mardi 14 juillet 2015

Les pilotes du Bonnet-Blanc part1

Si je peut spécifier quelque points sur le second chapitre des comptes oublier, je tien a spécifier que j'ai baser mes récits sur ce que je connaissait des comptes irlandais d'ou l'histoire du ruisseau et des fée décrite comme monstrueuse. 

Maintenant, j'ai envie de tester un autre univers, en projetant  mon prochain texte dans un univers d'avants guerre. J'ai eut envie de changer d'aire, non pas que je n'aime plus le médiéval fantastique, mais plutôt pour ne pas brûler la mèche trop vite. nous verrons bien aussi, si ce genre de texte aura autans de visionnement que les autres. 

Les pilotes du Bonnet-Blanc

par
Derick Descoteaux
04-05-2015

Chapitre 1
Bonnet-Blanc

Premier juin 1921.
Sylvestre et Gabriel survole la France Abord de leur avion surnommer le Bonnet-Blanc due au nombreuse réparation de fortune qu'ils ont due faire avec des rouleaux de coton médicinale pris à gauche et à droite lors de leur périples autours de la méditerranée. Ces deux pilotes de fortune ont passer plus dune centaines d'heures dans les cieux à travailler pour divers employeurs ; quelques fois pour des marchands, souvent pour des brigands. Cette fois, leur employeurs est un riche homme d'affaire qui pour des raisons secrètes ont demander à l’équipage du Bonnet-Blanc de transporter un colis de l’Espagne à la l'empire Ottoman. La petite boite entre les jambes Sylvestre entame la dernière heures de voles de la journée avec beaucoup de plaisir car il sait qu'un bon repas et un lit douillet l'attend à la ferme de ces parents.

«Gabriel, tu dort? Demanda notre pilotes. GABRIEL!»
Aussitôt ces mots dit, Sylvestre entama un court décrochage qui ne manqua pas de faire sursauter son copilote exténuer de ces huit dernières heures de voles.
« Non, mais sa ne va pas la tête? Dit Gabriel tu va nous tuer un jours ! Et tu as penser au colis, si c’était fragile, il serais en pièces!»
Gabriel étais d'un tempérament anxieux depuis toujours ; du moins, depuis qu'il connus Sylvestre. Il faut dire que ce ne fut pas de tout repos. Gabriel étais un jeune américain engager par la légion étrangère qui enchaînais les corvées pour ces écarts de comportement. Ce fut décisif lors qu'il finir par se rencontrer...
«Ha! finalement tu me répond. Regarde, l'on est presque arriver !»

L'avion comme les champs de blés étais baigner de la dorure du coucher du soleils et au loin, l'on pouvais distinguer in petite maisonnée accompagné d'une grange et de deux silos à grain toujours vide à cette époque de l'année. L'avion approcha le chemin de terre qui étais à travers champ. L’atterrissage fut délicat bien l’état de l'appareilles. À peine le moteur couper que nos deux aventurier firent accueilli par le père et le grand frère de Sylvestre.
«Sa fait plaisir de voir mon petit oiseau revenir au nid pour un fois!» Bien que d'un tempérament froid, Monsieur Boulogne; le père de Sylvestre, avait un grand cœur et supportais mal l’esprit aventurier de son plus jeunes fils.
«Tu as remplacer ton cabot par un vrai copilote cette fois ? Demanda sarcastiquement le grand frère de Sylvestre. L'on pourrais croire que ton chien à fait le grand saut»
Bien que Tom N'avais pas totalement tors, Notre fier gaillard lui répondit :
«Mais non, il est à bon ports, en Pologne si je me souvient bien. Un gamin l'aimais tans, je lui ai laisser.»
Que de beau mensonges. Sur ce, les frères éclatèrent de rire avant de donner la main et commencer à reculer l'avion dans la grange.

Notre pilote commença à pomper de l’essence dans le réservoir quand Gabriel lui demanda :
« C'est vrai cette histoire de chien?»
-Qu'il est quelque parts en Pologne, oui.
-Non, qu'il a sauter !
-Je n'ai jamais dit ça! et en plus, il n'était pas très doué pour les manœuvres.
-Donc, il est tomber...
-Absolument pas ! Disons simplement qu'il n'aimais pas les ''Dog Fights'' finit Sylvestre avec ce mauvais jeu de mots qui rendit perplexe Gabriel.

Ce silence fut de courte durée puisque le grand frère de Sylvestre sonna l'heure du dînée, bien que tardive. À l'arrivée des hommes à la table, Madame Boulogne avait attabler un maigre gigot entourer de légume bouillit dans l'eau de la viande elle même. Depuis quelque années, la grande sales a dîner c’était vider. Autrefois l'on pouvais compter entre 7 et 8 personnes à cette table qui aujourd’hui n'en compte que cinq. L'un est marier à la fille de Mr. Waquiez, l'autre travail à l'usine du village. Les deux jumelles sont maintenant à Paris et la benjamine étudie pour devenir institutrice. Seul le grand frère est rester. Il aimais trop la terre pour partir et encore moins s'envoler. La conversation roulait d'opinions à plaisanteries autours de la table jusque tard dans la soirée.

La nuit tomber, l'air étais frais. seul Gabriel et monsieur Boulogne étais encore debout à parler .
«Vous arriver de loin ? Demanda le vieil homme bedonnant.
Sans hésiter, Gabriel lui répondit :
« hé bien, nous avons déjeuné plus tôt que prévus pour arriver ici. Notre commanditaire nous as tracé un itinéraire très particulier. Il nous as demander de voler à très basse altitude et d’évité les grandes routes ainsi que tout villes et villages. C’était qu'en même tranquille, j'ai dormis presque tout le trajets.»
Le vieil homme moustachue sourit avent de reprendre :
«Ce n'étais pas ma question. Je me doute que vous n’êtes pas français avec votre accent. Je voulais savoir d’où vous venez.»
Notre jeune homme leva les sourcils en disent ceci :
«Oui c'est vrai... Je suis canadien français, mais j'ai vécus longtemps à dos de cheval dans l'ouest américain avants d’être suffisamment riche pour voyager et joindre la légion française. Maintenant je suis copilote et tireur du Bonnet-Blanc.»
Mr. Boulogne Fixa Gabriel dans les yeux et lui dit :
«La légion... vous savez que l'on ne sort pas de la légion à sa guise?»
Levant son verre, Gabriel relança aussitôt :
«Je n'ai pas rejoins la légion de mon grée, le recruteur la signé à ma place et ils sont venus me chercher dans mon lit à l'auberge, alors, je considère que la légion et moi somme quitte à présent. Vous comprendrez aussi que Gabriel n'est pas mon vrai nom et que je parle trop quand je bois, je devrais me taire, sa ne fait que m'attirer des ennuis.»
«Mon Fils sais pour votre nom?»
Demanda le père anxieux
«Totalement! Repris Gabriel avec un tons serin. Il me connus sous le nom de Clifford même si ce n'étais déjà pas mon nom.»
«Vous êtes un drôle d'oiseau monsieur Gabriel, un drôle d'oiseau...»

Le ver de monsieur Boulogne étais maintenant vide. Il se leva et d'une main sur l'épaule, salua le garçon avants de joindre sont lit.



«Je vais rester un peut, dit Gabriel, je n'ai pas encore sommeil.»

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