vendredi 17 juillet 2015

Les rêveries d'Aurélie part1

Bon, cette fois, je sort un truc plutôt ressent que j'avais écrits pour mes nièces. je n'ai pas beaucoup travailler dessus alors, il se peut que je change bien des choses dans le futur. pour faire une mise en contexte, j'ai plein de petit objets auquel je voulais r'attacher des histoires. une montre, une vieil lampe de poche, un parchemin... etc.

les rêveries d'Aurélie 

par Derick D.

chapitre 1
La montre

Au parc des érables, un après midi d'été, une jeune fille au regard triste, fixait le sol. Elle étais assise à une balançoire, les yeux plain d'eau. Peut à peut le parc se faisait silencieux des enfants. Un homme vain brusquement s’asseoir dans le siège voisin de la jeune Aurélie.

«Quelle brillante journée pour broyer du noir...»
dit-il gaiement avents de reprendre en lui demandant pourquoi elle pleurait.

«Mon ami, le vieux monsieur Churchill est partis pour l’Angleterre il y as quelque jours... la veille, il m'avais donner cette montre en me disant qu'un jours que mes histoires me porterais loin... Je ne comprend pas, je n'ai jamais compter d'histoire.»

Blottis entre ces mais, se trouvait une montre de poche ternis par le temps dons les aiguilles restais inerte, bien que l'on puisse la remonter.

«Je vois... Avant toutes choses, regarde le ciel. Déclara le jeune homme, regarde comme il est bleu.»

Tout deux leva les yeux vers cette étendus parsemer de quelque nuages diffus. Aurélie arrivais avec peine à distinguer les formes sous ces larmes qu'elle décida d'essuyer avec sa manche. Soudainement, un sons lourd d'une locomotive se mettant en marche retentissait derrière elle. Notre jeune fille se retourna brusquement pour se rendre compte qu'elle étais loin du petit parc ou elle se trouvais il y as quelque instant. Nos deux protagoniste étais désormais sur les quais d'une petite gare border de bosquets de rosier. Le jeune homme d'environs 16 ou 17ans qui l'avais interpeller dans le parc avait troquer son jeans et T-shirt contre un pantalon brun tenus par des bretelles, une chemise plus ou moins blanche au manche remonter au coudes et un chapeau melon brun et poussiéreux assortie de vieil lunette de soudure. Ce dernier souris et commença à déblatérer :

«Ha, mais oui, bien-sure! Nous somme dans la fin des années dix-huit cents Sur le vieux contient semblerais-il et je suis John Jack Wilson? S'exclama t-il en voyant ces papiers d'identité qu'il venais de sortir de son porte feuille. Mais ou a tu piger un nom pareille?»

Aurélie, tout confuse, lui répond :
«Quoi? j'ai rien fait, et ces quoi ce délire, qu'est-ce qui ce passe?»

«C'est simple, tu nous a enrôler pour l'aventure ma cher Élisabeth, dit le jeune homme. Ne rougie pas trop, ça pagure avec votre robe si blanche.»

Elle voulu démentir ces paroles, mais un coup deuil rapide lui fit voir qu'en effets, ces vêtements eux aussi c’était transformer. Son silence fut de courte durée :
«Mon nom est Aurélie! C'est quoi cette histoire de m'appeler Élisabeth? Et pourquoi, tout serais de ma fautes?»

Aussitôt dit, le jeune homme lui répondit avec un grand sourire:
«Hé bien tout simplement parce que ce n'est pas ma fautes, et encore moins mon histoire. Si tu veut tous savoir, dans ce cas...»

Une voie singulière, teinter d'un accent anglais vain couper le jeune homme :
«Mademoiselle Élisabeth, est-ce que ce jeune homme vous importune?»

Surprise, notre jeune fille ne put que jouer le jeu et elle répondit avec délicatesse :
«Mais non, ce n'est rien. Ce n'est que mon compagnon de voyage; un mauvais farceur, mais un bonne amis.»

Tous solennellement, l'homme qui les avais interrompue s'inclina et demanda si ce dernier souhaitais les survies pour le dîné.

«Avec plaisir, répondit John. Mais à qui ai-je l'honneur au fait?»
«Je suis l'employé de monsieur Edward Churchill, mais si vous voulez me nommer, appeler moi monsieur O'Brian.»

Les pensées d’Aurélie se mirent à aller de plus en plus vites. Elle connaissait ce nom, mais d’où? Soudainement, tout lui reviens, bien que tout luis semblais invraisemblables elle se souvenait désormais d’où venais ces nom, ce lieux...

Le premier jours ou elle croisa ce vieil homme au parc sur ça chaise roulante; monsieur William Churchill, celui-ci compta à Aurélie à quel point elle ressemblait à sa défunte mère Élisabeth il lui parlais ensuite de son grand-père, l'industriel monsieur Edward Churchill, Grand patron des fonderies Churchill, il y as de cela fort longtemps. Voir, un peu avents la première grande guerre.

« Ho, que je n'aime pas être traité comme une poupée, dit elle. Chauffeur, arrêtez ce caddy! Ça ne ce peut pas, je veut retourner cher moi!»

S’écriât-elle les yeux et les points fermé. Un silence fut pendent quelque seconde avents qu'une brise fraîche vin se blottir dans ces cheveux.

« Très bien... mais quel dommage, dit le jeune homme; j'aurais bien voulu voire la suite. »

Quand elle ouvrit les yeux, elle étais de retour dans le parc. Le jeune homme, lui; étais toujours sur la balançoire à ces côté. Perplexe, Aurélie le dévisageait en lui demandant :
« mais t'est quoi toi, un rebut de mon imaginaire, un ''time lord'' ou quoi? »

Ce dernier eut un rire quelque peut moqueur avent de lui répondre :
« j'en sais rien, et toi? Tu est une invocatrice? Mais bon, je ne te retiens pas plus longtemps, je vais aller souper.»

En effets, le temps avais passer rondement et il étais désormais temps pour notre cher Aurélie de retourner à la maison juste au côté du parc qui plus est. A l'intérieur, une odeur de ragoût et de pain frais embaumais la sale à mangé. Ces sœurs jouait encore sur la console quand leur mère sonna la soupe.

Une fois attablé et le repas servis, le père d'aurélie, Monsieur Robinson, regardais sa fille qui lui semblais bien calme aujourd’hui. La main dans la barbe, il lui demanda qui étais ce jeune homme avec qui elle avais passer la journée à parler au parc. Stupéfaite que son père ai pue le voir, elle resta sans mots pendent un moment avent de répondre :
« Jack... enfin, je crois je lui ai pas réellement demander. L'on parlais de jeux de rôles...»

Soucieux de la sécurité de sa fille, mr. Robinson lui dit :
« Hé bien, la prochaine fois, invite le à soupé, nous aussi on aime les Jeux de rôles. »

Le reste de la soirée fut paisible et agréable, malgré tout, elle ne pouvait s’empêcher de tomber dans ces songes et repenser à tout ce qu’elle à vécus, si tout cela étais vrais, et d'y voir un sens.

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