dimanche 6 décembre 2015

Lune noir Part11

Il est présentement 22:50 et je me sent sur une lancé, avec un peut de volonté, je serez bon pour vous sortir un prochain chapitre pour lundi! pour le moment, voici le chapitre 11. 

Bonne lecture!



Chapitre 11, L'arrivé de la carte

J'ai passer un bon moment à déambuler dans le cartier ou le jeune noir est descendue sans trouver une adresse ou un numéros qui puisse ressembler à ce qui se trouve sur la carte en question, je me demande même si le message n'est pas autre chose sur la carte. Les motifs rouge et or du dos de la carte me semble banale et uniforme, je n'y voie rien de spécial hors mi le message dans la marge, sinon, de l'autre côté, il y as ce grand X plutôt irrégulier et cette décoloration jaunis qui couvre la moitié de la carte.

Les rue sont déserte comme toujours et la horde d'ombre qui me suivait finis par se disperser aux aléas des rencontres peut fortuite avec des gens étranges ou terrifier. Croisant une ruelle j'entendis une radio ou bien une télévision, j'en sais rien en faite. Le point est que les médias parle de quarantaine et de couvre feux pour la populations civiles, ce qui explique le retrait des autobus et le peut de voiture rencontrer. Je commençais à désespérer quand je perçut enfin de la vie dans une allée étroite duquel une forte odeur illégal s'y dégageait. Je marchait entre ces gens dans l'ivresse pour arriver face à une porte de fer garder par un homme baraqué. Sur un bout de ruban à masquer, le numéros de la porte est écris au feutre, le 700.

Je prend une chance et lui demande ou est le 721. Sur le coup, le portier me mets la main sur le thorax avant de me pousser face contre mur. Ce dernier commence à me faire une fouille en règle en regardant par le même fait si j'étais surveiller. Une fois interrogatoire rapide sur ma personne terminer, je lui montra la carte.

« Ou tu as voler cette carte, Demande t-il en colère. Il n'y as que les membres de la familles qui ont ces cartes! »

Avec tout le sérieux et la froideur que je pouvait, je lui répond qu'un homme me l'avait donner et pour de bonne raison. Ces mots l'énerva et l'armoire à glace sortis un poing américain de sa poche avant de m'étamper dans le mur.

« Tu ne veut pas réveiller Jack, dit-je avec un sourire en coins. Ho non, tu ne veut pas réveiller Jack Cholesky. »

Je ne sais pas si pour le moment si je parle par bleuf ou menace mais mais n'en reste que l'homme en resta confus, affichant une interrogation au villages. Ce fut un instant suffisant pour qu'un homme de l'autre coté de la porte l'ouvra juste avent la première frappe. C'était lui, le noir qui me donna la carte. Il somma le portier d’arrêter, sur le coup, j'ai eut le réflexe de repousser mon assaillant avec force bien que ce n'étais pas très efficace. Une brève dispute éclata entre les deux pendent que je reprenait mes choses sur le sol avant de placer la carte dans mon bouquin.

Les chose s'en suivirent que je finis par pénétrer à l’intérieur pour traverser un bar clandestin et arriver à un corridor avec des portes de un à vingt. Nous sommes vites inviter à l'intérieur où se trouvait une jeune femme mulâtre plutôt caractérielle et une vieil femme grandement diminuer. Les lieux étais éclairer que par les lampes au lueur bleu derrières les meubles et quelques chandelles. La pièce étais très bien insonoriser, à un point que l'on n'entendais pas la musique de la piste de danse qui étais tout fois très fortes.

« Maman, dit le jeune homme, c'est celui que j'ai trouver dans le bus. »

Bien ces cataractes, elle me regarda de haut en bas pour ensuite regarder vers la porte.
« Que de grandes visites nous avons, Dit elle ruminant je ne sait quoi. Cette nouveau venus n'est pas seul, et nous avons un invité de marque entre nos murs. Tout les regards se pointa vers la porte ou l'on pouvais distinguer l'identité spectrale du Baron Samedis qui doucement s'opacifiait :
« Ma chère Anicette, cela dois faire au bas mots cents ans que l'on c'est vue. Ce sont tes descendent? »

Au fils de leur conversation, j'ai pue déterminer que la vieil femme serais arriver sur le continent sur un navire négrier et qu'elle aurais vécus bien avants. Son histoire m'en boucha un coins et c'est peut de le dire. Sur le coup, nous avions passer une bonne heures dans cette conversation, face à un thé qui ne faisait que se refroidir. Le fils de la conversation finis par tourner à mon sujets pendent le moment ou mon esprits divaguait, ce qui ne manqua pas d'exaspérer la jeune mulâtre qui étais en retraits. Acinette repris sa question :
« Je disait donc que vous devez être un autre de ces hommes qui existe dans les deux mondes, n'est-il pas ? »

« Je ne crois pas, dit-je. Ou plutôt, j'en sais rien. La seule chose que je peut dire, c'est que je suis possédé par quelque chose de très malveillant. J'espère juste que vous pourrez m'en débarrasser. »

La jeune dame qui étais en retrais s’avança vers la table en parlent d'un tons stricte :
« Vous ne manquez pas d'audace. Le jours des morts arrive à grand pas et vous pensez qu'a vous. »

J'avoue être perplexe face à ces dire. En quoi cela me concerne. Je veut bien croire que les ombres parcoure la ville, mais je vois mal pourquoi elle me fait cette remarque.

« d'ici les cinq prochain jours, repris-elle. Les portes de deux royaumes seront ouvert et probablement que notre monde finira changer à jamais si ce n'est pas simplement détruits par les forces en cause. »

Bon sa y est, elle va me dire que j'ai moins d'une semaines pour sauver le monde. La vieil dame repris sur les propos de sa descendante :

« Deux mondes ce sont ouvert à nous en ce moment, l'un est le royaumes des mort et l'autre en est un de folklore que l'on ne peut déterminer pour le moment. Vous comprendrez que votre problème n'est pas une priorité pour le moment, mais je crois pouvoir vous aider sur quelque point. »

Elle se leva et fouilla dans une étagère pour en sortir une flasque métallique couvert d'un revêtement de cuir.
« Prenez en trois gorgé, dit-elle en me la tendent. Vos souvenirs s'en libéreront. »

J' hésita un moment, mais au premier toucher sur ma langue, la saveur étais telle qu'avent de m'en rende compte j'avais dépasser de loin les trois gorgé qu'elle me dit. Une ivresse me prend soudainement, c'est ici que tout se bouscule.



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