Hé oui, je commence le moi d'octobre avec une histoire sombre. va sans dire que ce qui s'en vient ne peut que m'être inspirent. l’ironie de la chose est que je n'aime pas vraiment les filmes d'horreur, encore moins les trucs gore et pourtant, je baigne dedans pour ce texte. Au sens figuratifs, je précise.
Songes
Maudis
Je me réveille dans le noir, aussi
tard que la veille. La froideur des lieux me conserve des chaleur
infernale du cauchemars auquel je ressort. Au berge d'une île de
roches volcanique encore chaude, je sortait d'une marée de corps
décharnée et de sang en guise d'océan. Sous le ciel orangé par
les cendres je voyait encore cette homme noir au maquillage de crane
qui me pointait en riant. Je me souvient clairement de ces propos.
« Tu veux voire la lumière peut-être?
Alors fais toi pousser des ailes. Dit-il suivit d'un rire lourd.
Sache qu'aucune plume n'y poussera. »
Ces paroles me glace encore le sang ou
est-ce que c'est la froideur du soir que s’installe déjà qui me
balaie? Je n’ose me le demander. La seul idée qui me passe à
l’esprit pour le moment, c'est un grand ver de lait. J'ai tans
soifs de lait que j'en oublie ce que je fait. Le réfrigérateur est
vide sinon une bouteille sans étiquette dont le contenus m'échappe
complètement. Nul besoin de me dire que je dois descendre a
l'épicerie de cartier pour me sustenter, mais avant tout; un rasage
s'impose.
Maintenant positionner face au miroir
j'en vient à demander pourquoi cette fois-ci je comprenait les dire
de ce diable tendis qu'à la veille il avait un accent
incompréhensible. Tendis que je me chauffe le visage avec un linge
humide, je perçois la silhouette de ce damné se dessiner dans les
vapeur agglomérer sur le miroir. Son sourire m’horrifie, mon
premier réflexe fut de me retourner pour voir s 'il n'étais pas
derrière moi, mais qu'importe le temps que j'y mets, je ne perçoit
que les ténèbres opaque. Sans doute ai-je des relents de mes
songes. Jamais je ne croirez que la folie m'emporte.
Sans doute que c'est mon imagination,
mais il semblerait que la buée sur mon miroir me sourie et me fixe.
« Ho mais tu ne rêve pas Immortel,
dit le miroir. Il Y as tans de place dans ton esprits que les âmes
défunte s'y invite. »
Sa y est, je perd la carte, la buée de
mon miroir vient de parler. Je vais poser ce rasoir avant qu'il me
coupe la gorge.
« Je me représente Baron Samedi,
Maintenant que je comprend ta façon de penser, tu devrais me
comprendre n'est-il pas. »
Je reste pantois. Quoi dire sinon ce
demander ce qui cloche chez moi.
« Ne me remercie pas, si je prendrais
pas ce vite, il est fort possible qu'une seconde nuit de torture
t'attend. Ne te souviens-tu pas du tors que vous avez commis avec le
texan? Na tu pas souvenir dans cette noirceur des meurtres que vous
avez commis au nom du pouvoir? »
Sur ces derniers mots, la buée fondit
en coulisse dans un rire macabre, me laissant de terreurs et de
questions qui continuons de me tarauder tout au long de ma
préparation. Mais principalement, pourquoi, j'ai tans envie de lait.
Ma vie est un cauchemars depuis quelque
temps , il faut que je m’éclaircisse les idées.
...
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