lundi 13 juin 2016

Lune noir part 13

Long time no see? Je dois dire que je prend beaucoup plus à la légère mon temps libre depuis quelques temps, du coup, je n'écris plus rien ou presque, mais j'espère changer ça d'ici peut, comme je veut aussi reprendre un pois santé. enfin, c'est purement idyllique... n’empêche que j'ai repris du service sur mon clavier et décider de briser la barrière des douze chapitre ce soir avec ce texte.

oui, il est plutôt court, mais vaut mieux recommencer à plus petite échelle. et personnellement, je base ce texte sur un flash que j'ai eut en somnolent plus tôt...

( Chapitres antérieur )


Chapitre 13, le paladin


« Sombre est le présage pour celui qui entend les morts, ne trouve tu pas ? »


Ces quelques mots du baron samedi me semblait un mauvaise blague, mais je compris qu'il ne parle pas de moi, ni à mois, car ces mots sortais de ma gorge. Encore une fois, je me vos le pantin d'autrui. Tapis dans l'ombre un homme demanda mon vrai nom.

« Les passeurs ont bien des nom, Le mien est Baron Samedi. »

La silhouette se leva et marcha lentement dans la lumière, démontrant un homme monstrueusement défigurer, contrastant avec son complet gris. Il semblerait qu'il ai reçu de multiple Taillade au visage par le passé. Avant de me saisir par la gorge, il sourit et dit :
« Les faux dieux me font bien rire...»

Sa main m'étreignait sans que je n'en sente la douleur. Je sentis toute fois qu'il quittais mon enveloppe charnel. Je vis son esprits dériver à ma droite et sons crâne atypique se manifesta de chaque côté de mon assaillant.

« Tu n'est pas à même de me blesser, dirent en union les cranes. Et si j'étais toi, je fuirait ce monstre que je retenait. »

Bien ma vision trouble je pouvais voir le visage de l'homme passer du questionnement au dégoût puis à la peur au fur et à mesure que je sentais mes sens ce réduire. Encore une fois, mon visage s'effaçait.

J'ai bien vue le pauvre homme tenter de ce débattre quand ma main fracassa son poignet avec une force que je ne pouvais imaginer avoir. Cette fois-ci, je décida de résister. Il n'est pas question de tuer ni même de blesser quelqu'un Je dois prendre le contrôle avant... …avant le néant. Cette douleur à ma gorge est la seul chose qui me garde dans ce monde, étreint à cette réalité par la souffrance.

« Vas s'y, frappe moi, lui dit-je. Frappe fort! »

Libérer de ma poigne, il pris un recule avant de me plaquer au sol d'un violent coup de pied au sternum. Je n'ai jamais eut aussi mal, mais je ne me suis jamais sentis aussi en vie. Il continua de me ruer jusqu'à ce que des passent virent la scène et accoururent en attendent la police.

Avant de fuir, l'homme fit une crois sur mon front de mon propre sang et me dit que les paladins reviendrons.


Ces bon samaritain m’aidèrent à me rasseoir au son contre le mur tendis qu'il me posait des tonnes de questions. Je me terrais dans mon mutisme n'affichant qu'un sourire en coins et rient bêtement. Ils ignorent que je viens de gagner l'une de mes plus grande batailles. Ces ombres qui me suivait me fuie maintenant, ce démon qui m’habite est enchaîné désormais.    

Aucun commentaire:

Publier un commentaire

N'oubliez pas de signer Anon!