dimanche 29 novembre 2015

Lune noir part10

Il semblerais que vous appréciez tout particulièrement Lune noir, je vais donc restreindre mes publications à ce texte et à L.S. Northwall pour l'instant, question de ne pas perdre votre engouement. Pour le reste, je vais continuer de prendre des notes, mais ils devrons attendre. avec un peut de chance, j'aurez terminer l'un de ces deux texte pour les fêtes et qui sait, j'aurez effectuer une première correction en vue d'une publication... 



Chapitre 10, L'écrivain

Je n'avais pas vue le temps filer et la nuit commence déjà à s'installer. Les rues sont désespérément déserte dans le centre ville. Sans surprise, je croise encore une fois quelques ombres qui me dévisage encore une fois. Je dois admettre que ce phénomène est d'une étrangeté. Qui sont-il, qu'est-ce qu'il veulent, mais surtout; qu'est-ce qui se passe? L'on dirais que c'est le début de la fin des temps, comme si les mort revenaient à la vie pour la rédemption. Plus j'y pense, plus je me dit que ces médiums et sorcière doivent en savoir bien plus que quiconque sur ce qui ce passe.

« Vous avez probablement raison, me répond un homme tapis dans l'ombre. Excuser mon intrusion, mais vous pensez à voix haute. »

Cette homme accoter contre la porte d'un café fermé me rappelle vaguement quelque chose.
« À qui ai-je l'honneur? »

« Je ne suis qu'un écrivain qui cherche les mots à écrire. Tout ces ombres morbide me sont une curiosité égalent. »
Il souris un brin avent de poursuive.
« Vous ne vous retournez pas souvent n'est-ce pas? Ou peut-être que vous n'avez rien à faire ce cette armée d'ombre qui vous suis. Serai-ce vos victimes? »

Quel odieuse manière d’amener un sujets.
« Peut-être... Voulez vous en faire partie? »

Wa.... je fait de moi un monstre avec ces paroles perfide. J'ai du mal à croire que j'ai pue dire une telle chose.

« Bien étrange, me répondit-il. Cette invitation m’ait faisandé. Comment un homme de votre élégance puisse en venir à s'abaisser à délecter la putréfaction? »

Difficile de rivaliser en mots avec un homme de lettre, c'est sans doute perdu d’avance.
« Vous finirez sans vie avec les milliers de vie qui jonche les sous-sols de cette villes, désarticuler et démembrer pour finir éparpiller aux grée des flots de la rivière. »

Ces mots ne sont pas les miens, bien qu'il sorte de ma bouche... ...sa y est, j'ai perdu le contrôle de ma personne encore une fois. Ma vue s'amenuise, bientôt ce diable prendra ma place et seul luis sait ce qui arrivera.

«Ho, mais vous ne comprenez pas, dit l'écrivain; je n'ai que faire de vos menaces et l'envie de vous ruer ne me donne que des mots à mettre sur papier. Pensez-y, vous tuer ne prendrais que trois à dix minutes, vous torturer me laisserais un moi environs; mais vous décrire dans la pire des morts au seins d'un de mes romans est de loin plus satisfaisant. Surtout de te savoir mourir à toutes les lectures et ce bien au delà de ta morts réel, ces mots me sont jubilatoire. Bien que vous vous cacher derrière ce visage éteint, je vous connais et reconnais Jack Cholesky. »

De retour à ma personne et non sans heurt, un stylo bien planté au creux sous la clavicules me meurtrie, mais je suis de retour à moi. Je n'ose retirer ce crayons, mais lui si et la douleur en est que plus grande. Je ne peut que tomber sur mes genoux, affaiblie par ce mal.
« Qui est Jack Cholesky, dit-je. Je vous en supplie, dite moi en plus. »

Le regard de l'écrivain passa de colérique à désolé.
« Pauvre de vous, je ne voudrais pas être à votre place, avoir en sois ce tueur que le faucheur na pas pue retourner en enfer. Vous excuserez mon dédain, mais je ne souhaite pas m'éterniser avec vous. Les malheureux qui ont croiser son chemin, pourrissent maintenant la racine des fleurs. »


En partants au sens opposé de mon chemin, les ombres s'inclinait et fuyait ces pas. Cette étrange personnage avait porter un coup surprenant au démon qui me harcèle, me laissant avec plus de questions encore, mais une seule raiponce et une piste bien précise. D’où tiens t-il ce savoir? Je ne serais dire si je dois le considérer en héros car cette personne est si sombre. Une chose est sur, je dois vite trouver de l'aide, je dois trouver la personne derrière la carte.   

jeudi 26 novembre 2015

L.S. Northwall part 12

It's About Time! Je dois dire avoir perdu le fil de mon histoire depuis la dernière écriture, j'espère ne pas avoir fait d'erreur de continuité. Du moins, si c'est le cas, l'on manqueras surement pas de me le faire savoir. Encore une fois, j’espère que vous apprécierez la lecture de ce nouveau chapitre que je considère un peut comme la moitié de mon récit... oui, déjà! ne me demandez pas si je vais faire une suite, j'ai même pas encore décider comment ça allais se terminer concrètement. 

chapitre 1    chapitre 2    chapitre 3    chapitre 4  
chapitre 5    chapitre 6    chapitre 7    chapitre 8 
chapitre 9    chapitre 10  chapitre 11

7 Octobre, le meeting dans le noir.



Voila une soirée que nos camarades oublierons jamais, les émotions de certains était aux cieux, d'autre au désespoir. Assis autours de cette table en bien mauvaise états, les comparse contais leur journée avec enthousiasme, mais tousse resta suspendue au lèvres d'Ismahen :

« J'aimerais bien dire moi aussi que j'ai du plaisir à venir ici, mais çà as été une cauchemars...»

sa blessure à l'épaules parlais beaucoup, mais il insista pour en dire les moindre détailles. Tendis que Jane le pence, il plaça les clef d'une moto en fixant l'homme infirme de son obésité et demandant qui étais ce jeune homme. L'atmosphère étais soudainement plus lourde, lourde d'un silence pesé par la colère que notre journaliste avait envers cette homme. Ismahen lui somma de répondre avec fureur.

« Un enfants est mort et tu trouve ça correcte? L'on nous chasse comme du gibier et tu nous envoie un gamin.. tu trouve ça normal peut-être? »

Avant même que l’hôte réponde, Kévin s'exclama haut et fort :

« Tu cris sur celui qui ta sauver la vie je te rappelle... et cette enfants comme tu l'appelle, Il étais un volontaire. Nous avions aucune idée de qui il étais quand nous avons lancer l'appelle aux anonymes. C'est le seul qui c'est présenter, Nous l'avons sue pratiquement en même temps que toi qu'il étais un adolescent. Dose ta colère, Continua-il en baissant de tons. Il nous reste que des pions sur l'échiquier et il faut gagner la partie. »

Jane avait le cœur gros en voyant les deux homme qui conte le plus dans sa vie qui ce disputais. Recroqueviller sur sa chaise fixant son ver de cola, elle dit tout timidement :
« Nous allons bien maintenant, non? Est-ce qu'on peut arrêter de se crier dessus? »

Voyant qu'il avait blesser sa protégé, Ismahen eut un sentiment pénible, comme s'il avait fait du mal à un chaton. Il tendis la main vers elle et lui demanda son pardon. Il en étais rien encore, mais les liens de chacun se soudais comme une famille. Ce qui étais une première pour notre gaillard car il n'avait jamais eut la chance de vivre avec les siens depuis qu'il quitta son pays pour étudier et maintenant vivre ici.

L'homme à la tête poivre et sel, étais rester de marbre à ce flux d'émotions.
« L'on as encore du travail vous savez? Dit-il en balayant des yeux les gens sur place. Je vous rappelle qu'on as une guerre à empêcher. »

Ces mots n'ont pas manquer d'accrocher l'attention de nos protagonistes.
« Je crois que vous savez de quoi je parle monsieur le journaliste... ...et je crois que vous savez ce qu'est le projet Icare, n'est-ce pas? »

Pour le bien de Jane, il consenti de lui expliquer ce qui venais.
« Peut de monde s'en rend compte pour le moment, mais le L.S. Northwall est en fait le premier prototype d'une armada destiner à asseoir le pouvoir centrale du pays sur la vaste étendus terrestre et la colonisation future des autres planètes. Vois tu, le L.S. Northwall n'est qu'un des quatre bâtiments de ce genre. Je te laisse deviner leur nom... Bien-sur, Quatre vaisseau reste bien peut de chose en sois, mais pour la constructions et l'approvisionnement, ils ont quadriller l'espace orbitale avec des satellites armée de projectiles kinésique appeler Javelin. Si tu as eut la chance de suivre les activité de l'Agence Aérospatiale en directe sur la toile, tu as sans doute pue voire cette arme à l’œuvre bien malgré qu'ils ont tenter de cacher les faits. »

Désabuser, notre jeune femme demanda:
« Mais qu'est-ce que tu veut qu'on face à une armée, des satellites et des navires de guerre? »

C'est à la fin de ces mots qu'Ismahen dit d'une voie illuminé :
« Projet Icare... Le même projet pour lequel Kévin as presque perdu la vie. »

Kévin repris sur les propos de notre journaliste, disent que malheureusement, son comas étais artificiel, qu'un agent venais a intervalle régulier lui injecter un produit qui le paralysait comme si son corps était une prison. Il repris en disent que bien son états, il pouvait entendre ce qui se passait. Suite à ce moment touchant que le frère et la sœur partagèrent, l'hôte repris la suite de ce que disait Ismahen.

« Nous avions lancer le projet Icare au début pour montrer les intentions du gouvernement à la face du monde avec peut de succès ce qui est encore notre but, bien que ça aient quelque peut changer. Disons Icare deux point zéro. Notre but maintenant est maintenant de faire tomber le voile et d'attaquer avent qu'il soit trop tard. Ironiquement, les premiers pays à dénoter de inintérêts pour nous aider, sont des états voyous et les îles française. Ils ont déjà donner l'assaut sur les installations de l'Agence, ce qui fut une opportunité pour nous de transférer un maximum de données vers des pays neutre comme ceux de l'union européenne. En effectuant les transferts pour l'équipage du L.S. Northwall, nous avons cacher des fichiers compresser dans les donnés qu'envoyait l'équipage. »

Surpris de ces fait, Le journaliste aguerrie rétorqua qu'il n'étais pas prudent de faire affaire avec des militaires, qu'ils ont sans doute déjà localiser leur résidences. L'hôte se fit rassurent, disent que l'équipage du L.S. Northwall étais les seuls civiles à bord pour l'instant et que tans que leur voyage n'étais pas terminer, l'armée n'allait pas tenter de s'emparer du bâtiment. D'autre parts, il ne l'avait pas dit, mais les Anonymes de partout à travers le monde avait réussis créer une cohue sur le réseau de satellite, rendent l'origine des transmissions pratiquement introuvable.

Jane demanda pourquoi Projet Icare :
« Je ne vois pas le liens, on ne va qu'en même pas envoyer les vaisseaux dans le soleils? »

l'hôte répondit en gesticulant avec un bout de croûte :
« Bien si l'on prend le sens au figurer, l'on tente de leur brûler les ailes avent que le mal soit fait. L'on utilise ce nom surtout parce-qu’il à été utiliser à outrance dans divers jeux, filmes et opérations militaires ce qui rend difficile pour une personne extérieur du groupe à identifier les acteur comme les faits. »

« Au faite, quel est votre nom, demanda Ismahen. J'ai horreur de m'adresser à quelqu'un sans pouvoir le nommer. »


« Vous comprendrez que je dois me protéger, répondit l'homme. Sur les internets l'on me nomme Anonseeker, mais vue que vous serez sur le terrain, vous m’appellerez Sam. »

lundi 23 novembre 2015

Sandman is late

Bonsoir...

Je sais ce n'est ni un texte, ni l’endroit pour poster ce genre de message, soit un entrée de journal qui, ma fois; est plutôt personnelle, mais je ne trouve ni le sommeil, ni la place ou mettre ce genre de pensé. J'ai seulement besoins de faire le vide dans mes pensées et peut-être trouver une raiponce à mes questionnements.

Cette nuit, j'ai l'esprit qui vacille d'une histoire à une l'autre sans que je puisse mettre un début ni une fin à ce torrent d'idée. Plus je piétine sur une histoire, plus je sort des détails et moins j'en voie la fin. C'est en outre pour cela que j'ai arrêter de poster des chapitres de L.S. Northwall. Je sais ce que je veut, mais je ne voie pas comment me diriger vers la fin. Comble de malheur, j'essaie de palier à ce problème avec Lune Noir et j'ai l'impression de laisser trop de chose en arrière plans.

Je suis fait comme çà... Je ne peut créer une histoire sans donner une vie complète à tout les personnages, que ce soit les acteurs principaux, des personnages secondaires, ou encore tout pion que je place sur leur chemins. Bien-sur, il serait facile de déterminer la vie d'une personne ne image, d'un seul coup d'oeil l'on peut voir qui ils sont, leur mode de vie comme leurs humeurs, mais en texte, trop de détails étouffe le lecteur comme l'écrivain. Vous ne savez pas combien de fois, j'ai due couper dans mes textes pour retirer des descriptions futiles et des impasses au textes... Des fois, je me dit que je devrais faire une fiche de description complètes des personnages à mettre de côté de l'histoire pour me désencombrer l’esprit. Faire ce topo justement, fait une franche différence en ce moment...

D'un autre côté, j'aimerais énormément réussir a créer un ou des textes plus subtiles dont l’exactitude des mots définisse en tout point l'énormité de mes pensées en quelque lignes. J'en viens à me demander si je ne devrais pas m'insinuer dans des coures d'arts et lettre ou de poésie juste pour trouver une autre façon d'écrire et de penser. Quel soulagement de pouvoir écrire ces mots.


Si vous vous poser la question, pourquoi pas Facebook ou un autre lieux que ce blogue, c'est tout bonnement pour ne pas atteindre un publique ignare de ce genre de choses et qui me répondrais de manière ingrate et idiote car ici au moins, je suis sure de toucher un minimum intellectuel possiblement philanthrope. Ce dernier mots par ailleurs; as une définition plutôt intéressent... Je vous laisse la dessus, bonne nuit.

dimanche 22 novembre 2015

T.O.D. Part1

Bonjour, ou bonsoir, dépendamment...
J'ai enfin une première esquisse de mon texte collaboratif, mais franchement, je dois dire ne pas savoir par ou commencer, j'ai lancer ce début qui semble commencer par la fin... ou plutôt un milieux d'histoire. Bref, une bonne partis des aventures se passeront en feedback, malgré que je ne sais pas si tout va bien coller. Dites moi vos impressions, cette fois ci, plus que jamais, compteras dans le dénouement de l'histoire...

T.O.D.
  Chapitre 1

Sur le banc au côté de Tod, une jeune fille c'est endormis, épuisé d'une journées plus que mouvementé. Un jeux de chat et souris as commencer il y as déjà quelque jours a pousser nos deux ressortissant à parcourir la cité dans tout les directions. Pour finir, ce soir sur un banc de parc, dans les haut jardins des tours du centres villes ouest. Notre jeune hommes garde le fort bien qu'il ne s'en sent plus la force lui non plus.

Le ciel est peut-être assombrie par les nuages orangé par les lueur de la cités, mais leur point de vue est imprenables sur le balais des lumières dansantes des véhicules. Une brume nappe le sol, laissant croire que le ciel prenais tout la place. Seul les bruits étouffés de la villes retentissait en guise de réveille pour Tod.

Derrière eux, des pas lourd et assurer s'approchait d'eux. Un homme dans un vieux veston noir les avait retrouver. Ceux de qui il fuyait les fixait, l'air fatiguer :
« Si vous êtes pour dormir, venez donc le faire dans un lit. Vous n'avez nul parts ou aller et le périmètre est cerné de tout manière.»

Sans doute, dans tout l'histoire de la police de la cité, cette agent étais le plus courtois que Tod ai eut à faire face. Ces intentions n'étais jamais claire mais Il avait un respect envers les citoyens qui deviens rare. Que pouvait faire Tod sinon qu’obéir, il se savait dans un cul de sac.
« Je reste avec elle, quoi qu'il arrive. »

Le vieil homme resta sans bronché pendent un moment avent de répondre :
« Très bien... Prend la dans tes bras et suis mois. »

Notre jeune homme s’exécuta tans bien que mal et finis par être aider par un sous-fifre de l'agent. Une fois à l’ascenseur, délesté du poids de la jeune femme, il tendis les poignets, en attendent les menottes, mais sans jamais avoir de suite. Même après questionnement, on lui dit que ce n'étais pas nécessaire. Il ne sait pas encore, mais la demoiselle qu'il protège corps et âmes est le joyaux le plus précieux qu'il n'ai jamais eut entre les mains.


« Dit moi jeune homme, que connais tu d'elle, demanda l'agent. Comment avez vous passer sous notre vigilance en deux jours. »

Sous ces très tirer, il afficha un regard d'étonnement au policier :
« Deux jours! Deux jours seulement que je la connais et j'en suis dingue. Une demoiselle plaine histoire, une Marie Sue d’aventure et de courage... Elle en as plus que mois, çà c'est certain. »

Le policier à la tête grise souris à ces dires.
« Je vois... Vous en êtes amoureux. »

Tod se rendis compte bien en retard que ces mots avait dépasser ces pensées. Par le passé, il n'avais jamais eut de relation brusque qu'avec les mécréants et les force de l'ordre, étant un enfants perturbateur, imbus de lui même et mesquin.

« Je dois dire, repris le policier, je dois dire que vous avez de la chance d'être dans ces bonne grâce. Peut-être, ces parent en feront autant. L'ambassadeur tien à sa fille plus que tout. »

Arriver au hall d'entrée, un major les attendais pour conduire les fuyard et le policier vers une limousine noir perlé comme celle d'autre fois, un luxe bien haut delà de ce qu'un simple ambassadeur pouvait se payer. Tod comme le policier semblais se douter que le fond de la vérité leur échappait.  

lundi 16 novembre 2015

Lune noir part9

Voila, comme promis j'ai mon chapitre de compléter et ironiquement, il y as fallut que je retire du contenus pour garder mon aspect sombre. je dois dire être de moins en moins dans ce ''mood'' gothique ces temps-ci, probablement que je vais passer à un autre texte dans les prochains jours, question de ne pas biaiser celui-ci.


Chapitre 9 Sortir un soir d'octobre

Depuis que j'ai découvert ce petit message, je n'arrive pas me l'enlever de la tête. D'autans plus que le baron semble se tenir à distance, m'observent, inquiété comme intrigué. Je dois dire que ce code me laisse perplexe. Il me semble simple d'un côté, mais de l'autre, j'ai l'impression de me tromper. 11H est probablement pour onze heure, 1P m'échappe complètement et 721ApE bien... peut-être une adresse. Par contre, je ne connais aucune rue qui pourrais avoir cette acronyme. D'un autre côté, ce pourrait être un passage dans un livre, 721ApE étant la fiche de référence, première page, à partir de la onzième lettre H. Encore faut-il que je trouve une bibliothèque qui utilise encore des fiches physique.

Les minutes passèrent dans un silence qui encore une fois me paraissait lourd. Seul le bruits de la porte de l'entrée de l'édifice se fit entendre. Il semblerais qu'encore une fois j'ai de la visite. Vaut mieux cette fois être proactifs et se préparer au pires. Rivée à l’œil de bœuf et poilons à la main, j'observe en vain à la recherche de l’inconnue. Je me rend vie à l'évidence que personne ne viens. Prenant mon courage à deux mains, j’ouvris la porte et bondis dans le corridor pour n'y voir qu'un clochard prenant place au bas des marches, là ou l'autre trépassa. Soulagé, je me prépara pour sortir, et rangea mon poilons bien-sur.

Avent de sortir, je ne pus m'empêcher de fixer le vagabond pour constater avec frayeur qu'il s’agissait du même homme.
« Vous êtes pas morts vous ? »

Ces mots ont été plus fort que ma retenus. J'espérais ne pas l'avoir froisser ou avoir a faire face à l'un de ces zombies dévoreurs de chaire. Il pris quelques instant avents de rire et de me répondre de manière glauque :
« Nous sommes de retour, voilà tout... t'aurais pas trente sous pour un café? »

Je ne sais pas ce qui est le plus étrange en ce moment, le fait qu'il me parle encore de ce fameux retour, comme s'il avait rejoints les rangs des damnés ou le faite qu'un cacabé me demande de l'argent pour un café.
« Je te rapporte quelque chose à mon retour. »

Suite à cette étrange altercation, je me mis a déambuler dans les rues commerciales du cartier de la vieil ville tout en cherchant désespérément une solution à cette énigme. Mes idées ne faisait que s'embrouiller de plus en plus quand soudainement je croisa une vieil boutique de babiole occulte. Là étais peut-être ma chance. Quand je ms les pieds à l'intérieur, je sentis tout suite cette odeurs frappante d'épices et de poussière. À droite de la porte se prolongeait des centaines de livres dont moitié avait une reliure couverte de cuire, les étalage étais remplis de bougeoirs et te crânes et autre articles estivale à ce mois d'octobre. À la caisse se trouvait une jeune dame d'une vingtaine d'année sans plus qui étais plongé dans une lecture d'un texte manuscrit contenus dans un petit livre, comme l'on peut trouver dans les magasins d'arts et bricolage.

« Excuser moi madame, avez vous idée de ce que cette carte peut êtres ? »

Son silence face à ma question dura un bon moment. Je croyait avoir fait fausse route, mais d'un geste elle sortis la même de son livre.
« Ce sont des carte de Tarot de Marseille fait par une artisane d'ici. Chacune d'entre elle sont peinte à la main... …de tout évidence, la vautre à été rejeter ; probablement une erreur dans la conception. »
Super, j'ai fait mouche! Contenant ma joie, je lui demande :
« Ho! et savez vous ou je peut la retrouver? Il semblerais que j'ai un rendez-vous avec cette personne. »

Elle regarda la carte encore une fois pour enfin remarquer l'inscription en bas de la carte. Haussant les épaules, la blondinette me dit qu'elle ne savais pas qui elle était.

« En fait, son fils nous apporte ces œuvres par moment, reprit-elle. Ce sont toujours des objets de haute qualité. »


Sur ces mots, il me vin à l’esprit l'endroit ou étais descendue l'homme qui me donna la carte, c’était à quelques pâtés de maisons d'ici, un bon point pour commencer à chercher. Comptent, de ma déduction, je décida de m'acheter un livre avant de partir. Un roman à la couverture noir et au nom sordide, Lune noir. 

16-11-15 00:45

Encore une fois, je n'ai presque rien poster sur le blogue, mais je suis en coures de création pour un nouveau chapitre de lune noir. Seul le temps me presse dans mes activités et imprévues. Je vous promets le texte pour lundi soir et si ce n'est pas le cas, je trouverez bien quelque chose à vous partager.

Sur ce, bonne soirée!

samedi 14 novembre 2015

14-11-15

Ce soir, je ne commente pas avec tristesse, ni joie les attentas de Paris, mais avec cette rage envers ces terroriste que j'enfouie. Depuis longtemps, j'écris des scénarios pour les jeux de rôles et par plaisir, et ce soir, je me sent brisé dans mes pensé. Brisé,  parce que je ne comprend pas comment que ces gens si mentalement abyssale puisse en venir à un point à détester ce qu'il étaient à un point de tuer ces semblables pour ensuite se donner la mort? N'on t'il pas d'amour propre? N'on t'il pas le sens de l'amour tout simplement? Brisé par mon incapacité d'aider. J'en suis dégoutter...

Si je peut citer quelqu'un en ce moment, j'irais de suite avec les mots de Martin Luther King Jr.:
 « L'obscurité ne peut pas chasse l'obscurité. 
Seul la lumière le peut.

La haine ne peut chasser la haine, 
Seul l'amour le peut. »
J’espère que ces mots résonnerons... 

dimanche 8 novembre 2015

Lune noir part 8

Chapitre 8! Il Y as peut-être beaucoup de faute, j'en sais rien, Il est tard et je cogne des clous... 

Chapitre 8, Jours de Silence


Voila quatre jours de grisaille que je passe dans le silences le plus total, comme si les événement d'avents étais le simple fruits de mon imagination. Les mots me sont court face à l'actualité toujours de plus en plus sombres. Les journaux comme n'en démente pas, Quelque chose se trame par delà les crimes et la folies de ces dernier mois; quelque chose de plus grand que nature. Je pleins le pauvre vagabond qui c'est éteint au pas de ma porte, lui qui ma sembler toujours être là, ce vieil homme; gardien sénile de mon entrée. Si seulement j’avais sue son nom, l'on n'aurais pue mettre un nom sur sa tombe.

Quatre jours... Quatre jours de silence, sans murmure inutile ni pensée troublante. Cela pourrais être un soulagement si ce n'étais pas que je me questionne sur ma personne ou encore ce qu'est ma vie. J'ignore ce encore qui j'étais et comment j'ai pue évoluer dans cette environnement minimaliste et aseptisé. Je ne me reconnais pas dans ce vide, du moins, j'en ai l'impression. J'ai eut beau tenter de fouiller pour retrouver des objets qui pourrais me donner des souvenirs, mais la seule chose que j'ai trouver, c'est une boire de relevé comptable avec une photos de moi avec des personnes que je ne reconnais pas. La scène est classique, en abies de soirées et champagne sur font rouge et fer forgée. Sans doutes des collègue de travail. Encore une fois, les détails de ma vie me hante de plus en plus, à savoir si je compte pour quelqu'un. Ai-je une famille, des amies, un patron? Ces questions me hante et je redoutes la réponse. Tout ce que je peut faire, c'est d'attendre que l'on me recherche.

Des cognement creux, à même la porte d'entrée me sort de ma torpeur. Après m'être vêtus sommairement, j'ouvre cette dernière sans y défaire la chaînette. J’aperçois dans l'embrasure l'un des deux zigoto qui sont venus me pointer du doigt à hôpital. Je ne serais dire qui des deux se trouve devant mois, mais il semble être très inquiet et il cherche du regard si l'on nous regarde.
« Vous ne comprenez pas, un malheur s’abattra sur vous. Si j'ai pue vous suivre, eux aussi... »
« Il à raison... »
Baron Samedi est de retour, son accoutrement et sa démarche détonne de la dernière fois. Il na plus d'apparence d'un aggloméra d'objets, mais une apparition plutôt spectrale comme la tout première fois que je l'ai perçu.
« Je dois te félicité, dit-il. Tu as sue te prémunir seul, contre la possession complète. En temps normal, Il aurais fallu un prêtre ou un chaman pour t'en sortir. Mais encore faut-il que tu te débarrasse de ce monstre qui sommeil au fond de ton esprits»
« Il n'y as pas suffisamment de place dans ton esprits pour contenir plus que ce malin. Par contre, la clef est sous ton nez. »



« Faite moi entrer, dit-il promptement. Il faut qu'on parle. »

La dernière chose que je veut faire, c'est de faire entrer la tourment dans mon havre de paix.
« Vous n’irez pas plus loin que le pas de la porte, est-ce bien claire? »
Mes mots résonnait fortement dans le corridor, ce qui poussa l'homme du clergé à s’entasser dans l'embrasure de la porte, me disent :

Sur ces dire, il lança un regard derrière moi et pris la fuite. Je n'ai pas eut le temps de me retourner qu'une voir familière mais dérangeante retentis :

Désabusé, je le regarde en lui demandant s'il étais encore dans ma tête, par contre, sa réponse fut tout autre.

A ces pieds, se trouve la chemise sale dans la quel se retrouvait encore la carte barrée d'un X. Lorsque je vin pour la prendre, notre esprits tourmenteur disparue et je remarqua enfin une écriture minuscule dans la marge:

11h. 1p. 721ApE.

jeudi 5 novembre 2015

Lune noir, part 7

Ho lune noir, pourquoi suis-je si ténébreux? si les autres chapitre vous laissait sur votre faim, celui-ci risquerais de vous gaver... je ne sais pas si c'est au point, je prend la chance de laisser le chapitre à ma première idée et probablement que je corrigerez la tournure du texte si je ne trouve pas de suite valable. ...je vous fait marcher, j'ai une idée précise d'ou je vais. Seul le chemin emprunter reste à  éclaircir. 

Bonne lecture!

Chapitre 7, Sombres âmes

n'écoutant que moi même, je ne fit pas attention au avertissement de cette entité mesquine, Baron samedi. Ce fut une erreur monumentale qui me plongea encore une fois dans la noirceur et l’inconscience de mes actes. Je n'ai maintenant plus le contrôle, je ne voie, ni ne sent mon propre corps. Je me sent mourir encore une fois, ayant l'impression d'entendre en murmure les sons de ce qui se passe aux alentours, mais cette mois, le sons d'une respiration persistante domine. Pourquoi, que m'arrive t-il et surtout, que dois-je faire?

Je me sent glisser inexorablement vers la noirceur avents de le songe. Cette sensation qui en temps normal me serais apaisante m'ait présentement suffocante, comme si ce sommeil me serais fatale. Dieu seul sait ce qui m'arrive... ...je me sent si vulnérable. Encore une fois, les mêmes mots retentisse. Il na plus de visage, je n'ai plus de visage. Quoi qu'il m'arrive, je dois prendre le dessus avent que ce fasse un nouveau carnage, mais comment? Si seulement je savait a quoi j'ai à faire ou à quoi.

La clef est peut-être là, je dois me définir, je dois prendre possession de ma personne. Je suis Tim, je suis Henoc Tim Smith. Je dois reprendre possession de ce corps. Je suis maître de ma personne et maître de ma destiné. Je peut le faire! Je suis Henoc, Fils de Marie et Adam Smith. Je suis Vivent!
« Je suis... sa y est. »

Ma vision revient et mes sens sont endoloris par cette courte absences. Je ne sais pas ce qui c'est passer, mais je beigne dans la crasse, au fond d'une ruelle froide. Je ne peut m'empêcher de me tâter le visage, de peur de ne pas le ressentir. C'est avec satisfaction que je sent mes traits sous cette pilosité presque lycanthrope. Je me sent affaiblie et affamé bien tout le lait que j'ai pue boire plus tôt. Dans mon malheur, j'ai tacher et déchirer mes si beau vêtements. J'ai ruiner mon manteau... au moins, je suis en vie.

Les lieux ne me sont pas familier, l'on dirais que j'ai traverser la ville, rien ici ressemble au cartiers portuaire, ni au centre ville. Avec un peut de chance, je me retrouverez.

Voila déjà quelque minutes que je marche et je constate un faits troublent ; le silence. Serte, les bruits de la ville m'encombre les oreilles, mais ni voie, ni arrière pensé m'encombre. Le silence, je ne serais dire si c'est une bonne chose, mais ça as un côté apaisent.

Je croise enfin un véhicule, un autobus de ville qui veut bien stopper son chemin pour me prendre. Sur le premier palier du véhicule, je constate qu'il me manque les vingt sous pour avoir la somme de passage.
« Ce n'est pas un problème dit-il, passer derrière. »
Une douche et au lit.   



À le voir, il semble a voir eut une soirée tout aussi perturbante que la mienne, ce dernier tremble tomme feuille au vents et il est couvert de sueur. Je n'ai rien à venter, mais il me fait pitié. Sans doute qu'il as échapper à la mort plus tôt dans la soirée, qui sait. Je vin m’asseoir au centre de l’autocar qui étais vide hors mis un homme, afro-américain tout de muscle et de rasta. Il resta sans broncher sur la banquette de côté et vain un premier sursaut dans les réseaux électrique des lumières du busse. Le busse étais soudainement remplis de ces mêmes ombres qui achalandait mon appartement. Je compris l’état du chauffeur, surtout que les ombres semble fixer les personne à leur proximité. Un second sursaut de lumière quelque instant plus tard les rendis invisible de nouveau.

L'homme noir au bras croisé avait garder une posture impeccable et une assurance hors du commun. De tout évidence, il les avait vue puisqu'il avait dévisager celui qui se trouvait assis à sa droite, mais il n'en étais pas impressionner le moins du monde et moi de même en y pensent bien. Le processus se poursuivit encore quelques fois, faisant fuir les quelques malheureux qui entrais dans le bus quelques station plus loin. Avent de quitter le véhicule, le noir me donna une carte à jouer en hochant de la tête et sorti. Cette carte étais vide d'inscription sinon un X là ou il y aurais du avoir une figure ou un nombre.


Plus d'une demi heure plus tard, l'autobus arriva enfin à la gare centrale qui étais déserter ce soir. Plus qu'une bonne heure de marche et j'étais de retour chez moi. Je laissa donc le conducteur troubler dans ces sanglots, lui disent qu'un bonne chance... quoi dire de plus. La marche qui suivit fit un vrai fardeau et je n'étais pas trop déçu d'être arriver chez moi, toujours accompagné de ce silence.

dimanche 1 novembre 2015

Revue d'octobre

Récapitulatif d'octobre... Je n'ai pas grand chose à redire sinon qu'Octobre fut un mois peut productifs, alors, je vais de ce pas avec la liste!

Médiéval

  • Rien

Rétro

  • Rien

Moderne et Futur

  • Lune noir chapitre 5, 6

Les textes sans suite

  • Rien
Système de Jeux de rôles



Revue Antérieur

Médiéval

  • Les comptes oublier, chapitre 123 

Rétro

  • Les pilotes du Blanc-Bonnet, chapitre 12

Moderne et Futur

  • Lune noir chapitre 1234
  • Les rêveries d'Aurélie, chapitre 12
  • L.S. Northwall, chapitre 1234567891011
Système de Jeux de rôles

Les textes sans suite