dimanche 12 juillet 2015

Les comptes oublier part.1

Deuxième entrée aujourd’hui! Je vous ai promis des textes auquel je pouvais donner une ou des suites, alors, je vais commencer dés maintenant avec un texte que j'ai commencer à rédiger en 2013 ou 2014... j'ai pas noter la date.  il n'en reste pas moins que l'idée ma plaie.

Grosso modo, je voulais faire un recueille de fausse légendes et récits bardique dont voici la préface et le premier chapitre; si l'on peut appeler çà des chapitre.

Les comptes oublier

par: Derick Descoteax

Soyez avertis,
ceux qui joue avec le folklore y restent prisonnier à jamais.

Nombreux sont ceux qui ont disparue de la mémoire des hommes à chercher les fées ou le Graal. Très peut sont rester dans les contes et histoires. Et pourquoi donc? …Seul les écrits des fous et les histoires conter ou chanté des bardes de tous temps nous entrevoient leur aventures. Ces légendes on fait, un jours ou un autre, parler d’eux…

En voici quelques une que vous n’aviez sans doutes jamais entendue, mais qui pourrais dénier de leur vérité? Nous traité de fous serais nous donner le crédit de la vérité; nous ignorer en ferais autant, et nous croire serais nous faire mentir.

Lovéligne


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Pieds nus, j’y suis allé sur les pavés à l’aventure, ho Lovéligne.
Sur mon chemin, je pris chien et compagnon, vin et quignon de pain.

Nous y rencontrâmes l’âme d’un homme peu fortuite.
L’âme d’un homme au cœur rompu, à la quête déchue.

« Prenez garde dit-il, prenez garde à Lovéligne la vie n’est plus,
la ville n’est plus que tristesse et désolence. Ho Lovéligne. »


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Sur ce pont j’y perdis pied. Ho Lovéligne, qu’est-il arrivé?
Les roserais ont roncé et mon chien s’en ai allé.

Nous y rencontrâmes une bonne âme, une femme bien menue.
Nous y créchâmes une nuit où elle mourut d’une main crochue.

« Compagnon sans vertu, je vous le dis sans retenue,
en garde et que soit venu ton heure, tueur sans pudeur. »


Sur le pont de Lovéligne j’y suis allé la retrouver.
Cœur à nue, J’y suis transpercé, mais survivrez. Ho Lovéligne.
Mon honneur bafoué, j’ai dû tuer mon allié.

Nous y sommes, au portail de ma dame. Mon amour, je suis venu.
Noires sont les fenêtres cette nuit, ce soir, seul le Maure est venu.

« Je suis désolé monsieur, mais la belle n’est plu.
Elle a attendu son âme sœur, mais son cœur s’est rompu. »

Sur le pont de Lovéligne je n’y retournerai.
Mon cœur est rompu et ma quête déchut. Ho Lovéligne.
Je m’en retourne pour y rencontrer un aventurier.

« Prenez garde lui dis-je, prenez garde à Lovéligne la vie n’est plus,

la ville n’est plus que tristesse et désolence. Ho Lovéligne. »

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