lundi 16 novembre 2015

Lune noir part9

Voila, comme promis j'ai mon chapitre de compléter et ironiquement, il y as fallut que je retire du contenus pour garder mon aspect sombre. je dois dire être de moins en moins dans ce ''mood'' gothique ces temps-ci, probablement que je vais passer à un autre texte dans les prochains jours, question de ne pas biaiser celui-ci.


Chapitre 9 Sortir un soir d'octobre

Depuis que j'ai découvert ce petit message, je n'arrive pas me l'enlever de la tête. D'autans plus que le baron semble se tenir à distance, m'observent, inquiété comme intrigué. Je dois dire que ce code me laisse perplexe. Il me semble simple d'un côté, mais de l'autre, j'ai l'impression de me tromper. 11H est probablement pour onze heure, 1P m'échappe complètement et 721ApE bien... peut-être une adresse. Par contre, je ne connais aucune rue qui pourrais avoir cette acronyme. D'un autre côté, ce pourrait être un passage dans un livre, 721ApE étant la fiche de référence, première page, à partir de la onzième lettre H. Encore faut-il que je trouve une bibliothèque qui utilise encore des fiches physique.

Les minutes passèrent dans un silence qui encore une fois me paraissait lourd. Seul le bruits de la porte de l'entrée de l'édifice se fit entendre. Il semblerais qu'encore une fois j'ai de la visite. Vaut mieux cette fois être proactifs et se préparer au pires. Rivée à l’œil de bœuf et poilons à la main, j'observe en vain à la recherche de l’inconnue. Je me rend vie à l'évidence que personne ne viens. Prenant mon courage à deux mains, j’ouvris la porte et bondis dans le corridor pour n'y voir qu'un clochard prenant place au bas des marches, là ou l'autre trépassa. Soulagé, je me prépara pour sortir, et rangea mon poilons bien-sur.

Avent de sortir, je ne pus m'empêcher de fixer le vagabond pour constater avec frayeur qu'il s’agissait du même homme.
« Vous êtes pas morts vous ? »

Ces mots ont été plus fort que ma retenus. J'espérais ne pas l'avoir froisser ou avoir a faire face à l'un de ces zombies dévoreurs de chaire. Il pris quelques instant avents de rire et de me répondre de manière glauque :
« Nous sommes de retour, voilà tout... t'aurais pas trente sous pour un café? »

Je ne sais pas ce qui est le plus étrange en ce moment, le fait qu'il me parle encore de ce fameux retour, comme s'il avait rejoints les rangs des damnés ou le faite qu'un cacabé me demande de l'argent pour un café.
« Je te rapporte quelque chose à mon retour. »

Suite à cette étrange altercation, je me mis a déambuler dans les rues commerciales du cartier de la vieil ville tout en cherchant désespérément une solution à cette énigme. Mes idées ne faisait que s'embrouiller de plus en plus quand soudainement je croisa une vieil boutique de babiole occulte. Là étais peut-être ma chance. Quand je ms les pieds à l'intérieur, je sentis tout suite cette odeurs frappante d'épices et de poussière. À droite de la porte se prolongeait des centaines de livres dont moitié avait une reliure couverte de cuire, les étalage étais remplis de bougeoirs et te crânes et autre articles estivale à ce mois d'octobre. À la caisse se trouvait une jeune dame d'une vingtaine d'année sans plus qui étais plongé dans une lecture d'un texte manuscrit contenus dans un petit livre, comme l'on peut trouver dans les magasins d'arts et bricolage.

« Excuser moi madame, avez vous idée de ce que cette carte peut êtres ? »

Son silence face à ma question dura un bon moment. Je croyait avoir fait fausse route, mais d'un geste elle sortis la même de son livre.
« Ce sont des carte de Tarot de Marseille fait par une artisane d'ici. Chacune d'entre elle sont peinte à la main... …de tout évidence, la vautre à été rejeter ; probablement une erreur dans la conception. »
Super, j'ai fait mouche! Contenant ma joie, je lui demande :
« Ho! et savez vous ou je peut la retrouver? Il semblerais que j'ai un rendez-vous avec cette personne. »

Elle regarda la carte encore une fois pour enfin remarquer l'inscription en bas de la carte. Haussant les épaules, la blondinette me dit qu'elle ne savais pas qui elle était.

« En fait, son fils nous apporte ces œuvres par moment, reprit-elle. Ce sont toujours des objets de haute qualité. »


Sur ces mots, il me vin à l’esprit l'endroit ou étais descendue l'homme qui me donna la carte, c’était à quelques pâtés de maisons d'ici, un bon point pour commencer à chercher. Comptent, de ma déduction, je décida de m'acheter un livre avant de partir. Un roman à la couverture noir et au nom sordide, Lune noir. 

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