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6 octobre, La livraisons
Affaler dans une ruelle au dernière
heures de la journée, Elle espérait des nouvelles de son héros sur
son cellulaire. Quelques instants plus tôt, elle apercevait ce
dernier fuir d'une fusillade qu'elle vue caché dans les sombre
méandres de la métropole. Ces yeux étaient remplis de larmes
croyant le pire pour celui qui détiens sans doute la clef de son
avenirs. Les heures passèrent et sen survire la nuit avec sa vie
nocturne typique à la citée. Elle avait tenter de contacter ces
amies, mais en vain tous étaient occupé ou n'avaient tout
simplement pas envie de discuter. Tous, sauf un.
Tomas21IC
« Jane, t'est là? »
Jane<3_1416
« Oui, mais t'est qui, je
ne te replace pas? »
Tomas21IC
« Tu me connais très bien,
tu ma supporter très longtemps et je t'en remercie. »
Jane<3_1416
« Non, décidément, je ne me souviens pas. »
Tomas21IC
« Encore désolé pour le gâteau,
j'aurais bien voulu y goûter, mais je devais filer avant
l'injection. »
Jane<3_1416
« Je la trouve pas drôle,
t'est qui? »
Tomas21IC
« Tomas est mort il y as deux ans dans un accident de route Il y as deux ans. L'on travaillait ensemble sur un projets d'étude très importent. Il t'appelait Mademoiselle Jane et je disait de laisser ma sœur en paix. Si tu n'a toujours pas compris, Je peut t'appeler la Fesse Bleu... »
« Tomas est mort il y as deux ans dans un accident de route Il y as deux ans. L'on travaillait ensemble sur un projets d'étude très importent. Il t'appelait Mademoiselle Jane et je disait de laisser ma sœur en paix. Si tu n'a toujours pas compris, Je peut t'appeler la Fesse Bleu... »
Sur ces mots, elle compris que son
frère était à l'autre bout du fils. Qui d'autre aurais sue pour ma
relation avec Tomas; qui d'autre aurais sue pour la gifle monumentale
que j'ai reçu au chalet de grand père. Elle tenta d'appeler pour
entendre sa voie, mais tout appelles à ce numéros étaient refuser.
Jane<3_1416
« Pourquoi tu ne répond
pas? »
Tomas21IC
« Je ne suis pas sur un cellulaire. Et
pour tout dire, j'ai besoins de ton aides. J'ai besoins que tu passe
prendre un colis à une boite postale, tu pourra y accéder avec le
code et l'identité que je vais te fournir. Suis mes instructions et
tout ira pour le mieux. »
Sans même douter de la parole de son
interlocuteur, elle alla chercher le colis en question pour ensuite
ce déplacer à une autre destination. Contre tout attente, elle
n'eut à peine eut le temps d'entrer dans l'édifice qu'un livreur de
pizza arriva en à la porte de l'appartement ou elle devais se
rendre. Le seul message de son frère étais paye le.
Une fois la lumière ouverte elle se
rendit compte l'appartement étais meubler que d'une table et des
chaises, tout les autres pièces étaient vide. Il était Maintenant
temps d'ouvrir le colis, Contre tout attente, le livreur semblais
être prévus, car à l'intérieur du colis, se trouvait un uniforme
de livreur de la même compagnie.
La pizza étais livrer avec deux
grandes bouteilles de boisson gazeuse. Jane voulu envoyer un message
à son frère, mais avant même qu'elle puisse écrire quoi que ce
soit elle reçu des coordonnés ou faire la livraison et une petite
note disent d'éviter les caméras de surveillance. In tracé lui
montra la sortie arrière de l'édifice ou une mobylette de compagnie
l'attendait. La précision et l'énergie mis pour sa sortie lui
semblait surprenante, mais elle étais loin de se douter qu'une tiers
personne avais simplement dérober la mobylette au livreur d'il y as
quelques instant. Chemin faisant elle suivit comme elle put le tracé
GPS que lui donnait son cellulaire pour enfin aboutir à une vieil
usine remise à l'état d'édifice à logements. Elle y étais
presque, deuxième étage, porte six. Elle n'eut à cogner qu'un
homme dans la quarantaine lui ouvrit la porte :
« Ha! La pizza est arriver. Viens,
entre. »
l'appartement était lugubre, une odeur
de poussière chauffé émanait des lieux tendis que les meubles
étaient éclairer que par des lampes et les moniteurs de toute
sorte. Déposant la pizza sur la table, elle vit une silhouette dans
la pièces du fond, c’était son frère qui doucement se
retournait. Les émotions voulait se bousculer en elle, bouche bée,
les deux se regardait en silence quand un fracas à l'entrée les
interrompit. Un grand homme, en sueur et les mains en sang avait
franchis l'entrée. C'était Ismahen.
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