dimanche 24 janvier 2016

Storyteller part 5


Ce chapitre mélodrame est peut-être un peut lourd contrairement à tous le reste de l'oeuvre, mais je voulais explorer la mélancolie ou plutôt le deuil. non pas que j'en suis as cette période de ma vie, mais je trouvait intéressent d'explorer tout les gammes d'émotions. si ça peut vous aider, j'ai composer ce texte en écoutant principalement la guitare d'Estas Tonne et du flamenco. 

Un chapitre, une aventure! j'ai déjà hâte de plonger dans l'écriture du prochain chapitre!


Chapitre 5. Un temps de fou pour une rose.


Face au mots de la foraine, Lucas c'était préparer à tout, saut à ce qu'il l'attendait. Dés le premier du mois, un homme dans la rue l'interpellait lui demandant s'il avait une chansons pour lui. De tout évidence cette homme n'étais pas dans la fortune, en d'autre terme, nous pourrions le qualifier de vagabond. Serte Lucas n'avais pas de quoi lui offrir, mais l'homme se faisait insistant, lui demandant à genoux même s'il pouvait lui offrir un texte et des notes à mettre sur sa guitares.

« Je suis désolé monsieur, répondit Mackay. Je n'ai pas de chansons à vous offrir ni l'inspiration pour ce genre de chose. »

Sans doute qu'il me voyait écrire au café, se disait Lucas. Le vagabond tendis alors sa guitare au jeune hommes :
« Alors, prend la et inspire toi. »

L’objet en soit étais magnifique pour son originalité et son aspect unique. Ces cordes en fil de sois dentaire remplaçait les cordes de nylon. Le manche étais entailler d'une profonde entaille à l'endos et commençait à noircir par l'utilisation. Sur le caisson, l'on pouvait voir quelque autocollant défraîchie sur le bas et des mots simple écris au feutre un peut au dessus de l’endroit ou l'on placerais la main. Amour, lumière et passion sont partiellement effacé et et plusieurs autre ne sont que des marque rendu illisibles par l'usure. Lucas la pris et fut étonner de découvrir à l'endos un dessin de fleur magnifique contrastant à peine avec la couleur foncé du dos de la guitare.

Lucas voulu refuser l'offre et rendre la guitare, mais le vagabond en question avait déjà fait sont chemin et avait disparue dans la foule soudaine.
« Quel dommage se disait notre écrivain, j'aurais voulu lui remettre, je ne sais même pas quoi en faire. »

Ce premier jours d'octobre étais un jours de travail, il fut obligé d’apporter l'instrument au travail, ce qui ne manqua pas de faire tourner les regards. Au fils des conversations avec ces collègues de travail il finit pas comprendre que le vagabond serais semblablement un des poètes de Betterton qui aurait sombrer dans la mélancolie. Une histoire à dormir debout par certain, une histoire plausible pour d'autre.

Les évidences pointant dans tout les directions, il décida en fin de son quart de travail d'aller jeter un coup d’œil. Sur les lieux, il trouva un café don la façade bleue et blanche portait le nom évocateur de Poetry Cafe. Le petit établissement étroits ne possédait que quelques tables éclairer par des lanterne de tissue jaunis couverte de quelques mots à l'ancre. Seulement trois personnes s'y trouvait en ce moment, incluant l'hôtesse. Arrivant au comptoir, il présenta la guitare et demanda s'il savait à qui appartenait cette guitare, qu'il devait lui rendre. Sans dire un mots, elle pointa un babillard sur un mur auquel l'on pouvait voir des articles. L'un d'eux présentait un avis de recherche. Le pauvre homme avait laisser sa vie de côté pour vivre de son instrument et l'on ne l'aurais jamais revue depuis. Lucas resta un moment, dans le silence. A observer la feuilles avant de rebrousser chemin. Quand il mit la main sur la porte la tenancière lui lança ces quelque mots :

« Si vous le retrouver, dite lui que ces amis l'attende... non, dite luis que sa famille l'attende. »

ces mots lui brisa le cœur, il ne put que lui promettre qu'il allait le faire, mais qu'il ne savait pas s'il allait vraiment le revoir.

La soirée étais avancé et il n'avait toujours pas trouver les mots pour la chanson et encore moins pour commencer son manuscrit pour dame Amanda. De plus, son environnement avait quelque chose de changer, il ne pouvait pas déceler quoi, mais quelque chose étais différent. Une semaines passèrent sans que mots s'écrivent, sans que ce vagabond au nom d'Arthur se pointa. Une semaines à se sentir épier d'un regard lourd. Il ne pouvait cerner le pourquoi, ni le comment, mes cette impression se fait toujours de plus en plus lourd.

Lucas décida de repartir à la recherche de ce vagabond et de se débarrasser une bonne fois pour toute de ce fardeau qui le pesait. Pour se faire, il décida de partir à sa recherche avec la guitare en main. Celle ci avait parfumer son appartement d'une arôme floral car un pot pourri de rose se dans un contenant coller et perforer qui étais disposer au fond de la guitare. Notre journaliste avait chercher le centre ville dans son entièreté ou presque sans succès. L'espace d'un instant, lorsqu'il passa sous les haut parleur d'un établissement d'électronique, l'on pouvait entendre le commentateur journalistique dire ces mots :

« Rester à l'écoute! Après la pose nous parlerons d'un jeune homme contraint à écrire une chanson pour un vagabond mais qui ne mets pas l'effort de s'y attaquer... ...Mackay. »

Notre jeune homme n'y avait pas porter attention au départs, mais dés qu'il entendue son nom, ces propos résonnait dan on esprits comme un avertissement d'un devoir non fait. En se retournant il vit le journaliste une fraction de seconde avant la pose, qui peut importe la disposition dans l'écran dans lequel il était , ce dernier le fixait du regard. Cette avertissement lui glaçait le sang. Sans doute que la magie de la sorcière y était derrière, mais pourquoi? Nul moyen de savoir.

Lucas arriva au café des poètes décidé à mettre sur papier quelque ligne, des idées qui lui vin sur le moment. À moins d'une demi heure de la fermeture, il demanda un thé et de quoi écrire pour se mettre à l'ouvrage. La dame lui sortie un crayon et des feuilles destiner au recyclage, ce qui faisait amplement l'affaire de Mackay. Il se mis à l'ouvrage tendis que la serveuse alla chercher son thé. Mackay se mis a l'ouvrage dé qu'il pue mais ce qui lui semblait de routine étais pour les autres une vision d'horreur. La guitare disposer sur la chaise devant lui s'était mise à léviter tendis que les lumières se balançait en changeant de luminosité constamment. Au yeux de notre écrivain, il se voyait écrire d'un bon rythme, mais dans les fait, il avait la tête pencher et les paume ouverte vers le ciel avec la plume qui bougeait d'elle même dans sa main. Certain fuyaient d'autre ne pouvait qu'assister au troublant spectacle qui durait le temps de remplir cinq page.

Se retournant pour demander si la boisson étais finalement prête, Il vue la tenancière subjuguer qui par son ébahissement avait laisser couler sur le sol le thé.

« Madame, demanda t-il. Vous allez bien? »

Le regard de la dame changea pour de la colère et elle se mis à lui crier des noms et lui sommait de sortir de son établissement, ce qu'il fit promptement. Il ne le savait pas encore, mais un jeune homme le suivait depuis quelque moment. Ce dernier l'interpella de loin par son nom de famille. Intriguer, Lucas alla à sa rencontre. Un jeune homme au look un peut gothique avec ces vêtement noir mat et ces long cheveux plat. Notre protagoniste se rappelait l'avoir vue dans le café plus tôt et lui demanda :
« Comment sait tu mon nom? »

« Un murmure dit je gothique, Un murmure que j'ai entendue au début de ta séance de spiritisme. »

Lucas afficha un regard perplexe, restant muet.

« Ne me dit pas que tu en a pas eut conscience? Dit le jeune homme. Les lumières, la guitare qui bouge tout seul, tu na rien vue? »

« Je peut savoir à qui j'ai à faire, demanda Lucas suspicieux. Je n'ai pas l'impression de vous connaître. »

Au tours du jeune gothique de ce présenter au nom évocateur de Ash Stone(cendre pierre). Il lui expliqua par la suite ce qu'il vit au café, ce qui ne manqua pas de faire pâlir Lucas. Celui-ci voulu discréditer le jeune homme en lui pointant son ouvrage pour s’apercevoir que non seulement il ne reconnaissait pas les dires écrits, mais aussi que les mots étais accompagner de note s'apparentant à des accords et des brides de partitions. Constatant qu'il avait probablement raison, Mackay ne manqua pas de maudire la sorcière qui lui faisait perdre raison. Sans même prévenir, il couru vers son appartement pour examiner le manuscrits.

Ces mots était une découverte pour l'écrivain. Une courte chansons en palindrome suivit d'une mélodie d'allure simple qui ne pouvait déchiffrer de lui même. Il tenta de répéter l'expérience à plusieurs reprise sans succès. Les tours de passe passe de la foraine ce saurait-il estomper? Il n'en étais pas moins intriguer de la raison que tout tournait autours de cette individue. Ce n'est que quelque jours plus tard qu'un de ces amis d'enfance vin lui rendre visite et qu'il entendue pour le première fois l'œuvre de la main d'un musicien. Cette mélodie étais bien au delà de ces espérances et faisait l'envie de son amis qui souhaitait la garder pour lui, mais Lucas refusa prétextant que ce morceau servirait à un artiste qui en as grandement de besoins. Il n'en fallut pas moins pour son amis au grand cœur pour répondre :
« Hé bien dans ce cas, laisse moi remettre sa guitare en états. »

Profitant du fait qu'il retirait les corde de sois, Lucas sortis le contenant de pot pourri de la guitare pour satisfaire sa curiosité. Fait de pétale de roses, de noix et de zeste d'agrume, le contenus parfumer laissait paraître un bout de papier parchemin plier dont les pointes était éroder par le frottement. Celui ci contenais les mots suivent :

«Un message pour ceux qui me lise au dos de la rose en noir.
Milles mondes n'aurons jamais eut les même passions que je portais pour elle.
Ma rose, my lady, Milady.
Une fin tragique m'attend
mais sache que les arômes quelle ma laisser
me suivront bien au delà des frontières du vivent.
Milady Rose me montre le chemin de l'aventure.
Les rose de my lady me suivront tout au long de ma vie
et dans l'ombre d'une sombre rose en noir. »
Suite à cette découverte, et les corde fraîchement reposer, tout deux se mire à le chercher dans Londres. L'après midi passa sans nouvelle du vagabond. Lucas ne savait plus ou donner de la tête, mais son acolyte du moment proposa de reprendre à partir de l’endroit ou ils l'avait vue la dernière fois.

Une fois sur place, Lucas passait à mainte reprise dans les rue et ruelle du cartier sans y trouver son compte, mais il ne fallu qu'un passage à son amis d'enfance pour découvrir un étroit passage d'à peine un pied de large entre deux bâtiment couverte par un vieux panneau publicitaire faisant office de porte. Les deux s'avançait dans l’étroite corridor pour arriver à un espace clos remplis de détritus et boites de cartons. L'on pouvait y déceler un foyer de fortune en son centre et un amoncellement de boite et couverture et de boite dans lequel l'on pouvait voir les pieds bleu d'un homme. Il étais bien sure trop tard pour l'homme, mais Lucas insistais pour appeler de l'aide, du moins pour venir chercher le corps.
La journée se terminait dans le silence. Tout deux ne savait quoi dire sinon trinquer au nom du pauvre homme. Ce fut ainsi que leur rencontre se termina avec un accolade et un retour seul chez soit.

Cette nuit dans les bras de Morphée, ces songes l'apportais dans un monde de papier et de lettre dont l'écriture lus était familière. Il n'eut le temps de s'attarder au écris qu'un personnage familier vin lui rendre visite. Arthur le vagabond s'était assis sur un muret tapisser des même mots que ceux sur la guitare et dons le mots amitié étais ajouter.

« Tu est mort, s'exclama Lucas. Avoir sue que tu étais si mal au point, je t'aurais offert de l'aide! »

Artur fit un sourire rassurant et avec la plus grande des candeurs commença un récit qui ne pouvait que mettre un baume sur son cœur.

« Oui, je sais... Mon temps étais due depuis fort longtemps. J'ai vécus pour l'amour de la poésie comme un artiste pour son arts. Je l'ai suivi là ou elle devais me mener et maintenant, tu m'apporte la dernière e mes poésie, en vers et en accord. Je t'ai demander ce service pour enfin reprendre ma place auprès de ma douce Rose. Je l'attend depuis si longtemps... »

Lucas repris d'une promesse :
« Tes amis me font dire que tu va leur manquer. Il t'attendait encore, mais c'est peine perdu...»

« Je ne laisse ni famille, ni enfants dans la douleur, dit Arthur. Seulement quelques inconnus dans le deuil. Puisse t-il me pardonner de mon absence. »

Ainsi s’estompait le rêve au première lueurs du matin. Le silence régnait dans l'appartement tendis que Lucas avait encore cette mélodie en tête. Il devais aller travailler, mais il en avait ni l'envie, ni l'énergie. Les papier en mains, il étais affaler à la table de la cuisine, chauffer par un rayon de soleil dorer. Cette instant ou la tristesse fait place au regrets pesait lourd sur ces pensées. Il devais faire quelque chose pour l'honorer au moins, mais première des choses, Il devra sortir de son mutisme.

Il pris donc son chemin pour le café rue Betterton. La caissière n'en étais pas moins mécontente de le voir revenir, mais celui-ci n'en fit rien. Il alla au babillard retirer l'avis de recherche et l'apporta au comptoir.

«Vous l'avez retrouver demanda la caissière. »

Lucas répondit la mine base :
« Malheureusement, oui... »

Ces mots voulais tout dire. Il tourna le dos à la femme avants de la saluer du revers de la main, la laissant avec un nœud dans la gorge et les yeux plein d'eau. Le jours même, il apporta au journal une lettre, sont récit pour la rubrique nécrologique avants de reprendre congé. Un hommage digne des mots qu'Arthur avait pour les roses. Cette parutions fut vibrer Londres et dans les jours qui suivirent, l'entrée du lieu de sa mort comme celui du café des poètes se tapissait de quelques roses et de poèmes en son honneur.

Comme l'avait signifier Lucas dans cette lettre, c’était maintenant à son tours de trouver cette rose. Au fils de ces recherches, il découvrit la passion d'Arthur non seulement pour la poésie et l’horticulture, mais aussi pour l'histoire. Ce qui l’amena sur les traces d'une histoire aussi folle que les propos de sont rêve. L'histoire d'une jeune fille nommer Rose qui un samedi de 1916 devais quitter sa région natale de Verdun en France affin d'échapper à la guerre et l’ostracisation car elle se voulais païenne. Dans son épopée à travers le monde elle tomba vite amoureuse d'un forain au nom d'Arthur avec qui elle faisait un numéro de magie qui, un jours; finit par mal tourner, mettant fin à un des duos les plus incroyable de ce temps. Selon la presse de l'époque elle aurais promis de le ramener à elle.

La fin du mois approchait à grandement et Lucas n'avait toujours pas mis une seul lettre sur ce que devait être le récits d'un temps de fou pour une rose. Ils n'étais pas sure d'être sur les bonne traces. De plus, la seul personne avec qui il voulais en parler, se faisait absente. Le café qu'il côtoyait n'étais pas le même sans Alice.

Une seconde révélation lui fit faite lors d'un rêve la veille d' Halloween. Il reconnus la Liseuse de bonne aventure qu'il croisa lors de voyage à l'époque Ou Amanda rejoignit les forains. Bien qu'elle n se nommait jamais, il compris que c’était la Rose en question. Elle le remercia de lui avoir ramener son Arthur, elle le remerciait de l'avoir libérer de ce mauvais sort, son erreur.

« Il faut que jeunesse se face lança Lucas. J'ai maintenant un texte à rédiger... »

Et dés son réveil, il se mis à l'écriture de cette histoire, tout en poésie. A son retour au travail, William l'attendais avec un grand sourire.
« Mon fils, tes mots valent de l'or! Laisse l'impression de côté veut tu, je vais faire de toi un journaliste! Toujours près faire parti de la rédaction? »

Lucas le laissa pantois disent qu'il allait y réfléchir, prétextant qu'il n'étais pas encore assidue et qu'il se voyait maintenant plus romancier que journaliste.

Le soir même, il reçu l'appelle d'Amanda et lui confia son histoire. Le sur lendemain, à son retour au travail, il trouva une note parfumé dans ces affaires. Sans l’ouvrir, il reconnus ce parfum doux. La lettre n'étais pas signé, mais ils reconnus tous de suite à qui pouvait appartenir ces propos.

« Au fils des mots, je t'ai lue et au fils de tes récits je t'ai crue. Ma parole n’étant pas la tienne, personne ne crue ces mots, personne ne voulut aimer ces histoire comme je les ai aimer. J'ai donc décider de vérifier la véracité de tes dires et de partir un moment pour lire les mots des autres, ceux qui ont été ton inspiration. Je suis peut-être qu'une serveuse, mais je veut apprendre à capturer la vie, l'espace d'un instant, comme tu le fait si bien. Je sais maintenant ce que je veut faire dans la vie, merci! »


Prochain chapitre : Paris par les vieil rues

lundi 18 janvier 2016

Storyteller Part 4

Il me semble que certaine personnes semblent se connecter sur une base régulière pour lire mes texte. hé bien, je suis désolé de ne pas être plus assidue. mais si je peut vous donner un bonne indice, vous avez plus de chance de tomber sur un nouveau texte le lundi plutôt que les vendredi ou samedi puisque je suis généralement en processus d'écriture la fin de semaines.

Encore une fois, je me trouve à poster un dimanche soir à environ 3 hrs am. parce que j'ai décider suite à un rêve de changer le cours de mon histoire et ce à 80% si je peut dire. j'espère que vous apprécierez!

Chapitre 4, Le couloir des vapeurs.


Lucas, avait passer les trois dernier jours à vagabonder entre son appartement et la café à la recherche de réponse, comment avait-il fait ce voyage, comment se fait-il que ce qui s'apparentait à un rêve soit si soudainement chose du réel. Non, pas qu'il étais effrayer, il en étais émerveiller. Ce paradoxe, cette folie, cette magie lui avait mis en tête qu'il pourrait peut-être se passer du travail au journal. Ces textes aussi soudain qu'incroyable luis paraissait sublime et d'un fort potentielle pour une première publication. D'un côté, il se demandait qu'en penserait la nomade? Abuser d'une promesse pour s’enrichir. De l'autre, Alice buvait ces mots comme si ces manuscrits était la plus belle œuvre du monde. Peut-être devrait-il en parler à son père? Peut-être que non... Il ne s’était pas pointer au travail ces derniers jours à la recherche du sens que le titre cachait. Lucas Mackay anticipait une réponse furieuse de son aïeul s'il en glissait un mots. De l'autre côté, pourrait-il comprendre en temps qu'homme de lettre que le travail à l'impression n'est pas sa place mais devant un clavier, que ce soit comme journaliste ou écrivain.

-Hé puis pourquoi pas! Pensa t-il à voix haute.
Lucas avait la ferme intention de faire valoir ces écris face à son père. En peut de temps il était à la porte des bureaux, figé à savoir ce qu'il allait dire. Comment apporter la chose? D'un autre côté, il ne put s'empêcher de remarquer la vapeur qui s'échappait de la ruelle. Son instinct lui dictait d'aller vers celle-ci, comme si elle l'appelait, d'un autre côté, il avait le devoir de se reporter à son père, son patron.

L'air de rien, Lucas étais rester fixe devant la porte depuis au moins 5 minutes, la main tendus vers la poignée de la porte vitré, du coup, quelqu'un vin à lui ouvrir la porte, ce qui sorti notre écrivain de sa pensé. L'horreur voulu que ce soit son paternel.

« Ho! Tu sortait, demanda Lucas ébahie. Je peut repasser si je ne suis pas au bon moment. »

William le regardait avec un air désabuser :
« La réceptionniste ma appeler pour m’avertir que mon lunatique de fils étais devant la porte. J'imagine que c'est pour me voir? »

Malheur, se disait Notre jeune homme. La peur le tenaillait, le laissent sans mots tendis que sa curiosité le poussait à partir vers cette brume. Il n'eut que le réflexe d'ouvrir la bouche sans un mots,le doigt levé avant de remettre la pile manuscrit entre les mains de son père, ne gardant qu'un cahier et un crayon pour ensuite courir vers la brume et s'y enfoncer.

C'était tout une surprise pour monsieur Mackay de voir son fils dans de telle émois. Une fois que Luca traversa le coins du bâtiment, Mr William en fit tout autant pour voir qu'il n'y avait que cette blanche vapeur et une clôture de planche après quelques pas. C'était à son tours de démontrer de l'étonnement. Il ne comprenait pas comment il avait pue disparaître de la sorte. C'est à ce moment qu'il décida de baisser les yeux sur les feuille qu’il tenais à deux main pour y découvrir le titre de sa première nouvelle.

Pendent ce temps, Notre aventurier s'était grandement avancer dans un couloir enfumer non seulement par la vapeur, mais aussi par une étrange odeur florale et le sons échos d'un instrument à corde au loin. Aux abord d'une sale l'on pouvait voir une personne assis sur le sol avec un guitare fait à la main avec une boite de cigare entamer. Le reste de la pièces était parsemer de livres, d'herbe suspendue et tout ce qu'il faut pour concocter le plus étranges des mélange. Au travers des concoctions et de la fumée se trouvait une femme d'un vingtaine d'année avec un regard qui semblait familier à Lucas. Ces grand Yeux bleu et gris le regardait stupéfait et plein de questions.

« Je crois bien avoir fait une bêtise encore! »

De tout évidence, ils n'étais pas à leur place dans ce décor d’apothicaire. Elle avait les cheveux d'un noir lustrer contrastant avec sa peau blanche et son rouge à lèvres clinquant. Tout deux arborait un manteau de cuire noir et semblait être des rockabillys. Je dois dire qu'il faisait piètre figure avec son chemisier bordeaux et et ces cheveux en batailles.

Ils ne leur pris que quelques secondes pour prendre fuite avec en mains ce qu'il pouvait prendre. Du coup Lucas compris qu'il se trouvait en présence de voleur et qu'involontairement, ils étais complice et ce fut son tours de fuir. Rendu à l'extérieur il les vie embarquer dans une voiture comme on n'en voit que dans les salon de l'auto. Un Chevrolet Impala 1959 rouge tout d'époque avec des pneus à fanges blanche, devancer par une corvette noir de la même époque légèrement accidenté sur l'aile arrière droite.

Notre Aventurier se trouvait désormais seul Dans la nuit, aux côté d'une vieil maison blanche à un croisement sans nom aux milieux des champs, perdu. Son bref instant de désespoir fut interrompue par le sons rutilant d'une voiture qui semblais revenir de là ou ils étaient parti. C’était la voiture noir, elle étais de retour et venait, les phare braqué droit vers lui. Lucas était figé de peur face à la voiture qui s’arrêta devant lui d'un dérapage qui fit lever la terre poussiéreuse. In homme baraqué vêtu d'un jeans et d'un T-shirt noir sortis de la rutilante Corvette :
« Hey cowboy, t'est certainement pas le fils de la sorcière qu'en même? »

« Absolument pas, dit Lucas étonné avant de reprendre avec fierté. Je suis Britannique! »

L'homme silencieux ne fit qu'un sourie avant de retourner à l'intérieur de son véhicule et d’ouvrir la portière du passager en guise d'invitation. Une fois à l'intérieur Lucas remarqua cette forte odeur de cigarettes et d'huile roussie. Il avait un coffre à outil entre les jambes et des outils semblait s'entrechoquer sous le siège à chaque fissure de la route. La musique faisait écho tendis que le conducteur les amenaient à vive allure aux points de ralliement que s'étaient fixer le groupe. Ce qui aurais due prendre un bon quarante minutes en fait pris moins de quinze minutes, ce qui ne manqua pas de faire blanchir de peur Mackay. Le conducteur relâcha l'accélérateur un instant avant d'arriver à un Resto Routier.

« C'est ici qu'on descend, dit le chauffeur. Et rentre ta chemise, ta l'ai débile. »

Lucas eut un air amuser pendent un instant avant de se faire interrompe brusquement, interroger par cette aire niais.  Il répondit en haussant les épaules:
« Tu parle comme mon père...»

« J'espère qu'il est cool au moins? Demanda le chauffeur tendis qu'il stationnait la voiture. »

« Dans son genre, Em quelque sorte... »


À peine sorti de la voiture, le mec à la guitare marchait vers eux, fumant de colère :
« Pourquoi tu nous as freiner devant comme ça! Tu aurais pue nous tuer! Ces paroles résonnait encore dans le parking quand il reprit en pointant du doigt Lucas. Pourquoi tu est retourner le chercher, connard! »

D'un calme implacable notre chauffeur tout en muscle, la crête noir et lustrer; lui dit :
« Du calme vieux, tu sais bien que je suis le meilleur chauffeur! Si j'ai fait demis tours comme çà, c'est que je me suis dit que c'était impossible que la folle aient un mec chez elle et que s'il se faisait pincer, il nous balancerait sûrement. »

Ces mots voulait tout dire. Le chauffeur qui se présenta au nom de Blake avait d'un coup désamorcé la fureur de l'un et fait de Lucas un complice. En quelque instant, la clique fini par se présenter. Bien-sure, Blake, le chef de bande, suivi de Jacob à la guitare, Wayne le second chauffeur et finalement, Amanda.

Les quatre étais assis à une table du restaurent à écouter les histoires de Lucas qui se dépeignait comme un journaliste qui s’était fait prendre par la magie d'une foraine vieil foraine. Il expliqua que c’était probablement de cette sorcellerie qu'il fut transporter dans cette vieil maison en Amérique par les fumées incantatrice.
« Ha! Je vous le disait bien que sa magie fonctionnait, s'exclama Amanda. Je sais que je peut en faire autant que la vieil sorcière! »

Blake qui étais pénard au fond de la banquette lança en avertissement :
« Hé bien n'en parlons pas alors, c'est un plans pour qu'une langue sale lui balance nos nom et qu'on se fasse jeter un mauvais sort... Mais au fait, pourquoi elle t'enverrait d'une place à l'autre comme ça? »

Lucas, en pointant son cahier répondit :
« Pour chercher les histoires des forains. Du moins, c'est ce que j'ai pue comprendre. »

Wayne répondit presque aussi tôt qu'aussi loin qu'il se souvient, la sorcière na jamais quitter la ville, que selon ce qui en sait, elle habite la maison des ces parent qui auraient, semblerait-il; été enterrer en bordure du champ à quelque pas de la maison. Amanda offusqué par ces propos lui dit de se taire, mais Jacob réfuta ses propos en ajoutant qu'il n'étais pas chrétien et que le pasteur avait refuser de les enterrer dans le cimetière. Cette histoire sinistre lança un silence autours de la table. Seul la serveuse qui étais venus prendre les verres plaça un mots :
« Vous allez qu'en même pas croire à ces histoires de magie j'espère? Vous jeune homme, je vous interdis de leur mettre des idées de la sorte dans la tête. »

Lucas, avec sa politesse tout britannique fit ces pardons à la serveuse qui semblait être une grande croyante à la vue du chapelet qu'elle portait. Dans le même instant, in policier tout droit sortis d'un livre d'histoire fit son apparition dans le restaurent. C'est à se moment que Notre aventurier compris que non seulement il se déplaçait d'un lieux à l'autre, mais aussi à travers le temps. Le policier s'avança ver la table des jeunes, la main sur la matraque.
« On as eut l'appelle d'une vieil dame qui dit que des voyous serais entrer chez elle pendants son absence et aurais foutu la pagaille cette nuit. »

Le policier n'eut le temps de porter les première accusation que la serveuse lança que ce ne pouvait être eux, qu'il étais ici depuis le coucher du soleil.

« Vous me ferez pas croire que ce sont les jeunes de la bande de Jimmy qui ont fait le coup. Il sont en garde à vue. »

Sur ces mots, Wayne Eut un rire en pointant l'extérieur. Une Cadilac 1955 peinte de flamme venait de se poster derrière la voiture de police et fit crisper ces pneus sur le bitume. Wayne lança au policier :
« Garde à vue, mon œil! »

Le policier en colère couru vers la porte en répliquant au jeunes :
« Mes flagorneur, vous n'avez pas intérêts à être ici à mon retour, sinon c'est vrai que je vous embarque. »

Une fois l'agent partis, les jeunes se regardait ne sachant pas quoi faire quand Amanda eut une idée :
« Il y as une fête foraine à Carson, on pourrais y aller. Du coup, Lucas trouverait peut-être son Forain? »

En un peut moins d'une heures la clic finit par se rendre à vive allure. Ces adeptes de la vitesse n'avait pas finis de surprendre Lucas en coursant les un contre les autres de manières dangereuse sur les routes sinueuse.

Une fois arriver sur les lieux, les garçons partirent de leur côte s'amuser tendis qu'Amanda, Accrocher au bras de Lucas partirent voir le chef de la foire qui lui les référa à la diseuse de bonne aventure. Sur place, la vieil dame demanda à voir uniquement Lucas, Lui Disent ces mots :
« Mon cher enfants, ce que tu cherche n'est pas parmi nous. Pas encore... Celle qui te suis si tendrement n'est pas anodine et tu le sait. Je ne peut t'en dire plus car l'avenir t’appartiens déjà. Sache voir en ces yeux ce que tu cherche. »

Une fois ressortis, ce fut le tours d'Amanda qui avait plus de question sur la magie qu'elle ne avait pour son avenir. Tout deux passèrent la soirée bras dessus dessous à parler et faire quelque attraction dont les billets étaient offert par la voyante. Au cours de la soirée, Ils avait parler de leur vie. Arriver à une table , Lucas sorti sa plume et dit à Amanda :
« Je crois que ton histoire, ta vie, cette nuit mérite d'être écrite dans ce livre. »

Elle saisi aussitôt le crayon de notre écrivain et Fit un cœur sur la page en y inscrivent A+L pour ensuite l’enlacer et lui dire que le livre pourrait attendre encore. Malgré tout, Mackay resta de marbre face à ces avances. Elle demanda ce qui n'allait pas. Lucas soupiras et dit :
« L'amour est comme une division d'un nombre réel par zéro. Très peut comprennent ce que c'est et les autres savent que c'est un complexe infini. »

« Einstein, parle pour que je comprenne, dit-elle. »

Lucas remis les mains de la jeune fille sur la table et dit :
« Je ne ressent rien pour toi et je ne prend pas plaisir à briser des cœurs, alors excuse moi de refuser tes avances... ...Pourquoi ne t'intéresse tu pas à Blake? Tu ne disait pas justement qu'il t’hébergeait dans son garage? Ce ne serais pas le temps de passer à une vitesse supérieur avec lui? »

Amanda pris un air amuser et répondit :
« Arrête, il est un frère pour moi! Je ne pourrais jamais l'embrasser. Hé puis, ces parents voudrais rien savoir d'une fille de mauvaise famille, encore moins d'une fille sans familles. Et ne me parle pas des autres, Il me tombe sur les nerfs assez souvent, je ne serais pas avec eux si ce n'étais pas que ce sont les amis de Blake...»

Tout deux se regarda dans les yeux pour un moment avant d'avoir un fou rire.
« Allons rejoindre les autres, dit Lucas. »

Après une courte recherche, il tombèrent sur le reste de l'équipe. Notre guitariste en herbe avait le nez cassé tendis que Blake étais dans un états de panique. Amanda s'approcha de lui et demanda ce qui s'était passer. Blake qui faisait les cents pas finit par s'arrêter et répliqua énervé :
« On as les Street Kings sur le dos... Il as fallut que je mette ma bagnole en gageure dans une course pour qu'il l'épargne. »

Amanda voulut se faire rassurante, disent de lui qu'il était imbattable, mais rien n'y faisait. Avant de repartir, Blake regarda Lucas et lui dit :
« Tu sais, mon vieux est cool lui aussi. Il ne ma jamais engueuler pour mes bêtise, même quand j'ai amocher ma corvette en idiot, parce que je suis rentrer dans le cadre de la porte de garage en sortant trop rapidement. Il ma tendus un marteau et des clous disent '' Tu sait quoi faire''... …Il disait aussi qu'un jours je vais sentir la mort quand elle se pointerait le nez, parce que c'est de famille... ...Je n'aime pas ce qui s'en viens.»

Au lendemain quand le soleil était au zénith, la course prenait place à la sortie de la ville. En dépits de sons instinct, Blake pris parts à la course. Lucas comme plusieurs autres étaient jucher sur une colline de gravas à mi-parcours. Ils étaient nombreux sur la colline. Amanda, Jacob et ces Yeux au beur noir, quelque forain dont la voyante était sur place. Au loin, l'on pouvait voir la corvette noir prendre une avance fulgurante sur les autres, mais quelque chose n'allait pas. Une lueur improbable semblait apparaître par les trappes de ventilations plus la voiture avançait, plus une épaisse fumée faisait son apparition. Un feux s'était enclencher sous le capots. La corvette enfumer passa devant l'audience en décelèrent avant de sortir de piste et s'arrêter brusquement sur un rocher sous les yeux stupéfait de l'audience.

Lucas fut le premier à se lancer à la décente de la colline de grava, criant le nom de Blake tendis que les éboulement suivait ces pas. Il fonçait vers la fumée toujours en crient son nom quand il perdis son souffle et perdis pieds sur le bitume, répandent ces écrits. Levant les yeux, il se rendit compte qu'il était de retour à Londres, dans cette ruelle enfumer. Mackay encore sous le choc, n'arrivait pas à se relever, murmurent encore le nom de Blake.

Le temps avait évidemment passer et la soiré tenais à passer. C'est avec ces souvenirs en tête qu'il alla au café remplir le reste du récits. Par coïncidence, son père qui passa pour se rendre chez son fils le vit à ces écrits dans le café et fit son entrée. Lucas, Fidèle à lui même, ne s’aperçut qu'après un moment que son paternel attendait à ces coté.

« L'on dirait que tu as eut un accident, reprocha William avant de changer de sujets. Encore dans tes récits? »

Lucas n'en dit rien et continuas son ouvrage après un bref regard.

« J'ai lue tes récits. Tu souhaite toujours devenir journaliste ou veut-tu que l'on t'appelle écrivain? »

Notre jeune homme se senti offusqué par ces propos. Il plaqua son stylo sur la table et répliqua en le regardant dans les yeux :
« Pense-en ce que tu veut, ces gens existent. Je reporte leur vie, ce qu'il sont et que tu en dise ce que tu veut, le monde aime mes textes. Alice, Dit-il en pointant la serveuse, Elle en redemande. Ne viens pas de dire que je travail pour rien. »

« Jeune homme répliqua son père, je t'interdis de lui mettre des idées de la sorte dans la tête. Ces histoire de magie là son mauvais pour ta réputation. »

Lucas eut un court fou rire et répond à son père de lire la citation au deuxième paragraphes de la page cinq. Ce que William fit. Se retrouvant nez à nez avec sa propre citation dans les pages de son fils, il lui dit :
« Toujours le mots juste. En faite, je venais te rendre tes textes et je voulais te demander si tu n'avait pas besoin de quelques choses. Depuis que tu vie seul, tu ne donne pas de nouvelle... Une chose est sure, c'est qu'il te faut un portable pour mettre tout ça au propre. Je vais fouiller au bureau pour te trouver un portable de seconde main. »

Un merci timide se fit entendre de la parts du jeune écrivain. Monsieur Mackay lui mis la main sur l'épaule avant de repartir. Rassurer en quelque sorte.

Avant la fermeture, Cas oui, encore une foi, Lucas resta jusqu'à la dernière minutes; Alice vin le voire
avec l'espoir d'avoir une bride de ce qui s’était passer.

« J'ai bien entendue? Demanda t-elle. Ton père confirme tes histoire? »

La plume à la main, Il répondit :
« C'est plus compliqué que cela. Mon père n’admettrais jamais de telle chose, il as trop à perdre s'il dit croire en la magie ou tout ce qui ressort de l'inexpliqué; ce serait faire couler son journal. D'un autre côté, il croie en moi et sa pèse très lourd dans la balance. »

Alice demanda s'il pouvait lire les pages qu'il venait de composer et il accepta volontiers ce qui lui permis de terminer les dernière ligne de son œuvre.

« Mais pourquoi ça s'appelle Couloir des vapeurs? »

Luca repris la première page et hachura le titre.
« C'est plus un indice qu'un titre, une idée pour le nommer peut-être? »

Alice fut flatter de l'offre et elle y pensa un moment.
« La magie d'Amanda. »

Ainsi le titre fut nommer. La fin du mois arriva et l'appelle de la foraine se fit attendre. Encore une fois, la vieil dame étais de peut de mots :
« Et ce texte, demanda-elle. Il avance? »

« Il me manque la fin dit le jeune homme avant de reprendre avec un trémolo dans le voie. Amanda, je... je suis désolé. »

« Ne soit pas triste dit-elle, Je suis en paix avec mon passé... ...Pour la suite tu écrira que les forains voyant que j'étais à la dérive m’ont pris sous leur gouverne et je suis devenus avec le temps la doyenne de cette grande familles. Est-ce bien noté? »

« Oui madame!»

« Pour le prochain titre ne soit pas effrayer, dit-elle. Octobre est le mois des morts et il se peut que sa magie dépasse la mienne de beaucoup.»

« Un temps de fou pour une rose... le titre est encore lisible dans le livre. »

samedi 9 janvier 2016

Storyteller part 3

Oui, j'ai changer l'arrière plans de ma page, en espérant que vous l’apprécierez. l'image est une modification drastique d'une image venant d'un autre blogue que je joindrez ici

Pour ce qui est du texte, je dois avouer avoir galérer pour le sortir, j'essaie de ne pas me perdre dans les détails et de rendre mes idées cohérente. comme certain d'entre vous le savent, je tire me idées pour ce texte de mes rêves et malheureusement, je m'y suis pris un peut tard. ce qui à rendu l'idée de base flous bien que certain détail me restait claire. Il fallut me battre contre les répétitions et les incohérence car j'ai du composer le texte en deux partie. Mais bon, j’espère que vous apprécierez!



Chapitre 3, le samuraï moderne


Les jours comme le heures se succédèrent au travail à l'impression. Le temps succéda de brume et de pluie dans ce Londres mi-moderne mi-ancien. Notre écrivain en herbe avait bon chercher dans les dires et archives pour une histoire de japonais dit samuraï qui suivrait l'inspiration d'un titre si peut énonciateur. Vue l'ouvrage, le texte pouvait avoir au bas mots une centaine d'année si ce n'est pas plus.

Depuis quelque jours, Lucas s’arrêtait dans un café à mi chemin entre son travail et son appartement pour profiter du peut d'argent qu'il lui restait pour se sustenter d'une boisson chaude soir après soir et ainsi pouvoir plonger la tête dans ces recherches qui malheureusement étaient veine. L'achat de ces meubles au compte goutte lui coûtait temps, argent et énergie; ce qui le nuisait en tout point.

Il est présentement onze heures moins quarts du soir, les lumières du café se tamise et la musique descends encore un brin pour signaliser la fermeture bientôt. Dans les carreaux des fenêtres retentissait la pluie battante. Le jeune Mackay avait la tête caler dans le creux de la mains, rêvassant quelque peut. Il ne l'avait pas remarquer mais il ne restait que lui et la serveuse dans les lieux. Celle-ci vin à sa table.

« Avez-vous terminer votre thé? »

Demanda-elle les mains lier sur son plateau. Lucas fit signe que oui, mais elle resta inerte, regardant le fouillis de pages gribouiller et le vieux livre sur la table. La jeune fille qui devait avoir tout juste l'àge pour travailler, ne pouvait plus retenir ce question. Cela faisait déjà plus d'une semaines qu'il venait dans ces lieux encombrer de ces ouvrages pour à chaque fois tomber dans la lune et griffonner quelque dessin, toujours des choses qui l'entoure. Peut-être cherche t-il l'inspiration demanda-elle. Peut-être que les mots lui manque pensa-elle.

Lucas eut un sourire bref et lui dit que si elle avait un peut de temps il voudrait bien lui raconter. En soit, le café étais déjà fermer au nouveau venus et seul chose à faire étais de nettoyer la coutellerie de Lucas et faire les comptes. Elle décida donc de s’asseoir à la table de notre compteur et d'écouter. Luca commença son récit du début avec les forain pour vite bifurquer sur son aventure en Irlande, montrant ces notes et croquis. Puis, vin le moment de dire pourquoi il étais si distraits; une suite de recherche à vide et un titre plus brumeux encore que les jours gris. La jeune fille captiver par le récit dit d'une idée soudaine :

« Peut-être que vous devriez voyager jusqu'au Japon ou peut-être que ce que vous devez chercher c'est que qui fait un samouraï ou ce qui en fait une légende. Soit le Bushido (l'esprit du samouraï), ou encore les récits unique qui les entoures. Mon patron dit souvent que ce n'est pas nécessairement le contenus qui fait le produits, mais celui qui le fait et je crois que ça peut s’appliquer ici. Non? »

Surpris, Mackay demanda son nom pour poursuivre :
« Alice, merci! L'air de rien, vous m'avez donner un nouveau sentier à suivre, un détail si simple qu'il m'avait échapper. Merci! »

C'est sur ces mots qu'il plia bagage avec cette note en plus. Bien qu'il étais à moins d'une semaines de la date d'échéance, il avait maintenant espoir de trouver son histoire. Il ne savait pas pourquoi, mais il sentais qu'il étais sur la bonne voie. Bien qu'il passa une bonne partie de la nuit sur ces recherche, il ne pue tenir le rythme et décida de reprendre au lendemain. Après tout, il avait congé pour les deux prochain jours.

Son sommeil fut de courte durée, quelqu'un semblais cogner à la porte avec prestance, et c'est les yeux mi fermé qu'il alla répondre. À sa demande, le nouveau venus dit qu'il étais livreur. Perplexe, Luca ne c'était pas rendu compte que la mâtiné semblait bien avancé, une forte lumière transcendait l'extérieur et l'on pouvait entendre le champ des oiseaux. Bien son aveuglement, notre protagoniste signa le registre et perçu le paquet. Une fois cette effort fait, il plongea son regard sur les alentours pour se rendre compte qu'il n'étais plus à Londres. La rue passante avait laisser place à un chemin de terre entourer de plantations. L'air étais doux et pure. Une odeur légère de cuisson parfumait les abord de la porte. Se retournant, il perçut une famille qui le regardait avec un regard un brin moqueur. En effets, notre jeune homme ne portait que des caleçons rayé bleu et blanc. Son premier réflexe fut de se cacher par le paquet.

Un moment de silence suivit avant que l'homme de la maison demanda avec un accent brisé :
« Alors, ce paquet est-il- pour vous? »

Perplexe, Lucas ne parvint pas déchiffré l'écriture, encore éblouie à son retour à la pénombre. Les trois personnes devant lui étais de tout vraisemblance asiatique et les lieux en démontrait tout autans. Mes vêtement se demanda t-il pour vite se rendre compte que la pièce d’où il venait étais à l'image de sa propre chambre, à quelque exception près. Ces vêtements étais sur chaise de bois, nettoyé, repasser. Il revient auprès de ces ôtes, toujours plus confus.

« Je... je ne sait pas lire les Kanjis dit Lucas avant de reprendre d'une autre question. Comment j'ai atterrie ici? »

Le vieil homme dit simplement qu'il était leur visiteur et pour l'instant. L'heure étais aux repas. Pendant le repas, la dame tenta de poser quelque question, mais son parlé étais-telle que Mackay n'en compris rien. Leur fils s’écorça de traduire, mais ces mots étais tout aussi incongrus. Il n'en est pas moins qu'au fil de la conversation, il pue comprendre leur nom et la région ou il se trouvait.

Ichiro Saito le père, Ren le fils et Saki la mère. Aujourd’hui, il vivrait avec eux et peut-être qu'il trouverait ce pourquoi il est venus dit Ichiro. Sans se prier, Lucas dit qu'il cherchait celui que l'on nommait le Samouraï moderne ou peut-être en avait-il déjà entendu parler. Une conversation s'en suivie entre les membre de cette famille et le fils pris finis par prendre les dernier mots. Mr. Saito saisi le colis et le donna à Lucas en disent :
« Ce colis est pour le samouraï, tu devra lui apporter et pour se faire, aller vers la ville. Mon fils vous conduira vers des amis qui vous y conduirons. »

Sur le chemin de terre, il croisa un petit autel sur lequel se trouvait une statuette de pierre enrubanner d'un foulard rouge. À ces pieds se trouvait quelque victuailles telle qu'un bol de riz et une jolie fleure. Il savait que cette statuette servait à vénérer aussi bien les dieux que les défunts. Selon ce qu'il en savait ce foulard, ou plutôt ce bavoir étais placé ainsi autours du coup par une mère en deuil. Il resta fixe à regarder l'idole et plongea la main dans la poche de son pantalon pour y trouver quelque Livres Sterling qu'il déposa au pied de la statuette. Ren comme Lucas Saluèrent ainsi la sculpture et reprirent ensuite leur route. Le trajets étais parsemer de champ des oiseaux et de commentaire incompréhensible de Ren et ce, jusqu'à leur arrivé au porte d'un livreur fort sympathique. Celui-ci se présenta sans attendre. Totoro dit-il en plaisantent. Ce dernier parlait tout de même bien la langue de Lucas.

« Ha! Sa fait plaisir à entendre, dit Mackay. Vous pourrez probablement m'aider, Je cherche celui que l'on dit être le Samouraï moderne. »

Le livreur l'invita à l'aider à charger la remorque de ces caisses de fruits tendis qu'il contais son histoire. Quel redondance se disait Lucas... Entre temps, Ren était parti, voyant que les deux se comprenait bien.
À leur départs, le livreur, Sai de son vrai nom avait appris de la paroles de certaine personne qu'un voyageur c’était arrêter dans la région pour suivre ainsi la voie de ces ancêtres et ainsi suivre son chemin dans les vertus du bushido. Lucas prenait ce qu'il pouvait de note sur ce qu'il avait sous la main, soit un carnet à peine plus grand que sa main. Sai poursuivit :

« L'homme en question venait de Tokyo, Il était un jeune fonctionnaire dans une entreprise de financement et n'avait jamais eut ni femme ni amis. Un jours, Il devait reprendre la finance d'une ferme dont le fermier ne pouvait plus payer les frais pour sa culture. Trop de mauvaise année avait eux raison de leur fils aîné et la famille avait tout mis ce qu'il pouvait pour le remettre sur pied. Ils ont donc due céder la terre et leur avoir au compté. »

Lucas commençait à se faire à cours de feuille pour noter et il ne pouvait écrire plus petit vue le chemin cahoteux, mais n’étant pas à cours d'idée, il continua de noter sur son avants bras.

« Ces fait ce sont rendu au oreilles de cette homme qui étais leur agent. Il se sentait impliqué dans ce désastre et sentais qu'il devais faire quelque chose. Après quelque jours à chercher une solution, Il fini par suggérer au parents de payer la terre de sa poche, mais ces dernier refusèrent pour ne pas être à sa solde. Plusieurs aurais penser au cauchemar ou que son histoire ce saurais terminer ici, mais il en est tout autrement. ...On est arriver. »

Le temps de porter une première livraison à un restaurent local et il repartirent. Lucas ne manqua pas de demander des feuilles qui lui firent offert par la réceptionniste avec un grand sourire. De retour sur la route, il reprirent la saga.

« Un bon matin, le jeune fonctionnaire cogna à la porte de la famille peut fortunée, les mains encombrer de papier de tout sorte. Il y avait en main les papier de la terre et de la maison. Je vous les offre disait-il il renchérissait en disent que personne ne devrais avoir à perdre un fils et leur bien le plus cher. Malgré tout, le vieil homme refusait disent que sans son fils, il ne pourrait travailler la terre, il étais maintenant trop vieux pour continuer seul. C'est ainsi que le jeune fonctionnaire décida donner de son temps pour travailler à la ferme. Il vendit sa voiture, son loft et tout ce qui s'y trouvait pour acheter une petite maisonnée au bout de la terre. Tout les jours, Il allait travailler le matin au terre et ensuite à l'entreprise. Il n'avait pas peur du travail. »

Le camion avait finalement par quitter les chemins sinueux la route, rendent l'écriture plus facile.
« Sa dévotion pour ce fermier ne plaisait pas au seins de l'entreprise et comme il le craignait, certaine personne tenta de le doubler. Son employeur le mis à la porte car sa loyauté envers l'entreprise avait bien changer. D'autre ont tenter de saisir les terres sous de faux prétexte, mais le carma de l'entreprise tourna et elle perdu tout recours contre la ferme. Du jours au lendemain, les attaques contre la ferme prirent une étrange tournure. Le concurrent de notre entrepreneur tenta de raser la ferme dans un coup d'éclats. Les tracteur et démolisseur ont été dépêcher sur place sans permis pour tout raser. Il furent accueilli par un homme en kimono, armée d'un sabre, revendiquant les droits du fermier. Quelque gaillard tentèrent de le mettre à terre, mais il tenu bon jusqu'à l'arrivée des force de l'ordre. C'est ainsi que le samouraï étain née. »

Un silence suivit.

« Il me semble que ce n'est qu'un début, demanda Lucas.»

L'air serin, notre conducteur repris :

« En effets. Son histoire se répandue dan tout le Japon et le jours suivent il recevait des lettres. Des lettre de merci, de courage, d'amour, de fans mais aussi des appelle à l'aide. La première fut une lettre d'un enfants devenus orphelin qui cherchait à sortir de son malheur. Il s'appelle Ren. Une famille, c'est tout ce qu'il voulait. »

Lucas compris le paquet, il étais là ou tout à commencer Ichiro étais le fermier et il compris pourquoi il y avait cette chambre loin d'être celle d'un petit garçon. Les détails de la pièce lui revenait, à savoir la photos bordé de ruban noir, les livres universitaire, le panier d'osier poussiéreux. Comme si le temps étais au ralentis dans cette pièce.

« Il y eut aussi la nuit des cerisier. Ou il due sauver une jeune femme de ces frères qui faisait d'elle un esclave et la battais. Le jours ou il alla à sa rencontre, fut la seul fois ou il la vue. Tout commença par un rendez-vous dans un parc de la cité une nuit ou les cerisier étais en fleur. Comme son image, elle demandait à le voir en samouraï pour le reconnaître, ce qu'il fit. Par contre, c’était un piège tendus par ces mécréants de frères qui attendait avec d'autre rebut pour lui faire la peau. Il voulait faire les grands titre avec sa mort, Diriger le cartier par la terreur et la violence.»

de tout évidence la cargaison étais arriver à destination, mais Sai stoppa le moteur pour continuer son récit :
« Les premier combat se fit à arme égale, mais ce ne fut pas long pour qu'il sorte les armes à feux. Il due utiliser de stratégie et courage pour mettre hors d'états de nuire plusieurs voyous. Les combat se finirent quand les agents de police arrière en nombre sur place. Les frères tentèrent de le faire inculper pour divers fait et sur le coup, les policier les embarquas tout. Il devait passer un bon moment en prison, mais au lendemain, un journaliste qui avait été appeler par le gang avant la police avait écrits un article héroïque et pris des clichés saisissent du combat dont une ou l'on voyait le samouraï défendre de son sabre la jeune dame contre la batte d'un forcené. Les chef d'accusation contre lui tombèrent et la jeune femme fut accueilli par les membres d'un temple Shintoïste. »

Une fois le récits terminer, Lucas vin l'aider à la livraison tentant de lui soutirer d'autre de ces récits épiques en lui posent des question par dizaine. Sous sons insistance, il finit par dire :

« Vous savez, Avec le temps, il passa de l'actualité au légendes et peut de gens finir par croire qu'il existait. Un bon jours, il plia bagage et parti avec des forains pour l’Europe et les Amériques...»

« ...Pour ensuite revenir près des siens, repris Lucas. Vous en savez beaucoup trop pour simplement le connaître. Surtout que vous parlez si bien ma langue comme si vous étiez immerger dans celle-ci. C'est vous n'est-ce pas? »

Sai éclata de rire :
« Oui, tu as raison. Ce temps est loin derrière moi... Alors, tu me le donne ce paquet? »

Le jeune Mackay l’accompagna d'un rire lui aussi et lui remis le paquet. À l'intérieur du paquet se trouvait une lettre d'un gamin plaine d'espoir qui disait vouloir devenir samouraï lui aussi. La lettre étais accompagné d'une poupée fait à la main et d'un mots de la mère disent :
-Sai, merci pour tout.
Les deux homme finir la journée de labeur par un soupé dans un restaurent ou il mis les autres récits de Sai sur papier et c'est dans ces feuilles qu'il d’endormis.

À son réveil, il étais de retour dans son appartement, convaincus qu'il avait rêver. Les idées encore fraîche de son périple, il voulu se débarbouiller pour commencer l'écriture de ce rêve extraordinaire. C'est en plongeant les mains dans l'eau de l'évier qu'il perçût les écritures mi effacé sur son bras.
-Ce pourrait-il? Demandait Lucas

Courent ver la cuisine, il vit une pile de papier sur lequel se trouvait la poupée et une note de Sai, disent qu'il avait apprécier sa journée, qui le remerciait.

L'appelle de la foraine se fit dans les trois dernier jours et encore une fois, un coins du monde se pointa d'or sur la carte de cuivre à l'entrée.


Prochain chapitre, Le couloir des vapeur.  

dimanche 3 janvier 2016

Storyeller part 2

Il est tard et le chapitre est particulièrement long. J’espère que vous saurez apprécier ce récit car Il me fait terriblement plaisir de l'écrire. Je crois que j'ai trouver mon histoire, celle qui me correspond. Qu'en dite vous?

Chapitre 1


Chapitrtre 2, Le poing Dublinois 



Deux semaines ont passer depuis la dispute avec son paternel, Luca ne pouvais pas croire que son père puisse être aussi désobligent envers les gens du voyage.

« Comment peut-il dire de telle bêtises, se demandait-il. j'ai eut l'impression d'entendre des propos moyenâgeux. »

Néanmoins, Depuis ce jours, il avait fait beaucoup de chemin, il commença son travail à l'impression, seul avec les presses et les deux frères Toms. Deux joyeux luron, fier et joviale qui ont un sens de l’accueil. Ils ont pour leur dire qu'un retard se reprend le soir, ce qui valus à Lucas d'arriver près de 30 minutes plus tôt que les frères.Il n'étais rien de dire que ces deux gaillard avait une cadence de travail qui voilait leur retard.

Au fils des conversation, il en vire à parler du récit que notre protagoniste tente désespérément de remettre sur pied. C'est à la fin du quart de travail que l'un des frères vin à lui dire, exaspéré :
« Pourquoi ne va-tu pas là ou l'histoire sait passer? L’Irlande, ce n'est pas si loin et je ne crois pas que le patron verra ton absence, pas en notre nom. »

De tout évidence, ce dernier n'avait pas la notion des distances. Savait-il au moins que pour se faire, il devra traverser le pays dans sa largeur et faire un tours de ferry. N'en reste pas moins que l'idée germa dans son esprits tout au long de sa marche au retour vers son appartement. Son repas décongelé et le sons de la lumière au plafond lui étais insupportable et sur un coup de tête, il pris le chemin de la gare d'autobus, juste à temps pour prendre le 19 heure. Un chemin de bercé par le ronronnement du moteur avec pour seul bagage, son cahier, son cellulaire et riens de plus que son porte feuille. La fébrilité laissa place au sommeil après un moment.

Réveiller au petite heures du matin par le chauffeur qui venais qui nota sin inertie :
« Hé! debout l'ami, Tu est à Dublin. Va donc prendre un café au restaurent au coins de la rue, ils ont un très bon cuisinier. »

Encore tout étourdis, Luca mis les pieds hors du busse, éblouis par les premières lueur du matin. Son brin de folie lui passa durent son sommeil et il maudissait maintenant sa pulsions de la veille. En sa bouche l'air salin lui donnais pour seul envie de boire une eau des plus fraîche pour se débarrasser de son haleine et de son estomac renverser. Avec le peut d'argent qu'il avait pour son retour, il ne pouvait se payer plus qu'une tasse de thé et peut-être une barre de chocolat, néanmoins, il entra quand même dans ce soit disent restaurent qui étais habiter pour le moment que par les travailleurs du matin. De bouche à oriels, Lucas tenta de rassembler les pièces d'un puzzle sans image. Bien la méfiance des irlandais envers le britannique qu'il représente, certains se laissait au jeux pour lui parler soit du dimanche sanglant (Bloddy Sunday) ou encore de la révolution de 1798 sans pour autans trouver quelque chose qui lui semblais appartenir à l'histoire des forains, rien de cela lui parlait et pour aussi peut qu'il recueillait les notes que l'on lui dictais, Il ne trouvait pas son comptes. Ce récit unique que lui inspire ces idées d'aventure ou de héros que pouvait contenir le grand livre des forains.

À la vue de son désarroi, une enfants bien matinale lui demanda ce qu'il cherchait. Avec simplicité, il répondu qu'il cherchait l'histoire d'une personne extraordinaire a qui l'on avait donner que pour indice le titre de son récits. La jeune fille eut un moment de silence avants de commenter :

« Mon grand-papa me racontais souvent l'histoire d'un ami qu'il connus juste avant de marier mammy. »
Suite à une grande inspiration, les yeux fermer, elle commença à dicter l'histoire comme son grand-père luis contais, mots pour mots :

« Un bon matin de mai, sous le soleil et le ciel bleu, mon grand-papa Emmet marchait vers la maison d'Aline avec un bouquet de fleur à la main. C’était son premier rendez-vous avec Grand-maman. Il devais l’accompagner au tailleur pour ensuite aller au restaurent. C'est à ce moment qu'il vue un petit garçon, à peine plus vieux que moi, je dirais. Il étais tout bronzé, les cheveux rasé et habiller d'un habit orange, il tenais sur son épaules un baluchon dans lequel l'on voyait une miche de pain et une boite de métal tout gravé à la main. Il mendia à mon grand-papa par ces geste de quoi à manger. Toucher par la demande du petit garçon au yeux bridé, il l'invita à le suivre jusque chez son amoureuse. Ce qui fut une surprise pour elle de le voir avec son petit amis. Bien que les temps pouvait être dure, mammy lui offrais tous de même un repas riche avec des œufs des pomme de terres et un grand verre de lait. Le petit garçons se régalais et souriait de toute ces dents et une fois qu'il eut finis son repas, il les saluas d'une main droite à la verticale et penchant la tête avant de partir. la main comme ça, reprit-elle en imitant le mouvement. »

Tout surpris de ce récits, notre écrivain pris en vitesse les paroles de la jeune fille dans son cahier. Sans attendre celui-ci, elle repris de plus belle.

« La matinée avait bien avancé et ils commençait à être avancé quand ils ce sont rendu à leur rendez-vous chez le tailleur, ce qui déplaisait à la couturière, mais leur petit récit du matin avait tôt fait de briser la mauvaise humeur dans le commerce. Grand-papa voulait un veston tout neuf pour son nouvel emploie à la gare d'Heuston. À leur sortie, il le recroisèrent sur le pavé donnant une performance tout en agilité et une force incroyable pour sa petite taille. Il étais un moine de combat, Un Chaolin. C'était la première fois qu'un telle voyageur s’arrêta dans la capitale et bien son originalité et la couleur qu'il donnait au rue en ce moment, peut de gens le regardait et il ne gagna que quelque boutons pour sa performance. Son baluchons s'était transformer en un bâton manier par le plus agile des guerrier. Il finit sa performance grimper au bout de sa perche comme s'il c'était d'un arbre bien enraciné, en saluent la petite foule. Aline était charmé par le moine et trouvait triste de le laisser à lui même dans la ville. Elle décida donc de laisser tomber le restaurent et proposa un pique-nique à trois dans les plaines. La température étais très clémente et seul une brise fraîche coupais la chaleur porter par le soleil. » 

Les notes de Lucas accompagnait d’esquisse pour palier le manque de descriptions vue la vitesse de la diction de la petite fille. Regardant ces dessins, la petite pris une pose avant de se relancer avec un grand sourie.

« C'est en route qu'ils commença à discuter, le petit garçons avait bien du mal à suivre, mais il semblais déchiffrer ce qu'ils disait. Le repas fut ponctuer de rire et de simagrée pour se faire comprendre. Malheureusement, Des chiens errant, entendant ces bruits, sont venus pour voler le goutté. Le gamin comme Grand-papa l'appelait, le gamin commença à défendre le couple et la nappe contre la meute Jusqu'à ce qu'un très grand chien s'imposa à la meute par son grognement, Il étais tout de muscle et devais facilement faire la hauteur du gamin à l'épaule. Il avait une tête en ballon de rugby et les Yeux d'un rouge furieux. Grand-maman et grand-papa avait fuis vers la voiture et le suppliait de faire pareil, mais le petit moine étais sans peur. Il resta face à ce monstre, la main à la verticale comme je l'ai dit plus tôt. Il ne bougea pas, même quand ce monstre s'approcha nez à nez avec le moine. »

Fébrile, la demoiselle pris une respiration et finit son récit :

« Le gros chien se mis à le sentir avant de repartir terrifier devant la force que dégageait le petit moine. Mammy n'en croyait pas ces yeux et pleurait. Quand les chien sont repartis, elle couru le prendre dans ces bras. Grand-père étais épaté, une fois que mammy le relâcha, il plongea la main dans sa poche et lui donna un médaillon de la vierge marie qu'il gardais comme portait bonheur, lui disent à quel point il étais un héros. Le moine les salua encore une fois en plaçant la main devant et grand-papa fit pareil. Le moment dura jusqu'à ce qu'une Chienne blanche au ventre tout rond vin se coucher au coté de la nappe en quémandent. Le petit garçons la flatta et lui donna une partis de son repas. Ce fut le début de leur amitié. Plus tard dans la journée, Emmet demanda au petit garçon pourquoi il étais à Dublin. Il répondit pour voir la Saint-Patrick, mammy répondit qu'il étais bien tard pour la fête, ce c'était il y as quatre mois. Il répondit alors qu'il visitera l’Amérique et partis le torse bombé pour seulement se retourner au bout de la rue et saluer mes grands-parents accompagner de sa chienne qui avait une surprise pour lui... ...des petits bébés chiots! »

Notre écrivain pris une bonne minutes à finalisée récit et la remercia pour l'histoire. Avant même qu'elle puisse dire quoi que ce soit, la tenancière lança :

« Ne prenez pas au pied de la lettre les histoire de mon père, ce sont des histoire pour les en...»

La tenancière qui étais de tout évidence la mère de la jeune fille s’était arrêter net dans ces dire et afficha un aire béa en regardant à l'extérieur. Un Homme tout en muscle à la tête grise, en habit de moine tenait un sac d'une main et un grand bâton de l'autre. Il semblait chercher quelque chose du regard tendis qu'un chien blanc avec une tache grise à sur la tête et le fessier humais l'air assis sur le sol. Le restaurent étais présentement vide, entre deux repas. Elle se précipita à l'extérieur suivit de sa fille. Elle posa quelque question avant de venir les yeux en larme et de lui prendre la main. Sur ces lèvres, Lucas pouvait lire :
« Mais tu Existe! »

Le restaurent fut fermer pour le reste de la journée, l'écrivain, le moine et la fille ont eut une journée incroyable à écouter les histoires du moines du temps de son enfance, de Dublin à l'Amérique et sa rencontre avec les forain et sa route du le Canada à son retour en chine par l'Alaska et la Russie pour reprendre la route quelque années plus tard pour enfin combler un rêve d'enfants, vivre la Saint-Patrick comme Il l'entendit de la bouche d'un voyageur. Le cahier fut vite remplis et la petite fille fut ravis de donner un cahier d'école pour qu'il puisse tout noter.

C'est après un bon repas offert par la maison que Lucas les laissa pour retourner chez lui, en leur promettant de revenir avec un propre du récit dans un livre pour eux.

Bien-sur, son absence ne passa pas inaperçue. Mr. William étais mécontent du manque de rigueur de son fils, mais il ne pouvait lui en vouloir trop car plus jeune, Il avait la même fougue et il étais tout aussi impulsif, ce qu'il sut exploité et ce qu'il espère que Lucas sache faire.

La fin du mois approcha et le téléphone sonna, c'était la foraine. Elle écouta en silence le récit de Lucas et répondit :
« Vous avez sue trouver bien plus que ce que les mots, vous avez sue trouver les émotions de l'histoire. Pour la suite, Je crains fort que nous devrons vous aider, à commencer par le titre. Samouraï moderne. »

Lucas Surpris, demanda :
« Mais ou voulez vous que je trouve un Samouraï à Londres. Vous ne comptez tous de même pas que je voyage jusqu'au japon pour cela, J'ai peut-être des moyens, Mais je ne suis pas riche à ce points. »

La vieil dame lui répondit pour finir la conversation :
« Ne sous-estimez pas les forains, Ne sous-estimez pas la porté des histoire, mais surtout, ne vous sous-estimez pas et en la magie qui entoure les mots. »

Elle raccrocha, le laissant dans le questionnement. Il ne l'avait pas remarquer encore, mais un point dorer c'était ajouter sur Dublin sur la carte graver dans le cuivre à l'entrer de son appartement. La magie as commence son œuvre.