mercredi 30 décembre 2015

Oui, Il y as fort longtemps que je n'ai pas poster quoi que ce soit sur ce blogue, et croyez moi que j'en suis navré. J'aime ce blogue et j'aime écrire mes histoire, mais le temps des fêtes ont été dure sur ma présence sur ce blogue à un point telle que je devrez relire certain texte pour savoir ou j'en étais rendus. et sincèrement, j'ai l'intention de me trouver un nouveau job en janvier car, j'en ai mare de travailler pour des miettes. tous de même, à environ jours de la fin de l'année, j'aimerais vous souhaiter une bonne année de succès et fructueuse en tout point!

vendredi 18 décembre 2015

message prés-noël

Voici le temps des fête arriver et comme à tout les ans, c'est le temps des rétrospectives et des résolutions. Oui, il est tôt, mais je tien à démarrer ce moment spécial maintenant, parce que j'en ai envie tout simplement

2015 fut une année difficile pour ma parts en tout point. J'ai quitter un emploie qui m'étais de plus en plus étouffant pour suivre mon cœur dan un piège qui à faillit m'être fatale. J'y ai perdu tout mes économies, mon amour, ma santé et deux petits êtres qui m'étais cher. Pour certain, des animaux de compagnie sont des objets, mais pour ma parts, comme plusieurs d'entre vous, ce sont d’abord et avant tout des membres de la familles.

Mon premier à disparaître fut mon compagnon de longue date, celui qui à Trois-Rivières c’était mériter le surnom de Viking. Il étais un guerrier et un conquérant, faisant de la ruelle son territoire ou seul quelques privilégier avait droits de passage. Il avait en lui la force paisible que l'on reconnaît dans tout grand guerrier, scrutant l’horizon, défendeur de son territoire et sa douce Mandy. Il vécut huit ans avant de fuit le nouvelle appartement que l'on devais habiter à Jonquière, en famille. Je me plais à penser qu'il est encore sur son chemin du retour à Trois-Rivières, vivent de chasse et de baston comme il la toujours fait.

Mandy fut la seconde à mettre les voiles, malheureusement, je n'ai pue la chercher puisque ce fut à mon déménagement. Chose sure, c'est qu'elle c'est sûrement déjà trouver une nouvelle famille. Elle étais une Chatte aimante et câline en plus d'être très jolie. Elle ma apporter beaucoup d'émotions par ces naissances et ces moment à fendre le cœur. Je n'oublierez jamais le pauvre chaton qui mourus dans mes mains, affaiblie par la maladie. J'ai eut beau tout faire pour le sauver, mes ce fut vain.

Bien tous ces événements, je n'en reste pas triste car je me dit chanceux d'avoir vécus ces moments. De plus, j'ai toujours leur fils Pixel, fils d'une mère aimante et d'un père guerrier. Si ces dernier étais humain, ils serait légendaire. Par contre, Pixel semble avoir hériter plus de leur défaut que de leur qualité. Malgré tout, même s'il n'est pas facile à vivre, je l'aime beaucoup et l’apprécie.

Si je peut me permettre un petit message pour celle que j'ai aimer, ne te sent pas coupable de mes malheurs car je sais reconnaître ma faute. J'ai été trop rapide et fait fuir l'oiseau. J'étais peut-être très amoureux, mais ayant toujours vécus seul, je n'ai pas sue me comporter comme l'aurais sans doute fait un amoureux. Hé puis, nos différences y sont probablement pour quelque chose. J'espère que tu saura trouver ce que tu cherche et peut-être, me comprendre. Je sais écrire de belle chose, mais ne sait pas les dire.

Que serais-je si ma mère n'aurais pas été là pour moi cette année. Elle ma permis de me relever et de retrouver un niveau de vie acceptable et je ne saurais jamais assez la remercier et encore moins lui dire à quel point elle est importante pour moi et que je l'apprécie. Je peut paraître distant et c'est tout simplement que je n'aime pas les effusions de sentiment.

Et à tout les autres, j'ai vue vos sentiments se confondre dans la médiocrité apporter par les médiats de tout parts. Si je peut me permettre de vous donner un conseil, apprenez à apprécier l’inconnu et voir les choses pour ce qu'elle sont. Trop d'entre vous sont focalisé sur les aspects négatifs et ce des tout les opinions. Vous en sortirez grandis.


Sur ce, je vous souhaites Joyeux noël, Joyeux Hanoukka et joyeuse fête d'avance à tout ceux qui me lise et bonne lecture pour ce qui s'en viens!    

jeudi 17 décembre 2015

Storyteller Part 1

Voila, je me suis décidé à commencer mon nouveau texte. Je n’arrête pas de cumuler des notes depuis quelques jours, ne pouvant pas m’ôter de la tête le rêve qui me donna cette idée.

Chapitre 1, Les forains


Voila deux semaine et 2 jours de cela qu'un jeune homme des steps de l'écosse vin vire à Londres pour Y faire ces études et travailler dans les bureaux de presse que son paternel dirige. Il mis pieds dans un appartement à la hauteur de ces moyens avec les mures d'un blanc immaculé et des boiseries en contrastes. Les lieux n'ont rien de particulier sinon que l'entrée de l'appartement est décorer d'un alcôve dans lequel se trouve une vieil carte du monde embosser dans du cuivre, un vestige de la personne qui vivait en ces murs avant lui.son appartement n'étais pas tout à fait meubler qu'il vivait de ce que la liberté lui donnais, soit de bière et de la compagnie de quelques amis.

« Bientôt, disait-il; bientôt je travaillerez pour mon père et vous verrez. Mes murs seront tapisser de mes articles et c'est autours d'une bouteilles de vin que l'on parlera de ce village d'on l'on viens. Pour l'instant, fêtons avant les labeurs. »

Ce soir, notre jeune homme, Lucas de son nom; fit une sortis en banlieue de Londres pour y retrouver une fête foraine comme il s'en fait rare de nos jours. Manèges, jeux d'adresses, bateleurs et performeurs offrait à tous et chacun bien plus que du plaisir, mais des souvenirs que l'en enfants n'oublierons jamais et les adultes conterons des semaines durant. Malgré son plaisir, notre jeune homme ne put s'empêcher de se vautrer dans la boisson, rendent désagréable sa présence et indésirée. Lorsque les forain tenta de le soustraire de la foule pour qu'il aille dégriser en retraits, son tempérament bouillant du moment l'emporta et il finit assommer par un inconnu lors d'une bataille désarticulé.

Au beau matin, c'est sur un lit de camp, adosser à une roulotte qu'il se réveille péniblement de sa mésaventure. Ni café ni œufs pour le remettre, mais seulement le bruits des forain qui démonte le camp. Avant même que Luca puisse ouvrir totalement les yeux, une voix roque le somme de se lever. Une vieil dame au habit décrépit, l'observe avec un aire désappointé.

« Vous avez causer de grand trouble jeune homme, dit-elle. Vous nous avez coûter cher par le même fait. »

Jeune au idées fertile, notre instigateur voulu proposer de rembourser au nom de sa famille, mais la dame n'en voyant pas point conte lui demanda :
« L'argent n'est pas un problème. Ce n'est pas de telle que tu nous remboursera, mais par les comptes et récits du grand livres des voyageurs auquel tu as arracher les pages la nuit dernière. Ce livre est inestimable et unique, tu te devra d'en retrouver le contenus avec ce qui en reste. »

Sur ces mots, elle lui lança un livre manuscrit plus grand que la tailles de son torse dont une odeur d'alcool émanait des pages encore des pages humides. Luca Mackay avait soudainement un poids sur les épaules qui lui traversait le cœur de honte, lui qui est un homme de lettre, avoir détruits un telle ouvrage à la couverture de cuire et au reliure de cuivre. Par sa volonté, il lui dit :
« C'est dans un livre encore plus grand et magnifique que je reviendrez. »

Après tout, ce n'est pas quelque chose de si dure a faire, se disait-il. La vielle dame lui souris d'un air narquois en acquiesçant ces dires. Après quelques échanges, les règles était fixer. Une histoire par mois pour dix histoire. Elle le contacterais à chaque fin de mois jusqu'à son retour a pareil date l’an prochain. C’était un régime stricte pour reconstituer les récits d'un livre, mais pas insurmontable pour quelqu'un qui en as les moyens se disait-il.

C'est sur ces mots que le jeune homme pris le chemin du village pour y dégriser avant de repartir vers les siens.

Le lendemain matin, son téléphones sonnait, son père, embarrassé lui demanda comment allait sa tête. Somme doute, la rumeur s'était répandus et qu'il en étais peut fier. Il étais à Lucas de se fondre en excuse. Le paternel resta muet tout au long de la prostration avant de lancer un grand soupire et de lui dire de se rendre à son bureau, ce qui fait, avec le grands livre sous le bras.

Quelques minutes plus tard, il franchis la porte de la rédaction emportant avec lui cette forte effluve qu'apporta le livre. C'est sous les regards désapprouvé qu'il cogna à la porte du bureau de son père, William Mackay. Assis sur une chaise de bois, Lucas subissait les foudres de son père discoureur :

« Je n'arrive toujours pas à digérer ce que j'ai entendus. Je croyait t'avoir élevé en gentlemen, mais du moment que je tourne le dos, tu te déprave comme si tu n'avait jamais été à l'école. Je n'ai pas payer tes éducations pour que tu finisse en rebuts de la société. As tu pensé au tors que tu fait à ta défunte mère? Que va dire ta petite sœur? Mon frère est un Alcoolique fini? C'est tu vraiment ce que tu veut? »

Avant même que Lucas puisse placer un mots, monsieur Mackay repris :
« Avec tout ce qui se dit sur toi aujourd’hui, je ne peut pas concevoir de te faire entrer dans l'équipe du journal par la grande porte sans nuire à la réputation du journal. Il va falloir que tu commence en bas de l'échelle ou que tu te trouve un autre emplois. Hé diable que tu sent mauvais! »

Encore dans les excuse, Lucas expliqua le marché qu'il pris avec les forains, ce qui ne manqua pas de dégoûter le paternel.
« T'est un idiot, répliqua William. Tu ne sait pas de quoi sont capable les gens du voyage. Les nomades ne vive pas de nos lois et encore moins quand ils se sente invité. »

Notre jeune homme dévisagea son père face à ces mots xénophobe avant ce celui-ci plaça un mots, William reprit :
« Tu ne comprend pas qu'ils ont un pouvoir que nous n'avons pas. Maintenant sort et apporte cette brique loin de mon bureau. »


La journée passa tendis que Lucas restais enfermer dans son appartement à moitié vide à fixer de son lit, le bouquin qui étais sur le sol à l'autre bout de la pièce. La nuit tomber, il se décida à ouvrir le livre et lire la première page. Le texte flous étais écrits dans un vieux français border de phrase en latin qui semblais être tout droit sortis d'un grimoire. Une fois la préface retranscrite dans un cahier de note, il s'attaqua à la première histoire. Le poing Dublinois.    

dimanche 13 décembre 2015

Storyteller Intro

Bonjour
Oui pour une fois, j'écrits le matin! J'écrits principalement car j'ai eut un rêve qui pourrais donner suite à de magnifique histoire. J’espère avoir des commentaires et suggestions en grand nombres!


Le compteur d'histoire. 
ou Storyteller

Synopse : Un jeune homme en début de carrière se retrouve dans une fête foraine et fout la pagaille après avoir consommer de l'alcool. Il se retrouve à devoir payer une somme faramineuse au près d'eux et pour se faire, il se retrouve à devoir prendre une entente qui lui semble farfelue, mais dont les conséquence sont bien réel.

« Pour Dix mois, tu devra nous rapporter des Comptes du bout du monde. »


La seule chose qui ne savait pas, c'est que ces histoire ne se trouve pas dans les livres, qu'il devra les vivres.



samedi 12 décembre 2015

Lune noir part 12

Oui, j'ai dit que ce serais pour lundi, mais je dois avouer avoir recommencer plusieurs fois ce chapitre pour mettre tout les pièce du puzzle en place. De plus, J'ai eut la flemme... j'ai beaucoup de difficulté à me motiver ces temps-ci, les relations de travaille houleuse et l'envie de changer d'air me distraits considérablement. mais bon... c'est la vie!Chapitre 1   Chapitre 2   Chapitre 3

Chapitre 12, Une goûte de trop.

Contrairement à ce que je croyait, le liquide ne me mis pas en transe, mais me donna un bon mal de bloc, je me suis réveiller sur un lit de camp dans une pièce à peine éclairer sinon le bruit des personne dans le corridor. Je me lève pour aller voir, et tombe nez à nez avec le jeune homme noir au rasta.

« Déjà réveiller! Me dit-il. Il faut croire que tu est vraiment quelqu'un d'exception. »
Sans repère sur le temps, je finis par lui demander combien de temps j'ai été inconscient.

« Trois heures, me répondit-il. En fait, Il est près de cinq heures du matin. »

« Je vois, j'ai lever le coude un peut trop avec sa potion. »

Le jeune homme me sourit avent de reprendre son nettoyage du planché et me dit :
« Ne t'en fait pas, tu na pris que ce qu'il te fallait, même si c'est beaucoup trop pour une personne. C'est une boisson qui apporte l'ivresse à l’âme et non au corps. Elle as pour effet d’adoucir les mauvais souvenirs au âmes troubler et de rendre la mémoire à ceux qui en sont à la recherche. Certaine chose devrais te revenir en ce moment. »

Je dois dire ne pas savoir si ce que j'ai en tête est de vrais souvenir ou encore de mauvais songes. Si ce qu'il me dit est vrai, je suis un vais monstre. A commencer par mon nom, je ne porte pas mon nom. Je porte le nom de l'un de mes amis s'il en étais un. Je l'ai tuer. Nous étions des truands près à tout pour l'argent, près à tuer; moi le premier. Mais un détails m'échappe. Comment se fait-il que j'ai été ce monstre ? Je ne me reconnais pas du tout dans ces souvenirs et pourquoi je ne peut aller plus loin que la nuit ou il ma attacher, La nuit ou je les ait tous tuer. Aurai-je deux personnalité?

« Sa va, interrompis celui qui nettoyait. Tu fixe le vide depuis une bonne minutes. »

Je ne fis qu'un signe de la main avant de m'éclipser maladroitement, repassent par les lieux ou se trouvait le bar de fortune qui n'ai maintenant que détritus sur ce qui reste d'un atelier abandonner. La lumière à l'extérieur me brûle les yeux et il m'ait impossible d'y voire quoi que ce soit. C'est à tâtons que je fait mes premier mètres avent d'enfin pouvoir définir les formes qui m'entoures, comme si je n'avais jamais vue le jour au paravents. C'est déboussoler par la cohue de la ville qui se réveille que je retourna péniblement chez mois, perdu, ou plutôt confus. J'en viens à me demander ou mes souvenirs pouvait bien se cacher. A la recherche d'image de sons et d'odeur familière, je repassait tout en mémoire, sans jamais trouver quelque chose qui pourrais dater d'avants cette événement, comme si je n'avais jamais exister avants, Comme si je n'étais pas moi... Je ne peut concevoir être une seconde personnalité de ce Jack, je ne veut pas être une sous conscience, mais en même temps, je ne veut pas vivre ce qui m'attend. Si Jack as réellement fait tout ce que j'ai maintenant en tête, je suis un assassin avide et froids et je préférerais nous tuer que de le laisser continuer ce qu'il fait.

J'arrive enfin aux pertes de l'établissement ou se trouve l'appartement pour lequel je commence à me demander si j'en suis réellement le locataire. L'entrée est vide, le vagabond rode probablement dans les alentours à la recherche de monnaies, ce qui fait mon affaire car je n'ai pas de qui tenir ma promesse. Plus haut dans le couloir, je trouve un papier plier en quatre sur lequel il semble y avoir eut quelques gouttes d'eau. En l'examinant, je constate que cette lettre est rédiger par l'un des prêtres dérangé qui mon harceler à l''hôpital. Je les traite de dérangé quand c'est moi qui en souffre le plus. probablement qu'ils pourrait m'aider, j'ai tans de question. Il faudrait que je retrouve cette écrivain, il semble en savoir sur mois, plus que j'en sais réellement sur moi.

En ouvrent la porte de l'appartement, j'entendis une voie caverneuse qu semblais venir directement de derrière ma tête.

« Bonjour immortel, te sent tu prêt? »

Baron samedis est de retour.

dimanche 6 décembre 2015

Lune noir Part11

Il est présentement 22:50 et je me sent sur une lancé, avec un peut de volonté, je serez bon pour vous sortir un prochain chapitre pour lundi! pour le moment, voici le chapitre 11. 

Bonne lecture!



Chapitre 11, L'arrivé de la carte

J'ai passer un bon moment à déambuler dans le cartier ou le jeune noir est descendue sans trouver une adresse ou un numéros qui puisse ressembler à ce qui se trouve sur la carte en question, je me demande même si le message n'est pas autre chose sur la carte. Les motifs rouge et or du dos de la carte me semble banale et uniforme, je n'y voie rien de spécial hors mi le message dans la marge, sinon, de l'autre côté, il y as ce grand X plutôt irrégulier et cette décoloration jaunis qui couvre la moitié de la carte.

Les rue sont déserte comme toujours et la horde d'ombre qui me suivait finis par se disperser aux aléas des rencontres peut fortuite avec des gens étranges ou terrifier. Croisant une ruelle j'entendis une radio ou bien une télévision, j'en sais rien en faite. Le point est que les médias parle de quarantaine et de couvre feux pour la populations civiles, ce qui explique le retrait des autobus et le peut de voiture rencontrer. Je commençais à désespérer quand je perçut enfin de la vie dans une allée étroite duquel une forte odeur illégal s'y dégageait. Je marchait entre ces gens dans l'ivresse pour arriver face à une porte de fer garder par un homme baraqué. Sur un bout de ruban à masquer, le numéros de la porte est écris au feutre, le 700.

Je prend une chance et lui demande ou est le 721. Sur le coup, le portier me mets la main sur le thorax avant de me pousser face contre mur. Ce dernier commence à me faire une fouille en règle en regardant par le même fait si j'étais surveiller. Une fois interrogatoire rapide sur ma personne terminer, je lui montra la carte.

« Ou tu as voler cette carte, Demande t-il en colère. Il n'y as que les membres de la familles qui ont ces cartes! »

Avec tout le sérieux et la froideur que je pouvait, je lui répond qu'un homme me l'avait donner et pour de bonne raison. Ces mots l'énerva et l'armoire à glace sortis un poing américain de sa poche avant de m'étamper dans le mur.

« Tu ne veut pas réveiller Jack, dit-je avec un sourire en coins. Ho non, tu ne veut pas réveiller Jack Cholesky. »

Je ne sais pas si pour le moment si je parle par bleuf ou menace mais mais n'en reste que l'homme en resta confus, affichant une interrogation au villages. Ce fut un instant suffisant pour qu'un homme de l'autre coté de la porte l'ouvra juste avent la première frappe. C'était lui, le noir qui me donna la carte. Il somma le portier d’arrêter, sur le coup, j'ai eut le réflexe de repousser mon assaillant avec force bien que ce n'étais pas très efficace. Une brève dispute éclata entre les deux pendent que je reprenait mes choses sur le sol avant de placer la carte dans mon bouquin.

Les chose s'en suivirent que je finis par pénétrer à l’intérieur pour traverser un bar clandestin et arriver à un corridor avec des portes de un à vingt. Nous sommes vites inviter à l'intérieur où se trouvait une jeune femme mulâtre plutôt caractérielle et une vieil femme grandement diminuer. Les lieux étais éclairer que par les lampes au lueur bleu derrières les meubles et quelques chandelles. La pièce étais très bien insonoriser, à un point que l'on n'entendais pas la musique de la piste de danse qui étais tout fois très fortes.

« Maman, dit le jeune homme, c'est celui que j'ai trouver dans le bus. »

Bien ces cataractes, elle me regarda de haut en bas pour ensuite regarder vers la porte.
« Que de grandes visites nous avons, Dit elle ruminant je ne sait quoi. Cette nouveau venus n'est pas seul, et nous avons un invité de marque entre nos murs. Tout les regards se pointa vers la porte ou l'on pouvais distinguer l'identité spectrale du Baron Samedis qui doucement s'opacifiait :
« Ma chère Anicette, cela dois faire au bas mots cents ans que l'on c'est vue. Ce sont tes descendent? »

Au fils de leur conversation, j'ai pue déterminer que la vieil femme serais arriver sur le continent sur un navire négrier et qu'elle aurais vécus bien avants. Son histoire m'en boucha un coins et c'est peut de le dire. Sur le coup, nous avions passer une bonne heures dans cette conversation, face à un thé qui ne faisait que se refroidir. Le fils de la conversation finis par tourner à mon sujets pendent le moment ou mon esprits divaguait, ce qui ne manqua pas d'exaspérer la jeune mulâtre qui étais en retraits. Acinette repris sa question :
« Je disait donc que vous devez être un autre de ces hommes qui existe dans les deux mondes, n'est-il pas ? »

« Je ne crois pas, dit-je. Ou plutôt, j'en sais rien. La seule chose que je peut dire, c'est que je suis possédé par quelque chose de très malveillant. J'espère juste que vous pourrez m'en débarrasser. »

La jeune dame qui étais en retrais s’avança vers la table en parlent d'un tons stricte :
« Vous ne manquez pas d'audace. Le jours des morts arrive à grand pas et vous pensez qu'a vous. »

J'avoue être perplexe face à ces dire. En quoi cela me concerne. Je veut bien croire que les ombres parcoure la ville, mais je vois mal pourquoi elle me fait cette remarque.

« d'ici les cinq prochain jours, repris-elle. Les portes de deux royaumes seront ouvert et probablement que notre monde finira changer à jamais si ce n'est pas simplement détruits par les forces en cause. »

Bon sa y est, elle va me dire que j'ai moins d'une semaines pour sauver le monde. La vieil dame repris sur les propos de sa descendante :

« Deux mondes ce sont ouvert à nous en ce moment, l'un est le royaumes des mort et l'autre en est un de folklore que l'on ne peut déterminer pour le moment. Vous comprendrez que votre problème n'est pas une priorité pour le moment, mais je crois pouvoir vous aider sur quelque point. »

Elle se leva et fouilla dans une étagère pour en sortir une flasque métallique couvert d'un revêtement de cuir.
« Prenez en trois gorgé, dit-elle en me la tendent. Vos souvenirs s'en libéreront. »

J' hésita un moment, mais au premier toucher sur ma langue, la saveur étais telle qu'avent de m'en rende compte j'avais dépasser de loin les trois gorgé qu'elle me dit. Une ivresse me prend soudainement, c'est ici que tout se bouscule.



samedi 5 décembre 2015

Guns G.P.G. Part3.1

Bonjour ou plutôt, bonsoir.
Je sais que je n'ai pas été très présent cette semaines, mais je me lance de ce pas sur un chapitre.
Pour l'instant, je vous laisse avec une autre partie de Guns R.P.G.

Have Fun!

Petite note, pour ces texte, je n'ai pas mis de lien vers les page précédente, mais vous pouvez y avoir accès grâce au libellés ici ou en bas de l'article.


Chapitre 3.1 : Descriptions des armes:


- Les armes blanches

Les armes blanches pour les non-connaisseurs de ce terme sont les armes tranchante ou perforante de types couteaux, poignards, fleurets et épées. Ces armes sont classées sous 2 catégories, les armes courte et longue. Ces dans les 2 cas, ils ont plusieurs notes et dés relatifs à ces notes. Ainsi, nous retrouvons dans les armes courtes noter C à 1 dé de dégâts et S à 1 dé de dégâts plus 5. allons-y avec un peut plus de concrets.

Arme courte

Noté C : canif suis, ciseaux, ciseaux à pierre, couteau à viande, coupe papier(en métal), poinçon, poing américain, tournevis.

Noté B : couteau de chasse, couteau de lancé*, couteau papillon, dague, éventail de guerre, hachette, hachoir, machette, poignard, Sai, shuriken*, kirpan, kunai*, kukri.

Noté S : baïonnette sans l’arme à feu, lame de poignet dissimulé, Rasoir tanto, tomahawk, scalpel, wakizashi.

Arme longue

Noté B : Fourche, hache, Javeline*, lance, pic à glaces

Noté A : baïonnette sur arme, épées de toute sorte, glaive, hache de guerre, katana, pilum*.

Noté S : Espadon, dai-katana, double lame, fauchard, flamberge, fleuret, hallebarde, naginata, sabre laser**, trident.

*Ces armes peuvent être lancées et donc, ne nécessite pas nécessairement de corps à corps. Par contre, le joueur doit spécifier cette action et une fois qu’il a lancé son arme, il a une chance sur 2 de la récupérer intacte, autrement, il se doits la réparer sinon, l’arme deviendra inutilisable. La portée efficiente dans cette situation est en dessous de 10 mètres.

- Arme contondante et/ou improvisée

Nous englobons ces deux catégories pour la simple et bonne raison que certaines font parti des armes non létale et incapacitante et assommée. Ce sont des armes non tranchante, principalement tenable à une main, mas pouvant être tenus à 2 mains. Dans le cas présent ou l’on tiendrait une arme contondante et/ou improvisée à 2 mains, le joueur pourrait se voir octroyé un boni de +1 sur son jet de base et un +1 sur le dégât. Ce bonus est typique des armes contondantes et ne peut être utilisé sur les armes tranchantes par exemple.

Si le joueur brasse un 6 sur son dé, il peut brasser son jet de nouveau pour assommer son adversaire. Pour se faire il doit obtenir un second 6 sur son dé, sinon, il devra prendre son second jet pour son attaque.

Pour une utilisation non létale, le joueur doit simplement le spécifier aux débuts du combat, les dégâts non létaux sont comptabilisés en parallèle aux dégâts normaux. L’adversaire perd conscience si la somme des cous donnés est égale à ces points de vie et il prend des dégâts létaux passé cette frontière.

Pratiquement toutes ces armes peuvent être lancé, ou servir à lancer autre chose dans le cas de la fronde, donc ne nécessite pas nécessairement de corps à corps. Par contre, le joueur doit spécifier cette action et une fois qu’il a lancé son arme, il a une chance sur 2 de la récupérer intacte(sauf celle indiquée d’un *), autrement, il se doit la réparer sinon, l’arme deviendra inutilisable. La portée efficiente dans cette situation est en dessous de 10 mètres.

Noté C : bâton, brique, chaise, chope en fer*, gourdin*, matraque*, marteau*, nunchaku*, petit meuble, planche, quille, roche*, tuyau.

Noté B : bokken (sabre de bois), batte de base-ball ou cricket*, canne, clef à molette*, fronde*, masse, massue, pied de biche*, sceptre*, tuyau lesté.

Noté A : fléaux d’armes, masse d’armes*, marteau de guerre*, boule de quille*

- Armes de chasse

Le fusil de chasse est pour les chasseurs de ce monde, un outil. Par contre, entre vos mains, il peut devenir une bonne arme pour contrer un ennemi. Cette arme d’épaules peut-être parfaite pour le gibier peut très bien servir en situation d’embuscade ou encore sur de longues distances. Ces dernières ont une portée maximale de 500 mètres. Prenez note que les portées maximale et moyenne diminuent de moitié si vous utilisez si vous utilisez des cartouches aux lieux de balles pleins.

Les armes de chasse à tir simple

Nous avons annoté une moyenne du dé de +2 aux calibres en général, à l’exception des mousquets et tromblon (X1+0). Notez que si l’arme ne fonctionne pas avec une cartouche, le joueur ne peut utiliser son acuité recharge rapide. Porté moyenne de 60 mètres et 30 mètres pour les mousquets et tromblon qui ont aussi une porté maximal se 75 mètres.

L’on peut aussi considérer dans cette catégorie les arcs et arbalètes (avec une pression minimale de 50 livres pour ceux qui le demandent) armés au minimum de flèches et carreaux à pointe de fer.

Arme de chasse, semi-automatique

Noté C : fusil à pompe(6 coups, chambre incluse), fusil à barillet(6 chambres). Portée moyenne de 60 mètres
Noté B : fusil de tir à longue portée avec chargeur de 5 ou 7 cartouches. Portée moyenne de 100 mètres.