dimanche 22 novembre 2015

T.O.D. Part1

Bonjour, ou bonsoir, dépendamment...
J'ai enfin une première esquisse de mon texte collaboratif, mais franchement, je dois dire ne pas savoir par ou commencer, j'ai lancer ce début qui semble commencer par la fin... ou plutôt un milieux d'histoire. Bref, une bonne partis des aventures se passeront en feedback, malgré que je ne sais pas si tout va bien coller. Dites moi vos impressions, cette fois ci, plus que jamais, compteras dans le dénouement de l'histoire...

T.O.D.
  Chapitre 1

Sur le banc au côté de Tod, une jeune fille c'est endormis, épuisé d'une journées plus que mouvementé. Un jeux de chat et souris as commencer il y as déjà quelque jours a pousser nos deux ressortissant à parcourir la cité dans tout les directions. Pour finir, ce soir sur un banc de parc, dans les haut jardins des tours du centres villes ouest. Notre jeune hommes garde le fort bien qu'il ne s'en sent plus la force lui non plus.

Le ciel est peut-être assombrie par les nuages orangé par les lueur de la cités, mais leur point de vue est imprenables sur le balais des lumières dansantes des véhicules. Une brume nappe le sol, laissant croire que le ciel prenais tout la place. Seul les bruits étouffés de la villes retentissait en guise de réveille pour Tod.

Derrière eux, des pas lourd et assurer s'approchait d'eux. Un homme dans un vieux veston noir les avait retrouver. Ceux de qui il fuyait les fixait, l'air fatiguer :
« Si vous êtes pour dormir, venez donc le faire dans un lit. Vous n'avez nul parts ou aller et le périmètre est cerné de tout manière.»

Sans doute, dans tout l'histoire de la police de la cité, cette agent étais le plus courtois que Tod ai eut à faire face. Ces intentions n'étais jamais claire mais Il avait un respect envers les citoyens qui deviens rare. Que pouvait faire Tod sinon qu’obéir, il se savait dans un cul de sac.
« Je reste avec elle, quoi qu'il arrive. »

Le vieil homme resta sans bronché pendent un moment avent de répondre :
« Très bien... Prend la dans tes bras et suis mois. »

Notre jeune homme s’exécuta tans bien que mal et finis par être aider par un sous-fifre de l'agent. Une fois à l’ascenseur, délesté du poids de la jeune femme, il tendis les poignets, en attendent les menottes, mais sans jamais avoir de suite. Même après questionnement, on lui dit que ce n'étais pas nécessaire. Il ne sait pas encore, mais la demoiselle qu'il protège corps et âmes est le joyaux le plus précieux qu'il n'ai jamais eut entre les mains.


« Dit moi jeune homme, que connais tu d'elle, demanda l'agent. Comment avez vous passer sous notre vigilance en deux jours. »

Sous ces très tirer, il afficha un regard d'étonnement au policier :
« Deux jours! Deux jours seulement que je la connais et j'en suis dingue. Une demoiselle plaine histoire, une Marie Sue d’aventure et de courage... Elle en as plus que mois, çà c'est certain. »

Le policier à la tête grise souris à ces dires.
« Je vois... Vous en êtes amoureux. »

Tod se rendis compte bien en retard que ces mots avait dépasser ces pensées. Par le passé, il n'avais jamais eut de relation brusque qu'avec les mécréants et les force de l'ordre, étant un enfants perturbateur, imbus de lui même et mesquin.

« Je dois dire, repris le policier, je dois dire que vous avez de la chance d'être dans ces bonne grâce. Peut-être, ces parent en feront autant. L'ambassadeur tien à sa fille plus que tout. »

Arriver au hall d'entrée, un major les attendais pour conduire les fuyard et le policier vers une limousine noir perlé comme celle d'autre fois, un luxe bien haut delà de ce qu'un simple ambassadeur pouvait se payer. Tod comme le policier semblais se douter que le fond de la vérité leur échappait.  

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