Chapitre 8! Il Y as peut-être beaucoup de faute, j'en sais rien, Il est tard et je cogne des clous...
Chapitre 8, Jours de Silence
Voila
quatre jours de grisaille que je passe dans le silences le plus
total, comme si les événement d'avents étais le simple fruits de
mon imagination. Les mots me sont court face à l'actualité toujours
de plus en plus sombres. Les journaux comme n'en démente pas,
Quelque chose se trame par delà les crimes et la folies de ces
dernier mois; quelque chose de plus grand que nature. Je pleins le
pauvre vagabond qui c'est éteint au pas de ma porte, lui qui ma
sembler toujours être là, ce vieil homme; gardien sénile de mon
entrée. Si seulement j’avais sue son nom, l'on n'aurais pue mettre
un nom sur sa tombe.
Quatre
jours... Quatre jours de silence, sans murmure inutile ni pensée
troublante. Cela pourrais être un soulagement si ce n'étais pas que
je me questionne sur ma personne ou encore ce qu'est ma vie. J'ignore
ce encore qui j'étais et comment j'ai pue évoluer dans cette
environnement minimaliste et aseptisé. Je ne me reconnais pas dans
ce vide, du moins, j'en ai l'impression. J'ai eut beau tenter de
fouiller pour retrouver des objets qui pourrais me donner des
souvenirs, mais la seule chose que j'ai trouver, c'est une boire de
relevé comptable avec une photos de moi avec des personnes que je ne
reconnais pas. La scène est classique, en abies de soirées et
champagne sur font rouge et fer forgée. Sans doutes des collègue de
travail. Encore une fois, les détails de ma vie me hante de plus en
plus, à savoir si je compte pour quelqu'un. Ai-je une famille, des
amies, un patron? Ces questions me hante et je redoutes la réponse.
Tout ce que je peut faire, c'est d'attendre que l'on me
recherche.
Des cognement creux, à même la porte d'entrée me sort de ma torpeur. Après m'être vêtus sommairement, j'ouvre cette dernière sans y défaire la chaînette. J’aperçois dans l'embrasure l'un des deux zigoto qui sont venus me pointer du doigt à hôpital. Je ne serais dire qui des deux se trouve devant mois, mais il semble être très inquiet et il cherche du regard si l'on nous regarde.
« Vous ne comprenez pas, un malheur s’abattra sur vous. Si j'ai pue vous suivre, eux aussi... »
« Il à raison... »
Baron Samedi est de retour, son accoutrement et sa démarche détonne de la dernière fois. Il na plus d'apparence d'un aggloméra d'objets, mais une apparition plutôt spectrale comme la tout première fois que je l'ai perçu.
« Je dois te félicité, dit-il. Tu as sue te prémunir seul, contre la possession complète. En temps normal, Il aurais fallu un prêtre ou un chaman pour t'en sortir. Mais encore faut-il que tu te débarrasse de ce monstre qui sommeil au fond de ton esprits»
« Il n'y as pas suffisamment de place dans ton esprits pour contenir plus que ce malin. Par contre, la clef est sous ton nez. »
«
Faite moi entrer, dit-il promptement. Il faut qu'on parle. »
La
dernière chose que je veut faire, c'est de faire entrer la tourment
dans mon havre de paix.
«
Vous n’irez pas plus loin que le pas de la porte, est-ce bien
claire? »
Mes
mots résonnait fortement dans le corridor, ce qui poussa l'homme du
clergé à s’entasser dans l'embrasure de la porte, me disent :
Sur
ces dire, il lança un regard derrière moi et pris la fuite. Je
n'ai pas eut le temps de me retourner qu'une voir familière mais
dérangeante retentis :
Désabusé,
je le regarde en lui demandant s'il étais encore dans ma tête, par
contre, sa réponse fut tout autre.
A
ces pieds, se trouve la chemise sale dans la quel se retrouvait
encore la carte barrée d'un X. Lorsque je vin pour la prendre, notre
esprits tourmenteur disparue et je remarqua enfin une écriture
minuscule dans la marge:
11h.
1p. 721ApE.
Wouin! ben! continue comme ça, je suis toujour sur ma faim. Tu sais très bien comment augmenter mon appétit. J'ai hâte d'avoir la suite
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