samedi 3 octobre 2015

Lune noir part 5

Hé oui, je commence le moi d'octobre avec une histoire sombre. va sans dire que ce qui s'en vient ne peut que m'être inspirent. l’ironie de la chose est que je n'aime pas vraiment les filmes d'horreur, encore moins les trucs gore et pourtant, je baigne dedans pour ce texte. Au sens figuratifs, je précise.

Songes Maudis

Je me réveille dans le noir, aussi tard que la veille. La froideur des lieux me conserve des chaleur infernale du cauchemars auquel je ressort. Au berge d'une île de roches volcanique encore chaude, je sortait d'une marée de corps décharnée et de sang en guise d'océan. Sous le ciel orangé par les cendres je voyait encore cette homme noir au maquillage de crane qui me pointait en riant. Je me souvient clairement de ces propos.

« Tu veux voire la lumière peut-être? Alors fais toi pousser des ailes. Dit-il suivit d'un rire lourd. Sache qu'aucune plume n'y poussera. »

Ces paroles me glace encore le sang ou est-ce que c'est la froideur du soir que s’installe déjà qui me balaie? Je n’ose me le demander. La seul idée qui me passe à l’esprit pour le moment, c'est un grand ver de lait. J'ai tans soifs de lait que j'en oublie ce que je fait. Le réfrigérateur est vide sinon une bouteille sans étiquette dont le contenus m'échappe complètement. Nul besoin de me dire que je dois descendre a l'épicerie de cartier pour me sustenter, mais avant tout; un rasage s'impose.

Maintenant positionner face au miroir j'en vient à demander pourquoi cette fois-ci je comprenait les dire de ce diable tendis qu'à la veille il avait un accent incompréhensible. Tendis que je me chauffe le visage avec un linge humide, je perçois la silhouette de ce damné se dessiner dans les vapeur agglomérer sur le miroir. Son sourire m’horrifie, mon premier réflexe fut de me retourner pour voir s 'il n'étais pas derrière moi, mais qu'importe le temps que j'y mets, je ne perçoit que les ténèbres opaque. Sans doute ai-je des relents de mes songes. Jamais je ne croirez que la folie m'emporte.

Sans doute que c'est mon imagination, mais il semblerait que la buée sur mon miroir me sourie et me fixe.

« Ho mais tu ne rêve pas Immortel, dit le miroir. Il Y as tans de place dans ton esprits que les âmes défunte s'y invite. »

Sa y est, je perd la carte, la buée de mon miroir vient de parler. Je vais poser ce rasoir avant qu'il me coupe la gorge.

« Je me représente Baron Samedi, Maintenant que je comprend ta façon de penser, tu devrais me comprendre n'est-il pas. »

Je reste pantois. Quoi dire sinon ce demander ce qui cloche chez moi.

« Ne me remercie pas, si je prendrais pas ce vite, il est fort possible qu'une seconde nuit de torture t'attend. Ne te souviens-tu pas du tors que vous avez commis avec le texan? Na tu pas souvenir dans cette noirceur des meurtres que vous avez commis au nom du pouvoir? »

Sur ces derniers mots, la buée fondit en coulisse dans un rire macabre, me laissant de terreurs et de questions qui continuons de me tarauder tout au long de ma préparation. Mais principalement, pourquoi, j'ai tans envie de lait.


Ma vie est un cauchemars depuis quelque temps , il faut que je m’éclaircisse les idées.  


...

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