lundi 31 août 2015

Lune noir, part 3

Passer d'une narration à 3em personne à la première me fait un drôle d'effets, j'ai l'impression de m'insinuer dans l'histoire. si vous trouver que le chapitre est plus ou moins complets, dite vous que j'ai due couper sur de la narration pour éviter d'être redondant. j'ai due couper sur les marqueurs de temps car je ne suis pas en mesure de déterminer la durée d'une convalescence réel alors, ne soyez pas trop déboussoler si vous trouver qu'il se remets rapidement, je n'ai simplement pas mis les temps sans connaissance de faits qui semblerais plus plausible.   

Chapitre 1
Chapitre 2

Chapitre 3, les intrus


Réveiller par un claquement de porte, je me trouve finalement seul dans la pièce avec deux homme vêtus d'imperméable Gris sous lequel l'on pouvais voir une chemise noir impeccable. De toute évidence, je ne suis pas avec des policiers.

« Je peut savoir ce que vous me voulez? »

« Nous voulons votre version des faits, répondit celui qui étais adosser au mur. Il y as des vides dans la version des policiers. »

Qui sont-il, des avocats? Non, ça ne fait pas de sens, l'on dirais plus d'anciens membres d'un boysband. Vaut mieux être prudent, je n'arrive toujours pas à figurer ce que sont ces deux têtes grise.

« Je n'ai pas encore déposer ma version des faits au policier, vous l'aurez en même temps qu'eux. »

le second qui étais devant la porte, répliqua en s'avançant vers le lit :
« Tu na pas saisi ce qu'il s’envient petit. Si tu est la cause de ce délire, un pal va venir te chercher, et ce ne saura pas la joie. »

Un pal? C'est quoi un pal? Un acronyme pour une police?
« Commencez donc par me dire qui vous êtes. Vous êtes des journaliste a sensation ou un truc du genre? Je ne direz rien sans un avocats. »

l'homme adosser au mur tenais un sourie en coin tendis que son acolyte semblais ronger son frein. Avants que l'homme colérique prononce un mots, le plus came des deux le pris de vitesse
« Révérend. Nous somme révérend Risum et Mendax. Nous ne somme pas ici pour vous exactement, mais pour celui qui est derrière le massacre. Nous croyons qu'il rodent dans les alentours et qu'il cherche à finir ce qu'il as commencer. »

Tendis qu'il voyait mon regard confus, il repris :
« Je vois bien quel sont vos questions, mais vous comprendrez bien assez tôt notre présence quand vous aurez compris ce qui vous pourchasse. Maintenant, dite nous ce que vous savez voulez-vous? »

Si c'est une mauvaise blague, je dois dire quelle est plutôt étrange. Jouer les prêtres pour faire son enquêtes.
« Je suis désolé, mais je ne vous direz rien. Maintenant sortez avents que j'appelle à l'aide. »

Toujours aussi calme, il me répondit :
« Très bien, dans ce cas, nous nous verrons dans d'autre circonstance. »

Quel soulagement de les voir sortir de la chambre. Hé c'est quoi l'idée de ce pointer si tard le soir? Je vois à peine les lueurs du crépuscule. Voir la cités s’évanouir dans la noirceur me donne autans de sérénité que de frisson. Les arbres d'automne commence à perdre leur feuille et laisse paraître leur branche noir sur ces lueurs orangé par des lampadaires. Encore une nuit dans mes songes je présumes. Sans doute le silence qui me tiens éveiller. Je ne trouverez pas le sommeil d'ici peut alors, vaut mieux s'occuper.

« Vous me pardonnerez de vous déranger, Dit un homme avec un saros blanc dans le cadrage de porte. Je suis Docteur Baudelaire, celui en charge de votre dossier, vous vous sentez bien? »

Acquiesçant a plusieurs de ces question sur ma santé, il me fit des vérification de routine avants de me dire qu'il avait en mains mon ordonnance et me disant que je pourrez quitter l’hôpital dés l'aube si je le désirait. Il serais contraire à mes habitudes de partir dés l’aurore, étant donné mon mode de vie que je qualifierait de nocturne. Sans sommation je pris mes choses dans la penderie de la chambre, soit, des chaussures et chaussettes mon portefeuilles et des clefs...
« Mais ou sont mes vêtements? »

Dis-je sans penser. Il me fallut longue secondes pour me remémorer ce qui m'étais arrivé. Sans doute que mes vêtements étais désormais des haillons immaculé d’hémoglobine. C'est à ce moment que je compris que les pièces dépareiller sur le comptoir étais pour moi. Pour un soir, j’aurai l'air d'un vagabond.


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