Il fait chaud, je suis fatigué et je n'ai pas la notion du temps, rien pour m'aider dans mon écriture. Néanmoins, j'ai sue dénicher un texte qui devrais plaire à ceux qui ont apprécier les manuscrits Lune noir. Il est en fait l'une de mes inspirations pour ce texte. Je vous présente une Courte histoire méphistophélique, petit récits sans suite mais bien sombre...
Courte histoire méphistophélique, Le procès du meurtrier.
Dans une sale d’audience au cœur de
la métropole Montréalaise se passe un procès à mi-clos opposant
l’un des plus grands assassins de la scène québécoise aux
familles de ces cents soixante-dix-sept victimes, du moins, leurs
représentants.
Le juge fait son entrer et comme le
décorum le veut, tout l’audience se lèvent à l’exception de
l’accusé qui étais vautré dans son siège. Madame la juge le
dévisageait, mais il n’en fit rien, son attention se portait plus
as l’observation du jury en place, composer de vieilles personnes
et de quelques personnages peut remarquable en soit.
Après quelques minutes à attendre
sans que l’accusé ne lève le petit doigt, dame Tremblay
outrepassa cette fâcheuse position en continuas sans cette mesure
pour arriver au fait de ce procès.
- Monsieur Leclerc, vous n’avez
pas d’avocat vous représentant? Demanda stoïquement madame la
juge. Avant même qu’elle puisse demander s’il souhaitait un
représentant, il lui répondit qu’il se défendrait seul. Les
membres de la partie adverse se regardaient entre eux avec beaucoup
de questionnement. Son apparence de vieillard serin avec ces longs
cheveux naturels ne laissait rien présager d’un tel meurtrier,
mais serait-il aussi un stratège hors-norme, ou encore était-il un
fou.
Sans attendre, une voie se fit
entendre, prodiguant les accusations.
-Monsieur Gérald Leclerc, vous êtes
accus…
l’accusé se leva et l’interrompit
en haussant le ton.
« Rectification, je ne me nomme
pas ainsi. Dit-il tendis que les appelle au silence pleuvait de la
juge.Je suis le barde des guerres, le roi des enfers. Pour qui mes
paroles ont un sens profond, ces dires à d’autre y découle
l’essence de l’antéchrist.»
Tout l'audience fut surprise de ces
dires maudite. Un silence lourd s'installa lorsqu'il continua sa
scène.
«Sexisme, raciste, nazisme sont des
idées bien basses face à mon fondement,
je suis le mal, l’inconnaissable
parmi les mortels
car bien que l'on me dépeigne avec des
cornes,
seul l’imposteur peut les porter.
Que l’on m’appelle le diable,
Méphistophélès ou Belzébuth mon nom est Satan,
qu’ils vous en déplaisent. »
Ces mots dits si limpides au travers
des coups de marteau de la juge qui souhaitais le faire taire,
glaçaient le sang de toute l’assistance qui était bouleversée
sinon avide de commentaires face à cette déclaration.
Après quelques menace d’évincement
de son procès, les accusations détaillés des cents
soixante-dix-sept meurtres aussi crapuleux les un des autres
reprirent. Sexe, nom et ages de ces victimes retentissait dans la
sale, que ce soit des personnes d’âge mûr, les membres de sa
famille ou encore des nouveaux nées, l’accusé écoutait d’un
regard satisfait et quand on lui demanda ce qu’il allait déclarer,
il répondit avec fierté :
« Coupable! Et il en manque,
faites mieux vos recherches. »
Stupéfaite, la juge qui était penchée
vers l’accusé prit un grand respire en s’adossant dans son
siège. Quelques instants après, elle lui répondit :
« Vous savez qu’avec ces
accusations, vous serez emprisonné à perpétuité et avec un tel
comportement, vous ne pourrez être libéré sous condition.
Qu’est-ce qui vous pousse à agir de la sorte? »
L’accusé regarda fixement madame
Tremblay dans les yeux sans broncher et discourut.
« Vous ne pourrez jamais
m’emprisonner, ni même me contenir. Cette chaire putride n’ai
qu’un véhicule que j’ai dérobé à une âme fragile, comme je
l’ai déjà fait au par avant et comme je referai. Vous pouvez ne
pas croire en Dieux, car il vous a abandonné depuis bien des
lustres, mais moi je dure et perdure aussi longtemps que le monde
sera monde et ne sera pas mien. »
Suite à ces mots, le meurtrier
détourna le regard vers le jury et sourie, tendis que la juge
confuse ajourna la cession.
Au matin suivent, les gardes qui
surveillaient le vieil homme, retrouvèrent ce dernier dans un état
végétatif, allonger dans son lit. Dans une autre instance, un
maître d’hôtel retrouva le corps de quatre personnes qui
composait les membres du jury tandis que les autres étaient
manquants. Personne n’a entendu ni vu ce qu’il s’était
réellement passé.
Bravo!! J'adore!!! Continue mon gars, j'aime ça
RépondreEffacerMerci m'man!
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