dimanche 11 octobre 2015

Lune noir, part 6

Oui le chapitre 6 a un nom plutôt étrange, par contre, il rend bien au contenus du texte. j’espère. J'ai vraiment rien de plus à dire, donc... 

...Bonne lecture! 

Le lait

Enfin rendu face au vitres des réfrigérateurs de l'épicerie de cartier, Beur, formage et crème côtoie ma convoitise sur ces tablettes en grillage de fer. J'en viens à observe mon reflets blafard et me demander qui je vois réellement. À chaque fois que je me perd dans les détails de ma pots, mon esprits me joue des tours. Ombres morbides et intrus prend place dans à mes côtés du moment que je m'évade de cette réalité crue.

Un visage mécontent ressort de ces tromperies; c'est le commis qui m'observe divaguer seul devant la porte du réfrigérateur. Je prend mon lait et avance vers le comptoir quand j’aperçois encore une fois les détails d'un objets. Cette fois ci, ce sont les bonbons dans un pots qui me souris. Je fait mine de l'ignorer tendis qu'il me parle.

« Crois tu vraiment que je vais me fondre dans le décors et te laisser vivre tranquillement, nous avons des choses à faire.»

Tendis que je détournais le regard, je me rendis compte de l’état abasourdis jeune commis caissier qui avait tout cesser pour observer la manifestation, la bouche ouverte.

« C'est seulement Baron Samedi, dit-je amusé. Ignore le, ça vaut mieux. »

Promptement, le jeune asiatique hocha de la tête et repris le travail en gardant un œil sur la manifestation qui, elle; semblait amuser de la réaction du jeune homme.

« Intéressent, intéressent... les portes s'ouvre de plus en plus semblerait-il... »

Intriguer par les propos du Baron, je me tourna vers le visage en bonbec multicolore en l'interrogeant sur ces propos, mais seul propos qu'il me dit fut.

« Plus tard, plus tard peut-être. »
Ce genre de propos m’agace royalement. D'un geste, je pris la couverture d'un journal et couvrit la bonbonnière pour ensuite payer mon breuvage tendis que ce dernier riait de moi et du commis effaré.

Maintenant sous la lumière d'un lampadaire, a l'air frais de cette nuit d'automne, je savoure enfin ce nectar sans retenus. Les première gorgé me semblait une délivrance au point ou j'en poussait un soupire de soulagement. J'ai déjà entamer plus de la moitié de mon carton quand je redescendit le coude. Je vit encore une fois le visage du baron m'observer dans les feuilles au sol d'un grand sourire satisfait.

« Délicieux, n'est-ce pas ? Demanda le Baron. Ça faisait tellement longtemps que je n'avait goûter de produits frais, quel délice... »

Sur ces mots, je me sent soudainement bafouer. Il peut donc me transmettre ces envies et émotions. Je comprend dés ce moment ce qui m'ait arriver dernièrement. Du moins, tout semble m'y diriger. Tout aurais été le fait d'une possession... je saurais donc l’auteur de ce massacre indirectement. Je me dégoûte. Comment aurai-je put éviter cela, le sens logique de ma propre vie m'échappe.

Sur ces dernière pensé, je fit couler le lait sur le sol qui avait soudainement cailler. Pourtant je l'ai bu et j'ai sentis aucunement ce goût suris en bouche.

« Ne sent tu pas cette présence, demanda Baron Samedi. Il approche, tiens toi prêt...»


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