les rêveries d'Aurélie
par Derick D.
La montre
Au parc des érables, un
après midi d'été, une jeune fille au regard triste, fixait le sol.
Elle étais assise à une balançoire, les yeux plain d'eau. Peut à
peut le parc se faisait silencieux des enfants. Un homme vain
brusquement s’asseoir dans le siège voisin de la jeune Aurélie.
«Quelle brillante journée
pour broyer du noir...»
dit-il gaiement avents de
reprendre en lui demandant pourquoi elle pleurait.
«Mon ami, le vieux
monsieur Churchill est partis pour l’Angleterre il y as quelque
jours... la veille, il m'avais donner cette montre en me disant qu'un
jours que mes histoires me porterais loin... Je ne comprend pas, je
n'ai jamais compter d'histoire.»
Blottis entre ces mais, se
trouvait une montre de poche ternis par le temps dons les aiguilles
restais inerte, bien que l'on puisse la remonter.
«Je vois... Avant toutes
choses, regarde le ciel. Déclara le jeune homme, regarde comme il
est bleu.»
Tout deux leva les yeux
vers cette étendus parsemer de quelque nuages diffus. Aurélie
arrivais avec peine à distinguer les formes sous ces larmes qu'elle
décida d'essuyer avec sa manche. Soudainement, un sons lourd d'une
locomotive se mettant en marche retentissait derrière elle. Notre
jeune fille se retourna brusquement pour se rendre compte qu'elle
étais loin du petit parc ou elle se trouvais il y as quelque
instant. Nos deux protagoniste étais désormais sur les quais d'une
petite gare border de bosquets de rosier. Le jeune homme d'environs
16 ou 17ans qui l'avais interpeller dans le parc avait troquer son
jeans et T-shirt contre un pantalon brun tenus par des bretelles, une
chemise plus ou moins blanche au manche remonter au coudes et un
chapeau melon brun et poussiéreux assortie de vieil lunette de
soudure. Ce dernier souris et commença à déblatérer :
«Ha, mais oui, bien-sure!
Nous somme dans la fin des années dix-huit cents Sur le vieux
contient semblerais-il et je suis John Jack Wilson? S'exclama t-il
en voyant ces papiers d'identité qu'il venais de sortir de son porte
feuille. Mais ou a tu piger un nom pareille?»
Aurélie, tout confuse,
lui répond :
«Quoi? j'ai rien fait, et
ces quoi ce délire, qu'est-ce qui ce passe?»
«C'est simple, tu nous a
enrôler pour l'aventure ma cher Élisabeth, dit le jeune homme. Ne
rougie pas trop, ça pagure avec votre robe si blanche.»
Elle voulu démentir ces
paroles, mais un coup deuil rapide lui fit voir qu'en effets, ces
vêtements eux aussi c’était transformer. Son silence fut de
courte durée :
«Mon nom est Aurélie!
C'est quoi cette histoire de m'appeler Élisabeth? Et pourquoi, tout
serais de ma fautes?»
Aussitôt dit, le jeune
homme lui répondit avec un grand sourire:
«Hé bien tout simplement
parce que ce n'est pas ma fautes, et encore moins mon histoire. Si tu
veut tous savoir, dans ce cas...»
Une voie singulière,
teinter d'un accent anglais vain couper le jeune homme :
«Mademoiselle Élisabeth,
est-ce que ce jeune homme vous importune?»
Surprise, notre jeune
fille ne put que jouer le jeu et elle répondit avec délicatesse :
«Mais non, ce n'est rien.
Ce n'est que mon compagnon de voyage; un mauvais farceur, mais un
bonne amis.»
Tous solennellement,
l'homme qui les avais interrompue s'inclina et demanda si ce dernier
souhaitais les survies pour le dîné.
«Avec plaisir, répondit
John. Mais à qui ai-je l'honneur au fait?»
«Je suis l'employé de
monsieur Edward Churchill, mais si vous voulez me nommer, appeler moi
monsieur O'Brian.»
Les pensées d’Aurélie
se mirent à aller de plus en plus vites. Elle connaissait ce nom,
mais d’où? Soudainement, tout lui reviens, bien que tout luis
semblais invraisemblables elle se souvenait désormais d’où venais
ces nom, ce lieux...
Le premier jours ou elle
croisa ce vieil homme au parc sur ça chaise roulante; monsieur
William Churchill, celui-ci compta à Aurélie à quel point elle
ressemblait à sa défunte mère Élisabeth il lui parlais ensuite
de son grand-père, l'industriel monsieur Edward Churchill, Grand
patron des fonderies Churchill, il y as de cela fort longtemps. Voir,
un peu avents la première grande guerre.
« Ho, que je n'aime pas
être traité comme une poupée, dit elle. Chauffeur, arrêtez ce
caddy! Ça ne ce peut pas, je veut retourner cher moi!»
S’écriât-elle les yeux
et les points fermé. Un silence fut pendent quelque seconde avents
qu'une brise fraîche vin se blottir dans ces cheveux.
« Très bien... mais quel
dommage, dit le jeune homme; j'aurais bien voulu voire la suite. »
Quand elle ouvrit les
yeux, elle étais de retour dans le parc. Le jeune homme, lui; étais
toujours sur la balançoire à ces côté. Perplexe, Aurélie le
dévisageait en lui demandant :
« mais t'est quoi toi, un
rebut de mon imaginaire, un ''time lord'' ou quoi? »
Ce dernier eut un rire
quelque peut moqueur avent de lui répondre :
« j'en sais rien, et toi?
Tu est une invocatrice? Mais bon, je ne te retiens pas plus
longtemps, je vais aller souper.»
En effets, le temps avais
passer rondement et il étais désormais temps pour notre cher
Aurélie de retourner à la maison juste au côté du parc qui plus
est. A l'intérieur, une odeur de ragoût et de pain frais embaumais
la sale à mangé. Ces sœurs jouait encore sur la console quand leur
mère sonna la soupe.
Une fois attablé et le
repas servis, le père d'aurélie, Monsieur Robinson, regardais sa
fille qui lui semblais bien calme aujourd’hui. La main dans la
barbe, il lui demanda qui étais ce jeune homme avec qui elle avais
passer la journée à parler au parc. Stupéfaite que son père ai
pue le voir, elle resta sans mots pendent un moment avent de
répondre :
« Jack... enfin, je crois
je lui ai pas réellement demander. L'on parlais de jeux de rôles...»
Soucieux de la sécurité
de sa fille, mr. Robinson lui dit :
« Hé bien, la prochaine
fois, invite le à soupé, nous aussi on aime les Jeux de rôles. »
Aucun commentaire:
Publier un commentaire
N'oubliez pas de signer Anon!