lundi 17 août 2015

Courte histoire méphistophélique

j'ai l'impression que sa fait une éternité que je n'ai pas poster quelque chose sur mon blogue, et pourtant....

Il fait chaud, je suis fatigué et je n'ai pas la notion du temps, rien pour m'aider dans mon écriture. Néanmoins, j'ai sue dénicher un texte qui devrais plaire à ceux qui ont apprécier les manuscrits Lune noir. Il est en fait l'une de mes inspirations pour ce texte. Je vous présente une Courte histoire méphistophélique, petit récits sans suite mais bien sombre...

Courte histoire méphistophélique, Le procès du meurtrier.


Dans une sale d’audience au cœur de la métropole Montréalaise se passe un procès à mi-clos opposant l’un des plus grands assassins de la scène québécoise aux familles de ces cents soixante-dix-sept victimes, du moins, leurs représentants.

Le juge fait son entrer et comme le décorum le veut, tout l’audience se lèvent à l’exception de l’accusé qui étais vautré dans son siège. Madame la juge le dévisageait, mais il n’en fit rien, son attention se portait plus as l’observation du jury en place, composer de vieilles personnes et de quelques personnages peut remarquable en soit.

Après quelques minutes à attendre sans que l’accusé ne lève le petit doigt, dame Tremblay outrepassa cette fâcheuse position en continuas sans cette mesure pour arriver au fait de ce procès.

- Monsieur Leclerc, vous n’avez pas d’avocat vous représentant? Demanda stoïquement madame la juge. Avant même qu’elle puisse demander s’il souhaitait un représentant, il lui répondit qu’il se défendrait seul. Les membres de la partie adverse se regardaient entre eux avec beaucoup de questionnement. Son apparence de vieillard serin avec ces longs cheveux naturels ne laissait rien présager d’un tel meurtrier, mais serait-il aussi un stratège hors-norme, ou encore était-il un fou.

Sans attendre, une voie se fit entendre, prodiguant les accusations.
-Monsieur Gérald Leclerc, vous êtes accus…

l’accusé se leva et l’interrompit en haussant le ton.

« Rectification, je ne me nomme pas ainsi. Dit-il tendis que les appelle au silence pleuvait de la juge.Je suis le barde des guerres, le roi des enfers. Pour qui mes paroles ont un sens profond, ces dires à d’autre y découle l’essence de l’antéchrist.»

Tout l'audience fut surprise de ces dires maudite. Un silence lourd s'installa lorsqu'il continua sa scène.

«Sexisme, raciste, nazisme sont des idées bien basses face à mon fondement,
je suis le mal, l’inconnaissable parmi les mortels
car bien que l'on me dépeigne avec des cornes,
seul l’imposteur peut les porter.
Que l’on m’appelle le diable, Méphistophélès ou Belzébuth mon nom est Satan,
qu’ils vous en déplaisent. »

Ces mots dits si limpides au travers des coups de marteau de la juge qui souhaitais le faire taire, glaçaient le sang de toute l’assistance qui était bouleversée sinon avide de commentaires face à cette déclaration.

Après quelques menace d’évincement de son procès, les accusations détaillés des cents soixante-dix-sept meurtres aussi crapuleux les un des autres reprirent. Sexe, nom et ages de ces victimes retentissait dans la sale, que ce soit des personnes d’âge mûr, les membres de sa famille ou encore des nouveaux nées, l’accusé écoutait d’un regard satisfait et quand on lui demanda ce qu’il allait déclarer, il répondit avec fierté :
« Coupable! Et il en manque, faites mieux vos recherches. »

Stupéfaite, la juge qui était penchée vers l’accusé prit un grand respire en s’adossant dans son siège. Quelques instants après, elle lui répondit :
« Vous savez qu’avec ces accusations, vous serez emprisonné à perpétuité et avec un tel comportement, vous ne pourrez être libéré sous condition. Qu’est-ce qui vous pousse à agir de la sorte? »

L’accusé regarda fixement madame Tremblay dans les yeux sans broncher et discourut.

« Vous ne pourrez jamais m’emprisonner, ni même me contenir. Cette chaire putride n’ai qu’un véhicule que j’ai dérobé à une âme fragile, comme je l’ai déjà fait au par avant et comme je referai. Vous pouvez ne pas croire en Dieux, car il vous a abandonné depuis bien des lustres, mais moi je dure et perdure aussi longtemps que le monde sera monde et ne sera pas mien. »

Suite à ces mots, le meurtrier détourna le regard vers le jury et sourie, tendis que la juge confuse ajourna la cession.

Au matin suivent, les gardes qui surveillaient le vieil homme, retrouvèrent ce dernier dans un état végétatif, allonger dans son lit. Dans une autre instance, un maître d’hôtel retrouva le corps de quatre personnes qui composait les membres du jury tandis que les autres étaient manquants. Personne n’a entendu ni vu ce qu’il s’était réellement passé.

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