Oui, j'ai dit que ce serais pour lundi, mais je dois avouer avoir recommencer plusieurs fois ce chapitre pour mettre tout les pièce du puzzle en place. De plus, J'ai eut la flemme... j'ai beaucoup de difficulté à me motiver ces temps-ci, les relations de travaille houleuse et l'envie de changer d'air me distraits considérablement. mais bon... c'est la vie!Chapitre 1 Chapitre 2 Chapitre 3
Chapitre
12, Une goûte de trop.
Contrairement
à ce que je croyait, le liquide ne me mis pas en transe, mais me
donna un bon mal de bloc, je me suis réveiller sur un lit de camp
dans une pièce à peine éclairer sinon le bruit des personne dans
le corridor. Je me lève pour aller voir, et tombe nez à nez avec le
jeune homme noir au rasta.
«
Déjà réveiller! Me dit-il. Il faut croire que tu est vraiment
quelqu'un d'exception. »
Sans
repère sur le temps, je finis par lui demander combien de temps j'ai
été inconscient.
«
Trois heures, me répondit-il. En fait, Il est près de cinq heures
du matin. »
«
Je vois, j'ai lever le coude un peut trop avec sa potion. »
Le
jeune homme me sourit avent de reprendre son nettoyage du planché et
me dit :
«
Ne t'en fait pas, tu na pris que ce qu'il te fallait, même si c'est
beaucoup trop pour une personne. C'est une boisson qui apporte
l'ivresse à l’âme et non au corps. Elle as pour effet d’adoucir
les mauvais souvenirs au âmes troubler et de rendre la mémoire à
ceux qui en sont à la recherche. Certaine chose devrais te revenir
en ce moment. »
Je
dois dire ne pas savoir si ce que j'ai en tête est de vrais souvenir
ou encore de mauvais songes. Si ce qu'il me dit est vrai, je suis un
vais monstre. A commencer par mon nom, je ne porte pas mon nom. Je
porte le nom de l'un de mes amis s'il en étais un. Je l'ai tuer.
Nous étions des truands près à tout pour l'argent, près à tuer;
moi le premier. Mais un détails m'échappe. Comment se fait-il que
j'ai été ce monstre ? Je ne me reconnais pas du tout dans ces
souvenirs et pourquoi je ne peut aller plus loin que la nuit ou il ma
attacher, La nuit ou je les ait tous tuer. Aurai-je deux
personnalité?
«
Sa va, interrompis celui qui nettoyait. Tu fixe le vide depuis une
bonne minutes. »
Je
ne fis qu'un signe de la main avant de m'éclipser maladroitement,
repassent par les lieux ou se trouvait le bar de fortune qui n'ai
maintenant que détritus sur ce qui reste d'un atelier abandonner. La
lumière à l'extérieur me brûle les yeux et il m'ait impossible
d'y voire quoi que ce soit. C'est à tâtons que je fait mes premier
mètres avent d'enfin pouvoir définir les formes qui m'entoures,
comme si je n'avais jamais vue le jour au paravents. C'est
déboussoler par la cohue de la ville qui se réveille que je
retourna péniblement chez mois, perdu, ou plutôt confus. J'en viens
à me demander ou mes souvenirs pouvait bien se cacher. A la
recherche d'image de sons et d'odeur familière, je repassait tout en
mémoire, sans jamais trouver quelque chose qui pourrais dater
d'avants cette événement, comme si je n'avais jamais exister
avants, Comme si je n'étais pas moi... Je ne peut concevoir être
une seconde personnalité de ce Jack, je ne veut pas être une sous
conscience, mais en même temps, je ne veut pas vivre ce qui
m'attend. Si Jack as réellement fait tout ce que j'ai maintenant en
tête, je suis un assassin avide et froids et je préférerais nous
tuer que de le laisser continuer ce qu'il fait.
J'arrive
enfin aux pertes de l'établissement ou se trouve l'appartement pour
lequel je commence à me demander si j'en suis réellement le
locataire. L'entrée est vide, le vagabond rode probablement dans les
alentours à la recherche de monnaies, ce qui fait mon affaire car je
n'ai pas de qui tenir ma promesse. Plus haut dans le couloir, je
trouve un papier plier en quatre sur lequel il semble y avoir eut
quelques gouttes d'eau. En l'examinant, je constate que cette lettre
est rédiger par l'un des prêtres dérangé qui mon harceler à
l''hôpital. Je les traite de dérangé quand c'est moi qui en
souffre le plus. probablement qu'ils pourrait m'aider, j'ai tans de
question. Il faudrait que je retrouve cette écrivain, il semble en
savoir sur mois, plus que j'en sais réellement sur moi.
En
ouvrent la porte de l'appartement, j'entendis une voie caverneuse qu
semblais venir directement de derrière ma tête.
«
Bonjour immortel, te sent tu prêt? »
Baron
samedis est de retour.
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