lundi 20 juillet 2015

Les pilotes du Bonnet-Blanc part 2

Comme promis, voici la seconde partie du texte Les pilotes du Bonnet-Blanc
chapitre 1 ici

Chapitre 2
Nuit banche

Un coup de feux retentis dans la nuit, et il était très proche. Il n'y eut pas une seconde de perdu pour que tous le monde fut sur un pied d'alerte. Gabriel rentra dans la cuisine, pistolet à la main en somment Sylvestre de ce lever.
«fait vite ! Ils veulent le paquet.»

Ces vêtement sous le bras, Sylvestre descendit les marches du deuxième étages ou ce trouvais les chambres. Il étais suivis de son frère et de son père qui lui étais armée d'un vieux tromblons. À peine le pieds mis sur le sol de la cuisine que l'un de ces assaillant avais franchis le pas de la porte arrière. D'un seul geste, Gabriel Pointa et tira sur l’inconnue vêtus de noir.
«L'avion est déjà près ! relança notre Gabriel. Dépêchons nous, ils doivent être une dizaines et j'ai pas autans de balles!»
Sylvestre resta pantois quelque instant jusqu'à ce que son grand frère lui plaque le paquet à peine plus grand qu'une boite à chaussure contre le torse et lui lance avec un air mécontent :
«Dégage d'ici, je m'occupe de protégé maman.»

Une fois à l'extérieur nos deux héros suivi de Monsieur Boulogne découvris avec stupeur que ces silhouettes noir étais partout autours du domaines et même sur le toit. Ce fut un sprint pour rejoindre la grange et tendis que les 2 partenaire s’affairait à ouvrir tout grandes les portes de la grange, monsieur Boulogne tenais à distances ces inconnus qui avais plus de ressemblance avec des somnambules que des soldats bien leur adresses hors norme.

Les menaces et affront de monsieur Boulogne laissa place à des soubresaut de panique lorsqu'il vit que ces gens se déplaçait avec énormément de rapidité. Cette détresse ne manqua pas d'alerter Sylvestre lorsque l'avion commença à sortir et prendre son élans.
«Gabriel ! Mets la mitrailleuse sur le rail, vites!»
«Je fait ce que je peut ! Répondit Gabriel qui avec empressement n’arrivait pas à amarrer la mitrailleuse. Le canon sur le bras enrouler de coton mouillé, il lança une première salve en direction de la coure arrière alertant ces masses noir qui ont tôt fait de partir à la poursuite de l’avion qui tans bien que mal n'arrivait pas à les distancer. Seul le canon rougeoyant de Gabriel venais à bout de les distancer. De bipède à quadrupèdes ces masse ce sont mis à les suivre. Plus ils courait vites, plus ils salutaire haut, forçant le pilotes à toujours prendre d'altitudes ne laissant derrière eux qu'une marée sombre grouillant au sol.

«Nom de dieux, mais c’était quoi ça? Et qu'est-ce qui est arriver à papa?»
«Surtout ne fait pas demis tours, ils nous suivent encore, sa grouille au sol derrière nous ! On dirais qu'ils sont maintenant des centaines...»

Avant même qu'ils s'en rendirent comte ils avait commencer à voler à travers des nuages sombres de la nuits, chargé d'énergie. L'épais couvert nuageux semblais s'étendre à perte de vue, mais l'orage, si tempêtes il y avais; semblait se contenir. Passer quelque heures à suivre les vents, perdu dans immensité de ce ciel nuageux.

«Gabriel, il faut atterrir, je tombe de fatigue. hé puis... je crois que nous les avons semer.»
«C'est bon, trouvons un endroit ou atterri.»

La vue près du sol étais stupéfiante. Le couver nuageux qu'ils avait traverser les avais probablement amener bien au delà des reliefs de la France. Ces coteaux et plaines sauvage, couper de ruisseau et de falaise abrupte ne ressemblais en rien ce qu'ils ont pue voir par le passé. Ils leur fallut un bon moment pour apercevoir ne serai-ce qu'un sentier qui semblais suffisamment carrossable pour atterrir.

Une fois le pied à terre, les deux hommes commencèrent leur inspections de routine. Vue les événements qui ce sont passer, ils ont été fort comptent de voir que la chance leur avais sourie, seul une marque sur la queue de l'appareil étais visible, rien qui ne pouvais être réparer sommairement.
«Nous l'avons échapper belle... Enfin, presque; reprit Gabriel en repensent au fait de la nuit passé. Je... je suis désolé. J’espère qu'ils n'ont rien.»
Sylvestre souris comme il put, bien sa fatigue et son amertume.
«Tu est un homme vaillant Gabriel, Sache que je l'apprécie. Va soigner ta brûlure au ruisseau, je vais faire une sieste en attendent et l'on prendra un petit déjeuné à ton retour.»
«J'apporte la Casserole pour rapporter de l'eau à bouillir.»



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