chapitre 1 ici
Chapitre 2
Nuit banche
Un coup de feux
retentis dans la nuit, et il était très proche. Il n'y eut pas une
seconde de perdu pour que tous le monde fut sur un pied d'alerte.
Gabriel rentra dans la cuisine, pistolet à la main en somment
Sylvestre de ce lever.
«fait vite !
Ils veulent le paquet.»
Ces vêtement
sous le bras, Sylvestre descendit les marches du deuxième étages ou
ce trouvais les chambres. Il étais suivis de son frère et de son
père qui lui étais armée d'un vieux tromblons. À peine le pieds
mis sur le sol de la cuisine que l'un de ces assaillant avais
franchis le pas de la porte arrière. D'un seul geste, Gabriel Pointa
et tira sur l’inconnue vêtus de noir.
«L'avion est
déjà près ! relança notre Gabriel. Dépêchons nous, ils
doivent être une dizaines et j'ai pas autans de balles!»
Sylvestre resta
pantois quelque instant jusqu'à ce que son grand frère lui plaque
le paquet à peine plus grand qu'une boite à chaussure contre le
torse et lui lance avec un air mécontent :
«Dégage
d'ici, je m'occupe de protégé maman.»
Une fois à
l'extérieur nos deux héros suivi de Monsieur Boulogne découvris
avec stupeur que ces silhouettes noir étais partout autours du
domaines et même sur le toit. Ce fut un sprint pour rejoindre la
grange et tendis que les 2 partenaire s’affairait à ouvrir tout
grandes les portes de la grange, monsieur Boulogne tenais à
distances ces inconnus qui avais plus de ressemblance avec des
somnambules que des soldats bien leur adresses hors norme.
Les menaces et
affront de monsieur Boulogne laissa place à des soubresaut de
panique lorsqu'il vit que ces gens se déplaçait avec énormément
de rapidité. Cette détresse ne manqua pas d'alerter Sylvestre
lorsque l'avion commença à sortir et prendre son élans.
«Gabriel !
Mets la mitrailleuse sur le rail, vites!»
«Je fait ce
que je peut ! Répondit Gabriel qui avec empressement n’arrivait
pas à amarrer la mitrailleuse. Le canon sur le bras enrouler de
coton mouillé, il lança une première salve en direction de la
coure arrière alertant ces masses noir qui ont tôt fait de partir à
la poursuite de l’avion qui tans bien que mal n'arrivait pas à les
distancer. Seul le canon rougeoyant de Gabriel venais à bout de les
distancer. De bipède à quadrupèdes ces masse ce sont mis à les
suivre. Plus ils courait vites, plus ils salutaire haut, forçant le
pilotes à toujours prendre d'altitudes ne laissant derrière eux
qu'une marée sombre grouillant au sol.
«Nom de dieux,
mais c’était quoi ça? Et qu'est-ce qui est arriver à papa?»
«Surtout ne
fait pas demis tours, ils nous suivent encore, sa grouille au sol
derrière nous ! On dirais qu'ils sont maintenant des
centaines...»
Avant même
qu'ils s'en rendirent comte ils avait commencer à voler à travers
des nuages sombres de la nuits, chargé d'énergie. L'épais couvert
nuageux semblais s'étendre à perte de vue, mais l'orage, si
tempêtes il y avais; semblait se contenir. Passer quelque heures à
suivre les vents, perdu dans immensité de ce ciel nuageux.
«Gabriel, il
faut atterrir, je tombe de fatigue. hé puis... je crois que nous les
avons semer.»
«C'est bon,
trouvons un endroit ou atterri.»
La vue près du
sol étais stupéfiante. Le couver nuageux qu'ils avait traverser les
avais probablement amener bien au delà des reliefs de la France. Ces
coteaux et plaines sauvage, couper de ruisseau et de falaise abrupte
ne ressemblais en rien ce qu'ils ont pue voir par le passé. Ils
leur fallut un bon moment pour apercevoir ne serai-ce qu'un sentier
qui semblais suffisamment carrossable pour atterrir.
Une fois le
pied à terre, les deux hommes commencèrent leur inspections de
routine. Vue les événements qui ce sont passer, ils ont été fort
comptent de voir que la chance leur avais sourie, seul une marque sur
la queue de l'appareil étais visible, rien qui ne pouvais être
réparer sommairement.
«Nous l'avons
échapper belle... Enfin, presque; reprit Gabriel en repensent au
fait de la nuit passé. Je... je suis désolé. J’espère qu'ils
n'ont rien.»
Sylvestre
souris comme il put, bien sa fatigue et son amertume.
«Tu est un
homme vaillant Gabriel, Sache que je l'apprécie. Va soigner ta
brûlure au ruisseau, je vais faire une sieste en attendent et l'on
prendra un petit déjeuné à ton retour.»
«J'apporte la
Casserole pour rapporter de l'eau à bouillir.»
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