jeudi 30 juillet 2015

30-07-15

Windoge 10! Such a win, so mush wow...

Oui, j'ai fait la mise a niveau de Windows pour passer de la version 7 à 10. Pour ceux qui ne l'on pas encore fait, voici quelques astuce pour un bon déroulement.

1: Faite un Back-up des fichiers que vous voulez garder. Bien que la mise a niveau n'efface pas vos fichier personnel, il se peut fort bien que l'installation échoue et que vous soyez pris pour réinstaller une version de Windows antérieur en formatant vos donnés.

2: Passer par Windows Update. Oui, c'est long, mais mais vous n'aurez pas à vous casser la tête pour faire la mise à niveau. Il va tout faire lui même

3: Patientez. L'installation est terriblement longue.

4: En cas de pépin contacter le staff de Microsoft. Ils s'on là pour çà et c'est gratuits.


Première avis

Je dois dire ne pas apprécier le look global de la bar de menu, unicolore et les fenêtre aux pointes au pixel près. Ayant connus Windows 3.1, je trouve que c'est un gros retour en arrière question désigne.

Pour le reste par contre, c'est la joie! Plus rapide, plus de fonctionnalité et une auto gestion d'enfer!

Y as certain bogue que je peut relater qui me font regretter mon choix. Le premier étant qu'il désactive mon clavier et ma souris quand il est en veille prolongé. comment voulez vous que je retourne sur l'ordi si je ne peut pas utiliser la souris ou le clavier.

Ce matin, je n'ai plus accès au menu pour une raison que j’ignore et encore, quand je veut accéder au paramètre, il me fait une erreur.
Exemple: si je fait clic droit sur le bureau et que j'appuis sur personnalisé, il me sort une erreur bidon comme de quoi, aucun programme est lier à la commande.

Au moins, j'ai accès à la version Minecraft Win10... enfin, je l’espère.

mardi 28 juillet 2015

Les rêveries d'Aurélie part2

Près d'une heure et demis plus tard que la date donné pour le texte, c'est qu'en même pas si mal pour quelqu'un qui rageait sa vie pour une sauvegarde manqué... 
Je n'ai pas à me plaindre par contre, ma première fin de chapitre étais loin d’être fameuse. dite moi ce que vous en pensez!
chapitre 1 ici

Les rêveries d'Aurélie

Chapitre 2, le temps d'une rencontre

Plus de 3 jours c’était passer depuis l'histoire dans le parc. Trois jours à chercher à comprendre ; trois jours avec une montre sur la commode. Elle n’osait pas la toucher par peur de rester coincé dans cette entre deux, ce monde qui n'existe pas, sinon que pour elle même et peut-être le Garçon du parc. Le fait est qu'elle ne la pas revu depuis ce temps. Peut-être est-il lui aussi dans cette incertitude, peut-être qu'il as peur d'elle, qui sais. Néanmoins la vie continue son cour et ces événements ont pris leur place dans les souvenirs.



« Aurélie je vais à l’épicerie; viens tu? »
La voie de sa mère retentissait dans le couloir, madame Myelle voulais initier sa fille à la pâtisserie, en commençant par l'achat et la connaissances des ingrédient. Sans dire, notre jeune fille fit qu'un pas et elle étais enfin prêtes à sortir. Au menus du jours, gâteau forets noir! Elle avais bien hâte de mettre la main à la pâte, aussi bien figurativement qu'illustrer. En Quelque instant elles se trouvèrent au marché à choisir farine, cacao, œufs et sucre.



Au abord de la troisième allée, le sourire d'Aurélie s'estompa. Sans crier gare, elle empoigna le devants du panier et entra dans la seconde allée. Sa mère surprise, lui lança :
« Non, attend! Il faut aller chercher de la viande pour souper (ou dîné si vous êtes de France) »
Sur ces propres mots, Myelle compris aussitôt. Elle tourna la tête et vie le garçon du parc.
« Ha, c'est lui! Il est pas un peut vieux pour toi? »
Myelle lança la main au jeune homme en question en l'invitant à venir tendis qu'Aurélie consterner, dévisage sa mère et lui disent à voie basse :
«Non, ne l'appelle pas, je ne veut pas ! »



Curieux de cette dame, le jeune home arriva pour finalement comprendre ce qui se passait en voyant notre héroïne.
« Aurélie, quel plaisir; je suppose que vous devez être sa mère?...»
La conversation engagé entre le jeune homme et Myelle, laissa notre jeune fille sans dire, elle détournais le regard espérant se faire oublier en vain, car celui-ci l'interpella plutôt rapidement.
«Au faite, tu tombe bien, j'ai quelque chose pour toi.»
Il sortis une vieil lampe de poche en acier inoxydable de son sac à bandoulière. La lampe de poche en question devais dater des années soixante environ elle était tout d'acier ondulé. Le logos étais riveté à la base du manche et il y avait deux boutons plus haut. L'un pour le mettre en marche ou en arrêt et l'autre pour faire des signaux lumineux. (basé sur une Ray-O-Vac S22M pour être plus précis) Celle-ci étais de toute évidence lester de ces batteries



Confuse, Aurélie demanda : - Que veut tu que j'en fasse?
« Prend la, dit le jeune homme. Dit moi ce que sa t'inspire. »
Aussitôt prise, elle dit qu'elle ne savait pas, peut-être un cambriolage, mais Myelle n'en entendis pas une bride car tous ce qu'elle vu, c'est sa fille prendre la lampe torche, avoir une étincelle dans les yeux pendent quelque seconde et revenir a elle en disent : - Je vois...



« j'en sais rien dit notre jeune fille, un cambriolage peut-être ? »
Manipulant la lampe de poche tout bord tout côté, elle finit par s’éblouir d'un geste maladroit. Dés lors, les bruits du super marché c’était estomper et les lumière éteinte. Quand elle finit par braquer le faisceau de lumière vers le jeune homme, celui ci étais maintenant en bleu de travail avec une cagoule sur la tête, et elle aussi d’ailleurs.
« Mon dieux, mais quel idée folle! C'est génial comme histoire! »
Contrairement à Aurélie, le jeune homme étais tout enthousiasmer d’être l'acteur de ce cambriolage improviste. Il couru à pas feutrer jusqu'à l'autre bout de la rangé et revint sur le champ avec un tout autre air au visage, celui de la surprise.
« Un gardien viens de franchir l'entré, chuchota notre malfaiteur en herbe, Je crois qu'il ma aperçue. »
Pendent que le bruits clinquant des chaussures du gardien se rapprochait, le jeune homme lui demanda ou elle trouva cette idée et elle de lui répondre que c’était la première chose qui lui passait par l’esprit.
« Mais pourquoi tu nous as amener ici? Demanda-elle. »
Encore incrédule de ce que lui avait dit le jeune homme la dernière fois, elle ne pouvais concevoir qu'elle pouvais ainsi être à l’origine de ces déboires.
« J'y suis pour rien, dit le filou. C'est toi qui choisi. Aussi, je ne serais pas contre l'idée de revenir à la réalité...»



Les pas de l’agent de sécurité se faisait entendre de plus en plus, c'est dés ce moment qu'Aurélie eut l'idée de prendre un objets dans l’étagère et de le lancer à environ trois rangé par dessus les étagères. Aussitôt le bruits retendis, le garde accouru vers le bruits. La silhouette du garde dessiné sur le sol par les néon de l'entrée montrais clairement que celui-ci avait sortis son arme de service et approchait de l'objet lancé ultérieurement. La boite de levain avait trahis l'emplacement de nos deux voyous, le garde avait tôt fait d'arriver au tournant des étagères des sac de farines et épices pour n'y trouver personne sinon que des trace de pas dans la fine couche de farine qu'un des sac percé avait laisser sur le sol. D'un éclaire de génie, le garde accouru vers les bureaux ou se trouvait le coffre fort sans pour autans penser que nos deux protagoniste en combinaison de travail l'attendait à la sortie de l'étalage avec l'une des poêles à frire en spécial à seulement 19.99$ et de l'huile d'olive répandue sur le sol. Le poêlons fut inutile car le gardien s’assomma sur le sol en mettant le pied dans l'huile.



Aurélie étais fort amuser par ce qui venais de se passer. Pendent que les deux retournais ver l'endroit ou ils étaient, notre jeune homme redit son envie de retourner à leur réalité. Du coup Aurélie lui répondit :
« Ne me demande pas çà à moi, ce n'est pas comme si j'avais le pouvoir faire çà. Ce n'est pas comme si on étais dans un jeux vidéo.»
Le jeune homme leva le dois et dit :
« Avoue que tu y pense en se moment. »
« Bien ouai, pourquoi pas? Répondit-elle d'un air niait, ce n'est pas comme si c’était le cas. »
Tout deux se retourna vers l'endroit ou étais le garde, mais celui-ci s’était volatiliser et du même coup, ils virent un autre garde entrer, avec la même démarche, les même mouvements.
Le jeune homme la fixa dans les yeux et lui dit a mi-tons :
«Tu me crois maintenant? C'est toi qui décide des règles ici, c'est toi qui as un dons. Je ne sais pas pourquoi je peut voyager avec toi dans ces mondes, ni pourquoi, mais s'il as une chose que je suis sure, c'est que tu peut nous sortir d'ici. Tu dois trouver ce qui nous ramèneraient à la réalité.



Aurélie se mis à chercher dans ces pensés quand soudainement tout devin blanc. Les bruits du supermarché revins et finalement le décors.
Aurélie laissa échapper un -Je vois.
Elle scruta les lieux vite fait et ne vit ni farine, ni huile sur le sol. Les boites de levures étais toujours en place e tout deux avait retrouver leur apparences citadines.



D'un air incertain, elle retendis la lampe torche au jeune homme et lui dit :
« Finalement, je pence que je vais te la laisser. C'est trop bizarre... je vais dire un peut comme toi, sa ne fait pas de bonne histoire.»
« J'en conviens. Dit le jeune homme, je trouverez mieux la prochaine fois. »



Myelle, la mère d'Aurélie restas perplexe face à ce bref moment qui venais de se passer et n'y comprenais pas grand chose. Du coup, elle demanda ce qui venais de se passer. Aurélie lui répondue de manière évasive que c’était une longue histoire, ou plutôt plusieurs. Le jeune homme ne pue qu’acquiescer d'un hochement de la tête.
« Bien, vous m'expliquerez çà ce soir au souper, je t'invite et il y aura du gâteau pour dessert! »



Il esquissa un grand sourire avants de dire :
« Ha bien, si vous me prenez par les sentiments, comment refuser! »



La conversation fut brève et le jeune homme repartis faire ces courses et mère et fille en firent autant.



-Chnoute! J'y ai toujours pas demander son nom...



dimanche 26 juillet 2015

L.S. Northwall part1

ce texte est à l'opposé de ce que j'ai pue poster en terme d'univers ce moment. les chapitre par contre se trouve à être par date (pour le moment) et ne sont en aucun cas de dimension égale alors, ne vous étonnez pas de voir que le premier est si court, dés le troisième chapitre, l'on double déjà la longueur... Dite moi ce que vous en pensez!

 L.S. Northwall


1er Octobre 2078

Une jeune femme vêtus d’un uniforme commercial entre dans une chambre d’hôpital ou réside plus particulièrement un adolescents assoupis. Le soleil éclair la pièces peinte d’un jaune pastel, faisant reluire le chrome des armatures hospitalier. Elle vain s’asseoir à son chevet, sur la chaises qui se trouve à la droites du patient :

« oui, je sais, je suis en retard encore, mais au moins je suis la. Comme toujours, le travail ma mis dans le trouble. J’ai encore manquer l’examen de cessions, tout çà pour un clients qui est rester la tête coincé dans un bocal. Des fois, j’en ai mare de me faire draguer par des imbéciles. Au moins, ils ne viendra plus m’énerver au travail, il c’est fait mettre sur la liste noir du commerce. En tous cas…

hier soir, au journal de 18:30, ils ont enfin parler de l’essaie du réacteur du docteur Euclide Northwall. Tsé, le fameux physicien qui réussis à démontrer que la vitesse de la lumière n’est pas absolue, mais bon, tu sais déjà tout ça. Si seulement p-tit frère, tu pouvait voir cette engins à la télévision.... je suis vraiment désolé pour toi. Si tu pouvais un jours sortir de ton comas… au moins tu sais pas qu’en trois semaines, ta blonde est partis, et ta perdu ton job aux restaurent, tout ça pour une stupide manifestations. Comme si tu pouvais empêcher le progrès. Pauvre toi.

Il n’en reste pas moins que l’engin est terminer et sur orbite. Reste plus qu’a espérer qu’il ne nous pètes pas au visages comme dit toujours Mathieu. Le premier prototype de vaisseau inter planétaire terrestre, sa fait drôle à entendre, tu ne trouve pas? Le premier voyage sur mars va sembler tellement futile après ça. Si tu entendait les échos que tu as créer par ta protestations, mais des fois c’est pas très efficace même quand la terre entière en parle. J’espère juste que tes crainte sois pas fonder. Moi aussi j’ai un peut peur. Sa dois être normal en fin de conte, c’est l’inconnu, le danger peut-être? Ou peut-être pas…


Eish, l’infirmière me fait déjà savoir que je dois partir. Bisou, on se revois demain. Dort bien. »

26-07-15

Comment perdre l'attention des lecteur:
étape 1, diminuer le nombre de texte drastiquement
étape 2, poster un minimum de billet
étape 3, perdre son temps a faire d'autre chose.

Bref, en 3 jours, il n'y as eut aucune visite et c'est bien ma faute...

Je réinitialisée ce que je disait sur les textes que je devais poster. je vais plutôt en poster entre 2 et 3 par semaines sinon, je perd totalement votre attention.

Prochain texte: L.S. Northwall. mon texte Les rêveries d'Aurélie est a refaire, j'ai perdu une bonne partie de mon texte due à une perte de courant et je dois me retaper la moitié de mon second chapitre...

mercredi 22 juillet 2015

22-07-15

Oui, je sais, je ne donne pas beaucoup de nouvelle... pour faire simple, je suis sur la suite du texte Les rêveries d'Aurélie et je galère a mettre mes idées en place. j'aurais vraiment pas due promettre à ma sœur que ce saurais le prochain chapitre que je publierez sur le blog.

En plus, j'ai découvert Un nouveau MMOrpg qui me gruge tout mon temps. SkyForge de son nom. Graphiquement très beau avec un gameplay super, et un monde, disons... intéressent.
Je vous laisse le découvrir: http://sf.my.com/us

Ho, et si je n'ai pas terminer ce dont je parlais plus haut, je vais vous poster un autre manuscrit lundi prochain et posterez la suite des rêveries d'Aurélie dans le courent de la semaines qui viens.


Edit:
Je viens de voir le format du second chapitre des pilotes du Bonnet-Blanc et m'excuse pour le format presque illisible. correction effectuer.

lundi 20 juillet 2015

Les pilotes du Bonnet-Blanc part 2

Comme promis, voici la seconde partie du texte Les pilotes du Bonnet-Blanc
chapitre 1 ici

Chapitre 2
Nuit banche

Un coup de feux retentis dans la nuit, et il était très proche. Il n'y eut pas une seconde de perdu pour que tous le monde fut sur un pied d'alerte. Gabriel rentra dans la cuisine, pistolet à la main en somment Sylvestre de ce lever.
«fait vite ! Ils veulent le paquet.»

Ces vêtement sous le bras, Sylvestre descendit les marches du deuxième étages ou ce trouvais les chambres. Il étais suivis de son frère et de son père qui lui étais armée d'un vieux tromblons. À peine le pieds mis sur le sol de la cuisine que l'un de ces assaillant avais franchis le pas de la porte arrière. D'un seul geste, Gabriel Pointa et tira sur l’inconnue vêtus de noir.
«L'avion est déjà près ! relança notre Gabriel. Dépêchons nous, ils doivent être une dizaines et j'ai pas autans de balles!»
Sylvestre resta pantois quelque instant jusqu'à ce que son grand frère lui plaque le paquet à peine plus grand qu'une boite à chaussure contre le torse et lui lance avec un air mécontent :
«Dégage d'ici, je m'occupe de protégé maman.»

Une fois à l'extérieur nos deux héros suivi de Monsieur Boulogne découvris avec stupeur que ces silhouettes noir étais partout autours du domaines et même sur le toit. Ce fut un sprint pour rejoindre la grange et tendis que les 2 partenaire s’affairait à ouvrir tout grandes les portes de la grange, monsieur Boulogne tenais à distances ces inconnus qui avais plus de ressemblance avec des somnambules que des soldats bien leur adresses hors norme.

Les menaces et affront de monsieur Boulogne laissa place à des soubresaut de panique lorsqu'il vit que ces gens se déplaçait avec énormément de rapidité. Cette détresse ne manqua pas d'alerter Sylvestre lorsque l'avion commença à sortir et prendre son élans.
«Gabriel ! Mets la mitrailleuse sur le rail, vites!»
«Je fait ce que je peut ! Répondit Gabriel qui avec empressement n’arrivait pas à amarrer la mitrailleuse. Le canon sur le bras enrouler de coton mouillé, il lança une première salve en direction de la coure arrière alertant ces masses noir qui ont tôt fait de partir à la poursuite de l’avion qui tans bien que mal n'arrivait pas à les distancer. Seul le canon rougeoyant de Gabriel venais à bout de les distancer. De bipède à quadrupèdes ces masse ce sont mis à les suivre. Plus ils courait vites, plus ils salutaire haut, forçant le pilotes à toujours prendre d'altitudes ne laissant derrière eux qu'une marée sombre grouillant au sol.

«Nom de dieux, mais c’était quoi ça? Et qu'est-ce qui est arriver à papa?»
«Surtout ne fait pas demis tours, ils nous suivent encore, sa grouille au sol derrière nous ! On dirais qu'ils sont maintenant des centaines...»

Avant même qu'ils s'en rendirent comte ils avait commencer à voler à travers des nuages sombres de la nuits, chargé d'énergie. L'épais couvert nuageux semblais s'étendre à perte de vue, mais l'orage, si tempêtes il y avais; semblait se contenir. Passer quelque heures à suivre les vents, perdu dans immensité de ce ciel nuageux.

«Gabriel, il faut atterrir, je tombe de fatigue. hé puis... je crois que nous les avons semer.»
«C'est bon, trouvons un endroit ou atterri.»

La vue près du sol étais stupéfiante. Le couver nuageux qu'ils avait traverser les avais probablement amener bien au delà des reliefs de la France. Ces coteaux et plaines sauvage, couper de ruisseau et de falaise abrupte ne ressemblais en rien ce qu'ils ont pue voir par le passé. Ils leur fallut un bon moment pour apercevoir ne serai-ce qu'un sentier qui semblais suffisamment carrossable pour atterrir.

Une fois le pied à terre, les deux hommes commencèrent leur inspections de routine. Vue les événements qui ce sont passer, ils ont été fort comptent de voir que la chance leur avais sourie, seul une marque sur la queue de l'appareil étais visible, rien qui ne pouvais être réparer sommairement.
«Nous l'avons échapper belle... Enfin, presque; reprit Gabriel en repensent au fait de la nuit passé. Je... je suis désolé. J’espère qu'ils n'ont rien.»
Sylvestre souris comme il put, bien sa fatigue et son amertume.
«Tu est un homme vaillant Gabriel, Sache que je l'apprécie. Va soigner ta brûlure au ruisseau, je vais faire une sieste en attendent et l'on prendra un petit déjeuné à ton retour.»
«J'apporte la Casserole pour rapporter de l'eau à bouillir.»



dimanche 19 juillet 2015

19-07-15

Qui je suis?
C'est probablement une question que vous vous êtes poser à mon sujets en voyant ce blog. Bien ma réponse est simple, je suis moi. sans vous résumer le titre de mon blogue, je vais vous dire ce que je sais de mois et vous en jugerez par cous même.

Surprise! Je ne suis pas un écrivain. j'aime les histoires, mais n'aime pas lire de roman et comme vous l'avez pue remarquer, mon français est loin d'être parfait. si ce n'étais pas de mes performance en oral, je n'aurais pas obtenue la note de passage pour mon diplôme d'études secondaire.

Un musicien? Plus ou moins, mes talents en musique son contestable, et je n'ai jamais eut de formation en soit. Par contre, vous l'aurez vue j'aime la musique et j'aime composer avec et pour.

Un artiste? Si je dit non, je vais me faire taper sur les doigts par tout ceux qui me connaisse, alors oui, probablement... j'ai du mal à cerner la définition d'artiste, j'ai peut-être du talent mais certainement pas l'attitude. J'ai beaucoup de mal à définir un produit que je fait comme finis et quand  je le fait, sa ne plais pas aux autres une fois sur deux.

Un touche à tout? Définitivement, oui! vous allez bien foire de tout manière, je vais surement finir par poster des recettes de cuisine et d'autre projets

et pour faire vites avec le reste: Gamer, cinéphile, mélomane, collectionneur... Bref Geek!

samedi 18 juillet 2015

18-07-15

Il semblerais que la majorités silencieuse soit totalitaire. je dois dire être quelque peut dessus face à l'engouement que je croyait avoir créer. Il est vrai que je n'ai pas respecter l'échéance que je m'étais fixer et que j'ai du éditer plus d'une fois mes textes pour des fautes flagrante.

Je vais me contenter de poster un chapitre par semaines pour ce qui est des textes que je peut obtenir une suite; pour les autres, l'on verra en temps et lieux. je passe d'un mois à une semaines care je vois bien que je suis limite perçu sur la blogosphère et j'ai encore qu’effleurer la surface de ce qui est présentement dans mes documents...

Dans l'avenir, vous verrez les titre suivent:
-les chronique d'Ornamia (déjà plus de 20 pages d'écrites)
-L.S. Norwall
-Le labyrinthe de pensé
-Gun RPG (un système de jeux de rôles maison que je crée avec plus de 50 pages avec les graphiques et je n'ai même pas entamer le 4em chapitre. (et oui, j'en suis fière))
Vous verrez aussi plusieurs textes unique et sans lendemain


Néanmoins, pour une première semaines, je constate que les textes les plus populaires sont:

Une sacré folle; il semblerais que ce jeux de mots aient eut la cotte par son originalité. une suite? je ne pense pas...

Les pilotes du Bonnet-Blanc; et je dois dire être embarrasser par celui-ci care le premier chapitre n'est pas garent du reste de l'histoire care déjà à partir du second chapitre, l'on tombe dans quelque chose plus d'ordre héroïque fantaisiste avec bien-sur la sauce du début de l'aviation...

les comptes oublier; qui se trouve à être un coup de cœur pour moi, bien que je n'ai pas progresser énormément dans l'écriture...

Pour les autre texte, seul l'avenir nous diras si j'ai raison d'y mettre du cœur.

Sur ce, je vous dit, à lundi prochain pour la suite des pilotes du Bonnet-Blanc!

vendredi 17 juillet 2015

Les rêveries d'Aurélie part1

Bon, cette fois, je sort un truc plutôt ressent que j'avais écrits pour mes nièces. je n'ai pas beaucoup travailler dessus alors, il se peut que je change bien des choses dans le futur. pour faire une mise en contexte, j'ai plein de petit objets auquel je voulais r'attacher des histoires. une montre, une vieil lampe de poche, un parchemin... etc.

les rêveries d'Aurélie 

par Derick D.

chapitre 1
La montre

Au parc des érables, un après midi d'été, une jeune fille au regard triste, fixait le sol. Elle étais assise à une balançoire, les yeux plain d'eau. Peut à peut le parc se faisait silencieux des enfants. Un homme vain brusquement s’asseoir dans le siège voisin de la jeune Aurélie.

«Quelle brillante journée pour broyer du noir...»
dit-il gaiement avents de reprendre en lui demandant pourquoi elle pleurait.

«Mon ami, le vieux monsieur Churchill est partis pour l’Angleterre il y as quelque jours... la veille, il m'avais donner cette montre en me disant qu'un jours que mes histoires me porterais loin... Je ne comprend pas, je n'ai jamais compter d'histoire.»

Blottis entre ces mais, se trouvait une montre de poche ternis par le temps dons les aiguilles restais inerte, bien que l'on puisse la remonter.

«Je vois... Avant toutes choses, regarde le ciel. Déclara le jeune homme, regarde comme il est bleu.»

Tout deux leva les yeux vers cette étendus parsemer de quelque nuages diffus. Aurélie arrivais avec peine à distinguer les formes sous ces larmes qu'elle décida d'essuyer avec sa manche. Soudainement, un sons lourd d'une locomotive se mettant en marche retentissait derrière elle. Notre jeune fille se retourna brusquement pour se rendre compte qu'elle étais loin du petit parc ou elle se trouvais il y as quelque instant. Nos deux protagoniste étais désormais sur les quais d'une petite gare border de bosquets de rosier. Le jeune homme d'environs 16 ou 17ans qui l'avais interpeller dans le parc avait troquer son jeans et T-shirt contre un pantalon brun tenus par des bretelles, une chemise plus ou moins blanche au manche remonter au coudes et un chapeau melon brun et poussiéreux assortie de vieil lunette de soudure. Ce dernier souris et commença à déblatérer :

«Ha, mais oui, bien-sure! Nous somme dans la fin des années dix-huit cents Sur le vieux contient semblerais-il et je suis John Jack Wilson? S'exclama t-il en voyant ces papiers d'identité qu'il venais de sortir de son porte feuille. Mais ou a tu piger un nom pareille?»

Aurélie, tout confuse, lui répond :
«Quoi? j'ai rien fait, et ces quoi ce délire, qu'est-ce qui ce passe?»

«C'est simple, tu nous a enrôler pour l'aventure ma cher Élisabeth, dit le jeune homme. Ne rougie pas trop, ça pagure avec votre robe si blanche.»

Elle voulu démentir ces paroles, mais un coup deuil rapide lui fit voir qu'en effets, ces vêtements eux aussi c’était transformer. Son silence fut de courte durée :
«Mon nom est Aurélie! C'est quoi cette histoire de m'appeler Élisabeth? Et pourquoi, tout serais de ma fautes?»

Aussitôt dit, le jeune homme lui répondit avec un grand sourire:
«Hé bien tout simplement parce que ce n'est pas ma fautes, et encore moins mon histoire. Si tu veut tous savoir, dans ce cas...»

Une voie singulière, teinter d'un accent anglais vain couper le jeune homme :
«Mademoiselle Élisabeth, est-ce que ce jeune homme vous importune?»

Surprise, notre jeune fille ne put que jouer le jeu et elle répondit avec délicatesse :
«Mais non, ce n'est rien. Ce n'est que mon compagnon de voyage; un mauvais farceur, mais un bonne amis.»

Tous solennellement, l'homme qui les avais interrompue s'inclina et demanda si ce dernier souhaitais les survies pour le dîné.

«Avec plaisir, répondit John. Mais à qui ai-je l'honneur au fait?»
«Je suis l'employé de monsieur Edward Churchill, mais si vous voulez me nommer, appeler moi monsieur O'Brian.»

Les pensées d’Aurélie se mirent à aller de plus en plus vites. Elle connaissait ce nom, mais d’où? Soudainement, tout lui reviens, bien que tout luis semblais invraisemblables elle se souvenait désormais d’où venais ces nom, ce lieux...

Le premier jours ou elle croisa ce vieil homme au parc sur ça chaise roulante; monsieur William Churchill, celui-ci compta à Aurélie à quel point elle ressemblait à sa défunte mère Élisabeth il lui parlais ensuite de son grand-père, l'industriel monsieur Edward Churchill, Grand patron des fonderies Churchill, il y as de cela fort longtemps. Voir, un peu avents la première grande guerre.

« Ho, que je n'aime pas être traité comme une poupée, dit elle. Chauffeur, arrêtez ce caddy! Ça ne ce peut pas, je veut retourner cher moi!»

S’écriât-elle les yeux et les points fermé. Un silence fut pendent quelque seconde avents qu'une brise fraîche vin se blottir dans ces cheveux.

« Très bien... mais quel dommage, dit le jeune homme; j'aurais bien voulu voire la suite. »

Quand elle ouvrit les yeux, elle étais de retour dans le parc. Le jeune homme, lui; étais toujours sur la balançoire à ces côté. Perplexe, Aurélie le dévisageait en lui demandant :
« mais t'est quoi toi, un rebut de mon imaginaire, un ''time lord'' ou quoi? »

Ce dernier eut un rire quelque peut moqueur avent de lui répondre :
« j'en sais rien, et toi? Tu est une invocatrice? Mais bon, je ne te retiens pas plus longtemps, je vais aller souper.»

En effets, le temps avais passer rondement et il étais désormais temps pour notre cher Aurélie de retourner à la maison juste au côté du parc qui plus est. A l'intérieur, une odeur de ragoût et de pain frais embaumais la sale à mangé. Ces sœurs jouait encore sur la console quand leur mère sonna la soupe.

Une fois attablé et le repas servis, le père d'aurélie, Monsieur Robinson, regardais sa fille qui lui semblais bien calme aujourd’hui. La main dans la barbe, il lui demanda qui étais ce jeune homme avec qui elle avais passer la journée à parler au parc. Stupéfaite que son père ai pue le voir, elle resta sans mots pendent un moment avent de répondre :
« Jack... enfin, je crois je lui ai pas réellement demander. L'on parlais de jeux de rôles...»

Soucieux de la sécurité de sa fille, mr. Robinson lui dit :
« Hé bien, la prochaine fois, invite le à soupé, nous aussi on aime les Jeux de rôles. »

Le reste de la soirée fut paisible et agréable, malgré tout, elle ne pouvait s’empêcher de tomber dans ces songes et repenser à tout ce qu’elle à vécus, si tout cela étais vrais, et d'y voir un sens.

jeudi 16 juillet 2015

Hoya de Mandoya

En fouillant dans mes textes, j'ai finit par tomber sur la fiche d'un de mes personnage que je jouait sur un serveur privé de Lineage 2. Contrairement à la plupart des joueurs, je n'avais pas entrepris de faire un personnage d'envergure et encore moins héroïque. À vrai dire, mon personnage étais un idiot, ce qui me servit fortement vue que je connaissait pas vraiment le jeux, encore moins l'univers dans lequel je devais jouer.

Du coup, mon personnage fit fureur. Je me souviendrez toujours de la note donner par l'admin du serveur: «Plus c'est Con, plus on rie!»
Je vous laisse en juger par la fiche que j'avait écrite.

Hoya de Mandoya

Un orc colossal attendais assis gentiment sur un petit tabourets quand le garde le pointa, lui demandant de ce décrire!

« Ho, ya ! Je me décris !
Mon nom ? Hé bien, c'est Korkoranotasaterix de Mandoya ou un truc du genre, je n'arrive jamais à le dire, alors, je dis que je suis Hoya.

Je vivais dans un petit village de trappeurs orc, dans d'épaisses forêts, jusqu'au jour où je rencontra mon premier ami, Walko. Je m'amusais à chasser les ours quand je l'ai rencontré, il avait l'air bon, mais je me suis souvenu d'un truc que mon papa me disait avant de rire :
- Si ça marche sur deux pattes et que ça ne vole pas, ne mange le pas...

Heureusement que j'ai suivi ce conseil, et puis, on ne se mange pas entre orc... (à noter que Hoya ne fait aucune distinction entre les races) Il ma tellement sauvé la vie souvent, il est un frère pour moi. Je me rappel quand j'ai voulu du poisson de l'ours... C'était le bon temps...

Je ne sais pas pourquoi, un bon jour, Walko a décidé de m'amener loin de chez moi, je crois que c'était pour courir après des filles, j'ai pas trop compris, une qui s'appelait Monde, l'autre Naya... Bref, depuis ce temps, on a fait notre bonheur de chemin… »

Le garde le regardais d’un regard suspicieux… puis commença l’inventaire de ces possessions

-1 hache d’arme Orkish
-1 armure défroqué
-1 baluchon remplis de pains
-des allumettes

-quelque pièces de cuivres

mardi 14 juillet 2015

Les pilotes du Bonnet-Blanc part1

Si je peut spécifier quelque points sur le second chapitre des comptes oublier, je tien a spécifier que j'ai baser mes récits sur ce que je connaissait des comptes irlandais d'ou l'histoire du ruisseau et des fée décrite comme monstrueuse. 

Maintenant, j'ai envie de tester un autre univers, en projetant  mon prochain texte dans un univers d'avants guerre. J'ai eut envie de changer d'aire, non pas que je n'aime plus le médiéval fantastique, mais plutôt pour ne pas brûler la mèche trop vite. nous verrons bien aussi, si ce genre de texte aura autans de visionnement que les autres. 

Les pilotes du Bonnet-Blanc

par
Derick Descoteaux
04-05-2015

Chapitre 1
Bonnet-Blanc

Premier juin 1921.
Sylvestre et Gabriel survole la France Abord de leur avion surnommer le Bonnet-Blanc due au nombreuse réparation de fortune qu'ils ont due faire avec des rouleaux de coton médicinale pris à gauche et à droite lors de leur périples autours de la méditerranée. Ces deux pilotes de fortune ont passer plus dune centaines d'heures dans les cieux à travailler pour divers employeurs ; quelques fois pour des marchands, souvent pour des brigands. Cette fois, leur employeurs est un riche homme d'affaire qui pour des raisons secrètes ont demander à l’équipage du Bonnet-Blanc de transporter un colis de l’Espagne à la l'empire Ottoman. La petite boite entre les jambes Sylvestre entame la dernière heures de voles de la journée avec beaucoup de plaisir car il sait qu'un bon repas et un lit douillet l'attend à la ferme de ces parents.

«Gabriel, tu dort? Demanda notre pilotes. GABRIEL!»
Aussitôt ces mots dit, Sylvestre entama un court décrochage qui ne manqua pas de faire sursauter son copilote exténuer de ces huit dernières heures de voles.
« Non, mais sa ne va pas la tête? Dit Gabriel tu va nous tuer un jours ! Et tu as penser au colis, si c’était fragile, il serais en pièces!»
Gabriel étais d'un tempérament anxieux depuis toujours ; du moins, depuis qu'il connus Sylvestre. Il faut dire que ce ne fut pas de tout repos. Gabriel étais un jeune américain engager par la légion étrangère qui enchaînais les corvées pour ces écarts de comportement. Ce fut décisif lors qu'il finir par se rencontrer...
«Ha! finalement tu me répond. Regarde, l'on est presque arriver !»

L'avion comme les champs de blés étais baigner de la dorure du coucher du soleils et au loin, l'on pouvais distinguer in petite maisonnée accompagné d'une grange et de deux silos à grain toujours vide à cette époque de l'année. L'avion approcha le chemin de terre qui étais à travers champ. L’atterrissage fut délicat bien l’état de l'appareilles. À peine le moteur couper que nos deux aventurier firent accueilli par le père et le grand frère de Sylvestre.
«Sa fait plaisir de voir mon petit oiseau revenir au nid pour un fois!» Bien que d'un tempérament froid, Monsieur Boulogne; le père de Sylvestre, avait un grand cœur et supportais mal l’esprit aventurier de son plus jeunes fils.
«Tu as remplacer ton cabot par un vrai copilote cette fois ? Demanda sarcastiquement le grand frère de Sylvestre. L'on pourrais croire que ton chien à fait le grand saut»
Bien que Tom N'avais pas totalement tors, Notre fier gaillard lui répondit :
«Mais non, il est à bon ports, en Pologne si je me souvient bien. Un gamin l'aimais tans, je lui ai laisser.»
Que de beau mensonges. Sur ce, les frères éclatèrent de rire avant de donner la main et commencer à reculer l'avion dans la grange.

Notre pilote commença à pomper de l’essence dans le réservoir quand Gabriel lui demanda :
« C'est vrai cette histoire de chien?»
-Qu'il est quelque parts en Pologne, oui.
-Non, qu'il a sauter !
-Je n'ai jamais dit ça! et en plus, il n'était pas très doué pour les manœuvres.
-Donc, il est tomber...
-Absolument pas ! Disons simplement qu'il n'aimais pas les ''Dog Fights'' finit Sylvestre avec ce mauvais jeu de mots qui rendit perplexe Gabriel.

Ce silence fut de courte durée puisque le grand frère de Sylvestre sonna l'heure du dînée, bien que tardive. À l'arrivée des hommes à la table, Madame Boulogne avait attabler un maigre gigot entourer de légume bouillit dans l'eau de la viande elle même. Depuis quelque années, la grande sales a dîner c’était vider. Autrefois l'on pouvais compter entre 7 et 8 personnes à cette table qui aujourd’hui n'en compte que cinq. L'un est marier à la fille de Mr. Waquiez, l'autre travail à l'usine du village. Les deux jumelles sont maintenant à Paris et la benjamine étudie pour devenir institutrice. Seul le grand frère est rester. Il aimais trop la terre pour partir et encore moins s'envoler. La conversation roulait d'opinions à plaisanteries autours de la table jusque tard dans la soirée.

La nuit tomber, l'air étais frais. seul Gabriel et monsieur Boulogne étais encore debout à parler .
«Vous arriver de loin ? Demanda le vieil homme bedonnant.
Sans hésiter, Gabriel lui répondit :
« hé bien, nous avons déjeuné plus tôt que prévus pour arriver ici. Notre commanditaire nous as tracé un itinéraire très particulier. Il nous as demander de voler à très basse altitude et d’évité les grandes routes ainsi que tout villes et villages. C’était qu'en même tranquille, j'ai dormis presque tout le trajets.»
Le vieil homme moustachue sourit avent de reprendre :
«Ce n'étais pas ma question. Je me doute que vous n’êtes pas français avec votre accent. Je voulais savoir d’où vous venez.»
Notre jeune homme leva les sourcils en disent ceci :
«Oui c'est vrai... Je suis canadien français, mais j'ai vécus longtemps à dos de cheval dans l'ouest américain avants d’être suffisamment riche pour voyager et joindre la légion française. Maintenant je suis copilote et tireur du Bonnet-Blanc.»
Mr. Boulogne Fixa Gabriel dans les yeux et lui dit :
«La légion... vous savez que l'on ne sort pas de la légion à sa guise?»
Levant son verre, Gabriel relança aussitôt :
«Je n'ai pas rejoins la légion de mon grée, le recruteur la signé à ma place et ils sont venus me chercher dans mon lit à l'auberge, alors, je considère que la légion et moi somme quitte à présent. Vous comprendrez aussi que Gabriel n'est pas mon vrai nom et que je parle trop quand je bois, je devrais me taire, sa ne fait que m'attirer des ennuis.»
«Mon Fils sais pour votre nom?»
Demanda le père anxieux
«Totalement! Repris Gabriel avec un tons serin. Il me connus sous le nom de Clifford même si ce n'étais déjà pas mon nom.»
«Vous êtes un drôle d'oiseau monsieur Gabriel, un drôle d'oiseau...»

Le ver de monsieur Boulogne étais maintenant vide. Il se leva et d'une main sur l'épaule, salua le garçon avants de joindre sont lit.



«Je vais rester un peut, dit Gabriel, je n'ai pas encore sommeil.»

Les comptes oublier part.2

La missive: Les étoiles et le fer


À celle que le cœur resta doré bien les attentes et larmes coulées.

Sache que les yeux ont été faits pour regarder les cieux. En cette nuit bien étoilée, je fis écrire cette lettre par la main de mon vassal, car bien la beauté de cette soirée, je crains fort que ce soit ma dernière. Je ne peut que regarder le scintillement des étoiles qui d’heure en heure me semblent ternir.

Oui, je meurs. J’eus bien pourfendre l’ennemie par dizaines, mais l’effort eut raison de moi. Un guerrier fort comme un géant me brisa de son arme. Une masse terrifiante sertie de pierres noires en guise d’yeux ainsi que des gravures et moulures des âmes déchues la compose. Ce diable me laissa pour mort et avec raison. Je ne peux me relever et délester mon armure me tuerait sans doute.

Nous étions trois cavaliers Kinley, Lynch, et moi. Nous avancions toujours plus au nord, aux delà des rives du ruisseau, portes du royaume des fées. Nous avons payé bien cher cette transgression, il se fut de peut pour que la première nuit soit l’unique. Au-delà de la première colline, des fées monstrueuses nous ont sauvagement attaqués, coûtent la vie de deux de nos chevaux. Ces pauvres destriers ont été arrachés à la vie suite au poison des plantes dans lesquels les créatures nous ont poussés. Ce fut un début difficile, mais nous devions poursuivre cette quête de retrouver notre fils.

Nous avons dû avancer dans les montagnes, les marais et une magnifique forêt qui auraient pu être l’éden si ce n’était pas de ces vils occupants. Des gobelins de mauvais augure. Ces terres sont hostiles à un point que même les oiseaux n’y chantent. Kinley disparut et Lynch fit emporter par les tourments des sluaghs.

Nous avons mis près de six ans. Six années sans nouvelles. Six années de labeur et de sang versé chaque jour. Six années à espérer revoir les nôtres. Je le savais vivant des dires de ceux que l’on rencontrait. Nous ne pourchassions plus un ogre, nous cherchions un héros.

J’envoie mon meilleur homme pour t'apporter cette lettre. Ce n’est pas Lynch, ni Kinley, mais notre fils. Que le seigneur en soit témoins il vécut, sauvé de ces monstres, auprès d’un bretteur plus que talentueux. Il ne lui impliqua pas que son savoir-faire, mais son honneur et son cœur brûlant de justice et bonté.  

14-07-15

C'est d'un étonnant silence autour de ce blog
j'ai l'impression que si je ne poste rien, celui-ci finira tous bonnement par tomber dans le néant.
meh...

Sur le textes de Lovéligne dans les comptes oublié part.1 l'on ma demander quelle étais l'air sur lequel j'ai composer ces paroles. hé bien, y en as pas... du moins, plus maintenant, j'ai perdu la rythmique sur lequel je m'étais baser pour composer le texte, mais si ça peut vous aider, je m'étais inspirer des bardes dans Skyrim.

Pour ce qui est du titre l'homme brouillon, hé bien, j'ai pas fait de recherche à proprement parler pour savoir si le nom étais déjà pris quoi que ce soi; je me suis inspirer de l'instant présent. Voila le pourquoi et ne me barattez plus les oreilles comme de quoi que c'est déjà utiliser. Ce n'est pas parcequ'il y as un monsieur Ducon qui vie quelque parts en France que je ne vais pas appeler mon voisin Monsieur Ducon pour autant. Il n'y as pas de capitale à faire sur un qualificatif.

Bon puisque je suis sur une lancé, je vais poster un second volet des comptes oublié dans le prochain poste.

dimanche 12 juillet 2015

Les comptes oublier part.1

Deuxième entrée aujourd’hui! Je vous ai promis des textes auquel je pouvais donner une ou des suites, alors, je vais commencer dés maintenant avec un texte que j'ai commencer à rédiger en 2013 ou 2014... j'ai pas noter la date.  il n'en reste pas moins que l'idée ma plaie.

Grosso modo, je voulais faire un recueille de fausse légendes et récits bardique dont voici la préface et le premier chapitre; si l'on peut appeler çà des chapitre.

Les comptes oublier

par: Derick Descoteax

Soyez avertis,
ceux qui joue avec le folklore y restent prisonnier à jamais.

Nombreux sont ceux qui ont disparue de la mémoire des hommes à chercher les fées ou le Graal. Très peut sont rester dans les contes et histoires. Et pourquoi donc? …Seul les écrits des fous et les histoires conter ou chanté des bardes de tous temps nous entrevoient leur aventures. Ces légendes on fait, un jours ou un autre, parler d’eux…

En voici quelques une que vous n’aviez sans doutes jamais entendue, mais qui pourrais dénier de leur vérité? Nous traité de fous serais nous donner le crédit de la vérité; nous ignorer en ferais autant, et nous croire serais nous faire mentir.

Lovéligne


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Pieds nus, j’y suis allé sur les pavés à l’aventure, ho Lovéligne.
Sur mon chemin, je pris chien et compagnon, vin et quignon de pain.

Nous y rencontrâmes l’âme d’un homme peu fortuite.
L’âme d’un homme au cœur rompu, à la quête déchue.

« Prenez garde dit-il, prenez garde à Lovéligne la vie n’est plus,
la ville n’est plus que tristesse et désolence. Ho Lovéligne. »


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Sur ce pont j’y perdis pied. Ho Lovéligne, qu’est-il arrivé?
Les roserais ont roncé et mon chien s’en ai allé.

Nous y rencontrâmes une bonne âme, une femme bien menue.
Nous y créchâmes une nuit où elle mourut d’une main crochue.

« Compagnon sans vertu, je vous le dis sans retenue,
en garde et que soit venu ton heure, tueur sans pudeur. »


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Cœur à nue, J’y suis transpercé, mais survivrez. Ho Lovéligne.
Mon honneur bafoué, j’ai dû tuer mon allié.

Nous y sommes, au portail de ma dame. Mon amour, je suis venu.
Noires sont les fenêtres cette nuit, ce soir, seul le Maure est venu.

« Je suis désolé monsieur, mais la belle n’est plu.
Elle a attendu son âme sœur, mais son cœur s’est rompu. »

Sur le pont de Lovéligne je n’y retournerai.
Mon cœur est rompu et ma quête déchut. Ho Lovéligne.
Je m’en retourne pour y rencontrer un aventurier.

« Prenez garde lui dis-je, prenez garde à Lovéligne la vie n’est plus,

la ville n’est plus que tristesse et désolence. Ho Lovéligne. »

12-07-15

Des tonnes de vue mais pas de commentaire... enfin presque. celui qui reviens le plus souvent, c'est que c'est une bonne idée (je ne suis même pas sur que cette tournure de phrase fonctionne) Bref, j'ai l'impression d'attendre pour attendre...

Vous savez, j'ai l'intuitions que mon idée à fait mouche dans mon entourage. Nous avons tous des idées, des petits bout de texte qui nous reste par ci et là.
Je me suis dit, pourquoi pas... Je peut toujours les poster ici si vous êtes intéresser. je vais fonctionner de la même manière que pour moi, soit un chapitre à la fois et en vous attribuant le mérite de vos textes...

Hé puis, si vous avez peur pour vos droits d'auteur, vous pouvez toujours aller chercher vos droits d'auteur via Deviant Art avants de m'envoyer votre manuscrit.

Alors, Appelle à tous, Blogue recherche Écrivain. contacter Mr. Brouillon à l'adresse indiqué...

www.facebook.com/derick.descoteaux
(je me demande si je ne me tire pas dans le pied en donnait mon adresse perso)



samedi 11 juillet 2015

Une Sacré folle

j'ai trouver dans  mes vieux textes un petit document tout à fait charmant...  non, je déconne c'est juste un claver à garder en bouche... Je mets a défie à qui conque de le dire d'un très et de le poster sur YouTube.


Une Sacré folle... 

Si celui qui dit les délits de la dame dans la démence
aux délais loin de ceux des indécis,
dans la danse des dires de ces démons du dimanche;
elle devinera difficilement la dîme demander de ces déchus.

si seulement savait-elle que ces sens sont sans source.
sont savoir se saurais sûrement sévèrement sinistré,
censurer comme ces sources si subtile de sensations sécurisante.

peut-être pourrait-elle penser pour plus que sa personne…
pourtant peut perdu dans ces pensés pieuse pour elle,
partager pleinement sa pitance peut portante
pourrais prétendre une personnalité positive.

Mais ces mots millésime montrent malheureusement
ces milles modeste mensonges.
Malgré tout, ces monstres molester de mauvaise mémoire
se moque méchamment, mais mathématiquement
de la menteuse maudis des morsures maléfique
émise en masses et catimini
par les maraudeurs de ces mémoires.

Fortement faible de ces fable frauduleuse,
cette fleur fanée et flétri face au file de ces folles année
de fugue fictive de sa foie,
cette femme finira folle dans un futur farouche.
Cette foires de phrases si flamboyante
de ces fresque en finitions frivoles,
font front commun avec la foie et le fouillis
de son futile foutoir de façon ferme et aussi philanthropique.

Oui car bien que bonace,
bon nombre de ces beaux mots brillent d’un blanc
que beaucoup brandissent en de bon et moins bon but.
Une bière blonde à la bouche, je bois ma blague
comme une brous blottis sur mes babines de bon à rien.
Sur ce, bonne Journée.


vendredi 10 juillet 2015

Old blues

Galère!

J'avais oublier à quel point il y avais des paramètres à régler avant de commencer un tel projets...
Je crois que je vais me contenter du ''template'' de base pour commencer et je vais agrémenter plus tard...

Je ne vais pas vous laisser en plans la première journée, laissez moi un petit moment pour poster un premier texte, j'ai bien quelque chose qui pourrais faire dans mes sauvegardes... pourquoi pas une chanson?? ou mieux, je vais poster la tablature de mes exercices de guitare Blues que j'ai élaborer...

...

...hé bien voila, je n'ai même pas encore commencer que je m'écarte déjà des barèmes que je me suis fixer  mais bon, allons-y!


First!

Je suis brouillon...
 je ne termine jamais ce que j'entreprends ou presque, je réussi que très peut dans la vie et quand la vie me va trop bien, elle ne manque pas de me remettre à ma place.

Détrompez vous, je ne vais pas faire que l'apologie de ma nullité sur ce blogue, j'ai l'intention de poster ces … brouillon de textes ou autres pour savoir vos opinions et si vous aimez vraiment çà, je verrez à me botter le cul pour faire une suite à l'idée que je mettrez sur la table. Ou plutôt sur le blogue...

Grosso modo, j'aimerais poster un bouts de textes, manuscrit , chapitre ou peut importe ce que c'est, une fois par mois, et le reste du mois, je bloguerez sur vos commentaires, suggestions ou encore sur ce qui m'arrive et ce, pour le reste du mois.

Ho, et ne soyez pas frustrer si je ne vous répond pas, je ne suis pas un lecteur très au aguets, comme je ne suis pas un pros de l’orthographe, ni de la grammaire. Soyez indulgent je vous pris.