Si je peut spécifier quelque points sur le second chapitre des comptes oublier, je tien a spécifier que j'ai baser mes récits sur ce que je connaissait des comptes irlandais d'ou l'histoire du ruisseau et des fée décrite comme monstrueuse.
Maintenant, j'ai envie de tester un autre univers, en projetant mon prochain texte dans un univers d'avants guerre. J'ai eut envie de changer d'aire, non pas que je n'aime plus le médiéval fantastique, mais plutôt pour ne pas brûler la mèche trop vite. nous verrons bien aussi, si ce genre de texte aura autans de visionnement que les autres.
Les pilotes du Bonnet-Blanc
par
Derick Descoteaux
04-05-2015
Chapitre 1
Bonnet-Blanc
Premier juin
1921.
Sylvestre et
Gabriel survole la France Abord de leur avion surnommer le
Bonnet-Blanc due au nombreuse réparation de fortune qu'ils ont due
faire avec des rouleaux de coton médicinale pris à gauche et à
droite lors de leur périples autours de la méditerranée. Ces deux
pilotes de fortune ont passer plus dune centaines d'heures dans les
cieux à travailler pour divers employeurs ; quelques fois pour
des marchands, souvent pour des brigands. Cette fois, leur employeurs
est un riche homme d'affaire qui pour des raisons secrètes ont
demander à l’équipage du Bonnet-Blanc de transporter un colis de
l’Espagne à la l'empire Ottoman. La
petite boite entre les jambes Sylvestre entame la dernière heures de
voles de la journée avec beaucoup de plaisir car il sait qu'un bon
repas et un lit douillet l'attend à la ferme de ces parents.
«Gabriel, tu
dort? Demanda notre pilotes. GABRIEL!»
Aussitôt ces
mots dit, Sylvestre entama un court décrochage qui ne manqua pas de
faire sursauter son copilote exténuer de ces huit dernières heures
de voles.
« Non, mais sa
ne va pas la tête? Dit Gabriel tu va nous tuer un jours ! Et tu
as penser au colis, si c’était fragile, il serais en pièces!»
Gabriel étais
d'un tempérament anxieux depuis toujours ; du moins, depuis
qu'il connus Sylvestre. Il faut dire que ce ne fut pas de tout repos.
Gabriel étais un jeune américain engager par la légion étrangère
qui enchaînais les corvées pour ces écarts de comportement. Ce fut
décisif lors qu'il finir par se rencontrer...
«Ha!
finalement tu me répond. Regarde, l'on est presque arriver !»
L'avion comme
les champs de blés étais baigner de la dorure du coucher du soleils
et au loin, l'on pouvais distinguer in petite maisonnée accompagné
d'une grange et de deux silos à grain toujours vide à cette époque
de l'année. L'avion approcha le chemin de terre qui étais à
travers champ. L’atterrissage fut délicat bien l’état de
l'appareilles. À peine le moteur couper que nos deux aventurier
firent accueilli par le père et le grand frère de Sylvestre.
«Sa fait
plaisir de voir mon petit oiseau revenir au nid pour un fois!» Bien
que d'un tempérament froid, Monsieur Boulogne; le père de
Sylvestre, avait un grand cœur et supportais mal l’esprit
aventurier de son plus jeunes fils.
«Tu as
remplacer ton cabot par un vrai copilote cette fois ? Demanda
sarcastiquement le grand frère de Sylvestre. L'on pourrais croire
que ton chien à fait le grand saut»
Bien que Tom
N'avais pas totalement tors, Notre fier gaillard lui répondit :
«Mais non, il
est à bon ports, en Pologne si je me souvient bien. Un gamin
l'aimais tans, je lui ai laisser.»
Que de beau
mensonges. Sur ce, les frères éclatèrent de rire avant de donner
la main et commencer à reculer l'avion dans la grange.
Notre pilote
commença à pomper de l’essence dans le réservoir quand Gabriel
lui demanda :
« C'est vrai
cette histoire de chien?»
-Qu'il est
quelque parts en Pologne, oui.
-Non, qu'il a
sauter !
-Je n'ai jamais
dit ça! et en plus, il n'était pas très doué pour les manœuvres.
-Donc, il est
tomber...
-Absolument
pas ! Disons simplement qu'il n'aimais pas les ''Dog Fights''
finit Sylvestre avec ce mauvais jeu de mots qui rendit perplexe
Gabriel.
Ce silence fut
de courte durée puisque le grand frère de Sylvestre sonna l'heure
du dînée, bien que tardive. À l'arrivée des hommes à la table,
Madame Boulogne avait attabler un maigre gigot entourer de légume
bouillit dans l'eau de la viande elle même. Depuis quelque années,
la grande sales a dîner c’était vider. Autrefois l'on pouvais
compter entre 7 et 8 personnes à cette table qui aujourd’hui n'en
compte que cinq. L'un est marier à la fille de Mr. Waquiez, l'autre
travail à l'usine du village. Les deux jumelles sont maintenant à
Paris et la benjamine étudie pour devenir institutrice. Seul le
grand frère est rester. Il aimais trop la terre pour partir et
encore moins s'envoler. La conversation roulait d'opinions à
plaisanteries autours de la table jusque tard dans la soirée.
La nuit tomber,
l'air étais frais. seul Gabriel et monsieur Boulogne étais encore
debout à parler .
«Vous arriver
de loin ? Demanda le vieil homme bedonnant.
Sans hésiter,
Gabriel lui répondit :
« hé bien,
nous avons déjeuné plus tôt que prévus pour arriver ici. Notre
commanditaire nous as tracé un itinéraire très particulier. Il
nous as demander de voler à très basse altitude et d’évité les
grandes routes ainsi que tout villes et villages. C’était qu'en
même tranquille, j'ai dormis presque tout le trajets.»
Le vieil homme
moustachue sourit avent de reprendre :
«Ce n'étais
pas ma question. Je me doute que vous n’êtes pas français avec
votre accent. Je voulais savoir d’où vous venez.»
Notre jeune
homme leva les sourcils en disent ceci :
«Oui c'est
vrai... Je suis canadien français, mais j'ai vécus longtemps à dos
de cheval dans l'ouest américain avants d’être suffisamment riche
pour voyager et joindre la légion française. Maintenant je suis
copilote et tireur du Bonnet-Blanc.»
Mr. Boulogne
Fixa Gabriel dans les yeux et lui dit :
«La légion...
vous savez que l'on ne sort pas de la légion à sa guise?»
Levant son
verre, Gabriel relança aussitôt :
«Je n'ai pas
rejoins la légion de mon grée, le recruteur la signé à ma place
et ils sont venus me chercher dans mon lit à l'auberge, alors, je
considère que la légion et moi somme quitte à présent. Vous
comprendrez aussi que Gabriel n'est pas mon vrai nom et que je parle
trop quand je bois, je devrais me taire, sa ne fait que m'attirer des
ennuis.»
«Mon
Fils sais pour votre nom?»
Demanda le
père anxieux
«Totalement!
Repris Gabriel avec un tons serin. Il me connus sous le nom de
Clifford même si ce n'étais déjà pas mon nom.»
«Vous êtes un
drôle d'oiseau monsieur Gabriel, un drôle d'oiseau...»
Le ver de
monsieur Boulogne étais maintenant vide. Il se leva et d'une main
sur l'épaule, salua le garçon avants de joindre sont lit.
«Je vais
rester un peut, dit Gabriel, je n'ai pas encore sommeil.»
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