Chapitre 4, Esprits égarer
Déambulant
dans les rues froide et humides de la nuits, mes souvenirs refont
surface comme un puzzle dont toutes les pièces auraient été
découper au à l'identique, incapable de différencier, la réalité
des idées sordide que je peut me faire. Histoire d'immortelle
immorale et de dieu de la folie. Qui suis-je réellement, un
scénariste? Ne me dite pas que les histoire si noir qui encombre les
méandre de mon esprits sont réel. Serai-je donc un montre à la
solde du carnage?
Rue
du presbytère; ho combien mes yeux ont vue souvent le sang couler
sur ces pavées. Les larmes de mes yeux semble s'évaporer au
contactes de ma paupières. Dite moi que mes souvenirs sont des
mensonge que je me crée. Jamais le ciel ne m'aient parue bleu, un
voile de noirceur semble couvrir tout images qui me viens à
l’esprit. Ai-je au moins un endroits de paix dans ce carnage...
« 443556... mon adresse est le 443556.»
« 443556... mon adresse est le 443556.»
J'ai
l'impression que le chemin pour rentrer chez moi c'est fait en 3
enjambé bien que les lieux sont à des milles d’où j'étais. Me
voilà face à l'immeuble. Commerce au premier et studio au deuxième.
Le tout dans un cartier industriel ou les cheminées recrache leur
effluves de fer et de rouille.
L'entrée,
comme mes souvenirs me le montre, est couvert de la suie laisser par
les usines. Seul un infime partie sur la poignée semble avoir été
retirer par la main d'un inconnus. J'entre ouvre la porte et
j’aperçois est une personne dans une position bien trop
familière. Assis à contre mus, les jambes droites à environ 40
degrés d'ouverture avec les mains dans le dos. Ce clochard gis dans
ces haillons intoxiqué par je ne sais quoi.
«Il
sont de retour, dit l'ivrogne entre deux râlement. Toi le
dernier...»
ça
n'augure rien de bon, mais quelque chose me pousse à aller de
l'avant. Comme si une hargne dictais mes mouvement. Je monta les
marches en grande enjambé et arriva sur un couloir éclairer
misérablement. Étrangement, ce lieux ne me disait absolument rien,
mais la porte beige parlais pour elle même. Les marques de clefs
autours de la serrure comme les traces de bottes laisse savoir mes
méfait passé dans l'alcool. Cette pénombre n'est pas pour m'aider.
Mes sens me joue des tours. Je me sent comme si silhouette d'ombres
se levait du couloirs et avançais vers moi. Une froideur me dresse
les poiles sur la nuques tendis que je rentrais la clefs dans la
serrures.
Une
fois la porte ouverte, une odeur de putréfaction me monta au nez
tendis que je regardais ces dizaines de silhouettes translucide qui
me regardais. Au lieux de craindre l’innommable, une fureur me
pris.
«Sortez! Sortez tousse d'ici!»
«Sortez! Sortez tousse d'ici!»
Ces
mots dit, une vague d'air froide s'engouffra dans le couloir qui ne
manqua pas de faire glousser l'ivrogne plus bas.
Scrutant
la pièces, je vis qu'il y avait toujours une personne debout à
contre mur. Celui-ci étais un noir, habiller d'un costard et le
visage peint de blanc.
«Ou
pa toujou remèt bay ou sou vwayaj ou ant mond?»
Bien
que je n'ai pas compris la moitié de ce qu'il m'a dit, je n'ai pue
m’empêcher de lui poser la question qui me taraudais autans, a
savoir quel étais son nom. Ce qui ne manqua pas de choquer notre
haute.
«Mizerab,
mwen Baron Samdi.»
À
peine ces mots dit, il se retourna face au mur et disparue dans la
plus grande des noirceurs. La pièce étais enfin vide et les lieux
silencieux. Le loft étais peut meubler. Un lit, un table et deux
chaises, et quelque électro ménagé. Sur la table, l'on pouvais
voir les reste de mon dernier repas qui n'avais pas perdu de temps
pour muter en mousse nauséabonde.
Vivement
que je nettoie, faire partir cette puanteur ne saura pas un luxe
avant de retourner au bras de Morfée.
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