Oui le chapitre 6 a un nom plutôt étrange, par contre, il rend bien au contenus du texte. j’espère. J'ai vraiment rien de plus à dire, donc...
...Bonne lecture!
Le
lait
Enfin
rendu face au vitres des réfrigérateurs de l'épicerie de cartier,
Beur, formage et crème côtoie ma convoitise sur ces tablettes en
grillage de fer. J'en viens à observe mon reflets blafard et me
demander qui je vois réellement. À chaque fois que je me perd dans
les détails de ma pots, mon esprits me joue des tours. Ombres
morbides et intrus prend place dans à mes côtés du moment que je
m'évade de cette réalité crue.
Un visage mécontent ressort de ces tromperies; c'est le commis qui m'observe divaguer seul devant la porte du réfrigérateur. Je prend mon lait et avance vers le comptoir quand j’aperçois encore une fois les détails d'un objets. Cette fois ci, ce sont les bonbons dans un pots qui me souris. Je fait mine de l'ignorer tendis qu'il me parle.
« Crois tu vraiment que je vais me fondre dans le décors et te laisser vivre tranquillement, nous avons des choses à faire.»
Un visage mécontent ressort de ces tromperies; c'est le commis qui m'observe divaguer seul devant la porte du réfrigérateur. Je prend mon lait et avance vers le comptoir quand j’aperçois encore une fois les détails d'un objets. Cette fois ci, ce sont les bonbons dans un pots qui me souris. Je fait mine de l'ignorer tendis qu'il me parle.
« Crois tu vraiment que je vais me fondre dans le décors et te laisser vivre tranquillement, nous avons des choses à faire.»
Tendis
que je détournais le regard, je me rendis compte de l’état
abasourdis jeune commis caissier qui avait tout cesser pour observer
la manifestation, la bouche ouverte.
«
C'est seulement Baron Samedi, dit-je amusé. Ignore le, ça vaut
mieux. »
Promptement,
le jeune asiatique hocha de la tête et repris le travail en gardant
un œil sur la manifestation qui, elle; semblait amuser de la
réaction du jeune homme.
«
Intéressent, intéressent... les portes s'ouvre de plus en plus
semblerait-il... »
Intriguer
par les propos du Baron, je me tourna vers le visage en bonbec
multicolore en l'interrogeant sur ces propos, mais seul propos qu'il
me dit fut.
« Plus tard, plus tard peut-être. »
« Plus tard, plus tard peut-être. »
Ce
genre de propos m’agace royalement. D'un geste, je pris la
couverture d'un journal et couvrit la bonbonnière pour ensuite payer
mon breuvage tendis que ce dernier riait de moi et du commis effaré.
Maintenant
sous la lumière d'un lampadaire, a l'air frais de cette nuit
d'automne, je savoure enfin ce nectar sans retenus. Les première
gorgé me semblait une délivrance au point ou j'en poussait un
soupire de soulagement. J'ai déjà entamer plus de la moitié de mon
carton quand je redescendit le coude. Je vit encore une fois le
visage du baron m'observer dans les feuilles au sol d'un grand
sourire satisfait.
«
Délicieux, n'est-ce pas ? Demanda le Baron. Ça faisait
tellement longtemps que je n'avait goûter de produits frais, quel
délice... »
Sur
ces mots, je me sent soudainement bafouer. Il peut donc me
transmettre ces envies et émotions. Je comprend dés ce moment ce
qui m'ait arriver dernièrement. Du moins, tout semble m'y diriger.
Tout aurais été le fait d'une possession... je saurais donc
l’auteur de ce massacre indirectement. Je me dégoûte. Comment
aurai-je put éviter cela, le sens logique de ma propre vie
m'échappe.
Sur
ces dernière pensé, je fit couler le lait sur le sol qui avait
soudainement cailler. Pourtant je l'ai bu et j'ai sentis aucunement
ce goût suris en bouche.
«
Ne sent tu pas cette présence, demanda Baron Samedi. Il approche,
tiens toi prêt...»
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