Un petit merci de mon lecteur des états unis qui semble me suivre si promptement. en espérant que ce ne soit pas juste Google...
chapitre 1
chapitre 2
chapitre 3
chapitre 4
5 Octobre 2078
Sur la zone grise des Internets,
l’interview à mi-clos commence à faire son apparitions sur les
internets. Les acteur y sont présenté avec un brouillage visuel et
une modifications audio cars bon nombre d’entre eux au par avant
ont finis en coures pour atteinte à la sécurité publique ou sont
simplement disparue. Les dernière paroles de l’interview
retentissent sur les blogs de partout. Entre temps les armadas de
manifestants s’active et grossissent partout au travers le monde.
Des vidéo de dissuasions font leur apparitions sur les anciens
réseau de communications et des reportages sur le sujets défie la
censure. Plusieurs studio ont été investie durant des émissions
en directe avec des propos choques.
Aujourd’hui les journalistes sont
rebuter et ont laisser place à la sécurité et au blessé dans
l’entrer des urgences. Malgré tout, Jane décida d'entrer en douce
dans l’établissement, avec un paquet sous le bras. Un petit gâteau
du resto d’où travaillait Kevin. Un cadeau des ces amis et
collègue de travail. Elle déposa le gâteau sur le ventre de son
frère et deux cuillères de plastique. Elle n'eut le temps de
s’asseoir que son mobile sonna.
«Vous n'êtes pas très discrètes,
dit la voie familière. Vous devez quitter l’établissement et ne
vous faites pas remarquer je vous pris, je vous attend au restaurent
en face.»
Cette voie. Elle n'arrivait pas à
mettre un nom dessus mais elle lui étais si familière. Ce n'étais
pas de la famille, ni un proche, ni un amis. Elle se demanda même si
elle devais craindre pour sa vie. Pris de panique, elle laissa tomber
son téléphone sur le sol, qui se fractura. Le panneau arrière, la
batterie et l’écran c’était détacher. Ces vieux modèle de
téléphone dit intelligent sont aussi fragile que cher, mais au
combien convoiter depuis que les fabricants sont contraint au normes
de 2051 qui bloque tout réception de donnés sous des déplacement à
plus de trente kilomètres heure. La panique laissa place à la
frustration pour un court moment, le temps de mettre les morceaux
brisé dans sa bourse.
Quelque instants plus tard, elle étais
enfin dans ce restaurant en face de l’hôpital. C'est là qu'elle
vie le journaliste qui l’interviewait la veille. Cette fameuse voie
étais la sienne. Bonjour! Dit-elle en envoyant la main. L'homme
d'une quarantaines d'année ne broncha pas sauf pour montrer la
banquette devants lui en guise d'invitation. Une fois assise, il
commanda 2 soda.
«Salut, en passent, mon nom, c'est
Ismahen, ne m'appeler pas monsieur, je n'aime pas çà. Avants de
continuer, donne moi ton téléphone.»
Jane sortis les morceaux de son sac à
mains quelque peut confuse.
«Je l'ai échappé après l'appelle.»
Sans broncher, notre journaliste sortis
de sa mallette un nécessaire de réparation telle que vue dans les
annonces à la télévision, mais celui-ci semble avoir été
bidouiller, ce qui est risquer de nos jours car les lois sur la
propriété intellectuel est rendu si sévère qu'il est rendu
pratiquement impossible de modifier un une voiture sans subir de
poursuite du fabriquant. Néanmoins, elle compris rapidement
l’importance de ces modifications lorsqu'elle aperçût les
modifications interne que l'appareil apportais à son téléphones.
Le résultat étais d'autans plus frappant que l'appareille
semblaient n'avoir jamais été briser. Généralement ce genre de
matériel laisse des traces, signature de la réparation, ce qui
indique au autorités qui saisi ces appareille de les démonter pour
déceler tout trace d'infraction, voir piratage.
Notre journaliste-bricoleur redonna
l'appareille à la jeune fille
« Voila, maintenant, vous avez la
possibilité de passer des appelles de manières totalement anonymes
et les systèmes de localisations prendrons au minimum 5 minutes pour
vous trianguler. Si vous sentez qu'on vous épie, activez le mode
vibratoire 2 fois et l'appareille changera le tracé de localisation.
Surtout, ne laisser personne vous le prendre.»
La jeune fille le regardait d'un air
placide :
« Je me suis mis dedans, il
semblerais... qu'est-ce que je dois faire maintenant? Il vont
sûrement me faire payer pour ce que j'ai dit. »
Ismahen fit un sourie en coin, signe
qu'il avait un plans.
« Il n’oserons pas toucher à la nouvelle coqueluche des média traditionnelle... nous allons vous faire un faux démentie, vous allez aussi vous lancer dans une croisade contre des faux blogueur que nous allons faire arrêter par nos contracte dans les services de sécurité. Pour rajouter du beur au pain, nous allons vous mettre en contacte avec la fille du président... essayez d’être copine.»
« Il n’oserons pas toucher à la nouvelle coqueluche des média traditionnelle... nous allons vous faire un faux démentie, vous allez aussi vous lancer dans une croisade contre des faux blogueur que nous allons faire arrêter par nos contracte dans les services de sécurité. Pour rajouter du beur au pain, nous allons vous mettre en contacte avec la fille du président... essayez d’être copine.»
Sur ces dernier mots, il repris son
matériel et commanda un soda, ce qui ne manqua pas de subjuguer la
jeune demoiselle. Comment pouvait-il être si calme, comment
pensait-il s'y prendre; tout cela relevait de la fiction pour elle.
Elle arriva pour poser mille et une question quand elle se souvenus
d'il y as quelques années l'histoire d'un certain Mathiméo qui du
jours au lendemain est devenus la personne la plus connus du pays
après avoir dénoncé Un juge corrompus. Elle n'étais encre qu'un
enfants, mais elle se souvenait qu'il étais pratiquement partout,
décrits comme un homme d'une droiture infaillible, un intouchable,
jusqu'à ce qu'il fut traîner en coures par sa femme pour adultère
et d'autres raison qui lui ont coûter la vie en bout de ligne; noyé
dans l'alcool.
Le gâteau pouvait encore attendre, les
deux avait encore trop à ce dire. Encore deux heures à peaufiner un
plans tout aussi étrange qu'extravaguant. Jane ne savait pas trop si
elle voulais bien jouer le jeu, mais elle savait qu'elle n'avais plus
vraiment le choix. Ce soir, son frère devra attendre; ce soir, elle
devait penser pour elle aussi.
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