oui, il est plutôt court, mais vaut mieux recommencer à plus petite échelle. et personnellement, je base ce texte sur un flash que j'ai eut en somnolent plus tôt...
( Chapitres antérieur )
Chapitre 13, le paladin
« Sombre est le présage pour celui qui entend les morts, ne trouve tu pas ? »
Ces
quelques mots du baron samedi me semblait un mauvaise blague, mais je
compris qu'il ne parle pas de moi, ni à mois, car ces mots sortais
de ma gorge. Encore une fois, je me vos le pantin d'autrui. Tapis
dans l'ombre un homme demanda mon vrai nom.
«
Les passeurs ont bien des nom, Le mien est Baron Samedi. »
La
silhouette se leva et marcha lentement dans la lumière, démontrant
un homme monstrueusement défigurer, contrastant avec son complet
gris. Il semblerait qu'il ai reçu de multiple Taillade au visage par
le passé. Avant de me saisir par la gorge, il sourit et dit :
«
Les faux dieux me font bien rire...»
Sa main m'étreignait sans que je n'en sente la douleur. Je sentis toute fois qu'il quittais mon enveloppe charnel. Je vis son esprits dériver à ma droite et sons crâne atypique se manifesta de chaque côté de mon assaillant.
« Tu n'est pas à même de me blesser, dirent en union les cranes. Et si j'étais toi, je fuirait ce monstre que je retenait. »
Bien ma vision trouble je pouvais voir le visage de l'homme passer du questionnement au dégoût puis à la peur au fur et à mesure que je sentais mes sens ce réduire. Encore une fois, mon visage s'effaçait.
Sa main m'étreignait sans que je n'en sente la douleur. Je sentis toute fois qu'il quittais mon enveloppe charnel. Je vis son esprits dériver à ma droite et sons crâne atypique se manifesta de chaque côté de mon assaillant.
« Tu n'est pas à même de me blesser, dirent en union les cranes. Et si j'étais toi, je fuirait ce monstre que je retenait. »
Bien ma vision trouble je pouvais voir le visage de l'homme passer du questionnement au dégoût puis à la peur au fur et à mesure que je sentais mes sens ce réduire. Encore une fois, mon visage s'effaçait.
J'ai
bien vue le pauvre homme tenter de ce débattre quand ma main
fracassa son poignet avec une force que je ne pouvais imaginer avoir.
Cette fois-ci, je décida de résister. Il n'est pas question de tuer
ni même de blesser quelqu'un Je dois prendre le contrôle avant...
…avant le néant. Cette douleur à ma gorge est la seul chose qui
me garde dans ce monde, étreint à cette réalité par la
souffrance.
«
Vas s'y, frappe moi, lui dit-je. Frappe fort! »
Libérer
de ma poigne, il pris un recule avant de me plaquer au sol d'un
violent coup de pied au sternum. Je n'ai jamais eut aussi mal, mais
je ne me suis jamais sentis aussi en vie. Il continua de me ruer
jusqu'à ce que des passent virent la scène et accoururent en
attendent la police.
Avant
de fuir, l'homme fit une crois sur mon front de mon propre sang et me
dit que les paladins reviendrons.
Ces
bon samaritain m’aidèrent à me rasseoir au son contre le mur
tendis qu'il me posait des tonnes de questions. Je me terrais dans
mon mutisme n'affichant qu'un sourire en coins et rient bêtement.
Ils ignorent que je viens de gagner l'une de mes plus grande
batailles. Ces ombres qui me suivait me fuie maintenant, ce démon
qui m’habite est enchaîné désormais.
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