Enfin! Mes texte de Inktober de 1 à 5! je me demandait, si j'allais enfin les finir. Je crois par contre que je vais m'en tenir à ça pour le moment puisque l'artiste qui fait les dessin en question semble sortir un dessin par jours, et je n'ai malheureusement pas le tallent pour scripter des textes à cette vitesse... Par contre, je tiens à terminer ce défis, même si je dois le finir pendants le temps des fêtes.
Pour l'instant, voici les trois premier petit textes lier aux images.
Pour l'instant, voici les trois premier petit textes lier aux images.
Bonne lecture!
Inktober Dralloween
Dessin
par
Texte,
par
La dame et la
lune
Les nuits
d'octobre sont peuplé de vie, ou plutôt de revenant. Telle la dame
en blanc, cette irrésistible auto-stoppeuse de malheur. Soudaine de
vie, soudaine d'eau, soudaine de perdissions. Son histoire est celle
d'une pauvre dame qui crue bon de croiser le chemin des conducteurs,
le pouce levé. Malheureusement pour elle, ce fut son dernier voyage.
Croiser le chemin de truands pour finir plongé dans les eaux d'une
rivière, quel misère.
Nul ne sait
pourquoi ils lui ont fait cela, mais une seul chose est sure; depuis
ce moment elle parcourt les routes éclairer de sa seul amie, la
lune.
Alors, si un soir de pleine lune d'octobre, vous croiser une dame en blanc trempé jusqu'au eau, dite vous que la chance à tourné; car l’ignorer vous fera le regretter et l'aider vous fera pleurer.
Alors, si un soir de pleine lune d'octobre, vous croiser une dame en blanc trempé jusqu'au eau, dite vous que la chance à tourné; car l’ignorer vous fera le regretter et l'aider vous fera pleurer.
Démon
affamé
Qui
invoque le malin, dois s'attendre à l'entendre, mais si c’était
vous que le malin invoque, qu'en diriez-vous? Bien que le malin soit
bénin, savoir ce qu'il attend de vous est une questions sans
réponse. Le planché qui craque, les sabots qui claques, le souffle
en harmonie avec l’orage qui sévis. Tans de mots pour un moment
maudit.
Mais
en quoi donc la bête cornu peut-elle tans tenir cette l'homme. Celui
qui crains ainsi le mal n'a t-il donc jamais souhaiter la puissance?
L'homme ici présent qui voulu d'une vie de luxure se trouve face à
son maître. Après si peut de temps, un tout petit dix ans, le
marché conclus s'achève avec les rôles inversé. Personne ne peut
dire ce qui arrivera, seul chose sure, le malin réclame son due.
Adieux
petit homme, puisse ta souffrance durer qu'une simple éternité.
La
comptine des gobelins
Petits
gobelins au compte de trois,
Pilleront
la maison sans foie ni lois.
Les
clefs, le papier, les chaussettes et allumettes
Feront
des surcroît, le butin de ces malfrats.
Petits
gobelins au compte de trois,
Ruineront
la maison de tout leur émois.
Éventrer
le canapé, mâchouiller les souliers
Ne
sont là que le début de nos colères et traquas.
Petits
gobelins au compte de trois,
Finiront
dévorer par le chien Bouvier Bernois.
La
maîtresse est arrivé, la maison est dépravé
Seul
le chien qui est là répondra de ce bardas.
«
Méchant chien! Dans ta cage! »
Vampirette
Que
de tristesse est le moment pour celui qui ne sais pas ces jours
réduis à l'ombre de cette pâleur au crocs si long.
«
Ne vois-tu donc pas ce qui t'entoure, susurre t-elle futilement. La
nuits et ces malices sont si près. Ne vois tu donc pas l'autrui qui
cherche ton tourment? Ce jouets et lumière et de bruits te rend
inerte, sans affût face aux dangers? »
Sur
ces mots amuser, la vampire se tordais, enjouer d'une proie facile
jusqu’à ce que son regard croise la lumière dansante de
l'appareille du jeune homme. Ces couleurs si chatoyantes et
fascinante ont tôt fait de la captiver elle aussi. Ces arbres si
vert et ce héros si petit hypnotisait la ténébreuse créature
d'autans que la petit symphonie du casque d'écoute du jeune homme
semblait bien attrayante.
«
Que vois-je, un donjon? Se demanda t-elle. Des démons et martyres
pourfendue de sa lame pour en finir avec un vampire? Quel hérésie!
»
Suite
à ces mots elle le mordit, d'une tenaille au coup de l'homme dont la
vie reste à définir.
Gare
au loup
Prenez
gare aux hurlements et aux soupires des ruelles car dans la nuit
sombre ce trouve des créatures, mi homme, mi loup qui n'attende que
votre inattention pour vous dévorer. Vous voyez ici Jean et Josée
sans l'ombre d'une suspicion se préparer pour un baisé sous la
lumière d'un lampadaire, mais aussi sous les yeux d'une des
créatures les plus villes que la nature na vue naître.
Dans
les méandres de la noirceur, sa traque est légendaires et ces
traces meurtrière. D'ici la fin de la nuit, l'un des deux, Jean ou
Josée ne répondra plus à l'appelle, si ce n'est pas les deux. Tout
cela dans le seul but de le rassasier à satiété, ce qui
malheureusement n'arrive que très rarement. Toujours à la recherche
de proies, son dévolu fait loi sur la vie des imprudents et
insouciants
Cette
nuits, ce couples ne fêteras que leur première rencontre. Qu'il est
triste le destin de ces amoureux, si jeunes et heureux. Cette nuits
sans étoiles ne lèves aucun voile sur la peur et la stupeur qui
vont suivre, si seulement quelqu'un pourrais leur dire...
« Prenez gare aux hurlements et aux soupires des ruelles... »
« Prenez gare aux hurlements et aux soupires des ruelles... »
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