jeudi 22 octobre 2015

Inktober part 1

Enfin! Mes texte de Inktober de 1 à 5! je me demandait, si j'allais enfin les finir. Je crois par contre que je vais m'en tenir à ça pour le moment puisque l'artiste qui fait les dessin en question semble sortir un dessin par jours, et je n'ai malheureusement pas le tallent pour scripter des textes à cette vitesse... Par contre, je tiens à terminer ce défis, même si je dois le finir pendants le temps des fêtes.

Pour l'instant, voici les trois premier petit textes lier aux images.
Bonne lecture!

Inktober Dralloween


Dessin par

Texte, par

La dame et la lune

Les nuits d'octobre sont peuplé de vie, ou plutôt de revenant. Telle la dame en blanc, cette irrésistible auto-stoppeuse de malheur. Soudaine de vie, soudaine d'eau, soudaine de perdissions. Son histoire est celle d'une pauvre dame qui crue bon de croiser le chemin des conducteurs, le pouce levé. Malheureusement pour elle, ce fut son dernier voyage. Croiser le chemin de truands pour finir plongé dans les eaux d'une rivière, quel misère.

Nul ne sait pourquoi ils lui ont fait cela, mais une seul chose est sure; depuis ce moment elle parcourt les routes éclairer de sa seul amie, la lune.

Alors, si un soir de pleine lune d'octobre, vous croiser une dame en blanc trempé jusqu'au eau, dite vous que la chance à tourné; car l’ignorer vous fera le regretter et l'aider vous fera pleurer.

Démon affamé

Qui invoque le malin, dois s'attendre à l'entendre, mais si c’était vous que le malin invoque, qu'en diriez-vous? Bien que le malin soit bénin, savoir ce qu'il attend de vous est une questions sans réponse. Le planché qui craque, les sabots qui claques, le souffle en harmonie avec l’orage qui sévis. Tans de mots pour un moment maudit.

Mais en quoi donc la bête cornu peut-elle tans tenir cette l'homme. Celui qui crains ainsi le mal n'a t-il donc jamais souhaiter la puissance? L'homme ici présent qui voulu d'une vie de luxure se trouve face à son maître. Après si peut de temps, un tout petit dix ans, le marché conclus s'achève avec les rôles inversé. Personne ne peut dire ce qui arrivera, seul chose sure, le malin réclame son due.

Adieux petit homme, puisse ta souffrance durer qu'une simple éternité.



La comptine des gobelins

Petits gobelins au compte de trois,
Pilleront la maison sans foie ni lois.

Les clefs, le papier, les chaussettes et allumettes
Feront des surcroît, le butin de ces malfrats.

Petits gobelins au compte de trois,
Ruineront la maison de tout leur émois.

Éventrer le canapé, mâchouiller les souliers
Ne sont là que le début de nos colères et traquas.

Petits gobelins au compte de trois,
Finiront dévorer par le chien Bouvier Bernois.

La maîtresse est arrivé, la maison est dépravé
Seul le chien qui est là répondra de ce bardas.

« Méchant chien! Dans ta cage! »



Vampirette

Que de tristesse est le moment pour celui qui ne sais pas ces jours réduis à l'ombre de cette pâleur au crocs si long.

« Ne vois-tu donc pas ce qui t'entoure, susurre t-elle futilement. La nuits et ces malices sont si près. Ne vois tu donc pas l'autrui qui cherche ton tourment? Ce jouets et lumière et de bruits te rend inerte, sans affût face aux dangers? »

Sur ces mots amuser, la vampire se tordais, enjouer d'une proie facile jusqu’à ce que son regard croise la lumière dansante de l'appareille du jeune homme. Ces couleurs si chatoyantes et fascinante ont tôt fait de la captiver elle aussi. Ces arbres si vert et ce héros si petit hypnotisait la ténébreuse créature d'autans que la petit symphonie du casque d'écoute du jeune homme semblait bien attrayante.

« Que vois-je, un donjon? Se demanda t-elle. Des démons et martyres pourfendue de sa lame pour en finir avec un vampire? Quel hérésie! »

Suite à ces mots elle le mordit, d'une tenaille au coup de l'homme dont la vie reste à définir.




Gare au loup
Prenez gare aux hurlements et aux soupires des ruelles car dans la nuit sombre ce trouve des créatures, mi homme, mi loup qui n'attende que votre inattention pour vous dévorer. Vous voyez ici Jean et Josée sans l'ombre d'une suspicion se préparer pour un baisé sous la lumière d'un lampadaire, mais aussi sous les yeux d'une des créatures les plus villes que la nature na vue naître.

Dans les méandres de la noirceur, sa traque est légendaires et ces traces meurtrière. D'ici la fin de la nuit, l'un des deux, Jean ou Josée ne répondra plus à l'appelle, si ce n'est pas les deux. Tout cela dans le seul but de le rassasier à satiété, ce qui malheureusement n'arrive que très rarement. Toujours à la recherche de proies, son dévolu fait loi sur la vie des imprudents et insouciants


Cette nuits, ce couples ne fêteras que leur première rencontre. Qu'il est triste le destin de ces amoureux, si jeunes et heureux. Cette nuits sans étoiles ne lèves aucun voile sur la peur et la stupeur qui vont suivre, si seulement quelqu'un pourrais leur dire...

« Prenez gare aux hurlements et aux soupires des ruelles... »

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