dimanche 8 novembre 2015

Lune noir part 8

Chapitre 8! Il Y as peut-être beaucoup de faute, j'en sais rien, Il est tard et je cogne des clous... 

Chapitre 8, Jours de Silence


Voila quatre jours de grisaille que je passe dans le silences le plus total, comme si les événement d'avents étais le simple fruits de mon imagination. Les mots me sont court face à l'actualité toujours de plus en plus sombres. Les journaux comme n'en démente pas, Quelque chose se trame par delà les crimes et la folies de ces dernier mois; quelque chose de plus grand que nature. Je pleins le pauvre vagabond qui c'est éteint au pas de ma porte, lui qui ma sembler toujours être là, ce vieil homme; gardien sénile de mon entrée. Si seulement j’avais sue son nom, l'on n'aurais pue mettre un nom sur sa tombe.

Quatre jours... Quatre jours de silence, sans murmure inutile ni pensée troublante. Cela pourrais être un soulagement si ce n'étais pas que je me questionne sur ma personne ou encore ce qu'est ma vie. J'ignore ce encore qui j'étais et comment j'ai pue évoluer dans cette environnement minimaliste et aseptisé. Je ne me reconnais pas dans ce vide, du moins, j'en ai l'impression. J'ai eut beau tenter de fouiller pour retrouver des objets qui pourrais me donner des souvenirs, mais la seule chose que j'ai trouver, c'est une boire de relevé comptable avec une photos de moi avec des personnes que je ne reconnais pas. La scène est classique, en abies de soirées et champagne sur font rouge et fer forgée. Sans doutes des collègue de travail. Encore une fois, les détails de ma vie me hante de plus en plus, à savoir si je compte pour quelqu'un. Ai-je une famille, des amies, un patron? Ces questions me hante et je redoutes la réponse. Tout ce que je peut faire, c'est d'attendre que l'on me recherche.

Des cognement creux, à même la porte d'entrée me sort de ma torpeur. Après m'être vêtus sommairement, j'ouvre cette dernière sans y défaire la chaînette. J’aperçois dans l'embrasure l'un des deux zigoto qui sont venus me pointer du doigt à hôpital. Je ne serais dire qui des deux se trouve devant mois, mais il semble être très inquiet et il cherche du regard si l'on nous regarde.
« Vous ne comprenez pas, un malheur s’abattra sur vous. Si j'ai pue vous suivre, eux aussi... »
« Il à raison... »
Baron Samedi est de retour, son accoutrement et sa démarche détonne de la dernière fois. Il na plus d'apparence d'un aggloméra d'objets, mais une apparition plutôt spectrale comme la tout première fois que je l'ai perçu.
« Je dois te félicité, dit-il. Tu as sue te prémunir seul, contre la possession complète. En temps normal, Il aurais fallu un prêtre ou un chaman pour t'en sortir. Mais encore faut-il que tu te débarrasse de ce monstre qui sommeil au fond de ton esprits»
« Il n'y as pas suffisamment de place dans ton esprits pour contenir plus que ce malin. Par contre, la clef est sous ton nez. »



« Faite moi entrer, dit-il promptement. Il faut qu'on parle. »

La dernière chose que je veut faire, c'est de faire entrer la tourment dans mon havre de paix.
« Vous n’irez pas plus loin que le pas de la porte, est-ce bien claire? »
Mes mots résonnait fortement dans le corridor, ce qui poussa l'homme du clergé à s’entasser dans l'embrasure de la porte, me disent :

Sur ces dire, il lança un regard derrière moi et pris la fuite. Je n'ai pas eut le temps de me retourner qu'une voir familière mais dérangeante retentis :

Désabusé, je le regarde en lui demandant s'il étais encore dans ma tête, par contre, sa réponse fut tout autre.

A ces pieds, se trouve la chemise sale dans la quel se retrouvait encore la carte barrée d'un X. Lorsque je vin pour la prendre, notre esprits tourmenteur disparue et je remarqua enfin une écriture minuscule dans la marge:

11h. 1p. 721ApE.

1 commentaire:

  1. Wouin! ben! continue comme ça, je suis toujour sur ma faim. Tu sais très bien comment augmenter mon appétit. J'ai hâte d'avoir la suite

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