jeudi 5 novembre 2015

Lune noir, part 7

Ho lune noir, pourquoi suis-je si ténébreux? si les autres chapitre vous laissait sur votre faim, celui-ci risquerais de vous gaver... je ne sais pas si c'est au point, je prend la chance de laisser le chapitre à ma première idée et probablement que je corrigerez la tournure du texte si je ne trouve pas de suite valable. ...je vous fait marcher, j'ai une idée précise d'ou je vais. Seul le chemin emprunter reste à  éclaircir. 

Bonne lecture!

Chapitre 7, Sombres âmes

n'écoutant que moi même, je ne fit pas attention au avertissement de cette entité mesquine, Baron samedi. Ce fut une erreur monumentale qui me plongea encore une fois dans la noirceur et l’inconscience de mes actes. Je n'ai maintenant plus le contrôle, je ne voie, ni ne sent mon propre corps. Je me sent mourir encore une fois, ayant l'impression d'entendre en murmure les sons de ce qui se passe aux alentours, mais cette mois, le sons d'une respiration persistante domine. Pourquoi, que m'arrive t-il et surtout, que dois-je faire?

Je me sent glisser inexorablement vers la noirceur avents de le songe. Cette sensation qui en temps normal me serais apaisante m'ait présentement suffocante, comme si ce sommeil me serais fatale. Dieu seul sait ce qui m'arrive... ...je me sent si vulnérable. Encore une fois, les mêmes mots retentisse. Il na plus de visage, je n'ai plus de visage. Quoi qu'il m'arrive, je dois prendre le dessus avent que ce fasse un nouveau carnage, mais comment? Si seulement je savait a quoi j'ai à faire ou à quoi.

La clef est peut-être là, je dois me définir, je dois prendre possession de ma personne. Je suis Tim, je suis Henoc Tim Smith. Je dois reprendre possession de ce corps. Je suis maître de ma personne et maître de ma destiné. Je peut le faire! Je suis Henoc, Fils de Marie et Adam Smith. Je suis Vivent!
« Je suis... sa y est. »

Ma vision revient et mes sens sont endoloris par cette courte absences. Je ne sais pas ce qui c'est passer, mais je beigne dans la crasse, au fond d'une ruelle froide. Je ne peut m'empêcher de me tâter le visage, de peur de ne pas le ressentir. C'est avec satisfaction que je sent mes traits sous cette pilosité presque lycanthrope. Je me sent affaiblie et affamé bien tout le lait que j'ai pue boire plus tôt. Dans mon malheur, j'ai tacher et déchirer mes si beau vêtements. J'ai ruiner mon manteau... au moins, je suis en vie.

Les lieux ne me sont pas familier, l'on dirais que j'ai traverser la ville, rien ici ressemble au cartiers portuaire, ni au centre ville. Avec un peut de chance, je me retrouverez.

Voila déjà quelque minutes que je marche et je constate un faits troublent ; le silence. Serte, les bruits de la ville m'encombre les oreilles, mais ni voie, ni arrière pensé m'encombre. Le silence, je ne serais dire si c'est une bonne chose, mais ça as un côté apaisent.

Je croise enfin un véhicule, un autobus de ville qui veut bien stopper son chemin pour me prendre. Sur le premier palier du véhicule, je constate qu'il me manque les vingt sous pour avoir la somme de passage.
« Ce n'est pas un problème dit-il, passer derrière. »
Une douche et au lit.   



À le voir, il semble a voir eut une soirée tout aussi perturbante que la mienne, ce dernier tremble tomme feuille au vents et il est couvert de sueur. Je n'ai rien à venter, mais il me fait pitié. Sans doute qu'il as échapper à la mort plus tôt dans la soirée, qui sait. Je vin m’asseoir au centre de l’autocar qui étais vide hors mis un homme, afro-américain tout de muscle et de rasta. Il resta sans broncher sur la banquette de côté et vain un premier sursaut dans les réseaux électrique des lumières du busse. Le busse étais soudainement remplis de ces mêmes ombres qui achalandait mon appartement. Je compris l’état du chauffeur, surtout que les ombres semble fixer les personne à leur proximité. Un second sursaut de lumière quelque instant plus tard les rendis invisible de nouveau.

L'homme noir au bras croisé avait garder une posture impeccable et une assurance hors du commun. De tout évidence, il les avait vue puisqu'il avait dévisager celui qui se trouvait assis à sa droite, mais il n'en étais pas impressionner le moins du monde et moi de même en y pensent bien. Le processus se poursuivit encore quelques fois, faisant fuir les quelques malheureux qui entrais dans le bus quelques station plus loin. Avent de quitter le véhicule, le noir me donna une carte à jouer en hochant de la tête et sorti. Cette carte étais vide d'inscription sinon un X là ou il y aurais du avoir une figure ou un nombre.


Plus d'une demi heure plus tard, l'autobus arriva enfin à la gare centrale qui étais déserter ce soir. Plus qu'une bonne heure de marche et j'étais de retour chez moi. Je laissa donc le conducteur troubler dans ces sanglots, lui disent qu'un bonne chance... quoi dire de plus. La marche qui suivit fit un vrai fardeau et je n'étais pas trop déçu d'être arriver chez moi, toujours accompagné de ce silence.

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