vendredi 18 novembre 2016

Storyteller part10

...aaah.... Il as été long à pondre celui là. j’espère que vous l’apprécierez, il as été un vrai casse tête à mettre en place. mon cerveau veut imploser... possible que se soit parce qu'il est rendu 5h du matin et j'ai passer la nuit la dessus... meh...



Chapitre 10 les contes d’outremer


Notre écrivain en herbe ne savait trop où commencer pour ce récit au titre bien particulier, voilà déjà deux semaines qu’il menait des recherches sans qu’il n’y trouve rien d’utile hors mis que le papier de ces pages semblait fait d’un papier bien plus épais que les autres pages. L’ancre des autres pages s’étant principalement logé sur la tout première de ces pages, elle en était complètement indéchiffrable. Les plies et déchirure causé par l’humidité et le mauvais traitement finissait les rebords de ces quelques pages jaunis par le temps et noirci d’encre. Chose apparente, le titre semblerais fait d’un plaqué or Avec un grand ‘‘C’’ qui sous ces défauts semblait plutôt bien travailler.  

Suite à de nombreuse tentative de déchiffrer les quelques lettres qui étaient encore visible, le manuscrit finit par rester ouvert sur son bureau de travailler à vaporiser son odeur de bière séché. La plupart des autres journalistes et travailleur du journal n’en portais pas réellement attention, mais la réceptionniste elle en débâtait à chaque fois qu’elle voyait cette ‘‘Ordure’’ comme elle l’appelait.

« Il est évident que tu n’en tirera rien, Vint-elle à lui dire. Ce torchon est tellement crépus et salle que même les mouche n’en veulent pas. »

En générale, Lucas ne bronche pas devant le dédain qu’apporte cette œuvre dépravé, mais ces remarques constantes ont finis par lui monter au nez et il quitta prématurément le bureau se jours-là. Bien sûre, son père et patron l’appela pour demander ce qui se passait et suite à leur conversation, il était déjà au pied de sa porte, un peu plus d’une heure avant l’heure du repas. Il en profita donc pour texté à sa copine et  mettre à leur horaires un soupé en tête à tête qu’il prit soin de confectionner.

Cette soirée était particulière. Non pas qu’il avait choisi de mettre le couvert pour deux, ni l’ambiance tamisé avec ce Jazz dit Bigband des années des grande guerres qu’il affectionnait. Certes, cela était une valeur ajouté, mais en ce soir, il voulait rattraper une journée particulière qu’il na pue fêté avec celle qu’il aime. Celle-ci fit son entrée dans l’appartement embaumé de fleur séché et d’une odeur de sauce velouté. Tout étonné de cette tendresse dans l’air, elle lui demanda quel en était l’honneur et notre gentleman lui répondit en l’invitant à s’asseoir :
« Je sais que tu ne voulais pas que l’on fête la Saint Valentin, tu trouvais que c’était surfait et trop dispendieux, mais en ce quatorze mars, je souhaite te souhaiter notre petite Saint-Valentin à nous seul. »

Emma était aux anges bien qu’elle le trouvait ridicule dans cette chemise rouge couvert d’un tablier à carreaux. Tandis qu’elle sirotait la coupe de rosé fruité, il vint à servir deux portions de gratin de poulet nappé d’une sauce tomates épicé étalé en filament et en bain pour les viandes. Il n’échappa à personne que cette sauce était en fait une sauce à tacos, mais le résultat était tout de même satisfaisant.

« Dit moi, demanda-elle. Bien tous ces efforts, je te sens distant, qu’est-ce qui tracasse mon chou? »

En premier lieux, il vint à dire qu’il eut une mauvaise journée au bureau, mais après quelques gorgées sa langue finit par se dénouer et dans moment de grasse, il avoua qu’il avait du mal à ce distancé de ces recherches.

« Ce soir, dit Mackay. Je veux oublier tout ça, je veux être avec toi. Fait moi oublier ce livre stupide. »

Bien cette entorse, son souhait fut exaucé. Ils passèrent une soirée agréable devant un filme interminable devant lequel tous deux finirent par s’endormir.
Son réveille fut d’une surprise de se rendre compte qu’il était désormais dans son lit et en pyjamas, ce qu’il n’a pas porté depuis des lustres. Un bruis à la cuisine interpella et décida de ce levé. La vision était idyllique. Sa douce prenait son déjeuner sur un tabouret, n’ayant qu’une camisole et ces sous-vêtements, bercé les rayons du soleil. D’une main elle écrivait et de l’autre, elle plongeait une cuillère dans un bol de céréale. S’il avait pu, il aurait resté ainsi à la contempler indéfiniment, accoté sur le cadre de porte avec ce délicieux thé. Mais plusieurs choses n’allaient pas dans cette image. D’où elle sortait ces céréales et encore, d’où sortais-t-il ce thé puisqu’il sortait du lit et l’avais déjà en main. Ces questionnements fini par venir à l’attention de sa bien aimé et elle décida de se levé et lui répondre :

« Tu rêves encore grand nigaud. Alice m’a parlé de ces rêves collectifs que le livre leur faisait faire. Difficile à digérer quand l’on ne la encore jamais vécus, mais je dois dire être excité par la suite. »

Lucas lui sourit et lui demanda comment elle pouvait en être aussi sur. Elle vin à en rire et lui dire que la seule manière d’en être sur serais de ce réveiller et elle ne le voulait pas.

« Eh bien, que l’aventure commence, lança Lucas. »

En un tour de main, ils s’habillèrent et sortirent. Une fois la porte franchie, ils se trouvaient seul sur un grand navire de bois, dans un orage plus que violant. Une mer noire déferlait sur le pont, arrachant le mat central, qui se perdit dans l’obscurité. Tous deux se sont réveillés en sureau à l’aurore pour constater que cette fois ci, ils n’auront pas cette histoire si facilement. La matinée pris un coures plus normal après un déjeuner en règles et quelque conversation anodine, mais nul n’osèrent parler de ces songes. Tandis qu’Emma plongeait dans un magazine, notre jeune homme pris la direction de la douche, perdus dans ces pensées, ne sachant pas s’il s’agissait d’un simple rêve ou belle et bien d’une de ces magies qui auraient pu tourner au plus mal. Il finit son nettoyage matinal, irrésolue de ces faits de la nuit passé.

Sa douces l’attendais à la sortie de à salle de bain, le scrutant avec un sourire en coins.
 « Il Reste de l’eau chaude, j’espère, demanda-t-elle amusé. Je dois aller au travail dans un peu moins d’une heure et je n’aurai pas le temps de faire l’allée retour chez moi. ...Ho, et je t’emprunte une chemise, un décolleté n’est pas très recommandé dans une pharmacie. »

Lucas, enrubanné dans sa serviette n’eut aucune objection à ces demandes et une fois préparer, il vin lui porter une chemise qu’il accrocha sur la poignée intérieur en passant simplement la main. Avant de refermer la porte, elle lui dit merci et lança :
« Tu sais, pendant Ta douche j’ai regardé dans le livre pour voir ce si je pouvais déchiffrer quelque chose et j’ai trouvé un petit quelque chose d’intéressent. »

Surpris, lui demanda ce qu’elle put trouver et lui dit d’attendre un peu. Quand il entra dans le salon, il ne put que remarquer le bouquin qui étais désormais ouvert sur la table du salon avec des feuilles gribouillis tout autours. Des dessins plus qu’autre choses selon lui, mais il remarqua qu’une des feuilles en particulier avais délibérément été hachuré dans son entièreté. L’on pouvait voir les strie et plis de la page sur la quel elle avait été mise, mais aussi quelques lettres et mots qui avait été vraisemblablement écrits de main ferme sur le papier. Des mots telle que navire et maison sortais du lot en bas de pages.

Mademoiselle Jones finit par sortir de la salle de bain prête pour sa journée et vin coller sa tignasse encore détrempé sur celle de Mackay qui feuilletait ces esquisses.
« C’est un bon point de départs dit notre jeune homme. Je peux déchiffrer quelques lignes en bas de pages et il semblerait que ce soir écris comme un journal de bord. »

Dans les faits, il ne savait trop quoi en faire, jamais il n’avait tenté décortiquer les textes de la sorte. Du moins, il en a pas encore eut la réelle utilité pour le moment. La magie de la foraine ayant toujours prévalue sur ces écrits. Emma afficha un sourire et pris un ton espiègle :
« Attend, tu n’as encore rien vue! »

D’un geste raffiné, elle prit une feuille blanche et la plaça sur la dernière page du chapitre et y effleura un crayon, laissant paraître tous les plis et défaut du papier, mais aussi les reste d’un Sceau qui aurais été embossé. Un écusson avec un V renversé, bordé de ce qui semble être deux oiseaux et une couronne au-dessus.

Lucas avait une petite idée d’où ils pourraient trouver cette écusson et ils s’avaient fixé un rendez-vous pour une rencontre en soirée avec un personnage plus que fascinant aux yeux de notre chercheur. Le temps venus, ils partirent de leur côté, entamer leur journée de travail. Journée plutôt banale pour notre couple. Encore une fois, Mackay avait mis en désordre les archive du journal pour les numériser et notre demoiselle offrit un  service à la hauteur de l’entreprise. Bien sûre, notre jeune homme ne manqua pas rechercher sur la toile ou encore dans les livres pour cet écusson, mais il ne trouva que peu de choses.

L’heure du repas arrivé, ils entreprirent de se retrouver au café ou ils se sont rencontrer pour discuter, mais aussi pour y retrouver leur camarades. Emma les retrouva attablée dans un coin ou se trouvait notre écrivain avec nul autre qu’Ash et Alice en plein remue-méninge avec ces dessins approximatif de cet armoiries. Ils avaient vites établie que l’écusson avait non seulement un chevron, mais aussi que ce chevron devait aussi avoir trois symboles situé à parts égale et trois autres placé en contraste de parts et d’autre de ce V renversé.

« J’ai peut-être une idée, lança Alice après un moment. Je sais qu’il y a un musée militaire au cœur de la ville, peut-être qu’ils auraient des archives sur les blasons utiliser par les chevaliers du royaume.»

Ils se regardaient les uns après les autres sans rien dire de cette proposition moindrement probable. Le silence autours de la table fut interrompu par les dires d’un homme :
« Faudrait-il encore que l’on identifie la provenance de se dit blason. »

Un vieil homme à la posture chevaleresque avait sous la main de nombreux ouvrage enrubanné sous du cuire. Mathusalem avait forte impression sur ces dames par sa fougue et se charisme qui irradiait de sa personne. Le vieux libraire posa ces ouvrages sur la table et commanda sur le champ un café parfumé à la noisette. Il tendit la main vers mademoiselle Jones et Alice, se présenta brièvement de son surnom avant de mettre la main sur le croquis.

Lucas expliqua brièvement qu’il était en quelque sorte un historien doublé d’un aventurier et possiblement un vestige vivant des grandes guerres de ce monde. Les dames autours de la table le dévisagèrent, le trouvent complaisent, voir effronté, absurde même. Avant même qu’il puisse se reprendre de sa mal adresse, Ash rétorqua à mi- tons:
« Alice, il a connus la construction de la tour Eiffel de son vivent. C’est son histoire que la sorcière nous as fait connaitre en premier. »

Emma étais subjuguer devant ce qui pour la moyenne des gens serait un non-sens, mais elle savait trop bien qu’avec ces zigotos tout étais possible. Notre chercheur qui s’était attardé au décalque de l’écusson embossé n’avait pas fait fi de la conversation et s’exclama :

« De tout évidence, ce blason est français. Cette forme arrondis à la base et ce dessus carré et plats est typique français, par contre, ça peut être n’importe quoi du baron a une ville... Au faite, ou avez-vous déniché ce relief? »  

Emma dit tout bonnement qu’il vient d’une des dernières pages du livre des forains. Mathusalem resta sans mots devants l’évidence de cette réponse. Par la suite, il se mit à jouer dans sa barbe parfaitement taillé, tentants de se remémorer ou pouvait-il avoir vue cette étendards chez les forains.

« Par dieux, mais c’est évident, repris notre vieil homme. J’ai belle et bien vue cette armorie peinte à l’intérieur des malles du directeur de notre cirque. Ce sont celle de l’un de ces prédécesseurs, un monsieur De-Serres. Ha, j’ai bien peur de ne pas en savoir beaucoup, sinon, qu’il fut l’un des fondateurs de notre cirque. Je sais par contre qu’il était dresseur de fauve aussi. Le reste m’échappe.» 

Il prit une pose pour gouter sa boisson chaude et repris paroles, prenant par surprise la tablé qui croyait qu’il n’avait rien de plus à dire.

« Si je me souviens bien, il se nommerais Jule de Serres. Avant d’être dans le cirque, il était un aventurier qui parcourait le monde pour un collectionneur de curiosités. Son patron ne l’aurais plus supporté suite as une histoire de vol dont il était le premier suspect et aurais fuie par-delà les mers avants de rencontrer celui qui fera de lui un homme de cirque. En bout de ligne, j’en savait plus que je l’aurais crue »

Ash qui avait gardé le nez rivé sur son cellulaire repris la suite :
« Selon ce que je peux lire sur les internet, il serait  descendant d’un des premiers agronomes au sens scientifique. Français de Villeneuve-de-berg… …mais bon, je me perds dans les détails. Par contre, j’ai trouvé une gravure similaire et d’autre en couleur! »

L’image était maintenant claire. Un denier d’argent sertis de trèfles et d’étoiles dans un chevron bleu. Tans de recherche pour une si simple image, mais pour aussi peu d’histoire. Né-en-moins, la soirée fut captivante. Parsemé de rire et des récits de parts et d’autres. Les heures passèrent et notre couple retourna à l’appartement de Mackay, entrelacé, amoureux, endormis.

Les songes s’annoncent sombre et sévissent sans prévenir. Tous deux reprirent conscience de leurs états, affalés sur le sol détrempé du clipper, dans cette tempête déchaîné. Ces furies n’on durer qu’un moment qui pourtant semblait une éternité pour nos survivants. Emma avait remarqué que ce n’était que le début. En effets, ils étaient dans un interstice et ce qui s’annonçait, semblais de loin plus mouvement. Un autre détail qui n’échappa à nos aventurier, c’est l’absence d’équipage et plus étrange encore, le fait que des récifs tenais la structure en place, les vagues fouettent la coque avec violence, rendent l’échappatoire plus que difficile. Un déferlant vin les pousser au abord du pont et apercevaient qu’un cordage menais jusqu’à des pierres sur une plage parsemé de débris. Ces débris provenaient du navire ou ils se trouvaient.

Sans hésitation, mademoiselle Jones entrepris de descendes dans cette échelle de cordes suspendue au-dessus de ces flots, laissant sans mots Lucas qui aurait préférer tenter sa chance dans les quartiers du navire. La descente fut difficile et épuisantes, les menant sur ces rivages fouettés par ces eaux salées.
Ils atteignirent la crête de sable à bout de souffle pour n’y découvrir qu’encore plus de sables et des tentes de toiles blanche, déserté et passablement déchirer. Nos amoureux n’en pouvaient plus, ils devaient se reposer, et cet endroit semble tout indiqué pour se faire. Lucas ferma les yeux et dans  l’espace de ce qui lui semblait un instant, le matin était arrivé. Le vent chargé de sables fouettait la toile en cette journée grise quand des pas se firent entendre suivit d’un soupire de découragement. Lucas sortis la tête de leur abris de fortune pour surprendre un homme qui fouillait dans les débris au côté d’eux.

L’homme semblait lui aussi avoir vécus sa parts de péripétie. Il portait à sa taille une vieil lame et ces vêtements amples étaient déchirer aux genoux et son par-dessus était bien usé. Hors mis ces détails, sa barbe était faite, arborant qu’une moustache naturelle s’accordant avec ces cheveux en batailles.    

« Qui diable êtes-vous, demanda-il en se mettant en garde. Que faite vous dans mon abris? »

Au fond de la tante, notre inconnu aperçut le visage d’Emma qui semblaient terrifier par sa lame qu’il pointait vers Lucas. Voyant qu’ils n’étaient pas une menaces, il baissa sa garde et offrit des excuse à notre couple et demanda ensuite ce qu’ils faisaient dans ces lieux. Lucas dit évasivement que le hasard les as conduits ici. Notre inconnu regarda Mackay, le visage sans expression avant de rengainer son arme et dire :
« Cette explication me semble douteuse, mais qui suis-je pour vous demander de vous justifier… Si vous êtes ainsi pris à dormir dans ce taudis c’est que nous en sommes au même point. Prenez ce que vous pouvez, nous remonterons la plage vers le nord, Il n’y as rien au sud sur une bonne journée de marche sinon que des récifs. »

« Et dans les terres demanda Emma qui sortis à son tours de l’abris. Il n’y aurait pas… »
Elle rasta sans mots, réalisent qu’ils étaient face à des montagnes désertique. De l’autre côté, l’embarcation avait laissé place à un amas de planche brisé entre les récifs.

Après une préparation sommaire, ils partirent. Emma pris les devants avec cette aventurier pour lui poser quelques questions. Il se définissait comme un aventurier et le navire sur lequel ils se trouvaient fut aborder par des pirates et une bonne partie de l’équipage décimé. Le reste, ont disparue lors d’un orage qui les mena sur ces récifs. Lui, il survécut en se terrant dans la cabine du capitaine. 

Lucas qui écoutai en retrais finit par les rejoindre en lui demandant s’il n’était pas le chasseur de trésor nommer Jules De Serres sachant trop bien qui il était et presque aussitôt, il dénia ces faits.

« Allons donc, reprit notre protagoniste. Je suis sure que vous êtes de sa trempe, de plus, je sais reconnaitre les grand hommes de ce monde quand j’en vois un, même s’ils ne le veulent pas. »

Encore une fois, il dénia ces dires bien qu’il ne pouvait cacher une certaine fierté. Leur conversation prit fin en ce moment car un cavalier les approcha par la crête devant eux. Ce dernier les somma de le suivre. Le trajet fut plutôt étrange, dans un silence pesant, mais aussi un certain soulagement quant à savoir qu’ils trouveraient enfin la civilisation.

Notre trio fut amené aux portes d’une grande propriété au cœur d’une cité portuaire. Cette porte menait dans la cour intérieure d’une maison fortifier. Ce Riad étais verdoyant, contrastent avec les côtes de ce pays. En bout de ce jardin se trouve un salon décoré de plusieurs tapis dans lequel se trouvaient un homme bien fortuné et quelques hôtes plutôt curieux de notre arrivée. Notre aventurier remercia ce jeune fortuné pour son hospitalité et celui-ci nous offrit de s’asseoir à sa table. C’est avec réserve qu’Emma pris place en premier, assisté du serviteur qui l’attabla.
Un repas fut servis dès que nous étions assis et le jeune fortuné nous demanda notre histoire disent que nul étaient ordinaire les naufragés ou perdus dans le désert. Après un silence Lucas se décrivit comme ce qu’il est, soit un écrivain qui parcoure le monde à la recherche d’histoire et de péripétie avec sa compagne. Il expliqua qu’il perdit son matériel pour écrire, dans le naufrage.

« Et sans armes, demanda le berbère. Comment faites-vous pour vous défendes contre ceux qui vous veulent du mal? »

Sans hésiter, Emma repris :
« Il ni as pas plus grande valeur pour les gens que d’être connus dans le mondes par des récits. Cette gloire intemporel n’est pas à discuter pour plusieurs. Pour les autres, les ruses et les bons mots sont de mise. » 

Sans le savoir, elle avait causé un émoi chez ces résidents pour avoir osé la parole, mais notre hôte n’en fit pas de cas et s’exclamât par un rire, comprenant une tactique de maître dans ces mots. Il avait conclus  à cette éloquence qu’une conversation plus poussé serait comme chercher des fleurs dans in jardins. Ainsi donc, il se retourna vers l’aventurier attendent qu’ils disent enfin quelque chose. Sans prétentions, il s’en tenait à ce qu’il avait dit à notre couple d’un air penaud. Suite à ce récit, Lucas le relança :
« Allons donc, je sais que vous êtes plus qu’un pauvre marin. Ces déboires ne sont qu’un mauvais moment de votre aventure. Je le sais, je le sens. »

Notre écrivain marqua une pose pour le regarder dans les yeux et reprendre:
« Ou peut-être que vous êtes au début de l’une de vos plus grande aventure. Jules…»

Embarrassé, l’aventurier quitta la table sans dire un mot, ce qui eut pour effets de déplaire notre hôte et ordonna au dresseur de l’interpeler devants la porte. Ce dernier fit avancer une lionne qui le fixait en attente d’ordre. Lucas fondait dans son malaise, croyant qu’il avait tout ruiné, mais mademoiselle Jones, elle, restait confiante.

« N’oublie pas qui il est, dit-elle. Il ne peut que s’en sortir, sinon nous ne serions pas ici. »

Sur ces mots, Jules avança vers le fauve et caressa ces bajoues comme s’il ne s’agissait que d’un gros chat et pris la laisse de la main du dresseur surprit avant de retourner vers la table avec la bête nonchalante, terrifiant les autres invités. Le jeune berbère qui était stoïque vin à lui dire :
« Le jeune homme à eut raison sur une chose. J’ai une grande aventure pour vous… »

Une discussion s’en suivit la nuit durent, aboutissant à l’accord qui mena à la création du cirque. Nos deux amoureux voulurent s’éclipser pour la nuit quand Jules leur demanda d’un ton quelque peu alcoolisé:
« Vous ne restez pas? J’aurais espéré vous trouver dans notre équipe. Vos écrits ne se perdront pas avec nous! »

Lucas refusa l’offre et dit qu’il devra retourner chez lui pour écrire. Après quelques échanges de paroles en toutes bonne foi, il vint à lui dire qu’il garderait une enveloppe de son histoire pour lui dans qui luis donneras une quand ils se rencontreront de nouveau en Angleterre.

 « Je la mettrez dans une enveloppe à l’épreuve de l’eau, dit l’aventurier. Ainsi, ni les vagues ni les naufrages ne l’effacera. » 

Sur ces mots, ils se souhaitaient la bonne nuit et reprirent leur chemin respectif vers une pénombre douce et chaude. Ainsi nos deux tourtereaux se réveillèrent dans une matinée tout aussi douce.

« Bon matin mon amour, dit Emma. Tu as fait un beau rêve toi aussi? »

Lucas sourit et la caressa sur la joue en lui disent:
« Oui, J’ai rêvé de toi et moi. D’une belle aventure avec Jules De Serres… »

« Et Mathusalem, reprit Emma. Je l’ai reconnu dans les invités de la sale. »

Notre amoureux ne l’avait pas noté de prime à bord, mais son souvenir de lui était tout aussi limpide que celui de sa douce.

« Les cheveux blanc en moins répondit-il. Peut-être même moins de barbes… …l’enveloppe! »

Sur ces mots, ils se levèrent et accourût vers le bouquin, espèrent trouver une enveloppe caché, mais en vain. Aussi inimaginable que cela puisse paraître, les gitans lui ont envoyé l’enveloppe de jules par la poste et il la resservit ce matin même, suivit d’une courte notice d’Amanda disent qu’elle comprit que tard que cette lettre lui revenait.

Cette enveloppe de papier ciré contenait une lettre de jules qui lui parlait comme un vieil ami. Ces mots étaient tendres et empreint de sérénité. C’était les mots d’un vieil homme qui savourait son retirement avec celle qu’il a toujours aimé. Une histoire qui n’était pas de ce livre, mais surtout un grand merci. Merci pour avoir changé sa vie pour le mieux.

Les jours se suivirent et la Foraine appela enfin, ce fut un soulagement pour tous deux d’entendre et dire ce récits. Amanda le félicitait de ces péripéties et de cette reconstruction des récits avant de dire qu’il reste encore un texte :

« Certain d’entre nous ont fait d’horrible chose as ce livre. De ce fait, un des récits a été arraché de notre grand livre. Soit par jalousie ou haine, mais ces conditions ne sont pas claire. Seul chose que je sais, c’est le titre. Légende du ciel. Je t’offre jusqu’à notre retour au pays pour l’écrire. Sur ce, je te souhaite bonne continuité. »