attacher derrière le dos avec un fils de fer qui me scie la peau je me réveille dans une posture plus que désagréable. Assis sur le sol, les jambes cadenassé à plus de Quatre-vingt dix degrés, je suis adosser à ce qui me semble être une patte de table. Si ce n'étais pas de la douleur, je crois que je ne saurais pas conscient de ce qui m'arrive. J'arrive à peine à ouvrir les yeux, sans doute l'on ma droguer ou quelque choses dans le genre. Je suis terriblement épuiser bien que mes sens sont en alerte.

Un tourne disque joue inlassablement les instructions d'un disque rayé provenant vraisemblablement de l'époque de l'après guerre, tandis que des pas lourd parcoure la pièces de long en large. Sans doute que c'est la personne qui me retiens ainsi que j’entends, mais il me semble distinguer deux voie. L'une gémis et l'autre semble profonde.

Ma vue est trouble, je n'arrive pas à distinguer les couleurs du sol et je me sent désarticuler, n'arrivant pas remonter suffisamment la tête pour voir plus que les chaussures en cuir noir de mon geôlier.

Ho mon dieux, il vient vers moi.
La main sur ma gorge il me remonte la tête. Ces doigts s'enfonce douloureusement dans mon gosier avants de me demander hargneusement pourquoi je ne suis pas mort. Bien que je ne distingue pas vraiment son visage au travers de mes larmes, je peut voir la frayeur sur son visage. Qu'est-ce que j'ai d'aussi effrayant? Pourquoi son visage tremble t-il si rapidement? Je me sent partir bien que mon ouïe m'aie encore fonctionnelle. Je ne ressent plus la douleur, ni la fatigue, mais entend tout.

«Son visage, son visage s'efface!»
Cris l'homme apeurer avants de lancer un cris. Un, Deux encore trois autres coup de feux. Le tourne disque s’arrête avec fracas. Un cris étouffé et un dernier coup de feux. Ensuite, le silence.

Sa y est, tout est fini, je vais sombrer dans la mort sans doute. J'en vient à oublier comment j'ai pue me retrouver dans cette situation. Quel effroi, je n'arrive même plus à me rappeler qui je suis. Est-ce que c'est vraiment çà la mort, sombrer dans le néant? Ou peut-être ai-je reçu une balle dans la tête? Non, sa ne fait pas de sens, je ne serais pas en trin de penser en ce moment...

Encore un petit effort, je dois sortir de ma torpeur. Les sons se succède alentours de moi. Je ne distingue pas les voix mais un sons semble retentir de façon cyclique. Je reconnais ce son, c'est un cardiogramme. J'ai donc survécus, je le sais!  

1 commentaire:

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