Il est présentement 22:50 et je me sent sur une lancé, avec un peut de volonté, je serez bon pour vous sortir un prochain chapitre pour lundi! pour le moment, voici le chapitre 11.
Bonne lecture!
Chapitre
11, L'arrivé de la carte
J'ai
passer un bon moment à déambuler dans le cartier ou le jeune noir
est descendue sans trouver une adresse ou un numéros qui puisse
ressembler à ce qui se trouve sur la carte en question, je me
demande même si le message n'est pas autre chose sur la carte. Les
motifs rouge et or du dos de la carte me semble banale et uniforme,
je n'y voie rien de spécial hors mi le message dans la marge, sinon,
de l'autre côté, il y as ce grand X plutôt irrégulier et cette
décoloration jaunis qui couvre la moitié de la carte.
Les
rue sont déserte comme toujours et la horde d'ombre qui me suivait
finis par se disperser aux aléas des rencontres peut fortuite avec
des gens étranges ou terrifier. Croisant une ruelle j'entendis une
radio ou bien une télévision, j'en sais rien en faite. Le point est
que les médias parle de quarantaine et de couvre feux pour la
populations civiles, ce qui explique le retrait des autobus et le
peut de voiture rencontrer. Je commençais à désespérer quand je
perçut enfin de la vie dans une allée étroite duquel une forte
odeur illégal s'y dégageait. Je marchait entre ces gens dans
l'ivresse pour arriver face à une porte de fer garder par un homme
baraqué. Sur un bout de ruban à masquer, le numéros de la porte
est écris au feutre, le 700.
Je
prend une chance et lui demande ou est le 721. Sur le coup, le
portier me mets la main sur le thorax avant de me pousser face contre
mur. Ce dernier commence à me faire une fouille en règle en
regardant par le même fait si j'étais surveiller. Une fois
interrogatoire rapide sur ma personne terminer, je lui montra la
carte.
«
Ou tu as voler cette carte, Demande t-il en colère. Il n'y as que
les membres de la familles qui ont ces cartes! »
Avec
tout le sérieux et la froideur que je pouvait, je lui répond qu'un
homme me l'avait donner et pour de bonne raison. Ces mots l'énerva
et l'armoire à glace sortis un poing américain de sa poche avant de
m'étamper dans le mur.
«
Tu ne veut pas réveiller Jack, dit-je avec un sourire en coins. Ho
non, tu ne veut pas réveiller Jack Cholesky. »
Je
ne sais pas si pour le moment si je parle par bleuf ou menace mais
mais n'en reste que l'homme en resta confus, affichant une
interrogation au villages. Ce fut un instant suffisant pour qu'un
homme de l'autre coté de la porte l'ouvra juste avent la première
frappe. C'était lui, le noir qui me donna la carte. Il somma le
portier d’arrêter, sur le coup, j'ai eut le réflexe de repousser
mon assaillant avec force bien que ce n'étais pas très efficace.
Une brève dispute éclata entre les deux pendent que je reprenait
mes choses sur le sol avant de placer la carte dans mon bouquin.
Les
chose s'en suivirent que je finis par pénétrer à l’intérieur
pour traverser un bar clandestin et arriver à un corridor avec des
portes de un à vingt. Nous sommes vites inviter à l'intérieur où
se trouvait une jeune femme mulâtre plutôt caractérielle et une
vieil femme grandement diminuer. Les lieux étais éclairer que par
les lampes au lueur bleu derrières les meubles et quelques
chandelles. La pièce étais très bien insonoriser, à un point que
l'on n'entendais pas la musique de la piste de danse qui étais tout
fois très fortes.
«
Maman, dit le jeune homme, c'est celui que j'ai trouver dans le bus.
»
Bien
ces cataractes, elle me regarda de haut en bas pour ensuite regarder
vers la porte.
« Que de grandes visites nous avons, Dit elle ruminant je ne sait quoi. Cette nouveau venus n'est pas seul, et nous avons un invité de marque entre nos murs. Tout les regards se pointa vers la porte ou l'on pouvais distinguer l'identité spectrale du Baron Samedis qui doucement s'opacifiait :
« Que de grandes visites nous avons, Dit elle ruminant je ne sait quoi. Cette nouveau venus n'est pas seul, et nous avons un invité de marque entre nos murs. Tout les regards se pointa vers la porte ou l'on pouvais distinguer l'identité spectrale du Baron Samedis qui doucement s'opacifiait :
«
Ma chère Anicette, cela dois faire au bas mots cents ans que l'on
c'est vue. Ce sont tes descendent? »
Au
fils de leur conversation, j'ai pue déterminer que la vieil femme
serais arriver sur le continent sur un navire négrier et qu'elle
aurais vécus bien avants. Son histoire m'en boucha un coins et c'est
peut de le dire. Sur le coup, nous avions passer une bonne heures
dans cette conversation, face à un thé qui ne faisait que se
refroidir. Le fils de la conversation finis par tourner à mon sujets
pendent le moment ou mon esprits divaguait, ce qui ne manqua pas
d'exaspérer la jeune mulâtre qui étais en retraits. Acinette
repris sa question :
«
Je disait donc que vous devez être un autre de ces hommes qui existe
dans les deux mondes, n'est-il pas ? »
«
Je ne crois pas, dit-je. Ou plutôt, j'en sais rien. La seule chose
que je peut dire, c'est que je suis possédé par quelque chose de
très malveillant. J'espère juste que vous pourrez m'en débarrasser.
»
La
jeune dame qui étais en retrais s’avança vers la table en parlent
d'un tons stricte :
«
Vous ne manquez pas d'audace. Le jours des morts arrive à grand pas
et vous pensez qu'a vous. »
J'avoue
être perplexe face à ces dire. En quoi cela me concerne. Je veut
bien croire que les ombres parcoure la ville, mais je vois mal
pourquoi elle me fait cette remarque.
«
d'ici les cinq prochain jours, repris-elle. Les portes de deux
royaumes seront ouvert et probablement que notre monde finira changer à jamais si ce n'est pas simplement détruits par les forces en
cause. »
Bon
sa y est, elle va me dire que j'ai moins d'une semaines pour sauver
le monde. La vieil dame repris sur les propos de sa descendante :
«
Deux mondes ce sont ouvert à nous en ce moment, l'un est le royaumes
des mort et l'autre en est un de folklore que l'on ne peut déterminer
pour le moment. Vous comprendrez que votre problème n'est pas une
priorité pour le moment, mais je crois pouvoir vous aider sur
quelque point. »
Elle
se leva et fouilla dans une étagère pour en sortir une flasque
métallique couvert d'un revêtement de cuir.
«
Prenez en trois gorgé, dit-elle en me la tendent. Vos souvenirs s'en
libéreront. »
J'
hésita un moment, mais au premier toucher sur ma langue, la saveur
étais telle qu'avent de m'en rende compte j'avais dépasser de loin
les trois gorgé qu'elle me dit. Une ivresse me prend soudainement,
c'est ici que tout se bouscule.
Pourquoi est-ce qu'il faut signer Anon
RépondreEffacertu dois signer Anon si tu na pas de google+ ou de compte blogger.com
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