Bonjour, ou bonsoir, dépendamment...
J'ai enfin une première esquisse de mon texte collaboratif, mais franchement, je dois dire ne pas savoir par ou commencer, j'ai lancer ce début qui semble commencer par la fin... ou plutôt un milieux d'histoire. Bref, une bonne partis des aventures se passeront en feedback, malgré que je ne sais pas si tout va bien coller. Dites moi vos impressions, cette fois ci, plus que jamais, compteras dans le dénouement de l'histoire...
T.O.D.
Chapitre 1
Sur le banc au côté de Tod, une jeune
fille c'est endormis, épuisé d'une journées plus que mouvementé.
Un jeux de chat et souris as commencer il y as déjà quelque jours a
pousser nos deux ressortissant à parcourir la cité dans tout les
directions. Pour finir, ce soir sur un banc de parc, dans les haut
jardins des tours du centres villes ouest. Notre jeune hommes garde
le fort bien qu'il ne s'en sent plus la force lui non plus.
Le ciel est peut-être assombrie par
les nuages orangé par les lueur de la cités, mais leur point de vue
est imprenables sur le balais des lumières dansantes des véhicules.
Une brume nappe le sol, laissant croire que le ciel prenais tout la
place. Seul les bruits étouffés de la villes retentissait en guise
de réveille pour Tod.
Derrière eux, des pas lourd et assurer
s'approchait d'eux. Un homme dans un vieux veston noir les avait
retrouver. Ceux de qui il fuyait les fixait, l'air fatiguer :
« Si vous êtes pour dormir, venez
donc le faire dans un lit. Vous n'avez nul parts ou aller et le
périmètre est cerné de tout manière.»
Sans doute, dans tout l'histoire de la
police de la cité, cette agent étais le plus courtois que Tod ai
eut à faire face. Ces intentions n'étais jamais claire mais Il
avait un respect envers les citoyens qui deviens rare. Que pouvait
faire Tod sinon qu’obéir, il se savait dans un cul de sac.
« Je reste avec elle, quoi qu'il
arrive. »
Le vieil homme resta sans bronché
pendent un moment avent de répondre :
« Très bien... Prend la dans tes bras
et suis mois. »
Notre jeune homme s’exécuta tans
bien que mal et finis par être aider par un sous-fifre de l'agent.
Une fois à l’ascenseur, délesté du poids de la jeune femme, il
tendis les poignets, en attendent les menottes, mais sans jamais
avoir de suite. Même après questionnement, on lui dit que ce
n'étais pas nécessaire. Il ne sait pas encore, mais la demoiselle
qu'il protège corps et âmes est le joyaux le plus précieux qu'il
n'ai jamais eut entre les mains.
« Dit moi jeune homme, que connais tu
d'elle, demanda l'agent. Comment avez vous passer sous notre
vigilance en deux jours. »
Sous ces très tirer, il afficha un
regard d'étonnement au policier :
« Deux jours! Deux jours seulement que
je la connais et j'en suis dingue. Une demoiselle plaine histoire,
une Marie Sue d’aventure et de courage... Elle en as plus que mois,
çà c'est certain. »
Le policier à la tête grise souris à
ces dires.
« Je vois... Vous en êtes amoureux. »
Tod se rendis compte bien en retard que
ces mots avait dépasser ces pensées. Par le passé, il n'avais
jamais eut de relation brusque qu'avec les mécréants et les force
de l'ordre, étant un enfants perturbateur, imbus de lui même et
mesquin.
« Je dois dire, repris le policier, je
dois dire que vous avez de la chance d'être dans ces bonne grâce.
Peut-être, ces parent en feront autant. L'ambassadeur tien à sa
fille plus que tout. »
Arriver au hall d'entrée, un major
les attendais pour conduire les fuyard et le policier vers une
limousine noir perlé comme celle d'autre fois, un luxe bien haut
delà de ce qu'un simple ambassadeur pouvait se payer. Tod comme le
policier semblais se douter que le fond de la vérité leur
échappait.
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