samedi 12 décembre 2015

Lune noir part 12

Oui, j'ai dit que ce serais pour lundi, mais je dois avouer avoir recommencer plusieurs fois ce chapitre pour mettre tout les pièce du puzzle en place. De plus, J'ai eut la flemme... j'ai beaucoup de difficulté à me motiver ces temps-ci, les relations de travaille houleuse et l'envie de changer d'air me distraits considérablement. mais bon... c'est la vie!Chapitre 1   Chapitre 2   Chapitre 3

Chapitre 12, Une goûte de trop.

Contrairement à ce que je croyait, le liquide ne me mis pas en transe, mais me donna un bon mal de bloc, je me suis réveiller sur un lit de camp dans une pièce à peine éclairer sinon le bruit des personne dans le corridor. Je me lève pour aller voir, et tombe nez à nez avec le jeune homme noir au rasta.

« Déjà réveiller! Me dit-il. Il faut croire que tu est vraiment quelqu'un d'exception. »
Sans repère sur le temps, je finis par lui demander combien de temps j'ai été inconscient.

« Trois heures, me répondit-il. En fait, Il est près de cinq heures du matin. »

« Je vois, j'ai lever le coude un peut trop avec sa potion. »

Le jeune homme me sourit avent de reprendre son nettoyage du planché et me dit :
« Ne t'en fait pas, tu na pris que ce qu'il te fallait, même si c'est beaucoup trop pour une personne. C'est une boisson qui apporte l'ivresse à l’âme et non au corps. Elle as pour effet d’adoucir les mauvais souvenirs au âmes troubler et de rendre la mémoire à ceux qui en sont à la recherche. Certaine chose devrais te revenir en ce moment. »

Je dois dire ne pas savoir si ce que j'ai en tête est de vrais souvenir ou encore de mauvais songes. Si ce qu'il me dit est vrai, je suis un vais monstre. A commencer par mon nom, je ne porte pas mon nom. Je porte le nom de l'un de mes amis s'il en étais un. Je l'ai tuer. Nous étions des truands près à tout pour l'argent, près à tuer; moi le premier. Mais un détails m'échappe. Comment se fait-il que j'ai été ce monstre ? Je ne me reconnais pas du tout dans ces souvenirs et pourquoi je ne peut aller plus loin que la nuit ou il ma attacher, La nuit ou je les ait tous tuer. Aurai-je deux personnalité?

« Sa va, interrompis celui qui nettoyait. Tu fixe le vide depuis une bonne minutes. »

Je ne fis qu'un signe de la main avant de m'éclipser maladroitement, repassent par les lieux ou se trouvait le bar de fortune qui n'ai maintenant que détritus sur ce qui reste d'un atelier abandonner. La lumière à l'extérieur me brûle les yeux et il m'ait impossible d'y voire quoi que ce soit. C'est à tâtons que je fait mes premier mètres avent d'enfin pouvoir définir les formes qui m'entoures, comme si je n'avais jamais vue le jour au paravents. C'est déboussoler par la cohue de la ville qui se réveille que je retourna péniblement chez mois, perdu, ou plutôt confus. J'en viens à me demander ou mes souvenirs pouvait bien se cacher. A la recherche d'image de sons et d'odeur familière, je repassait tout en mémoire, sans jamais trouver quelque chose qui pourrais dater d'avants cette événement, comme si je n'avais jamais exister avants, Comme si je n'étais pas moi... Je ne peut concevoir être une seconde personnalité de ce Jack, je ne veut pas être une sous conscience, mais en même temps, je ne veut pas vivre ce qui m'attend. Si Jack as réellement fait tout ce que j'ai maintenant en tête, je suis un assassin avide et froids et je préférerais nous tuer que de le laisser continuer ce qu'il fait.

J'arrive enfin aux pertes de l'établissement ou se trouve l'appartement pour lequel je commence à me demander si j'en suis réellement le locataire. L'entrée est vide, le vagabond rode probablement dans les alentours à la recherche de monnaies, ce qui fait mon affaire car je n'ai pas de qui tenir ma promesse. Plus haut dans le couloir, je trouve un papier plier en quatre sur lequel il semble y avoir eut quelques gouttes d'eau. En l'examinant, je constate que cette lettre est rédiger par l'un des prêtres dérangé qui mon harceler à l''hôpital. Je les traite de dérangé quand c'est moi qui en souffre le plus. probablement qu'ils pourrait m'aider, j'ai tans de question. Il faudrait que je retrouve cette écrivain, il semble en savoir sur mois, plus que j'en sais réellement sur moi.

En ouvrent la porte de l'appartement, j'entendis une voie caverneuse qu semblais venir directement de derrière ma tête.

« Bonjour immortel, te sent tu prêt? »

Baron samedis est de retour.

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