lundi 10 août 2015

Lune noir, part 2

je n'ai pas retoucher l’esquisse, j'ai décider d'en faire mon premier chapitre. Peut-être que je le ferais plus tard, qui sais...
Chapitre 1

Chapitre 2, H. Tim Smith


Une voie féminine m'appelle :
«Réveillez-vous jeune homme, votre sommeil à assez durer. Vous m'entendes? Cela fait maintenant 3 jours que vous refaites surface et que vous replongez dans les vapes. Il est temps pour vous de rouvrir les yeux.»

Ces mots mon parus d'une clarté. Mon microcosme sonore avait éclaté et tout me paraissait maintenant évident. Une chambre d'hôpital commune avec deux autres personne, des passent dans le couloir, et tout ces trucs branché sur mon corps... quel douleur! Je finis par ouvrir les yeux pour y voir le visage de la femme qui m'appelais, une afro-américaine plutôt corpulente avec une blouse blanche. Sans doute du personnelle soignant.

« Monsieur Henoc Tim. Smith? Vous comprenez ce que je vous dis? »
C'est vraiment mon nom? J'aimerais bien répondre, mais je n'ai qu'un filet de voie. Peut-être verrat-elle que je comprend en hochant de la tête.

« Bien ! Laissez mois vous dire monsieur Smith que vous êtes louangé des dieux. Vous avez survécus à un massacre. L'homme qui voulais vous tuer est venus à bout de deux équipes tactiques avants de se donner la mort. Vous, étiez dans un sale états quand l'on vous à retrouver. Vous avez été éviscérer et avez reçu cinq balles à bout portant, hé pourtant, vous guérissez en un rien de temps. »

Ouai, bien, je m'épate! Je ne sais même pas comment c'est possible de survive à un telle bain de sang ; en plus que ce soit moi, je me dit bravo! Y as un truc qui me chicote par contre, çà ne c'est pas passer comme çà, il étais mort bien avants. Je suis sure qu'ils étaient au moins deux. Et cette histoire de visage... je ne comprend toujours pas ce qui c'est passer.

« Nous allons prendre des prises de sang, dit l'infirmière avant de reprendre; et si vous vous en sentez la capacité, des officiers voudrais vous parler. »

Mouai... je n'en doute pas une seconde. Ils vont tenter de me tirer les verres du nez qu'en même que j'arrive tout juste à sortir un sons de ma gorge. Si c'est pour une déposition, il vont attendre. C'est étrange par contre, j'ai l'impression qu'un odeur âcre est en trin d’envahir la pièce.,on dirais du lait suris ou pire encore. Elle ne sent rien elle? Comment peut-elle ne pas sentir cette puanteur nauséabonde.

« Vous savez, le monde de nos jours devient fou, dit la dame pendent qu'elle pend des échantillons de sang. Vous savez qu'il y as encore trois autre personne à l'étage qui ce sont retrouver dans le même états que vous? L'on dit qu'il y en aurais encore d'autre dans la région. »

Derrière, une voie plus masculine se fit entendre :
« Madame Michaud, gardez vous de faire ce genre de commentaire à des patients dans sons genre, l'on ne voudrais pas d'une poursuite pour un traumatisme... »

« Très bien, repris-elle froidement avants de reprendre en me regardant droits dans les yeux. N’empêche que vous le sauriez tôt ou tard, si vous ne le saviez déjà pas. Bon, les échantillons sont pris, je vous laisse à vous. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous n'avez qu'a appuyer sur le déclencheur ici. »

Poussant de tout mes forces pour sortir un, je finis par me faire entendre.


« Ouvrez la fenêtre, j'ai besoin d'air frais. »
Ainsi dit, elle s'exécuta et sous la brise, je me rendormis pour encore quelques heures.

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